La clinique suisse qui soigne les addictions au sexe

Rares sont les établissements dédiés au traitement des addictions sexuelles. À Genève, la clinique Belmont soigne les «sex addicts» au même titre que les alcooliques ou les cocaïnomanes.

En France, des consultations sont dédiées à cette intrigante addiction, mais pas d'hospitalisation en vue pour ce seul motif. En Suisse, à Genève, la clinique Belmont (1), qui nous a ouvert ses portes, accueille des patients souffrant d'une dépendance au sexe. Ils sont soignés avec et comme les autres dépendants (drogues, alcool, jeux, troubles du comportement alimentaire…). 

Ils souffrent bel et bien d'«un comportement sexuel répétitif et multi-supports (rapports sexuels, pornographie, webcam...) qui entraîne une perte de contrôle, de temps, et des répercussions sur la vie de couple, de famille, le travail, voire des conséquences physiques (blessures péniennes et clitoridiennes)...» Ces personnes dépendantes sont parasitées par des pensées sexuelles obsédantes, démesurées et incontrôlables. Pour eux, le sexe n'est plus une source de plaisir mais un objet destiné à lutter contre une souffrance. Autrement dit, une drogue.

http://madame.lefigaro.fr/societe/reportage-clinique-belmont-suisse-addictions-sexe-cure-desintox-021117-135051

Chacun gère son mal être comme il peut . Je pense que les pires des automutilations sont celles qui sont pratiquées sur nos parties génitales .

Oui les automutilations sont aussi une drogue.

Si on a envie de conclure, on saura au moins ou il faut aller!

Il y a 4 heures, Virtuose_en_carnage a dit :

Si on a envie de conclure, on saura au moins ou il faut aller!

Tu parles !   Il n'y a aucunes femmes la dedans.

il y a une heure, swam a dit :

Tu parles !   Il n'y a aucunes femmes la dedans.

Bien sûr qu'il y en a. Si tu avais ouvert le lien tu le saurais.

C'est un rappel ! J'ai vu un reportage il y a  20 ans sur ces cliniques aux USA.

Il pouuraient appeler ce lieu autrement que clinique quand même...

Il y a 4 heures, ping a dit :

Il pouuraient appeler ce lieu autrement que clinique quand même...

Pourquoi ? C'est une addiction. Elle se manifeste très fréquemment lors de cas d'abus sexuels très jeune. Ca devient une "compulsion" comme on appelait encore ça il y a longtemps. Qu'aujourd'hui qu'on en fasse une addiction traitée en clinique spécialisée, je trouve ça très bien. Les cliniques psychiatriques lambda sont nulles là dessus, c'est bien qu'il y ait des professionnels qui se spécialisent là dedans. Ca pourra peut être éviter d'autres déviances... d'avoir des professionnels qui, dès l'adolescence peuvent traiter le truc de "je couche avec tout le monde ça me nourrit", alors que c'est un tabou fini dans les cliniques lambda.