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Frederic Lefebvre : la lettre à charge écrite au parti LR


DroitDeRéponse

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 52ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 89 014 messages
52ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)

https://news.sfr.fr/actualites/politique/vous-m-avez-moleste-la-lettre-de-demission-de-frederic-lefebvre-du-parti-lr-1181754.html

 

EXCLUSIF. "Je ne compte plus les moments de honte". Dans un long courrier plein d'amertume adressé à LR que L'Express s'est procuré, Frédéric Lefebvre s'explique.

"Je quitte les Républicains". Quelques jours après le premier tour -anticipé- des élections législatives, le député sortant de la première circonscription des Français de l'étranger quitte son parti politique. Il en a fait l'annonce ce jeudi matin sur FranceInfo.

Distancé de plus de 40 points par son concurrent de La République En Marche, l'ancien secrétaire d'Etat a adressé ce jeudi un courrier à sa direction pour en détailler les motivations. L'Express s'est procuré en exclusivité le document et en publie la teneur.

"J'ai adhéré au RPR à l'âge de 17 ans, devenu ensuite l'UMP puis enfin les Républicains. J'ai épousé la logique du rassemblement défendue inlassablement par le mouvement gaulliste", commence-t-il par rappeler, avant de détailler son parcours politique.

"Je ne compte plus les moments de honte"

C'est plein d'amertume que Frédéric Lefebvre évoque ensuite le "gâchis" que lui inspirent les années Sarkozy. "Tous les voyants étaient au vert pour récréer de l'emploi et engager les réformes nécessaires (...) Quel gâchis. Une ouverture avortée, des réformes vite entravées par la crise, les premières défaites aux élections intermédiaires, avant l'échec à la présidentielle de 2012, après une campagne d'unijambiste sur la jambe droite."

Très critique, le député sortant dresse une longue liste des griefs opposés à son parti politique. Selon lui, le parti LR n'aurait répondu à la hausse du chômage et de la pauvreté que par de "l'invective systématique, de l'opposition stérile".

Il déplore des "combats d'arrière-garde pour plaire à une frange minoritaire mais totalement réactionnaire". L'obsession de son parti, selon lui, était de "mobiliser à tout prix, emboîter le pas du FN pour finir par le dépasser dans l'outrance." Frédéric Lefebvre dit ne plus compter "les moments de honte" vécus depuis quelques années à entendre la parole des uns et des autres.

 

............

Dur , réalité ou amertume ?

 

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Membre, Posté(e)
itsmeagain Membre 3 509 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

encore un qui va rejoindre en marche pour "l interet general"!!!

 

:yahoo::lol:

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Membre, 51ans Posté(e)
Crabe_fantome Membre 47 126 messages
Maitre des forums‚ 51ans‚
Posté(e)

Stratégiquement c'est peut être bon pour EM mais je n'ai pas l'impression que soit un cadeau...

 

 

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 52ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 89 014 messages
52ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)
il y a 59 minutes, itsmeagain a dit :

encore un qui va rejoindre en marche pour "l interet general"!!!

 

:yahoo::lol:

EM ne lui a pas donné l'investiture ...

Lire l'article

 

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Membre, Forumeur confit, Posté(e)
Enchantant Membre 16 669 messages
Forumeur confit,
Posté(e)
Il y a 2 heures, DroitDeRéponse a dit :

EXCLUSIF. "Je ne compte plus les moments de honte". Dans un long courrier plein d'amertume adressé à LR que L'Express s'est procuré, Frédéric Lefebvre s'explique.

Qu’une personne politique lambda soit déçue au regard de ses engagements et ses convictions, cela peut se comprendre.

Mais ignorer complètement que la présidence Sarkozy a été confronté à une crise économique majeure au début de son mandat, c’est un peu croire avec naïveté que le politique peut tout et serait responsable de tout et que toutes les idées ou promesses seraient complètement hors sol, insensible aux événements extérieurs qui dépassent largement nos frontières.

Hollande a cru et voulu nous faire croire qu’il était pour quelque chose dans la légère inversion de courbe en fin de son mandat, alors que c’est la chute des prix du gaz et du pétrole qui est la principale cause des quelques améliorations économiques observés.

Tout président, quel qu’il soit ne peut pas être totalement responsable des tempêtes ou accalmies

qui surviennent au cours de son mandat.

