C'est quoi, une maladie psychosomatique ?

il y a 1 minute, January a dit :

Voilà, ça c'est de la kinésiologie. Tout s'explique de cette façon-là, et ça fait de sacrés ravages dans le milieu où j'interviens. Tant qu'un kinésithérapeute va balancer à un patient atteint de lombalgie : "vous en avez plein le dos" ça va encore passer, mais alors tout, absolument tout ramener à un raisonnement du genre, stop. 

(pas contre toi ping évidemment, mais c'est vrai que le sujet me met très en colère, ça fait vraiment du mal à certaines personnes, qui finissent par s'imaginer des choses, leurs symptômes s'aggravent, elles en développent de nouveaux, leur psychopathologies s'aggravent, pour moi c'est intolérable). 

C'est juste un aspect effectivement. Essayer de comprendre de ce dont on souffre tant du point de vue medical que symbolique que toute autre cause possible. Tu as raison, se contenter d'une explication symbolique comme seule et unique cause et baser une stratégie de soin là dessus ça craint. La kinésiologie je n'ai pas d'avis, si ce n'est que n'importe qui après une brève formation peut devenir kynesiologue, et là...

il y a 11 minutes, January a dit :

Voilà, ça c'est de la kinésiologie. Tout s'explique de cette façon-là, et ça fait de sacrés ravages dans le milieu où j'interviens. Tant qu'un kinésithérapeute va balancer à un patient atteint de lombalgie : "vous en avez plein le dos" ça va encore passer, mais alors tout, absolument tout ramener à un raisonnement du genre, stop. 

(pas contre toi ping évidemment, mais c'est vrai que le sujet me met très en colère, ça fait vraiment du mal à certaines personnes, qui finissent par s'imaginer des choses, leurs symptômes s'aggravent, elles en développent de nouveaux, leur psychopathologies s'aggravent, pour moi c'est intolérable). 

C'est vrai que ça marche    Sinon, prendre un chewing gum..

Ah le chewing gum ça marche aussi pour s'enlever un air entêtant de la tête,

il y a 43 minutes, January a dit :

Il ne peut rien à faire à ça...

C'est un syndrome connu et son diagnostic se pose facilement par élimination, ils l'ont fait, ils t'ont examinée et un prise de sang a été réalisée. Le problème est : on ne sait pas comment traiter. Et il n'y a pas que ça qu'on ne sait pas traiter. Combien d'affections dermatologiques aussi ? Je trouve la médication d'AD aberrante dans ce cas là vu que tout au plus, on pense que des conductions nerveuses sont à l'origine du problème, bref. Mais effectivement, éviter la sécheresse, donc favoriser ce qui fait saliver... 

 

il y a 43 minutes, January a dit :

Il ne peut rien à faire à ça...

C'est un syndrome connu et son diagnostic se pose facilement par élimination, ils l'ont fait, ils t'ont examinée et un prise de sang a été réalisée. Le problème est : on ne sait pas comment traiter. Et il n'y a pas que ça qu'on ne sait pas traiter. Combien d'affections dermatologiques aussi ? Je trouve la médication d'AD aberrante dans ce cas là vu que tout au plus, on pense que des conductions nerveuses sont à l'origine du problème, bref. Mais effectivement, éviter la sécheresse, donc favoriser ce qui fait saliver... 

 

tout à fait d'accord january, au départ mon orthophoniste avec l'accord de mon médecin traitant m'a traitée pour une déglutition atypique, après 3/4 d'heures d'examens et de tests, ce n'était pas le  cas . 8 séances avec, je la remercie, elle m'a aidé  à gérer mon incapacité à ne pas comprendre et gérer mes montées de stress quand la douleur m'est insupportable.

Où j'ai mal, infiniment mal, c'est que mes capacités intellectuelles et mentales au niveau médical, soient remises en cause car on ne trouve pas l'origine de ma douleur.

