Un préfet demande aux travailleurs sociaux de « lister » les personnes hébergées d’urgence

Pour moi c'est simple,on ne dénonce pas et puis c'est tout!

il y a 3 minutes, Barbara lebol a dit :

Les travailleurs sociaux exercent leur métier au sein d'une structure ; ils sont en charge d'argent public et doivent rendre des comptes aux municipalités et au préfet.

 pas que de l'argent publique !!

les dons, les actions (loto, concerts, ventes de babioles en tous genres, etc..) entrent aussi dans certains budget de nombreuses assos !

il y a 3 minutes, Barbara lebol a dit :

Prétexter le "secret professionnel" pour les travailleurs sociaux, c'est se défausser de leurs responsabilités.

non !

nous avons comme l'un des principes fondateurs le secret pros afin de respecter les humains que nous aidons ! je parle là aussi bien des droits communs que des autres !

si on commence à remettre en cause ce secret pros, ce sera ensuite celui des professions de santé, ceux des journalistes etc....

c 'est la porte ouverte à toutes les déives

il y a 3 minutes, Barbara lebol a dit :

Que l'argent public soit dépenser sans contrôle, ce n'est pas le voeu d'une majorité de Français.

quel rapport avec le secret pros ??

 chaque assos est contrôlée sans cesse !

beaucoup plus que les pros de la politiques, que les patrons, etc.....

Nous sommes dans un état de droit. On ne lâche pas les gens dans la nature sans savoir qui ils sont. Même, nous, Français sommes recensés.

Dire "on ne dénonce pas" c'est irrationnel !

Je donne de l'argent au CASP ( centre d'action sociale protestant) et je ne souhaite pas que mon pognon serve à payer des gens qui feraient de la délation d'ailleurs connaissant la moralité des protestants je ne suis pas trop inquiet l'histoire parle pour eux!!

à l’instant, Barbara lebol a dit :

Nous sommes dans un état de droit. On ne lâche pas les gens dans la nature sans savoir qui ils sont.

heu on parle bien sur ce topic de la demande d'un préfet de dénoncet des gens dans des centres d'hébergements ??

 

Même, nous, Français sommes recensés.

Dire "on ne dénonce pas" c'est irrationnel !

c 'est de la déontologie !!!

à l’instant, Caravage a dit :

Je donne de l'argent au CASP ( centre d'action sociale protestant) et je ne souhaite pas que mon pognon serve à payer des gens qui feraient de la délation d'ailleurs connaissant la moralité des protestants je ne suis pas trop inquiet l'histoire parle pour eux!!

Blabla blabla

il y a 3 minutes, Caravage a dit :

Pour moi c'est simple,on ne dénonce pas et puis c'est tout!

 

            

Citation

Leur préfet, Pierre Lambert, leur demandait ni plus ni moins de lister chaque mois les personnes prises en charge dans l’hébergement d’urgence du département, où sont accueillies pour quelques jours ou des années les SDF, sans distinction de nationalité, et de faire parvenir les informations à ses services.

c'est quoi ? gérer ou dénoncer ? .....Si cette gestion était limpide le préfet n'aurait sans doute pas besoin de savoir comment est dépensé l'argent public ...

ce préfet se pose peut être aussi des questions sur le peu d'efficacité de l'hébergement d'urgence ....le but n'est pas de moins aider mais de mieux aider ...

il y a 1 minute, Barbara lebol a dit :

Nous sommes dans un état de droit. On ne lâche pas les gens dans la nature sans savoir qui ils sont. Même, nous, Français sommes recensés.

Dire "on ne dénonce pas" c'est irrationnel !

                   Pour moi ce n'est pas négociable pour des lieux d'acceuil c'est comme l'ancien droit d'asile des églises !!

