Aller au contenu

Sondage sur la sortie de l'euro

Noter ce sujet


poussiere666

Messages recommandés

Membre, 157ans Posté(e)
Anonymous Membre 1 769 messages
Baby Forumeur‚ 157ans‚
Posté(e)
il y a 3 minutes, PASCOU a dit :

Le meilleur moyen serait d'en sortir pour savoir qui a raison, non?

 

 

Mais c'est simple pour sortir de l'europe, faut aller dans un pays non européen, ça ne manque pas.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant
Invité centurion
Invités, Posté(e)
Invité centurion
Invité centurion Invités 0 message
Posté(e)
il y a 25 minutes, Répy a dit :

Nous avons des points de vue diamétralement opposés !

Je préfère rester dans l'Europe et dans l'euro.

Beaucoup d'économistes disent que la sortie de l'euro nous exposerait à de grands risques !

Et beaucoup disent l'inverse.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 5 minutes, Anonymous a dit :

 

 

Mais c'est simple pour sortir de l'europe, faut aller dans un pays non européen, ça ne manque pas.

Quand on a rien à dire on.......!

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 157ans Posté(e)
Anonymous Membre 1 769 messages
Baby Forumeur‚ 157ans‚
Posté(e)
à l’instant, PASCOU a dit :

Quand on a rien à dire on.......!

 

 

Juste pour se mettre couleur locale.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 1 minute, Anonymous a dit :

 

 

Juste pour se mettre couleur locale.

Oui je sais ta couleur locale, elle est rouge vermillon, et maintenant si tu me lâchais le slip!

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 157ans Posté(e)
Anonymous Membre 1 769 messages
Baby Forumeur‚ 157ans‚
Posté(e)
il y a 15 minutes, centurion a dit :

Et beaucoup disent l'inverse.

 

 

De mon point de vue, la première chose à faire serait de remettre en cause les traités pour les renégocier.  S'il s'avèrait que cela soit impossible, alors oui on peut évoquer la sortie de l'europe.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 80ans Posté(e)
bibifricotin Membre 12 828 messages
Mentor‚ 80ans‚
Posté(e)
Il y a 9 heures, PASCOU a dit :

Et bien tu parles de dette et de ce qu'on va laisser aux générations suivantes, et dans le même temps, tu préconises de voter pour des gens qui ne savent fabriquer que de la dette pour rester d'ans l'Europe.

A votre avis, pourquoi a-t-on inventer le crédit ? Moi, je pense que c'est pour développer l'économie et augmenter la croissance. C'est grâce au crédit et aux emprunteurs que nos sociétés capitalistes ont été stimulées.

Pourquoi a-t-on inventer les banques ? A l'évidence pour les mêmes raisons.

A travers l'histoire avons nous eu à souffrir de déficits excessifs ? Evidemment que oui et notamment après toutes les guerres que nous avons subi dont les retombées étaient bien plus graves qu'aujourd'hui.

Existe-t-il des pays non endettés ? Pas non plus.

La dette doit-elle handicaper les générations suivantes ? Non, c'est des dettes de court terme donc elles concernent le présent.

Pensez vous que l'on puisse construire l'avenir sans investir et emprunter ? Non et si les investissements sont utiles ils rembourseront la dette.

En face de la dette il faut aussi considérer les biens que nous laisserons aux générations futures et dont ils profiteront plus que nous.

Alors pitié arrêtez avec cette dette.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 157ans Posté(e)
Anonymous Membre 1 769 messages
Baby Forumeur‚ 157ans‚
Posté(e)
il y a 1 minute, bibifricotin a dit :

La dette doit-elle handicaper les générations suivantes ?

 

 

 

C'est toute la question de la dette.

 

Elle est illégitime, l'état doit emprunter pour payer les intérêts, ça n'a pas de fin, il faut arrêter ce système qui enrichit les uns, appauvrit les autres.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 10 minutes, bibifricotin a dit :

A votre avis, pourquoi a-t-on inventer le crédit ? Moi, je pense que c'est pour développer l'économie et augmenter la croissance. C'est grâce au crédit et aux emprunteurs que nos sociétés capitalistes ont été stimulées.

Pourquoi a-t-on inventer les banques ? A l'évidence pour les mêmes raisons.

