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La question des migrations en Europe ?

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Arn

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Membre, 62ans Posté(e)
Lionel59 Membre 3 948 messages
Maitre des forums‚ 62ans‚
Posté(e)
il y a 11 minutes, DroitDeRéponse a dit :

Si ce n'est pas de sa compétence, qui a la compétence de déterminer la juste part et combien ?

Vu que ça a un coût, il me semble que c'est à l'Assemblée et au Sénat de décider.

Modifié par Lionel59
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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 52ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 86 958 messages
52ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)
il y a 33 minutes, Lionel59 a dit :

Vu que ça a un coût, il me semble que c'est à l'Assemblée et au Sénat de décider.

C’est pourtant l’ofpra qui décide de qui relève du droit d’asile ou pas .Je ne crois pas qu’il y ait de loi instituant un tirage au sort . La juste part invoquée est une “part” , ce coût serait comparé à celui de nos voisins ? Comment ça marche ?

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Membre, 62ans Posté(e)
Lionel59 Membre 3 948 messages
Maitre des forums‚ 62ans‚
Posté(e)
il y a 56 minutes, DroitDeRéponse a dit :

C’est pourtant l’ofpra qui décide de qui relève du droit d’asile ou pas .Je ne crois pas qu’il y ait de loi instituant un tirage au sort . La juste part invoquée est une “part” , ce coût serait comparé à celui de nos voisins ? Comment ça marche ?

"Pour l’année 2017, l’Ofpra dispose d’un budget de 65 millions d'euros pour 2017 (37 millions en 2012) et compte 800 agents (475 en 2012)."

https://www.ofpra.gouv.fr/fr/l-ofpra/actualites/premiers-chiffres-de-l-asile-en-0

L'Ofpra est sous la tutelle du ministère de l'Intérieur.

La juste part, doit être celle que ce budget nous permet de prendre auquel il faut ajouter les Revenus de Solidarité Active versés.

Modifié par Lionel59
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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 52ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 86 958 messages
52ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)
il y a 6 minutes, Lionel59 a dit :

"Pour l’année 2017, l’Ofpra dispose d’un budget de 65 millions d'euros pour 2017 (37 millions en 2012) et compte 800 agents (475 en 2012)."

https://www.ofpra.gouv.fr/fr/l-ofpra/actualites/premiers-chiffres-de-l-asile-en-0

L'Ofpra est sous la tutelle du ministère de l'Intérieur.

La juste part, doit être celle que ce budget nous permet de prendre auquel il faut ajouter les Revenus de Solidarité Active versés.

Ce budget ne concerne pas les réfugiés, il s'agit du budget de fonctionnement . Quelle est la juste part ?

36000 personnes protégées l'année dernière . C'est une juste part ?

Modifié par DroitDeRéponse
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Invité Barbara lebol
Invités, Posté(e)
Invité Barbara lebol
Invité Barbara lebol Invités 0 message
Posté(e)

A propos de migration :

"Le triste constat d’une nuit d’horreur épouvantable à Budapest lors de la St Sylvestre, condamné par le parlement européen et pointé du doigt par le ministère de l’intérieur français:

- Agressions: 00
- Émeutes: 00
- Véhicules incendiés: 00
- Policiers blessés: 00
- Immigration: 00

Respect pour le peuple hongrois, dans la douleur et la souffrance, qui n’a pas l’opportunité de connaître les bienfaits et l’épanouissement d’une société chanceuse qu’est le «Vivre ensemble».

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Membre, 62ans Posté(e)
Lionel59 Membre 3 948 messages
Maitre des forums‚ 62ans‚
Posté(e)
il y a 11 minutes, DroitDeRéponse a dit :

Ce budget ne concerne pas les réfugiés, il s'agit du budget de fonctionnement . Quelle est la juste part ?

36000 personnes protégées l'année dernière . C'est une juste part ?

Vues notre situation économique et notre situation financière, c'est trop. La générosité à crédit ça ne dure pas éternellement. 

Modifié par Lionel59
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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 52ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 86 958 messages
52ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)
il y a 11 minutes, Lionel59 a dit :

Vues notre situation économique et notre situation financière, c'est trop. La générosité à crédit ça ne dure pas éternellement. 

Ce sont des réfugiés et non des migrants économiques , il y a donc situation d'urgence, ça ne me semble pas énorme . La juste part est encore un élément du génie français . Un mot , un "je vous ai compris" .

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
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Il y a 1 heure, DroitDeRéponse a dit :

Ce sont des réfugiés et non des migrants économiques , il y a donc situation d'urgence, ça ne me semble pas énorme . La juste part est encore un élément du génie français . Un mot , un "je vous ai compris" .