à l’instant, Caravage a dit :

Je donne de l'argent au CASP ( centre d'action sociale protestant) et je ne souhaite pas que mon pognon serve à payer des gens qui feraient de la délation d'ailleurs connaissant la moralité des protestants je ne suis pas trop inquiet l'histoire parle pour eux!!

ho que oui !!!

j'ai, moi, un respect total pour la CIMADE, son histoire , ses actions depuis la seconde guerre mondiale jusqu'a nos jours !

et c 'est un anar qui le dit !

il y a 1 minute, Barbara lebol a dit :

Blabla blabla

                Non justement pas de blabla!du silence

à l’instant, Caravage a dit :

                   Pour moi ce n'est pas négociable pour des lieux d'acceuil c'est comme l'ancien droit d'asile des églises !!

Personne n'est au-dessus des lois et personne ne décide à la place de ceux qui ont un mandat pour décider. Sinon c'est l'anarchie !

il y a 2 minutes, stvi a dit :

 

c'est quoi ? gérer ou dénoncer ? .....Si cette gestion était limpide le préfet n'aurait sans doute pas besoin de savoir comment est dépensé l'argent public ...

ce préfet se pose peut être aussi des questions sur le peu d'efficacité de l'hébergement d'urgence ....le but n'est pas de moins aider mais de mieux aider ...

tu sais que selon mes idées et selon mes expériences pros, je suis certains que les centres d'hébergement ne sont qu'un pansement sur une jambe de bois !

ce qui serait  le must c'est le logement d'abord, plus de moyens pour la prévention, le soutien envers les familles ayant de très nombreuses difficultées non seulement financières mais aussi de logement décent, de problèmes psy, de problèmes sociaux etc cie !!

un petit truc à lire =

http://www.gouvernement.fr/bruxelles-conference-sur-le-logement-d-abord-en-europe-5353

mais ce n'est pas le sujet du topic !

il y a 5 minutes, Barbara lebol a dit :

Personne n'est au-dessus des lois et personne ne décide à la place de ceux qui ont un mandat pour décider. Sinon c'est l'anarchie !

heu tu nous parles là des multinationales genre google, fessebouc, amazone, coca cola et cie ???

il y a 5 minutes, grandfred a dit :

sais que selon mes idées et selon mes expériences pros, je suis certains que les centres d'hébergement ne sont qu'un pansement sur une jambe de bois !

forcément puisque c'est une politique d'urgence ...En revanche il n'est pas interdit d'avoir une vision différente et réserver un parc immobilier digne de 150.000 logements uniquement dédiés à cette priorité avec une gestion serrée et transparente...

je suis persuadé que ça n'arrangerait que l es  bénéficiaires ,mais surtout pas les gestionnaires ...

il y a 10 minutes, stvi a dit :

forcément puisque c'est une politique d'urgence ...En revanche il n'est pas interdit d'avoir une vision différente et réserver un parc immobilier digne de 150.000 logements uniquement dédiés à cette priorité avec une gestion serrée et transparente...

oui !

il y a 10 minutes, stvi a dit :

je suis persuadé que ça n'arrangerait que l es  bénéficiaires ,mais surtout pas les gestionnaires ...

 

les assos seraient totalement ravies !!!

par contre les marchands de sommeil avec leurs boui boui qui reçoivent l’appellation hôtel feraient bien la gueule !

une petite précision = ce sont les 115 de chaque départements qui orientent dans les hôtels lorsque les centres d'hébergements sont  surchargés ! soit tout long de l'année !

hors vigilance orange et rouge ( questions de température !) c 'est le préfet qui valide ou pas de très nombreuses orientations à l'hôtel dans mon coin ! hors Femmes victimes de violence, droits communs avec enfants  !!

Il y a 22 heures, frunobulax a dit :

Les travailleurs sociaux sont des salariés comme les autres.
Ils sont donc tenus de respecter les consignes de leurs employeurs, pour la plupart des associations qui sont évidemment financièrement très dépendantes de l'Etat.