C’est dur à comprendre pour ceux qui s’imaginent que la politique peut tout, j’en conviens !

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Membre, 74ans Posté(e)
Morfou Membre 61 017 messages
Maitre des forums‚ 74ans‚
Posté(e)
Il y a 2 heures, DroitDeRéponse a dit :

https://news.sfr.fr/actualites/politique/vous-m-avez-moleste-la-lettre-de-demission-de-frederic-lefebvre-du-parti-lr-1181754.html

 

EXCLUSIF. "Je ne compte plus les moments de honte". Dans un long courrier plein d'amertume adressé à LR que L'Express s'est procuré, Frédéric Lefebvre s'explique.

"Je quitte les Républicains". Quelques jours après le premier tour -anticipé- des élections législatives, le député sortant de la première circonscription des Français de l'étranger quitte son parti politique. Il en a fait l'annonce ce jeudi matin sur FranceInfo.

Distancé de plus de 40 points par son concurrent de La République En Marche, l'ancien secrétaire d'Etat a adressé ce jeudi un courrier à sa direction pour en détailler les motivations. L'Express s'est procuré en exclusivité le document et en publie la teneur.

"J'ai adhéré au RPR à l'âge de 17 ans, devenu ensuite l'UMP puis enfin les Républicains. J'ai épousé la logique du rassemblement défendue inlassablement par le mouvement gaulliste", commence-t-il par rappeler, avant de détailler son parcours politique.

"Je ne compte plus les moments de honte"

C'est plein d'amertume que Frédéric Lefebvre évoque ensuite le "gâchis" que lui inspirent les années Sarkozy. "Tous les voyants étaient au vert pour récréer de l'emploi et engager les réformes nécessaires (...) Quel gâchis. Une ouverture avortée, des réformes vite entravées par la crise, les premières défaites aux élections intermédiaires, avant l'échec à la présidentielle de 2012, après une campagne d'unijambiste sur la jambe droite."

Très critique, le député sortant dresse une longue liste des griefs opposés à son parti politique. Selon lui, le parti LR n'aurait répondu à la hausse du chômage et de la pauvreté que par de "l'invective systématique, de l'opposition stérile".

Il déplore des "combats d'arrière-garde pour plaire à une frange minoritaire mais totalement réactionnaire". L'obsession de son parti, selon lui, était de "mobiliser à tout prix, emboîter le pas du FN pour finir par le dépasser dans l'outrance." Frédéric Lefebvre dit ne plus compter "les moments de honte" vécus depuis quelques années à entendre la parole des uns et des autres.

 

............

Dur , réalité ou amertume ?

 

Connerie!

Il n'a pas digéré son score...c'est la faute à Sarko...quel con....

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Membre, scientifique, Posté(e)
Répy Membre 23 402 messages
scientifique,
Posté(e)
Il y a 2 heures, DroitDeRéponse a dit :

https://news.sfr.fr/actualites/politique/vous-m-avez-moleste-la-lettre-de-demission-de-frederic-lefebvre-du-parti-lr-1181754.html

 

EXCLUSIF. "Je ne compte plus les moments de honte". Dans un long courrier plein d'amertume adressé à LR que L'Express s'est procuré, Frédéric Lefebvre s'explique.

"Je quitte les Républicains". Quelques jours après le premier tour -anticipé- des élections législatives, le député sortant de la première circonscription des Français de l'étranger quitte son parti politique. Il en a fait l'annonce ce jeudi matin sur FranceInfo.

Distancé de plus de 40 points par son concurrent de La République En Marche, l'ancien secrétaire d'Etat a adressé ce jeudi un courrier à sa direction pour en détailler les motivations. L'Express s'est procuré en exclusivité le document et en publie la teneur.

"J'ai adhéré au RPR à l'âge de 17 ans, devenu ensuite l'UMP puis enfin les Républicains. J'ai épousé la logique du rassemblement défendue inlassablement par le mouvement gaulliste", commence-t-il par rappeler, avant de détailler son parcours politique.

"Je ne compte plus les moments de honte"

C'est plein d'amertume que Frédéric Lefebvre évoque ensuite le "gâchis" que lui inspirent les années Sarkozy. "Tous les voyants étaient au vert pour récréer de l'emploi et engager les réformes nécessaires (...) Quel gâchis. Une ouverture avortée, des réformes vite entravées par la crise, les premières défaites aux élections intermédiaires, avant l'échec à la présidentielle de 2012, après une campagne d'unijambiste sur la jambe droite."