Et ça, ce n'est pas une situation d'urgence?

 

https://www.francetvinfo.fr/societe/droits-des-femmes/j-ai-ete-violee-70-fois-en-17-ans-de-rue-le-grand-tabou-des-agressions-sexuelles-sur-les-femmes-sdf_2345935.html

 

"Parce qu’on est invisible et en marge de la société, nos agresseurs pensent que notre corps est à leur disposition." Bras repliés sur le buste et ongles rongés, Martine*, une ancienne SDF, raconte l'enfer des femmes sans-abri. "J’ai été agressée sexuellement une dizaine de fois dans la rue", continue cette quinquagénaire. Le pire, selon elle, "c’est que ça devient normal, ça fait partie du quotidien". Il lui a fallu dix ans pour mettre des mots sur ce qui lui est arrivé. "Pour éviter de craquer, mon cerveau a décidé de faire comme si c'était normal."

"Environ une femme SDF sur trois a été agressée", explique Agnès Lecordier, présidente d'une fondation à son nom. L'association Entourage avance qu'une agression sexuelle sur une femme SDF a lieu toutes les huit heures en France. "En réalité, aucune étude n’a été faite sur le sujet, il est impossible d’avoir des chiffres", reprend Agnès LecordierMais tous les interlocuteurs contactés sont formels : les femmes en errance sont très fortement exposées aux agressions sexuelles et aux viols.

"On apprend à voir chaque homme comme un agresseur potentiel"

"Ici, toutes les femmes ont été confrontées à ce type de violences", affirme Quentin Le Maguer, le responsable d’un centre d’hébergement d’urgence au Samu social de Paris.

Ces femmes sont plus vulnérables car en marge de la société. Leur non-existence légale en fait des proies pour les agresseurs.

Quentin Le Maguer

à franceinfo

"Les agressions dans la rue, cela va du père de famille qui essaie de vous violer pendant que vous dormez au réseau mafieux qui monnaye un coin de trottoir", soupire Martine. Elle se souvient d’une adolescente ukrainienne, âgée de 15 ans à peine, qui devait chaque soir se soumettre à un homme pour pouvoir faire la manche le lendemain sans être violentée. "On apprend à voir chaque homme comme un agresseur potentiel." 

La première fois qu’elle-même a été agressée, Martine avait 22 ans. En rupture familiale, elle passait ses premières nuits dehors, réfugiée sous un Abribus : "L’employé d’un hôtel proche est sorti et m’a proposé de passer la nuit dans une chambre inoccupée, j’ai compris trop tard de quoi il s’agissait." Meurtrie, elle refuse d’en dire plus. Ses lèvres tremblent et son regard se pose sur son café.

"On ne parle des SDF que quand il fait froid..."

"J'ai été violée 70 fois en 17 ans de rue", confie Anne Lorient, ancienne SDF, qui raconte son calvaire dans Mes années barbares (éd. La Martinière), co-écrit avec la journaliste Minou Azoulai.

J'ai été violée par d'autres sans-abri mais aussi par des hommes avec un domicile, qui m'ont dit que j'étais moins chère qu'une prostituée.

Anne Lorient

à franceinfo

"Certaines femmes passent des accords pour avoir accès à un hébergement", note Karine Boinot, psychologue clinicienne et auteure d’une thèse sur la souffrance psychique des personnes sans-abri. “Des femmes qui ont effectué un parcours migratoire arrivent souvent en France sans repères et ne maîtrisent pas la langue, fait aussi remarquer Quentin Le Maguer. Elles se retrouvent hébergées par des réseaux, prostituées de force ou dans des situations d’esclavage moderne chez des particuliers."

Ces agressions quotidiennes se déroulent dans l’indifférence générale. "Le grand public n’est pas du tout au courant de cette réalité. On ne parle du quotidien des SDF que quand il fait froid dehors", soupire le responsable de centre d'hébergement d'urgence. Selon le dernier recensement de l’Insee, qui date de 2012, 38% des personnes sans-abri sont des femmes. Un chiffre relativement peu connu.

De la difficulté de porter plainte pour les victimes

Le 6 août dernier, Elvire boit un verre avec deux amies, sur une place du premier arrondissement de Marseille. La jeune femme met plusieurs minutes avant de réaliser qu’une personne SDF est en train de se faire violer, sous ses yeux. "Parce qu'ils semblaient SDF, personne n'y prêtait attention", se souvient-elle, encore choquée d’avoir assisté à cette scène en plein après-midi. "C’est une indifférence au sort des SDF qu’on a accepté dans le paysage", souffle Agnès Lecordier. 