Mais ces demandes mettent évidemment en "difficulté" les (nombreuses) associations (Secours Catholique, Emmaüs, Aurore, etc.) pour qui l'inconditionnalité de l'accueil est une règle de base faisant quasi partie de leur ADN.

Ceci dit, si les "grosses" associations ne peuvent se passer de l'Etat, l'Etat ne peut pas non plus se passer de ces associations, à elle a totalement "refilé" la lourde problématique d'accueillir, accompagner et héberger les plus démunis.

Si un "bras de fer" entre l'Etat et les associations s'engage sur l’inconditionnalité de l'accueil, difficile de deviner qui cédera ...

Tout dépend du travailleur social mais l'assistant social est tenu au secret professionnel de par sa profession. Il n'est même pas tenue de donner certaines informations à son employeur. Dans la fonction publique, par exemple dans les centres d'action social c'est les Mairies qui sont employeurs, en aucun cas l'assistante sociale n'a de compte à rendre sur les suivis sociaux....c'est la version officielle....certaines Mairies détournent ce droit mais elles sont dans l'illégalité. Les Mairies ont le droit de connaître les statistiques mais jamais l'identité des personnes suivies ni les détails les concernant. Les employeurs posent le cadre comme les horaires, les restrictions budgétaires, ce genre de trucs mais le suivi social c'est confidentiel.

il y a une heure, Caravage a dit :

Je donne de l'argent au CASP ( centre d'action sociale protestant) et je ne souhaite pas que mon pognon serve à payer des gens qui feraient de la délation d'ailleurs connaissant la moralité des protestants je ne suis pas trop inquiet l'histoire parle pour eux!!

Je suis du même avis les protestants et les juifs ont un sens moral beaucoup plus sain que dans les autres religions.

il y a 1 minute, eclipsepartielle a dit :

Je suis du même avis les protestants et les juifs ont un sens moral beaucoup plus sain que dans les autres religions.

hum

que j'aime pas ce genre de généralités !

chaque individu est unique !

sa ""religion"" n'est qu'une partie de sa personnalité !

on trouve des salauds et des gens biens  parmi  les croyants ou les  athées !!

extrait

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Tandis que la Cimade (Comité Inter Mouvements Auprès Des Évacués)publiait il y a quelques jours une synthèse des données récentes sur l’asile en France, montrant que le pays va vers une généralisation des expulsions vers des pays en guerre et vers des dictatures, une vingtaine d’associations de lutte contre les expulsions ont exprimé vendredi dernier leur net refus de collaborer avec le gouvernement.

....(....)...

Et vendredi dernier, le gouvernement a franchi un nouveau pas vers l’indécence et vers une politique répressive envers les sans-papiers. Lors d’une réunion entre une vingtaine d’association dont Emmaüs, la Cimade ou encore Médecin du Monde, avec Gérard Collomb et Jacques Mézard, les ministres ont expliqué par le biais d’une circulaire qu’ils allaient permettre à des équipes mobiles de l’Office Français de l’Immigration et de l’Intégration (Ofii) le contrôle d’identité des personnes logées dans les centres d’hébergement d’urgence, pour exclure les personnes sans-papiers et prioriser les personnes étant en situation régulière.

Un élément de plus qui coïncide avec le tournant ultra-répressif qu’est en train de prendre le gouvernement envers les migrants : depuis le 1eroctobre, 46 sites regroupant des abris de fortune ont été détruits par la police à Calais. A cela s’ajoute la demande par circulaire du ministre de l’intérieur aux préfets le 20 novembre dernier de s’occuper avec « fermeté » et « efficacité » de la traque des migrant

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http://www.revolutionpermanente.fr/Le-prefet-demande-aux-associations-de-denoncer-les-sans-papiers?utm_content=bufferb7288&utm_medium=social&utm_source=facebook.com&utm_campaign=buffer

http://www.alternativelibertaire.org/?Site-Internet-Revolution#nh1

Site web : Révolution permanente

il y a 4 minutes, PASCOU a dit :

http://www.alternativelibertaire.org/?Site-Internet-Revolution#nh1

Site web : Révolution permanente

28 août 2016 par Commission Journal (mensuel) / 5763 vues

 

 

 

Depuis quelque temps on voit fleurir sur les réseaux sociaux les articles du site Révolution permanente, qui se proclame « nouveau site d’information d’extrême gauche ». Mais est-il vraiment pertinent ?

