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Homélie de Noël : le pape appelle à la solidarité envers les migrants


Invité Vintage

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Posté(e)

Le pape a demandé dimanche aux 1,3 milliard de catholiques de la planète de ne pas ignorer le drame des migrants.

Le pape François a dénoncé dimanche le drame des migrants de la planète, souvent «expulsés de leurs terres» par des dirigeants prêts à «verser du sang innocent», dans une homélie de Noël appelant à «l'hospitalité».

http://www.leparisien.fr/societe/homelie-de-noel-le-pape-plaide-pour-l-hospitalite-des-migrants-24-12-2017-7470198.php

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Membre, Posté(e)
Alexterieur Membre 799 messages
Forumeur activiste‚
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Combien en prend-il au Vatican ???? Qu'il aille un peu discuter avec les habitants de Calais ...

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MembreN, 125ans Posté(e)
Dan229 MembreN 12 047 messages
Baby Forumeur‚ 125ans‚
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On ferait mieux d'éradiquer ces dirigeants véreux.

A quoi sert l'ONU à part faire de grandes réunions, des séminaires couteux, des voyages pour se rencontrer et bavasser ?

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Membre, 32ans Posté(e)
Creusois Membre 210 messages
Baby Forumeur‚ 32ans‚
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il y a 26 minutes, Alexterieur a dit :

Combien en prend-il au Vatican ???? Qu'il aille un peu discuter avec les habitants de Calais ...

Je n aurais pas dis mieux!

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Membre, Posté(e)
Dwight Membre 409 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Dans un sens, les arabes sont moins cons que les chrétiens.  

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MembreN, 125ans Posté(e)
Dan229 MembreN 12 047 messages
Baby Forumeur‚ 125ans‚
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il y a 1 minute, Dwight a dit :

Dans un sens, les arabes sont moins cons que les chrétiens.  

Et les Africains.

La semaine dernière, le Bénin a renvoyé par cars entiers tous les migrants nigériens et nigérians qui mendiaient dans la rue chez eux.

Le Pape n'en a pas fait tout un pataquès.

 

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Invité PINOCCHIO
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Invité PINOCCHIO
Invité PINOCCHIO Invités 0 message
Posté(e)
il y a 4 minutes, Dwight a dit :

Dans un sens, les arabes sont moins cons que les chrétiens.  

Ben , oui puisqu'il les balance chez nous, ça fait ça de moins chez eux:)

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Membre, 42ans Posté(e)
Yoannbzh Membre 11 816 messages
Baby Forumeur‚ 42ans‚
Posté(e)
il y a une heure, Alexterieur a dit :

Combien en prend-il au Vatican ???? Qu'il aille un peu discuter avec les habitants de Calais ...

Il n'aura pas une once de courage d'y mettre un pied là-bas et surtout de discuter avec les habitants de Calais et les routiers !!!
Ou comme d'habitude, nos dirigeants vont cacher la vérité !!!

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Membre, Posté(e)
Dwight Membre 409 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Ce matin j’ai écouté sur RMC l’autre samaritain de Benoit de Sinety, vicaire de Paris, qui prêche pour que les français accueillent d’avantage les migrants. Qu’il s’occupe de ses affaires de curé. La politique ce n'est pas le domaine des curetons.

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Invité PINOCCHIO
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Invité PINOCCHIO Invités 0 message
Posté(e)

Le pape dénonce l'expulsion des migrants dans un nouvel appel à l'hospitalité

Que de belles paroles qui lui coute rien , ma foi :)

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Posté(e)
« Le peuple qui marchait dans les ténèbres a vu se lever une grande lumière ; et sur les habitants du pays de l’ombre, une lumière a resplendi » (Is 9, 1). « L’ange du Seigneur se présenta devant eux [les pasteurs] et la gloire du Seigneur les enveloppa de sa lumière » (Lc 2, 9). C’est ainsi que la liturgie de cette sainte nuit de Noël nous présente la naissance du Sauveur : comme une lumière qui pénètre et dissout l’obscurité la plus dense. La présence du Seigneur au milieu de son peuple efface le poids de la défaite et la tristesse de l’esclavage, et instaure la joie et l’allégresse.
 