A travers l'histoire avons nous eu à souffrir de déficits excessifs ? Evidemment que oui et notamment après toutes les guerres que nous avons subi dont les retombées étaient bien plus graves qu'aujourd'hui.

Existe-t-il des pays non endettés ? Pas non plus.

La dette doit-elle handicaper les générations suivantes ? Non, c'est des dettes de court terme donc elles concernent le présent.

Pensez vous que l'on puisse construire l'avenir sans investir et emprunter ? Non et si les investissements sont utiles ils rembourseront la dette.

En face de la dette il faut aussi considérer les biens que nous laisserons aux générations futures et dont ils profiteront plus que nous.

Alors pitié arrêtez avec cette dette.

Dette publique de la France depuis 1995

http://france-inflation.com/dette_publique_france_1950.php

Et on s'arrête où selon vous?

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 157ans Posté(e)
Anonymous Membre 1 769 messages
Baby Forumeur‚ 157ans‚
Posté(e)
il y a 13 minutes, Anonymous a dit :

 

 

 

C'est toute la question de la dette.

 

Elle est illégitime, l'état doit emprunter pour payer les intérêts, ça n'a pas de fin, il faut arrêter ce système qui enrichit les uns, appauvrit les autres.

 

 

La droite et la social-démocratie européennes se posent la même question : comment rembourser la dette ?

Au contraire, pour Jean-Luc Mélenchon , la dette ne sera pas remboursée.

Ce constat est partagé par de nombreux économistes, dont l’éditorialiste du Financial Times, Wolfgang Munchau, pour qui « la gauche radicale a raison à propos de la dette en Europe ».

Il s’agit donc pour nous d’engager un tout autre débat : comment ne pas rembourser la dette ?

On estime à 59 % le stock de dette publique pouvant être considéré comme illégitime, soit 1 200 milliards d’euros.

Ces milliards proviennent de l’accumulation depuis 1985 d’intérêts ou de cadeaux fiscaux au bénéfice des financiers à l’origine de la crise de 2008.

Il existe trois façons de ne pas rembourser : l’austérité financière, le défaut de paiement, l’impôt général sur le capital. L’austérité financière consiste à restreindre le montant des intérêts réels perçus par les détenteurs de capitaux.

Ainsi, Carmen Reinhart rappelle dans une étude  que la baisse des dettes publiques à la suite de la Seconde Guerre mondiale s’est faite principalement par des politiques inflationnistes ou contraignant les taux nominaux.

Conséquence, sous le seul effet de ces politiques, les taux d’intérêt réels sont négatifs 50 % du temps entre 1945 et 1980 ! Entre 1945 et 1955, la dette diminue de moitié aux États-Unis et passe de 215 % à 138 % du PIB au Royaume-Uni.

Le défaut de paiement, ou restructuration, consiste à abaisser le montant des emprunts en cours ou à allonger leur maturité. Entre 1930 et 1945, environ 15 % des pays développés font défaut chaque année.

C’est le cas de la France en 1932 : elle choisit d’étendre certaines maturités à soixante-quinze ans et d’abaisser les taux de ses emprunts.

Ce sera à nouveau le cas en 1934 pour sa dette américaine, un défaut correspondant alors à 24 % de son PIB !

Contrairement aux idées reçues, l’étude des données historiques montre que l’activité économique augmente de 16 % sur les quatre années qui suivent la restructuration. La taxation du patrimoine est avancée notamment par Thomas Piketty.

Il s’agit de prendre à César ce qui ne lui appartient pas.

À ces 1 200 milliards de dettes illégitimes correspondent 1 200 milliards de créances illégitimes, d’autant plus que 5 800 milliards sommeillent dans les paradis fiscaux, dont 40 % appartiennent à des ménages européens.

Un impôt général sur le capital, couplé à la lutte contre les paradis fiscaux, permettrait donc à l’État de faire payer la dette à ceux qui profitent de son accumulation. L’Islande a d’ailleurs suivi ce modèle en 2012 puis 2014 s’agissant de sa dette immobilière.

Chacune de ces trois options affaiblira le pouvoir des détenteurs de capitaux : il ne s’agit pas d’un choix politiquement neutre. Pour l’instant, le rapport de forces est favorable aux prêteurs, qui détiennent en partie le pouvoir médiatique et financent les partis de la Ve République.

