Des scientifiques créent des embryons hybrides moutons-humains

      Une  équipe de scientifiques de l'université de Californie poursuit sa quête d'une nouvelle source d'organes pour les transplantations humaines. Très schématiquement, la manœuvre consiste à implanter dans des embryons de mouton des cellules humaines. Deux objectifs peuvent être ainsi visés : pallier l'insuffisance des dons d'organes et éviter les rejets par l'hôte de l'organe transplanté. Le but est d'adapter l'organe grandissant dans le corps de l'animal au système immunitaire du patient, grâce à l'utilisation des cellules souches de ce dernier. (...)

Ces recherches posent toutefois beaucoup de questions éthiques. La possible migration de cellules humaines vers le cerveau de l'animal en est une. S'il constate une telle chose, le professeur Pablo Ross* assure qu'il stopperait immédiatement le programme. Autre point d'incertitude, une possible transmission inter-espèces de virus.

SOURCE

Voir aussi : les chimères génétiques

Si c'était un taureau en transmission si on verrait rouge...

Nos politiques nous considèrent comme des veaux. Nous mêmes songeons que la majorité de nos concitoyens sont, ou se conduisent comme des chèvres. Cette nouvelle avancée scientifique de haute portée ne fait donc que confirmer ce que l'on savait déjà nous restons dans la variété des mammifères.

Déjà que les greffes d'organes humains créent des rejets qui nécessitent un traitement à vie, j'imagine que là ce ne sera pas mieux, voir nécessiter des traitements encore plus lourd. Peut-être que dans l'avenir chacun créera un clone de lui-même mais sans cerveau, ainsi on pourra y prélever ce qu'on veut quand on veut, et sans problème d'éthique ni de rejet Mais l'idéal serait d'arriver à créer juste l'organe dont on à besoin avec nos propres cellules souches

en cas d'erreurs des bébés auront de la laine sur le dos !!!

et pourront faire béééééééééé !!!!!!!!!!

Considérant l'adoration vouée au troupeau par bon nombre d'êtres humains grégaires au-delà de toute fierté, de tout bon sens, on peut s'interroger si l'espèce n'aurait pas déjà une certaine parenté avec les ovins.