Ma dignité au jour le jour est de mener une vie aussi normale que possible et même à l'heure actuelle de "jouer" avec la municipalité Nantaise pour montrer l'absurdité de certains projets, sans heurts, sans cris, juste avec respect et dignité au-delà de la douleur et de la souffrance ressentie. Quand la  brûlure est trop forte, tu fermes les volets, tu essayes de dormir pour oublier cette sensation de brûlure omniprésente et tu te dis : "allez p"tite demain sera un autre jour, demain matin au réveil la douleur sera moins virulente et tu mèneras ton combat pour ce qui te semble juste", ni plus, ni moins.

C'est peut être dérisoire de s'exprimer ici, je le fais juste ici pour  ma maman et pour la  décharger un peu de mon incompréhension, de ma peine et de ne savoir à qui m'adresser pour la soulager de ma douleur qu'elle prendrait bien à ma place à la tombée de ses 80 ans

Comme il est triste à moins de 50 ans de se dire que vous ne poserez plus vos lèvres sur celles d'un autre car la sensation ne sera plus que brûlure....

Allez zou, finis de m'épancher j'ai eu de jolis cadeaux de vie....

il y a 29 minutes, ping a dit :

Hors norme? Pourtant ça a l'air d'être courant et connu ce syndrome non?

http://www.everzen.fr/syndrome-affecte-05296160.htm

 

je cite ton article :

"Il est difficile de déterminer la raison exacte de ce trouble. La douleur qui en résulte peut durer pendant des mois et, dans certains cas, pendant des années."

Voilà aucun signe de ménopause, de troubles thyroïdiens, de dépression.

Courant et connu bah tu me donnes le traitement je suis la 1ère preneuse parce qu'au stade où j'en suis rendue à part le centre anti-douleurs rien ne m'est plus proposée....

il y a 4 minutes, Kokelicot a dit :

Où j'ai mal, infiniment mal, c'est que mes capacités intellectuelles et mentales au niveau médical,

Ben je comprends... J'ai eu des trucs "bizarres" on va dire, mais jamais on a remis en question le fait que je souffrais réellement. Oui la psychosomatique a été creusée (et c'était un bien parce qu'il y avait un rapport qui crevait les yeux) mais jamais on ne m'a traitée de façon à ce que je pense qu'on remettait en cause mes facultés intellectuelles et/ou mentales. 

C'est là toute la sensibilité du sujet "psychosomatique". Il faut déjà bien connaître le type de manifestation psychosomatique, sinon ce n'est même pas la peine, ça finira par clasher (ce n'est que mon avis). J'interviens auprès de personnes atteintes de SSPT. Sur le sujet "psychosomatique", chaque mot est vraiment pesé au microgramme, c'est difficile, il faut être très vigilant. 

il y a 1 minute, January a dit :

Ben je comprends... J'ai eu des trucs "bizarres" on va dire, mais jamais on a remis en question le fait que je souffrais réellement. Oui la psychosomatique a été creusée (et c'était un bien parce qu'il y avait un rapport qui crevait les yeux) mais jamais on ne m'a traitée de façon à ce que je pense qu'on remettait en cause mes facultés intellectuelles et/ou mentales. 

C'est là toute la sensibilité du sujet "psychosomatique". Il faut déjà bien connaître le type de manifestation psychosomatique, sinon ce n'est même pas la peine, ça finira par clasher (ce n'est que mon avis). J'interviens auprès de personnes atteintes de SSPT. Sur le sujet "psychosomatique", chaque mot est vraiment pesé au microgramme, c'est difficile, il faut être très vigilant. 

Franchement January au-delà de la sensation de brûlure permanente ressentie, c'est qu'on ne vous croit plus.

Combien de fois aie-je souhaité un herpès labial quelque chose de visible extérieurement...pour être crédible...