Nous aussi, en cette nuit sainte, nous sommes venus dans la maison de Dieu en traversant les ténèbres qui enveloppent la terre, mais guidés par la flamme de la foi qui éclaire nos pas et animés par l’espérance de trouver la ‘‘grande lumière’’. En ouvrant notre cœur, nous avons, nous aussi, la possibilité de contempler lemiracle de cet enfant-soleil qui éclaircit l’horizon en surgissant d’en-haut.
 
L’origine des ténèbres qui enveloppent lemonde se perd dans la nuit des temps. Repensons au moment obscur où a été commis le premier crime de l’humanité, quand la main de Caïn, aveuglé par la jalousie, a frappé à mort son frère Abel (cf.Gn 4, 8). Ainsi, le cours des siècles a étémarqué par des violences, des guerres, la haine et des abus. Mais Dieu, qui avait placé ses propres attentes en l’homme fait à son image et à sa ressemblance, attendait. Il a attendu tellement longtemps que peut-être à un certain moment il aurait dû renoncer. Mais il ne pouvait renoncer, il ne pouvait pas se renier lui-même (cf. 2 Tm2, 13). C’est pourquoi, il a continué à attendre avec patience face à la corruption des hommes et des peuples.
 
Au long du chemin de l’histoire, la lumière qui perce l’obscurité nous révèle que Dieu est Père et que sa patiente fidélité est plus forte que les ténèbres et la corruption. C’est en cela que consiste l’annonce de la nuit de Noël. Dieu ne connaît pas d’accès de colère et l’impatience ; il est toujours là, comme le père de la parabole du fils prodigue, dans l’attente d’entrevoir de loin le retour du fils perdu.
 
La prophétie d’Isaïe annonce l’apparition d’une immense lumière qui perce l’obscurité. Elle naît à Bethléem et elle est accueillie par les tendres mains de Marie, par l’affection de Joseph, par l’étonnement des bergers. Quand les anges ont annoncé aux bergers la naissance du Rédempteur, ils l’ont fait avec ces paroles : ‘‘Et voici le signe qui vous est donné : vous trouverez un nouveau-né emmailloté et couché dans une mangeoire » (Lc 2, 12). Le ‘‘signe’’ c’est l’humilité de Dieu porté à l’extrême ; c’est l’amour avec lequel, cette nuit, il a assumé notre fragilité, notre souffrance, nos angoisses, nos désirs et nos limites. Lemessage que tous attendaient, le message que tous cherchaient dans la profondeurde leur âme, n’était autre que la tendresse de Dieu : Dieu qui nous regarde avec des yeux pleins d’affection, qui accepte notre misère, Dieu amoureux de notre petitesse.
 
En cette sainte nuit, tandis que nous contemplons l’Enfant Jésus qui vient de naître et d’être déposé dans unemangeoire, nous sommes invités à réfléchir. Comment accueillons-nous la tendresse de Dieu ? Est-ce que je me laisse rejoindre par lui, est-ce que je me laisse embrasser, ou bien est-ce que je l’empêche de s’approcher ? ‘‘Mais je cherche le Seigneur’’ – pourrions-nous rétorquer. Toutefois, la chose la plus importante n’est pas de le chercher, mais plutôt de faire en sorte que ce soit lui qui me trouve et quime caresse avec amour. Voici la question que nous pose l’Enfant par sa seule présence : est-ce que je permets à Dieu dem’aimer ?
 
Et encore : avons-nous le courage d’accueillir avec tendresse les situations difficiles et les problèmes de celui qui est à côté de nous, ou bien préférons-nous les solutions impersonnelles, peut-être efficaces mais dépourvues de la chaleur de l’Évangile ? Combien le monde a besoin de tendresse aujourd’hui !
 
La réponse du chrétien ne peut être différente de celle que Dieu donne à notre petitesse. La vie doit être affrontée avec bonté, avec mansuétude. Quand nous nous rendons compte que Dieu est amoureux de notre petitesse, que lui-même se fait petit pour mieux nous rencontrer, nous ne pouvons pas ne pas lui ouvrir notre cœur et le supplier : ‘‘Seigneur, aide-moi à être comme toi, donne-moi la grâce de la tendresse dans les circonstances les plus dures de la vie, donne-moi la grâce de la proximité face à toute nécessité, de la douceur dans n’importe quel conflit’’.
 