Ce site est réalisé par le CCR (Courant communiste révolutionnaire) du NPA, un courant fortement lié au Partido de los trabajadores socialistas (PTS) argentin, et dont le site Internet sert d’ailleurs de modèle à Révolution Permanente [1]. Le PTS est une des nombreuses scissions du Movimiento al Socialismo, créé par la figure tutélaire du trotskysme argentin Nahuel Moreno, qui passa sa vie à osciller selon les opportunités entre lambertisme, sandinisme et péronisme de gauche.

Le site Révolution permanente est surtout la vitrine du CCR. Il fait preuve d’un activisme sans relâche, d’une lutte à l’autre, faisant parfois d’un fait divers un fait politique, ne reculant ni devant les titres et images racoleurs, ni les sources douteuses. Dernièrement, il n’a pas hésité à reprendre sans critique le communiqué de la préfecture de police de Paris, qui insinuait un accord des organisations syndicales pour que des CRS encadrent le carré de tête, communiqué qui a abouti à l’attaque des services d’ordre syndicaux lors de la manifestation du 17 mai à Paris.

De fait, la rupture avec les directions syndicales est un axe politique central, un leitmotiv pour ce courant, quitte à relayer l’intox policière. Pour le CCR et pour d’autres courants léninistes dogmatiques, les syndicats ne sont qu’un premier stade de conscience de classe, incapables de politiser la lutte. Seul le parti peut le faire, en organisant les masses à travers des comités de lutte créés pour l’occasion.

Une analyse faussée du mouvement sur la loi Travail

Force est de constater que ce discours est déconnecté des réalités de la mobilisation actuelle, où la principale difficulté n’est pas tant l’obstruction des directions syndicales que le manque d’équipes syndicales combatives et la résignation des salarié-e-s. Par conséquent créer des comités de lutte ne résoudrait rien, ils sont utiles dans un contexte de généralisation de la grève, mais ne sauraient en être à l’origine.

De son côté le syndicalisme, comme tout outil de lutte en période non révolutionnaire, est traversé par une contradiction entre volonté de rupture et tendance au compromis social et à la bureaucratisation. Pour autant, l’immense majorité des travailleuses et travailleurs combatifs y sont organisé-e-s, et être au plus près du prolétariat, c’est y militer activement.

Refusant la division héritée de la social-démocratie entre syndicat (cantonné à l’entreprise) et parti politique, nous défendons au contraire un syndicalisme révolutionnaire, où les salarié-e-s portent les revendications immédiates et un projet politique de transformation sociale, double besogne décrite dans la charte d’Amiens en 1906. En ce sens, les syndicats doivent réaliser l’unité de classe par-delà les appartenances politiques des uns ou des autres.

Nous refusons donc le fonctionnement syndical en tendances, qui retraduit les oppositions entre courants politiques au lieu de mettre au centre les orientations syndicales.

Martial (AL St Denis) et Grégoire (AL Orléans

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Un journal bien engagé quand même donc peu fiable.

et le rapport avec le topic ??,

c 'est toi qui donne des leçon de source fiable ?,

en utilisant, comble de l'ironie !, une source d'anar ??? toi qui n'a cesse sur ce forum d'oser écrire que les anars, les black blocs et autres révoltés sont les complices et du medef et de ses larbins = les r, le ps, les LREM  auquels j'ajoute le fhaine !!

ne vas pas faire dévier ce topic afin de le faire fermer, comme tu as l'habitude !!