Demain je vais voir mon psy comme cela est recommandé, notre dialogue est tellement disproportionné puisqu'il ne voit à redire sur mon état psychologique et pourtant ma douleur ressentie. J'aurai juste une ordonnance d'anxiolytique pour gérer mon stress face à une situation corporelle que je ne comprends pas puisque je n'ai pas les éléments nécessaires et mes somnifères pour dormir, éviter crises de panique et reposer ma bouche par du sommeil !

le top quoi ! c'est d'un tel ridicule !

Je me demande juste combien de temps je vais tenir....et je suis tenace !

Question naïve : Comment faire la différence au points de vue clinique entre somatisation (souffrance physique induite par un malaise psychologique, sans problème physiologique détectable) et syndrome de Münchhausen (besoin de simuler une maladie, souvent d'ailleurs en simulant des symptômes, de sorte à s'attirer l'attention de l'entourage)?

Dans tous les cas je pense que ces gens là sont le cauchemar absolu du médecin, et je dis ça mais j'ai moi aussi tendance à somatiser en cas de problème ...

 ça se repère heureusement. 

il y a 14 minutes, January a dit :

 ça se repère heureusement. 

La seule maladie que jamais un Münchhausen ne simulera c'est le Münchhausen lui-même

N'empêche qu'il semblerait qu'un certain nombre de ces patients finisse par réellement subir des opérations en tous genres (alors qu'ils n'ont strictement rien).

C'est dramatique.

Sinon j'ai un autre cas clinique intéressant : imaginons qu'un hypocondriaque craigne de souffrir du syndrome de Münchhausen et que ça lui provoque des somatisations. Que faire?

il y a une heure, Kokelicot a dit :

je cite ton article :

"Il est difficile de déterminer la raison exacte de ce trouble. La douleur qui en résulte peut durer pendant des mois et, dans certains cas, pendant des années."

Voilà aucun signe de ménopause, de troubles thyroïdiens, de dépression.

 

Courant et connu bah tu me donnes le traitement je suis la 1ère preneuse parce qu'au stade où j'en suis rendue à part le centre anti-douleurs rien ne m'est plus proposée....

 

 

Je ne sais évidemment pas. Tout ce que je peux dire, c'est que si j'étais dans ton cas, j'essairais de me tourner vers d'autres médecines et en particulier les MTC, notament l'acupuncture. Et si ça marchait pas, ben j'essairais encore et encore de trouver. Et si j'y arrivais pas, ben au moins je n'aurais pas à me reprocher de ne pas avoir fait de mon mieux.

il y a 13 minutes, Quasi-Modo a dit :

La seule maladie que jamais un Münchhausen ne simulera c'est le Münchhausen lui-même

N'empêche qu'il semblerait qu'un certain nombre de ces patients finisse par réellement subir des opérations en tous genres (alors qu'ils n'ont strictement rien).

C'est dramatique.

Sinon j'ai un autre cas clinique intéressant : imaginons qu'un hypocondriaque craigne de souffrir du syndrome de Münchhausen et que ça lui provoque des somatisations. Que faire?

Sur sa tombe on pourra lire: " Je vous l'avais bien dit que j'étais malade".

Les maladies sont pour ainsi dire toutes "nerveuses".

Mon tonton par alliance a été transfusé en 1985 et il est mort du SIDA en septembre 1993; à 60 ans. Merci Fabius, Hervé, Dufoix et toute la bande d'incapables et de criminels qui les ont aidé.

Mon oncle avait une soeur. Ils étaient très liés. A la mort de son frère, elle a attrapé un bon crabe, et elle est décédée en août 1998; à 68 ans.

Du coup, son mari est tombé malade (encore un crabe-mayo) et il a cassé sa pipe en décembre 2006; à 78 ans.

Le mari de ma soeur est décédé d'une attaque cardiaque à 49 ans; en janvier 2009. Du coup, le crabe de ma tante s'est réveillée. 40 jours plus tard, elle était dans sa tombe.