Chers frères et sœurs, en cette nuit sainte, contemplons la crèche : , ‘‘le peuple qui marchait dans les ténèbres a vu se lever une grande lumière’’ (Is 9, 1). Les genssimples, disposés à accueillir le don de Dieu, l’ont vue. Au contraire, les arrogants, les orgueilleux, ceux qui établissent les lois selon leurs propres critères personnels, ceux qui assument des attitudes de fermeture, ne l’ont pas vue. Regardons la crèche et prions, en demandant à la Vierge Mère : ‘‘Ô Marie, montre-nous Jésus’’."
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Invité Invités 0 message
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Marie «mit au monde son fils premier-né; elle l’emmaillota et le coucha dans une mangeoire, car il n’y avait pas de place pour eux dans la salle commune» (Lc 2, 7). Par cette expression simple mais claire, Luc nous conduit au cœur de cette nuit sainte: Marie mit au monde, Marie nous donna la Lumière. Un récit simple pour nous immerger dans l’événement qui change pour toujours notre histoire. Tout, dans cette nuit, devenait source d’espérance.

 
 

Retournons en arrière de quelques versets. Par décret de l’empereur, Marie et Joseph se sont vus obligés de partir. Ils ont dû quitter leurs proches, leur maison, leur terre et se mettre en route pour être recensés. Un trajet pas du tout commode ni facile pour un jeune couple qui était sur le point d’avoir un enfant: ils étaient contraints de quitter leur terre. Dans leur cœur, ils étaient pleins d’espérance et d’avenir à cause de l’enfant qui était sur le point de naître; leurs pas, au contraire, étaient chargés d’incertitude et des dangers propres à qui doit quitter sa maison.

 
 

Et ensuite, ils se trouvaient à affronter la chose peut-être la plus difficile : arriver à Bethléem et faire l’expérience que c’était une terre qui ne les attendait pas, une terre où il n’y avait pas de place pour eux.

 
 

Et justement là, dans cette situation qui était un défi, Marie nous a offert l’Emmanuel. Le Fils de Dieu a dû naître dans une étable parce que les siens n’avaient pas de place pour lui. «Il est venu chez lui, et les siens ne l’ont pas reçu» (Jn 1, 11). Et là... dans l’obscurité d’une ville qui n’a ni espace ni place pour l’étranger qui vient de loin, dans l’obscurité d’une ville en plein mouvement et qui, dans ce cas, semblerait vouloir se construire en tournant le dos aux autres, précisément là, s’allume l’étincelle révolutionnaire de la tendresse de Dieu. À Bethléem, s’est ouverte une petite brèche pour ceux qui ont perdu leur terre, leur patrie, leurs rêves; même pour ceux qui ont cédé à l’asphyxie causée par une vie renfermée.

 
 

Dans les pas de Joseph et de Marie, se cachent de nombreux pas. Nous voyons les traces de familles entières qui, aujourd’hui, se voient obligées de partir. Nous voyons les traces de millions de personnes qui ne choisissent pas de s’en aller mais qui sont obligées de se séparer de leurs proches, sont expulsées de leur terre. Dans beaucoup de cas, ce départ est chargé d’espérance, chargé d’avenir; dans beaucoup d’autres, ce départ a un seul nom: la survie. Survivre aux Hérode de l’heure qui, pour imposer leur pouvoir et accroître leurs richesses, n’ont aucun problème à verser du sang innocent.

 
 

Marie et Joseph, pour qui il n’y avait pas de place, sont les premiers à embrasser Celui qui vient nous donner à tous le document de citoyenneté. Celui qui, dans sa pauvreté et dans sa petitesse, dénonce et manifeste que le vrai pouvoir et la liberté authentique sont ceux qui honorent et secourent la fragilité du plus faible.