Une absence d’existence qui empêche les victimes de porter plainte : "Une personne ne peut pas parler de ses souffrances quand elle a perdu confiance dans la société", analyse Samuel Coppens, le porte-parole de l’Armée du salut. "Elles vivent avec la peur de ne pas être crues, certaines ont peur d’avoir une responsabilité dans ce qui leur arrive", se désole-t-il.

Pour Karine Boinot, il existe une défiance envers les autorités. "Moi les policiers, je leur crache dessus", s’emporte Marie, une femme SDF, près de la gare de Lyon, à Paris. "Ils n'ont jamais rien fait pour m’aider, je pourrais crever, ils ne s’approcheraient pas !" Anne Lorient a porté plainte une dizaine de fois et fait une expérience amère : 

C'est très dur de porter plainte, les SDF ne sont pas les bienvenues dans les commissariats. Ce sont les hôpitaux qui m'ont reçue qui ont souvent porté plainte à ma place.

Anne Lorient

à franceinfo

Contactées à ce sujet, la préfecture de police et l’Assistance publique des hôpitaux de Paris ont simplement expliqué à franceinfo ne pas avoir de données sur les personnes non logées.

Des menaces jusque dans les centres d'hébergement d'urgence

De nombreuses femmes développent des stratégies pour échapper à leurs agresseurs. "Dès qu’un mec s’approche, je m’urine dessus pour le faire fuir", raconte Marie d’un haussement d'épaules. "Parfois, cela ne suffit pas." Elle hausse à nouveau les épaules. Cela fait bien longtemps, dit-elle d’un air détaché, qu’elle ne ressent plus rien. "Une grande partie de leur énergie est dépensée pour se protéger", remarque Agnès Lecordier. "Certaines dorment le jour à proximité des lieux sécurisés, comme les gares. L’important, c'est de sentir qu’il y a du monde." La nuit, elles marchent ou restent dans les bus. "D’autres se regroupent entre elles ou se mettent sous la protection d'hommes."

Les travailleurs sociaux interrogés s'accordent sur un cas : celui des femmes qui vivent dans la rue depuis trop longtemps. "Au bout d’un moment, elles renoncent à l'hygiène et à la propreté", alerte Agnès Lecordier. "Elles disent 'tant pis' pour leur corps. S’entourent d’immondices pour se protéger des hommes." A ce stade-là, il devient difficile de se reconstruire : "Elles sont inaccessibles, se protègent à l'extrême."

Les centres d'hébergement d’urgence, qui accueillent ces femmes pour une courte durée, ne sont pas sans risque pour elles.

Elles refusent d’aller dans des centres d'hébergement mixtes, car elles ne se sentent pas en sécurité. Il y a eu des viols à l’intérieur même de ces 'refuges'.

Agnès Lecordier

à franceinfo

Certains centres sont réservés aux femmes. "Mais il y en a très peu. Seulement quatre ou cinq à Paris", accuse Agnès Lecordier. Pourtant, cela semble à certains travailleurs sociaux indispensable pour se reconstruire. "Retrouver confiance, pour ces femmes, passe par le fait qu’il n’y ait pas de menace. Et l’homme, pour une femme victime d’agression, est forcément une menace", argue Samuel Coppens.

Quentin Le Maguer dirige l’un d’entre eux, situé dans un ancien hôpital de banlieue parisienne. Les murs sont joliment peints en pastel, des dessins d’enfants égayent les murs. Chaque semaine, un gynécologue et un psychologue discutent avec les femmes hébergées, principalement des migrantes. "Les héberger ici, c’est réduire les risques de la rue, éviter les populations dangereuses pour elles", explique le directeur. Mais, de son propre aveu, les places sont rares.

"Tous les efforts ont été faits sur le bâti"

Pourtant, pour Karine Boinot, la reconstruction de ces femmes passe par la fixation dans un lieu de vie et le suivi psychologique. "C’est un long processus, souffle-t-elle. Certaines sont aidées par les rencontres qu’elles peuvent faire, des bénévoles et des professionnels." Mais toutes ne peuvent être prises en charge dans ces structures. "La prise en charge, quand il y en a une, n’est pas la même partout, nuance une source anonyme. Certains centres se contentent de fournir des lits, sans considération aucune pour la dimension psychologique." Les centres d'hébergement sont gérés par des associations, elles-mêmes financées par l’Etat ou les dons.

