Pour quelles raisons travaillez-vous ?... Ou pas

il y a une heure, Totolasticot a dit :

A petites doses uniquement, surtout le virtuel. Mais je veille tout de même à assurer le service minimum afin de ne pas être trop irrespectueux, très chère Vilaine.

Je ne suis pas suffisamment chère pour être dans tes contacts. 

Je travaille avant tout pour moi plutôt que pour les autres. Parce que c'est le seul moyen de se payer sa liberté. Et encore je trouve que je ne gagne pas assez par rapport aux dépenses de mes loisirs.

Je cherche à me remettre vers un autre métier où je pourrais monter une société. Avec l'espoir d'accroitre mes revenus. Il me faut au moins 2500 à 3000 euros nets par mois pour vivre décemment.

Bonsoir, j'ai exercé plusieurs métiers. Ma chance est d'évoluer aujourd'hui dans un travail passionnant avec énormément de contacts. Autonome, je mène mon service à ma guise et mes collègues sont charmants. Peu de stress, de nombreux déplacements qui brisent la routine, aucune mission ne se ressemblent vraiment. Je pense que mon entrain réside dans la mobilisation constante de mes compétences. Ma motivation prendrait un coup si cet environnement favorable venait à se dégrader. Le salaire y joue aussi pour beaucoup et fait oublier la montre. Je comprends tout à fait les personnes qui se retrouvent dans les sentiments de contrainte et d'aliénation, d'autant plus après avoir pris distance de ces situations.

il y a 41 minutes, Ink 82 a dit :

Bonsoir, j'ai exercé plusieurs métiers. Ma chance est d'évoluer aujourd'hui dans un travail passionnant avec énormément de contacts. Autonome, je mène mon service à ma guise et mes collègues sont charmants. Peu de stress, de nombreux déplacements qui brisent la routine, aucune mission ne se ressemblent vraiment. Je pense que mon entrain réside dans la mobilisation constante de mes compétences. Ma motivation prendrait un coup si cet environnement favorable venait à se dégrader. Le salaire y joue aussi pour beaucoup et fait oublier la montre. Je comprends tout à fait les personnes qui se retrouvent dans les sentiments de contrainte et d'aliénation, d'autant plus après avoir pris distance de ces situations.

Presque pareil.

Mais ma motivation ne repose pas que sur des conditions favorables. Ce serait un équilibre trop fragile.

Il y a 7 heures, Gouderien a dit :

Il faut voyager quand on le peut. Si on se dit : je ferai ça plus tard, quand je serai à la retraite, en fait ça ne marche pas. Il faut prendre l'habitude de voyager jeune, sinon on ne le fait jamais. Au niveau du fric, c'est une question de priorités, mais il y a plein de pays qui ne sont pas si chers que ça.

C'est pas simple... Voyager oui, mais vivre de voyage c'est plus difficile. Faut quand même manger, et donc travailler. Admettons demain, je me dis, je pars vivre un an en Finlande et ensuite 1 an en Thailande etc... Déjà il y a la langue, l'anglais ne suffit pas pour trouver un emploi, souvent il faut une langue locale, ensuite quand on part comme ça, faut s'attendre à faire de sales boulots pour gagner sa vie, on peut pas tout avoir.... Ou alors voyager et dormir dehors ou dans des bidonvilles, mouais... L'argent ça part vite.. Pour ceux qui font un tour du monde, ça leur coute quand même bonbon, des années d'économie, c'est super mais pas éternel, le retour à la normal peut être difficile... 

Il y a 1 heure, doug1991 a dit :

Pour payer la retraite des assistés de retraités.

Que veux tu, c'est ça la vie, j'ai payé tes couches culottes, tu me paie mes protections urinaires!

Je reste quand même très peu motivé dans mon boulot, là ou je bosse les patrons en ont rien à faire, c'est devenu n'importe quoi, d'ailleurs est-ce encore une entreprise ? 

Mon job me déplait pas, mais après 10 ans je m'en lassait un peu, donc du coup j'ai changé de poste et je suis actuellement en formation, il y a beaucoup a apprendre, et en plus je dois continuer à faire mon job en attendant qu'ils me trouvent un remplaçant, donc c'est un peu comme si je devais faire double poste et après je devrai former le remplaçant, pendant 3 mois minimum ça va être galère.... Malgré que le poste que je vais occupé est pas trop mal intéressant,  un poste de responsable approvisionnement, je reste assez peu motivé, car d'une part c'est compliqué, pas certain d'y arriver franchement, et en plus la boite ou je suis est limite en faillite, il ne paye quasi plus rien, et une partie de mon nouveau job c'est de dire aux fournisseurs oui oui on va vous payer, pas de souci vous pouvez livrer les 50 000 CHF de marchandises, alors que pas sure qu'ils soient payés un jour... On vous doit 70 000 € depuis 2016 ! keep calm ! Merci, bye...