 
 

En cette nuit, Celui qui n’avait pas de place pour naître est annoncé à ceux qui n’avaient pas de place aux tables et dans les rues de la ville. Les bergers sont les premiers destinataires de cette Bonne Nouvelle. Par leur travail, c’étaient des hommes et des femmes qui devaient vivre en marge de la société. Leurs conditions de vie, les endroits où ils étaient contraints à se trouver, les empêchaient d’observer toutes les prescriptions rituelles de purification religieuse et, par conséquent, ils étaient considérés comme impurs. Leurs peaux, leurs vêtements, leur odeur, leur façon de parler, leur origine les trahissaient. Tout en eux suscitait de la méfiance. C’étaient des hommes et femmes dont il fallait se tenir éloigné, avoir peur; on les considérait comme des païens parmi les croyants, des pécheurs parmi les justes, des étrangers parmi les citoyens. À eux – païens, pécheurs et étrangers –, l’ange dit: «Ne craignez pas, car je vous annonce une bonne nouvelle, qui sera une grande joie pour tout le peuple: aujourd’hui, dans la ville de David, vous est né un Sauveur qui est le Christ, le Seigneur» (Lc 2, 10-11).

 
 

Voilà la joie qu’en cette nuit nous sommes invités à partager, à célébrer et à annoncer. La joie par laquelle Dieu, dans son infinie miséricorde, nous a embrassés, nous païens, pécheurs et étrangers, et nous incite à faire de même.

 
 

La foi de cette nuit nous porte à reconnaître Dieu présent dans toutes les situations où nous le croyons absent. Il se trouve dans l’hôte indiscret, bien des fois méconnaissable, qui marche par nos villes, dans nos quartiers, voyageant dans nos autobus, frappant à nos portes.

 
 

Et cette même foi nous incite à faire de la place à une nouvelle créativité sociale, à ne pas avoir peur de faire l’expérience de nouvelles formes de relation dans lesquelles personne ne doit sentir qu’il n’a pas de place sur cette terre. Noël, c’est le temps pour transformer la force de la peur en force de la charité, en force pour une nouvelle créativité de la charité. La charité qui ne s’habitue pas à l’injustice comme si celle-ci était naturelle, mais qui a le courage, au milieu des tensions et des conflits, de se faire ‘‘maison du pain’’, terre d’hospitalité. Saint Jean-Paul II nous le rappelait. «N’ayez pas peur! Ouvrez, ouvrez toutes grandes les portes au Christ: «(Homélie de la Messe d’inauguration du Pontificat, 22 octobre 1978).

 
 

Dans l’Enfant de Bethléem, Dieu vient à notre rencontre pour faire de nous des protagonistes de la vie qui nous entoure. Il s’offre afin que nous le prenions dans les bras, afin que nous le soulevions et l’embrassions. Afin qu’en Lui, nous n’ayons pas peur de prendre dans les bras, de soulever et d’embrasser celui qui a soif, l’étranger, celui qui est nu, celui qui est malade, le détenu (cf. Mt 25, 35-36). «N’ayez pas peur! Ouvrez, ouvrez toutes grandes les portes au Christ». En cet Enfant, Dieu nous invite à prendre en charge l’espérance. Il nous invite à être des sentinelles pour beaucoup de personnes qui ont cédé sous le poids du désespoir qui naît du fait de trouver fermées de nombreuses portes. En cet Enfant, Dieu fait de nous des protagonistes de son hospitalité. Émus par la joie du don, petit Enfant de Bethléem, nous te demandons que tes pleurs nous réveillent de notre indifférence, ouvrent nos yeux devant celui qui souffre. Que ta tendresse réveille notre sensibilité et fasse que nous nous sentions invités à te reconnaître dans tous ceux qui arrivent dans nos villes, dans nos histoires, dans nos vies. Que ta tendresse révolutionnaire nous amène à nous sentir invités à prendre en charge l’espérance et la tendresse de nos gens.

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Membre, Chien Fou forumeur, 91ans Posté(e)
Promethee_Hades Membre 25 564 messages
91ans‚ Chien Fou forumeur,
Posté(e)
Il y a 3 heures, Vintage a dit :

Le pape a demandé dimanche aux 1,3 milliard de catholiques de la planète de ne pas ignorer le drame des migrants.