Le passage à la VIe République sera l’occasion de répudier ces dettes issues du passé !

Comme l’écrivait Marx : « Le crédit public et le crédit privé sont le thermomètre économique permettant de mesurer l’intensité d’une révolution. Dans la mesure où ils baissent, l’ardeur et la force créatrice de la révolution montent. »

Sandro Poli
 

 
Modifié par Anonymous
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 3 minutes, PASCOU a dit :

Ouvrez ce lien et regardez comment nos politiques nous ont endetté !

Le remboursement des intérêts est quasiment à égalité au budget de l'éducation nationale, ça laisse rêveur non?

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 157ans Posté(e)
Anonymous Membre 1 769 messages
Baby Forumeur‚ 157ans‚
Posté(e)
il y a 6 minutes, Anonymous a dit :

 

 

La droite et la social-démocratie européennes se posent la même question : comment rembourser la dette ?

Au contraire, pour Jean-Luc Mélenchon , la dette ne sera pas remboursée.

Ce constat est partagé par de nombreux économistes, dont l’éditorialiste du Financial Times, Wolfgang Munchau, pour qui « la gauche radicale a raison à propos de la dette en Europe ».

Il s’agit donc pour nous d’engager un tout autre débat : comment ne pas rembourser la dette ?

On estime à 59 % le stock de dette publique pouvant être considéré comme illégitime, soit 1 200 milliards d’euros.

Ces milliards proviennent de l’accumulation depuis 1985 d’intérêts ou de cadeaux fiscaux au bénéfice des financiers à l’origine de la crise de 2008.

Il existe trois façons de ne pas rembourser : l’austérité financière, le défaut de paiement, l’impôt général sur le capital. L’austérité financière consiste à restreindre le montant des intérêts réels perçus par les détenteurs de capitaux.

Ainsi, Carmen Reinhart rappelle dans une étude  que la baisse des dettes publiques à la suite de la Seconde Guerre mondiale s’est faite principalement par des politiques inflationnistes ou contraignant les taux nominaux.

Conséquence, sous le seul effet de ces politiques, les taux d’intérêt réels sont négatifs 50 % du temps entre 1945 et 1980 ! Entre 1945 et 1955, la dette diminue de moitié aux États-Unis et passe de 215 % à 138 % du PIB au Royaume-Uni.

Le défaut de paiement, ou restructuration, consiste à abaisser le montant des emprunts en cours ou à allonger leur maturité. Entre 1930 et 1945, environ 15 % des pays développés font défaut chaque année.

C’est le cas de la France en 1932 : elle choisit d’étendre certaines maturités à soixante-quinze ans et d’abaisser les taux de ses emprunts.

Ce sera à nouveau le cas en 1934 pour sa dette américaine, un défaut correspondant alors à 24 % de son PIB !

Contrairement aux idées reçues, l’étude des données historiques montre que l’activité économique augmente de 16 % sur les quatre années qui suivent la restructuration. La taxation du patrimoine est avancée notamment par Thomas Piketty.

Il s’agit de prendre à César ce qui ne lui appartient pas.

À ces 1 200 milliards de dettes illégitimes correspondent 1 200 milliards de créances illégitimes, d’autant plus que 5 800 milliards sommeillent dans les paradis fiscaux, dont 40 % appartiennent à des ménages européens.

Un impôt général sur le capital, couplé à la lutte contre les paradis fiscaux, permettrait donc à l’État de faire payer la dette à ceux qui profitent de son accumulation. L’Islande a d’ailleurs suivi ce modèle en 2012 puis 2014 s’agissant de sa dette immobilière.

Chacune de ces trois options affaiblira le pouvoir des détenteurs de capitaux : il ne s’agit pas d’un choix politiquement neutre. Pour l’instant, le rapport de forces est favorable aux prêteurs, qui détiennent en partie le pouvoir médiatique et financent les partis de la Ve République.

Le passage à la VIe République sera l’occasion de répudier ces dettes issues du passé !

Comme l’écrivait Marx : « Le crédit public et le crédit privé sont le thermomètre économique permettant de mesurer l’intensité d’une révolution. Dans la mesure où ils baissent, l’ardeur et la force créatrice de la révolution montent. »

Sandro Poli
 

 

 

 

 

bis repetita pour pascou.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
Abu nuwas Membre 9 355 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
Le ‎12‎/‎04‎/‎2017 à 16:34, Alain75 a dit :

Sortir de l'Europe. Non merci ....