 Pour l'ambiance on est plus que 7 salariés, bon on se supporte mais de moins en moins, faut le reconnaitre... J'aimerais bien me faire licencier, mais j'ai l'impression que je vais être un des derniers à sortir car mes patrons savent que je suis un vrai professionnel. Avec ce nouveau poste c'est peut être une occasion de me faire virer si je fais trop de gaffes. Par exemple l'autre jour j'ai déjà commandé pour 1000 articles dont on avait pas besoin, heureusement j'ai rectifié le tir... 

Donc bon je vais quand même bosser pour un salaire intéressant mais sans plus, mais là encore, je trouve être sous payé par rapport à tout ce que je fais... Donc c'est encore plus difficile de se lever le matin. J'espère vraiment me faire virer, c'est vrai, mais j'ai l'impression qu'ils vont me garder jusqu'à ce que le dernier article soit parti...  

Je cherche ailleurs, mais dans la branche ou je suis c'est une vrai secte, tous les patrons se connaissent, donc quand je postule ailleurs, c'est même pas la peine, ils doivent s'appeler ou que sais-je, peut être même qu'ils couchent entre patron, même avec la concurrence c'est copinage... Faudrait donc que je change complètement de branche et pas facile... 

Help me ! Please ! 

Il y a 20 heures, Maurice Clampin a dit :

Mais , je vous le dis , il y a de par le monde des gens qui pensent à bosser , à beaucoup bosser , surtout du côté de l' Asie . Ils vous boufferont , ils vous boufferont et vous n' aurez pas à vous plaindre .

Les Asiatiques, pfffff, ils sont en train de s'asphyxier tout seuls avec leur productivisme effréné.

C'est à ça que tu voudrais que la France ressemble ?

il y a 8 minutes, Loargan a dit :

Les Asiatiques, pfffff, ils sont en train de s'asphyxier tout seuls avec leur productivisme effréné.

C'est à ça que tu voudrais que la France ressemble ?

 

 

 

 

 

   Comme dans la quasi totalité des pays émergents , de grosses fautes écologiques ont été faites et continues à l' être . 

Mais il n' empêche pas que se sont des travailleurs et des entrepreneurs infatigables qui ne sont surement pas arrêtés par la pleurnicherie et la bobologie  des fragilous travailleurs français .

il y a 16 minutes, Maurice Clampin a dit :

   Comme dans la quasi totalité des pays émergents , de grosses fautes écologiques ont été faites et continues à l' être . 

Mais il n' empêche pas que se sont des travailleurs et des entrepreneurs infatigables qui ne sont surement pas arrêtés par la pleurnicherie et la bobologie  des fragilous travailleurs français .

Le travail était surement différent à ton époque... et surtout il devait se faire au son de...

Aujourd'hui... ce n'est plus la même chanson...

il y a 3 minutes, Ellipsis a dit :

Le travail était surement différent à ton époque... et surtout il devait se fait au son de...

Aujourd'hui... ce n'est plus la même chanson...

    Tu as raison , aujourd'hui nous sommes à l' heure du caliméro ... C' est le concours de celui qui pleurnichera et qui se plaindra le plus .

J'ai toujours entendu les anciens évoquer la bonne ambiance qui régnait à leur travail : les amitiés avec les collègues, les moments de rigolades, l'entraide... malgré des horaires plus longs et des tâches souvent plus éreintantes. De nos jours, j'entends surtout les travailleurs se plaindre d'une ambiance de merde plutôt que de tâches contraignantes. C'est peut-être ça le problème principal ? Tout est fait pour que les collègues se détestent et se comportent envers leur patron comme un harem autour du pacha ? Peut-être que je me trompe. J'attends de savoir ce que vous en pensez.

il y a 12 minutes, Ellipsis a dit :

Le travail était surement différent à ton époque... et surtout il devait se fait au son de...

Aujourd'hui... ce n'est plus la même chanson...

Détrompe toi, c'était pas si facile que ça, moi je parle en usine, avec des horaires  à n'en plus finir , des congés rabotés ou il fallait récupérer en plus, des endroits malsains , et des cadences infernales, mais la compensation c'était que l'on était pas exigeant comme maintenant, donc c'étais plus coulant, mais il fallait produire, produire

il y a 4 minutes, Loargan a dit :

J'ai toujours entendu les anciens évoquer la bonne ambiance qui régnait à leur travail : les amitiés avec les collègues, les moments de rigolades, l'entraide... malgré des horaires plus longs et des tâches souvent plus éreintantes. De nos jours, j'entends surtout les travailleurs se plaindre d'une ambiance de merde plutôt que de tâches contraignantes. C'est peut-être ça le problème principal ? Tout est fait pour que les collègues se détestent et se comportent envers leur patron comme un harem autour du pacha ? Peut-être que je me trompe. J'attends de savoir ce que vous en pensez.