Le pape François a dénoncé dimanche le drame des migrants de la planète, souvent «expulsés de leurs terres» par des dirigeants prêts à «verser du sang innocent», dans une homélie de Noël appelant à «l'hospitalité».

http://www.leparisien.fr/societe/homelie-de-noel-le-pape-plaide-pour-l-hospitalite-des-migrants-24-12-2017-7470198.php

Bonjour Vintage, joyeux Noël.

Le pape c'est qui ça le pape ? Combien de divisions blindés ( Staline le petit père des peuple )

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Invité Vintage
Invités, Posté(e)
Invité Vintage
Invité Vintage Invités 0 message
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à l’instant, Promethee_Hades a dit :

Bonjour Vintage, joyeux Noël.

Le pape c'est qui ça le pape ? Combien de divisions blindés ( Staline le petit père des peuple )

Joyeux noël ! le pape est encore très écouté par beaucoup.

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MembreN, 125ans Posté(e)
Dan229 MembreN 12 047 messages
Baby Forumeur‚ 125ans‚
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Membre, Chien Fou forumeur, 91ans Posté(e)
Promethee_Hades Membre 25 564 messages
91ans‚ Chien Fou forumeur,
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à l’instant, Vintage a dit :

Joyeux noël ! le pape est encore très écouté par beaucoup.

Écouté oui par des catholiques, Entendu c'est une toute autre histoire, compris alors là c'est de la prospective, ou du vœux pieu, comme disait Jean Calvin l'enfer est pavé de bonnes intentions. Quand à économique, là c'est du pragmatisme et ce peut être le pavé de l'Ours.

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Invité PINOCCHIO
Invités, Posté(e)
Invité PINOCCHIO
Invité PINOCCHIO Invités 0 message
Posté(e)

Pendant les fêtes, Gérard Collomb ne fait aucun cadeau aux migrants

https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/pendant-les-fêtes-gérard-collomb-ne-fait-aucun-cadeau-aux-migrants/ar-BBHfdoO?li=BBoJvSH&ocid=UP21DHP

Pas de cadeaux aux migrants de notre bon socialo , qui vous remarquerez sur la photo est en train de priez:smile2:

 

 

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Membre, Chien Fou forumeur, 91ans Posté(e)
Promethee_Hades Membre 25 564 messages
91ans‚ Chien Fou forumeur,
Posté(e)
à l’instant, PINOCCHIO a dit :

Pendant les fêtes, Gérard Collomb ne fait aucun cadeau aux migrants

https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/pendant-les-fêtes-gérard-collomb-ne-fait-aucun-cadeau-aux-migrants/ar-BBHfdoO?li=BBoJvSH&ocid=UP21DHP

Pas de cadeaux aux migrants de notre bon socialo :D

Bonjour Pincchio, joyeux Noël

Bien oui c'est ça le vrai socialisme, faut pas en douter.

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Membre, Debout les morts..., 76ans Posté(e)
Anatole1949 Membre 37 572 messages
76ans‚ Debout les morts...,
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Quand ont voit le nombre d'édifices religieux catho dans le monde, le plus souvent vides...

Les 3 milliards de $$$$  (chiffre 2015) que l'église a dû débourser pour indemniser les victimes américaines de pédophiles par des ecclésiastiques (et je ne parle pas de tous les autres pays...).

Quand on entend les discours creux du pape, qui ne fait que dire ce que tout le monde sait, on pourrait lui demander à quoi servent ses prières, ses messes, etc ?

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Invité Vintage
Invités, Posté(e)
Invité Vintage
Invité Vintage Invités 0 message
Posté(e)
il y a 3 minutes, Promethee_Hades a dit :

Écouté oui par des catholiques, Entendu c'est une toute autre histoire, compris alors là c'est de la prospective, ou du vœux pieu, comme disait Jean Calvin l'enfer est pavé de bonnes intentions. Quand à économique, là c'est du pragmatisme et ce peut être le pavé de l'Ours.

Les associations catholiques sont présentes sur le terrain.

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