Très critique, le député sortant dresse une longue liste des griefs opposés à son parti politique. Selon lui, le parti LR n'aurait répondu à la hausse du chômage et de la pauvreté que par de "l'invective systématique, de l'opposition stérile".

Il déplore des "combats d'arrière-garde pour plaire à une frange minoritaire mais totalement réactionnaire". L'obsession de son parti, selon lui, était de "mobiliser à tout prix, emboîter le pas du FN pour finir par le dépasser dans l'outrance." Frédéric Lefebvre dit ne plus compter "les moments de honte" vécus depuis quelques années à entendre la parole des uns et des autres.

Voilà une confession qui apparaît sincère et bien vraie vue depuis l'extérieur.

on pourrait l'intituler : "tempête sous un crâne d'un ex dirigeant de l'UMP

A quand les autres confessions ?

 

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 52ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 89 014 messages
52ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)
Il y a 1 heure, Enchantant a dit :

Qu’une personne politique lambda soit déçue au regard de ses engagements et ses convictions, cela peut se comprendre.

Mais ignorer complètement que la présidence Sarkozy a été confronté à une crise économique majeure au début de son mandat, c’est un peu croire avec naïveté que le politique peut tout et serait responsable de tout et que toutes les idées ou promesses seraient complètement hors sol, insensible aux événements extérieurs qui dépassent largement nos frontières.

Hollande a cru et voulu nous faire croire qu’il était pour quelque chose dans la légère inversion de courbe en fin de son mandat, alors que c’est la chute des prix du gaz et du pétrole qui est la principale cause des quelques améliorations économiques observés.

Tout président, quel qu’il soit ne peut pas être totalement responsable des tempêtes ou accalmies

qui surviennent au cours de son mandat.

C’est dur à comprendre pour ceux qui s’imaginent que la politique peut tout, j’en conviens !

Pour avoir lu l'article , il me semble qu'il évoque plus la honte quand selon lui son parti s'est mis à vouloir être plus droitier pour faire la nique au FN .

Il y a 1 heure, Morfou a dit :

Connerie!

Il n'a pas digéré son score...c'est la faute à Sarko...quel con....

Il y avait de l'eau dans le gaz bien avant ...

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Membre, Marchombre, 32ans Posté(e)
Serguei Zoubatov Membre 4 440 messages
32ans‚ Marchombre,
Posté(e)
Il y a 2 heures, DroitDeRéponse a dit :

Pour avoir lu l'article , il me semble qu'il évoque plus la honte quand selon lui son parti s'est mis à vouloir être plus droitier pour faire la nique au FN .

Il y a aussi le fait que la population se droitise. Et que l'électorat de droite supporte moins en moins d'avoir des dirigeants du centre, voir carrément de gauche.

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 52ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 89 014 messages
52ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)
il y a 31 minutes, Serguei Zoubatov a dit :

Il y a aussi le fait que la population se droitise. Et que l'électorat de droite supporte moins en moins d'avoir des dirigeants du centre, voir carrément de gauche.

Sarko a perdu en 2012 et Fillon à 19% ca relativise votre propos .

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Membre, Marchombre, 32ans Posté(e)
Serguei Zoubatov Membre 4 440 messages
32ans‚ Marchombre,
Posté(e)
à l’instant, DroitDeRéponse a dit :

Sarko a perdu en 2012 et Fillon à 19% ca relativise votre propos .

Sarko a gagné en 2007 en faisant une campagne très à droite. Avant de trahir en faisant l'ouverture à gauche dès son premier gouvernement. Et Sarko, pourtant détesté des Français, n'a perdu qu'à quelques pour cents (4/5%), et pas avec 30 % d'écart. Alors qu'il était très bas dans les sondages.

Par ailleurs, j'invoque à mon secours toutes les pleureuses de la gauche qui ne cessent de dénoncer, depuis maintenant 5 ans, la proximité toujours plus grande entre les électorats de l'UMP et du FN.

Le problème, c'est que nous avons des dirigeants qui sont soit du centre, soit carrément de gauche (comme Juppé). Et que les dirigeants qui ne le sont pas sont des girouettes de type Fillon.

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