"Au Samu social, vu le budget qui nous est alloué par l’Etat, on ne peut pas financer des groupes de parole ou un suivi psychique. On est obligé de se tourner vers des dons", regrette Quentin Le Maguer. Il déplore que cette reconstruction après les agressions ne soit pas la priorité de l’Etat. "Tous les efforts ont été faits sur le bâti au détriment du cadre humain", abonde Samuel Coppens. Pourtant, difficile de s’en sortir pour ces femmes "abîmées", "en morceaux", sans que leur souffrance soit prise en compte.

* Le prénom a été changé

))))))))))))))))))))))))))))))))))

Mon avis.

Des années que ça dure, et bien avant que les "migrants arrivent" il y a de la misère qui passe mieux politiquement.

Le migrant est plus facile à instrumentaliser.

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
Il y a 23 heures, DroitDeRéponse a dit :

Quel rapport avec le droit d’asile ?

:crazy:

 

Mais tout!

On parle d'hébergement et d'héberger des migrants quand depuis des années bien avant leur arrivée on a jamais réussi à régler le problème;

A croire que ceux ci passent avant les plus anciens.

Bon pour certains c'est certain;

Si nous n'avions pas déjà de gens à la rue, on pourrait y croire, mais là.....encore de la flute!

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 52ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 86 958 messages
52ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)
Il y a 2 heures, PASCOU a dit :

Mais tout!

On parle d'hébergement et d'héberger des migrants quand depuis des années bien avant leur arrivée on a jamais réussi à régler le problème

Vous devriez mieux connaître la France . Elle accorde le droit d’asile depuis bien longtemps . Russes, espagnols , ..., 

Il y a 2 heures, PASCOU a dit :

;

A croire que ceux ci passent avant les plus anciens.

Bon pour certains c'est certain;

Si nous n'avions pas déjà de gens à la rue, on pourrait y croire, mais là.....encore de la flute!

Vous en jouez assez mal .

 

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
Il y a 10 heures, DroitDeRéponse a dit :

Vous devriez mieux connaître la France . Elle accorde le droit d’asile depuis bien longtemps . Russes, espagnols , ...,

.......Ou l'art de parler pour ne rien dire.

Il y a 10 heures, DroitDeRéponse a dit :

 

Vous en jouez assez mal .

......

Tout le monde n'a pas votre talent.

 

 

 

 

 

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Membre, Posté(e)
Eveil Membre 2 825 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

La politique migratoire européenne en procès

Le tribunal d’opinion, Le Tribunal Permanent des Peuples, créé il y a quarante ans, est appelé à se prononcer sur l’accusation de complicité de crime contre l’humanité portée contre les dirigeants de l’Union européenne les vendredi 04 et samedi 05 janvier 2018. Le verdict sera rendu dimanche 07 janvier 2018 lors du festival de l'immigration et de la tricontinentale.

En écoute :

https://www.franceinter.fr/emissions/le-focus-de-la-semaine/le-focus-de-la-semaine-06-janvier-2018

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Membre, Posté(e)
Eveil Membre 2 825 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
Le 06/01/2018 à 17:26, Eveil a dit :

La politique migratoire européenne en procès

Le tribunal d’opinion, Le Tribunal Permanent des Peuples, créé il y a quarante ans, est appelé à se prononcer sur l’accusation de complicité de crime contre l’humanité portée contre les dirigeants de l’Union européenne les vendredi 04 et samedi 05 janvier 2018. Le verdict sera rendu dimanche 07 janvier 2018 lors du festival de l'immigration et de la tricontinentale.

En écoute :

https://www.franceinter.fr/emissions/le-focus-de-la-semaine/le-focus-de-la-semaine-06-janvier-2018

L'acte d'accusation :

https://intercoll.net/IMG/pdf/acte_d_accusation_tpp_24-12-1-1.pdf

Aujourd'hui le verdict : "Session sur les violations des droits des personnes migrantes et réfugiées - Janvier 2018 - Présentation de la sentence par Philippe Texier, président du jury "

 

Modifié par Eveil
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Membre, Couillon de première, 70ans Posté(e)
Arn Membre 3 801 messages
70ans‚ Couillon de première,
Posté(e)
Le 03/01/2018 à 23:35, DroitDeRéponse a dit :

https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/jattends-un-geste-fort-envers-les-migrants-le-médecin-qui-avait-refusé-la-légion-dhonneur-reçu-à-lelysée/ar-BBHPCS3?li=BBwlBpb&ocid=spartanntp

 

franceinfo : À l'issue de ce rendez-vous à l'Élysée, persistez-vous à refuser la Légion d'honneur ?