Le 09/04/2018 à 17:34, Sittelle a dit :

En tout cas j ai ressenti un grand moment de solitude ..

J'ai deja tellement de défiance en ce qui concerne le corps médical... parce que j'ai de la difficulté à m'exprimer a l'oral encore plus qu 'a l écrit .. par ce que l alèxithimie m'empêche ce comprendre mes sentiments et émotions... parce que....

Parce qu'il est difficile de prendre dans la face que la maladie qui vient de vous valoir 3 chirurgies sous anesthésies générale, une chimiothérapie et le reste c'est ton cerveau derangé qui la provoquée . 

 

Parce que c est comme ça depuis ma plus tendre enfance ... merde ...

 

Désolée ce n est pas contre toi Ping ... c est juste trop...

Bonjour Sitelle

Je me demande bien quel tordu a pu te mettre dans la tête qu'un cancer, car je suppose que c'est de cela qu'il s'agit a été provoqué par ton cerveau prétendument dérangé.

Il me semble que si des corrélations sont parfois évoquées entre troubles psychiques et cancer le lien de cause à effet est loin d'être établi  et que l'affirmation d'un tel lien relève d'une imprudence et d'une inconséquence grave voir d'un pur charlatanisme.

Je comprends en tout cas que ça ne peut que rajouter aux souffrances.

Il y a 6 heures, Sittelle a dit :

Mais l alexithimie je la vie depuis ma plus tendre enfance

Je ne connaissais pas ce terme, j'ai lu que c'était l'incapacité à exprimer ses émotions ouais .. ouais .....

exprimer, communiquer, il m'est venu tout de suite une des premières choses qu'on m' a apprises en matière de communication:

le principal outil de la communication, ce n'est pas la langue mais les oreilles. Comment fait on la différence entre quelqu'un qui ne peut pas s'exprimer et quelqu'un qu'on n'écoute pas?

Est ce qu'on t'aurait aussi renvoyé tes émotions en pleine face?

Pardonne moi, si je délire. Je peux très bien être complètement à coté de la plaque en écrivant ce qu'évoquent pour moi  tes interventions.

Il y a 1 heure, pila a dit :

Les maladies sont pour ainsi dire toutes "nerveuses".

Mon tonton par alliance a été transfusé en 1985 et il est mort du SIDA en septembre 1993; à 60 ans. Merci Fabius, Hervé, Dufoix et toute la bande d'incapables et de criminels qui les ont aidé.

Mon oncle avait une soeur. Ils étaient très liés. A la mort de son frère, elle a attrapé un bon crabe, et elle est décédée en août 1998; à 68 ans.

Du coup, son mari est tombé malade (encore un crabe-mayo) et il a cassé sa pipe en décembre 2006; à 78 ans.

Le mari de ma soeur est décédé d'une attaque cardiaque à 49 ans; en janvier 2009. Du coup, le crabe de ma tante s'est réveillée. 40 jours plus tard, elle était dans sa tombe.

Douloureux témoignage, mais la généralisation serait abusive et on peut se demander si les liens de cause à effet sont aussi nets que ce que ton exposé nous les présente.

Il y a 1 heure, hybridex a dit :

Bonjour Sitelle

Je me demande bien quel tordu a pu te mettre dans la tête qu'un cancer, car je suppose que c'est de cela qu'il s'agit a été provoqué par ton cerveau prétendument dérangé.

Il me semble que si des corrélations sont parfois évoquées entre troubles psychiques et cancer le lien de cause à effet est loin d'être établi  et que l'affirmation d'un tel lien relève d'une imprudence et d'une inconséquence grave voir d'un pur charlatanisme.

Je comprends en tout cas que ça ne peut que rajouter aux souffrances.