Entièrement raison, tu as mis le doigt dessus

il y a 24 minutes, Loargan a dit :

J'ai toujours entendu les anciens évoquer la bonne ambiance qui régnait à leur travail : les amitiés avec les collègues, les moments de rigolades, l'entraide... malgré des horaires plus longs et des tâches souvent plus éreintantes. De nos jours, j'entends surtout les travailleurs se plaindre d'une ambiance de merde que de tâches contraignantes. C'est peut-être ça le problème principal ? Tout est fait pour que les collègues se détestent et se comportent envers leur patron comme un harem autour du pacha ? Peut-être que je me trompe. J'attends de savoir ce que vous en pensez.

    Les taches contraignantes , il y en a toujours eu ....

Quand à l' ambiance de merde , excuse moi , elle est au moins autant le fait des travailleurs que des patrons qui surtout réagissent a cette hostilité de la part des gens qui travaillent dans leur entreprises et qui bien souvent sont poussés en cela par des syndicats qui ne voient que le coté négatif des choses .

Dans le temps il existait un certain paternalisme qui faisait que les uns aimaient bien les autres et que certes ce n' était pas parfait mais que l' on arrivait malgré tout à se parler . Ça , les syndicats l' ont combattu à mort , les uns devaient absolument être les ennemis des autres , et l' on en arrive à l' ambiance que l' on voit maintenant .

Dans des milliers d' entreprises où il y a plus de 50 ans  les choses ne marchaient pas mal du tout , dés que les syndicats y sont entrés l' ambiance c' est pourrie . Les syndicats ne pouvaient pas admettre que les travailleurs puissent aimer leurs patrons et leurs entreprises et ils les ont convaincu que "non , ils n' étaient pas heureux" et qu' il fallait combattre le méchant patron .

Alors , la mauvaise ambiance , cherchez donc d' ou elle vient ?

Vous êtes de la génération des 30 Glorieuses... nous sommes de celle des 40 pleureuses...

Il y a 19 heures, Maurice Clampin a dit :

Quand à l' ambiance de merde , excuse moi , elle est au moins autant le fait des travailleurs que des patrons qui surtout réagissent a cette hostilité de la part des gens qui travaillent dans leur entreprises et qui bien souvent sont poussés en cela par des syndicats qui ne voient que le coté négatif des choses .

Dans le temps il existait un certain paternalisme qui faisait que les uns aimaient bien les autres et que certes ce n' était pas parfait mais que l' on arrivait malgré tout à se parler . Ça , les syndicats l' ont combattu à mort , les uns devaient absolument être les ennemis des autres , et l' on en arrive à l' ambiance que l' on voit maintenant .

Dans des milliers d' entreprises où il y a plus de 50 ans  les choses ne marchaient pas mal du tout , dés que les syndicats y sont entrés l' ambiance c' est pourrie . Les syndicats ne pouvaient pas admettre que les travailleurs puissent aimer leurs patrons et leurs entreprises et ils les ont convaincu que "non , ils n' étaient pas heureux" et qu' il fallait combattre le méchant patron .

Alors , la mauvaise ambiance , cherchez donc d' ou elle vient ?

La concurrence y est pour beaucoup. Les salariés vivent dans la peur du chômage, ils sont prêts à se bouffer les uns les autres pour garder leur place.

il y a 2 minutes, Loargan a dit :

La concurrence y est pour beaucoup. Les salariés vivent dans la peur du chômage, ils sont prêts à se bouffer les uns les autres pour garder leur place.

   Peut être , mais la concurrence ce n' est tout de même pas quelque chose de nouveau .

Alors qu' il n' y ai pas qu' un seul facteur dans cette ambiance tendue , je veux bien le croire , mais je pense que les principaux responsables dans cet état de fait , ce sont les syndicats et surtout les syndicats à la française qui sont d' un esprit haineux et révolutionnaires plutôt que constructifs .

Il y a 7 heures, Loargan a dit :

La concurrence y est pour beaucoup. Les salariés vivent dans la peur du chômage, ils sont prêts à se bouffer les uns les autres pour garder leur place.

Céder à la peur en se bouffant les uns les autres sans affronter le véritable problème, c'est vraiment une attitude de femme. Ce n'est pas une solution, c'est simplement jouer le jeu que le modèle libéral veut nous faire jouer ; une attitude soumise et docile comme je l'ai dit...

Il y a 16 heures, Spinopute a dit :

Céder à la peur en se bouffant les uns les autres sans affronter le véritable problème, c'est vraiment une attitude de femme.

Il y a vraiment des coups de torchon qui se perdent !

il y a une heure, Loargan a dit :

Il y a vraiment des coups de torchon qui se perdent !

La seule arme dont disposent les femmes 

(et la seule réponse qu'elles peuvent donner)