Raphaël Pitti : Oui, pour l'instant. Je suis tout à fait d'accord avec le discours du président de la République du 31 décembre sur le fait qu'il nous faut accueillir de manière digne les migrants qui viennent se réfugier dans notre pays. Cependant, au mois de décembre, on a vu le ministre de l'Intérieur plutôt promouvoir des circulaires qui étaient répressives envers cette population. Comme conseiller municipal à Metz, je suis obligé de constater les conditions inhumaines dans lesquelles sont accueillies ces personnes-là. Il y a donc un double discours, celui du président, plutôt humaniste vis-à-vis de cette population, et celui du ministre de l'Intérieur qui ne voit que l'aspect sécuritaire, avec tout ce qu'il y a de répressif envers ces personnes. C'est inacceptable.

Cela veut dire que ce rendez-vous n'a rien changé ?

Si. Le fait, d'abord, de reconnaître que les conditions sont indignes et qu'il faut pouvoir y apporter rapidement une réponse, c'est un fait acquis. Deuxièmement, le fait qu'il y ait une nécessité sécuritaire n'échappe à personne, surtout dans la situation de lutte contre le terrorisme dans laquelle nous sommes. Il y a donc une cohérence à trouver en ce qui concerne l'accueil des migrants, qui entrevoit à la fois un accueil tout à fait humaniste, humanitaire et digne de cette population, et à la fois des aspects sécuritaires (...). Le dossier a été retiré des mains du ministre de l'Intérieur pour être remis au Premier ministre. Il a commencé des entretiens avec les différentes grandes associations de notre pays pour essayer d'entrevoir quelle serait la réponse à apporter par rapport à ce problème.

Pensez-vous que cette reprise en main du dossier par le Premier ministre va changer les choses ?

Je l'espère ! Le discours du chef de l'État du 31 décembre, le fait que le Premier ministre ait pris le dossier à son compte et commence les concertations avec les grandes associations de solidarité de notre pays, tout ça laisse penser qu'on va rapidement trouver des solutions pour l'accueil.

Y avait-il un problème de cohérence dans le gouvernement sur ce dossier d'après vous ?

Il y avait manifestement un problème de cohérence. C'est au président de donner les grandes orientations politiques et le Premier ministre en assure l'exécution. Or, manifestement, il y avait un problème. Ce qui a choqué, c'est de voir apparaître d'un seul coup ce côté purement sécuritaire vis-à-vis de l'accueil des migrants alors que ce n'était pas le discours du président de la République.

Qu'attendez-vous du gouvernement après cette rencontre ?

J'attends un geste fort en ce qui concerne l'accueil de manière très digne de toutes les personnes qui rentrent dans notre pays et viennent demander l'asile. Ce qui me paraît vraiment très important - et on en a convenu - c'est que la problématique des migrants ne peut pas être gérée essentiellement par le ministère de l'Intérieur. Il faut qu'une personne s'occupe de ce dossier-là et soit missionnée pour mettre en place une structure interministérielle, de manière à entrevoir toutes les problématiques d'intégration, que ce soit le logement, l'éducation, la santé, la formation... Il y a nécessité d'entrevoir d'une manière totalement globale ces migrants, tout en sachant qu'il faut que nous ne prenions que la juste part de ce que la France est capable de prendre comme migrants aujourd'hui. Il reste au président de la République à déterminer ce que nous pouvons faire dans l'immédiat, et de manière urgente, pour accueillir dignement les personnes qui se présentent.

==============================================

L'enfer se niche dans les détails . C'est quoi la juste part ?

A près l'homo sapiens, Droit de bêtise à inventer l'homo inutilus!!

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 52ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 86 958 messages
52ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)
il y a 29 minutes, Arn a dit :

A près l'homo sapiens, Droit de bêtise à inventer l'homo inutilus!!

Et à part ça c’est quoi la juste part ?

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Membre, Couillon de première, 70ans Posté(e)
Arn Membre 3 801 messages
70ans‚ Couillon de première,
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à l’instant, DroitDeRéponse a dit :

Et à part ça c’est quoi la juste part ?

Lol

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 52ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 86 958 messages
52ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)
il y a une heure, Arn a dit :

Lol

Vous pensez que ce médecin ong ne devrait pas évoquer une juste part ?

 

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Membre, Couillon de première, 70ans Posté(e)
Arn Membre 3 801 messages
70ans‚ Couillon de première,
Posté(e)
il y a 34 minutes, DroitDeRéponse a dit :

Vous pensez que ce médecin ong ne devrait pas évoquer une juste part ?

 

Gazou

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 52ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 86 958 messages
52ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
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il y a 33 minutes, Arn a dit :

Gazou

Ah apparemment la question de la juste part est tabou . On peut en parler mais en mode flou . Ça va donc de zéro à 10 millions on ne saura pas . La France doit prendre sa juste part epicetou .

 

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