Je ne connaissais pas ce terme, j'ai lu que c'était l'incapacité à exprimer ses émotions ouais .. ouais .....

exprimer, communiquer, il m'est venu tout de suite une des premières choses qu'on m' a apprises en matière de communication:

le principal outil de la communication, ce n'est pas la langue mais les oreilles. Comment fait on la différence entre quelqu'un qui ne peut pas s'exprimer et quelqu'un qu'on n'écoute pas?

Est ce qu'on t'aurait aussi renvoyé tes émotions en pleine face?

Pardonne moi, si je délire. Je peux très bien être complètement à coté de la plaque en écrivant ce qu'évoquent pour moi  tes interventions.

Je ne sais pas ...

Pas de problème pour ton intervention..

Il y a 5 heures, January a dit :

Voilà, ça c'est de la kinésiologie. Tout s'explique de cette façon-là, et ça fait de sacrés ravages dans le milieu où j'interviens. Tant qu'un kinésithérapeute va balancer à un patient atteint de lombalgie : "vous en avez plein le dos" ça va encore passer, mais alors tout, absolument tout ramener à un raisonnement du genre, stop. 

(pas contre toi ping évidemment, mais c'est vrai que le sujet me met très en colère, ça fait vraiment du mal à certaines personnes, qui finissent par s'imaginer des choses, leurs symptômes s'aggravent, elles en développent de nouveaux, leur psychopathologies s'aggravent, pour moi c'est intolérable). 

C'est vrai que ça marche    Sinon, prendre un chewing gum..

Voila, tu reviens sur le sujets de l'autre jour dans médecines douces, avec le même méprit.

 Et moi justement je te demande de développer, parce que j'aimerai bien avancer sur des chemins qui peuvent paraitre non conventionnels. Mais avancer un peu puisque les Psy trucs ne m'apportent pas de solutions...

Alors certes pas forcement la kinésiologie dont je ne connaissais pas l’existence..

La kinésiologie va consister en diverses interrogations et quelques manipulations corporelles  (un peu comme l'ostéo et le kiné on remarquera). A l'issue de "l'examen", certains kinésiologues vont presque être apte à te raconter ta vie (dingue), juste, celle que tu ne connais pas. Et là, on reconnaîtra sans peine le scandale des "faux-souvenirs induits". C'est dangereux.

Dans ton cas Sittelle, je suppose que les psys sont arrivés à la possibilité de protection psychique ? 

Je rejoins ping, je ne vois pas où tu t'exprimes très mal. Peut être quelques mots pour d'autres, des phrases un peu tronquées mais c'est tout...? Peut être IRL c'est peut-être plus compliqué..?

As-tu essayé l'art thérapie, de plus en plus répandu en HDJ.

Il y a 2 heures, January a dit :

La kinésiologie va consister en diverses interrogations et quelques manipulations corporelles  (un peu comme l'ostéo et le kiné on remarquera). A l'issue de "l'examen", certains kinésiologues vont presque être apte à te raconter ta vie (dingue), juste, celle que tu ne connais pas. Et là, on reconnaîtra sans peine le scandale des "faux-souvenirs induits". C'est dangereux.

Dans ton cas Sittelle, je suppose que les psys sont arrivés à la possibilité de protection psychique ? 

Je rejoins ping, je ne vois pas où tu t'exprimes très mal. Peut être quelques mots pour d'autres, des phrases un peu tronquées mais c'est tout...? Peut être IRL c'est peut-être plus compliqué..?

As-tu essayé l'art thérapie, de plus en plus répandu en HDJ.

J ai essayé le theatre d'impro .il n a a pas grand chose dans mon trou perdu ..

J ai comprit ou tu vois le danger de la kinesiologie maintenant . C est dans la création de faux souvenirs mais tu sais cela est vrai aussi avec les psychologues ou psychothérapeutes surtout ceux qui pratiquent l hypnose . ..

il y a 10 minutes, Sittelle a dit :

J ai essayé le theatre d'impro .il n a a pas grand chose dans mon trou perdu ..

 

J ai comprit ou tu vois le danger de la kinesiologie maintenant . C est dans la création de faux souvenirs mais tu sais cela est vrai aussi avec les psychologues ou psychothérapeutes surtout ceux qui pratiquent l hypnose . ..

Le danger je le verrais plus dans l'incompetence de certains professionels qui, diplomés ou pas, médecins ou pas se revèlent être de vrais dangers publics. Et ça hélas, c'est dans toutes les diciplines qu'on en trouve. Il n'y a d'autre choix que de compter sur soi-même et se fier au ressenti que l'on a en ce qui concerne la personne humaine sensée nous aider, et ne pas hesiter à aller voir ailleurs si le courant ne passe pas.

En fin de compte tout ce qui pourrait te permettre de t'exprimer autrement, qu'en penses-tu ? Musique, poterie, danse, ce que toi tu aimerais faire. Tout ça, c'est aussi un mode d'expression  

Oui c'est exact. C'est pourquoi dès qu'on est mal à l'aise avec un praticien, il est inutile de poursuivre. 

à l’instant, ping a dit :

Le danger je le verrais plus dans l'incompetence de certains professionels qui, diplomés ou pas, médecins ou pas se revèlent être de vrais dangers publics. Et ça hélas, c'est dans toutes les diciplines qu'on en trouve. Il n'y a d'autre choix que de compter sur soi-même et se fier au ressenti que l'on a en ce qui concerne la personne humaine sensée nous aider, et ne pas hesiter à aller voir ailleurs si le courant ne passe pas.

Voilà  

Le 10/04/2018 à 15:30, January a dit :

Il ne peut rien à faire à ça...

C'est un syndrome connu et son diagnostic se pose facilement par élimination, ils l'ont fait, ils t'ont examinée et un prise de sang a été réalisée. Le problème est : on ne sait pas comment traiter. Et il n'y a pas que ça qu'on ne sait pas traiter. Combien d'affections dermatologiques aussi ? Je trouve la médication d'AD aberrante dans ce cas là vu que tout au plus, on pense que des conductions nerveuses sont à l'origine du problème, bref. Mais effectivement, éviter la sécheresse, donc favoriser ce qui fait saliver... 

 

Je ne décrirai jamais le milieu médical même si j'ai appris à m'en méfier à savoir lui dire "non".

Je remercie mon médecin traitant qui à l'audace de se sentir impuissant et qui ose me dire : "quel spécialiste veux-tu consulter tellement il se sent inefficace pour me soulager."

Je remercie mon psy de me croire dans la cohérence de mes propos, de me soutenir devant ma hantise de la paralysie faciale, verbale tellement la brûlure parfois me fait occulter que je parle normalement et me rassurer quand je m'exprime.

Je remercie mon orthophoniste d'avoir pris un espace/temps sophrologique éloigné de son domaine pour me donner des pistes de contrôle (exemple enregistrer sa voix sur son téléphone pour voir que sa voix est identique au-delà de la brûlure)

Non je n'irais pas vers les anti-dépresseurs pour dormir une partie de la journée et oublier mon mal, non le Lévothyrox n'est pas pour moi, oui  je fatigue vite mais l'énergie qui me reste est pour celle de comprendre et non masquer une douleur que vous ne comprenez pas...

Sitelle, tous mes encouragements

Il y a 10 heures, January a dit :

En fin de compte tout ce qui pourrait te permettre de t'exprimer autrement, qu'en penses-tu ? Musique, poterie, danse, ce que toi tu aimerais faire. Tout ça, c'est aussi un mode d'expression

Non j'aimerai juste être en bonne santé, avoir assez d'énergie pour ne plus me sentir un poids pour mes proches et pour la société.

Avoir un peu de sérénité pour reprendre espoir. Ne plus sentir mon énergie dévorée par les crise d’angoisse, mon Dieu comme déjà ce serait bien...

Merci Kokelicot , pour toi aussi je souhaite un peu de sérénité.