J'y suis j'y reste.

Bsr Alain75,

 

Moi aussi, j'étais un européen convaincu, j'ai cru un moment que tout allais être indexé sur l'euro, j'ai cru un moment qu'on allait chier dans les bottes des states. Aux final je m'aperçois que nous avons peur de notre propre monnaie. Alors oui pour une sortie.

 

a+

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 36 minutes, Anonymous a dit :

 

 

 

bis repetita pour pascou.

C'était inutile puisque posté après moi.

 

il y a 46 minutes, Anonymous a dit :

 

 

La droite et la social-démocratie européennes se posent la même question : comment rembourser la dette ?

Au contraire, pour Jean-Luc Mélenchon , la dette ne sera pas remboursée.

Ce constat est partagé par de nombreux économistes, dont l’éditorialiste du Financial Times, Wolfgang Munchau, pour qui « la gauche radicale a raison à propos de la dette en Europe ».

Il s’agit donc pour nous d’engager un tout autre débat : comment ne pas rembourser la dette ?

On estime à 59 % le stock de dette publique pouvant être considéré comme illégitime, soit 1 200 milliards d’euros.

Ces milliards proviennent de l’accumulation depuis 1985 d’intérêts ou de cadeaux fiscaux au bénéfice des financiers à l’origine de la crise de 2008.

Il existe trois façons de ne pas rembourser : l’austérité financière, le défaut de paiement, l’impôt général sur le capital. L’austérité financière consiste à restreindre le montant des intérêts réels perçus par les détenteurs de capitaux.

Ainsi, Carmen Reinhart rappelle dans une étude  que la baisse des dettes publiques à la suite de la Seconde Guerre mondiale s’est faite principalement par des politiques inflationnistes ou contraignant les taux nominaux.

Conséquence, sous le seul effet de ces politiques, les taux d’intérêt réels sont négatifs 50 % du temps entre 1945 et 1980 ! Entre 1945 et 1955, la dette diminue de moitié aux États-Unis et passe de 215 % à 138 % du PIB au Royaume-Uni.

Le défaut de paiement, ou restructuration, consiste à abaisser le montant des emprunts en cours ou à allonger leur maturité. Entre 1930 et 1945, environ 15 % des pays développés font défaut chaque année.

C’est le cas de la France en 1932 : elle choisit d’étendre certaines maturités à soixante-quinze ans et d’abaisser les taux de ses emprunts.

Ce sera à nouveau le cas en 1934 pour sa dette américaine, un défaut correspondant alors à 24 % de son PIB !

Contrairement aux idées reçues, l’étude des données historiques montre que l’activité économique augmente de 16 % sur les quatre années qui suivent la restructuration. La taxation du patrimoine est avancée notamment par Thomas Piketty.

Il s’agit de prendre à César ce qui ne lui appartient pas.

À ces 1 200 milliards de dettes illégitimes correspondent 1 200 milliards de créances illégitimes, d’autant plus que 5 800 milliards sommeillent dans les paradis fiscaux, dont 40 % appartiennent à des ménages européens.

Un impôt général sur le capital, couplé à la lutte contre les paradis fiscaux, permettrait donc à l’État de faire payer la dette à ceux qui profitent de son accumulation. L’Islande a d’ailleurs suivi ce modèle en 2012 puis 2014 s’agissant de sa dette immobilière.

Chacune de ces trois options affaiblira le pouvoir des détenteurs de capitaux : il ne s’agit pas d’un choix politiquement neutre. Pour l’instant, le rapport de forces est favorable aux prêteurs, qui détiennent en partie le pouvoir médiatique et financent les partis de la Ve République.

Le passage à la VIe République sera l’occasion de répudier ces dettes issues du passé !

Comme l’écrivait Marx : « Le crédit public et le crédit privé sont le thermomètre économique permettant de mesurer l’intensité d’une révolution. Dans la mesure où ils baissent, l’ardeur et la force créatrice de la révolution montent. »

Sandro Poli
 

 

Oui, mais avec ce genre de programme, je doute qu'il passe....sans glisser sur une peau de banane, d'ailleurs j'ai du mal à comprendre comment les banques financent sa campagne, elles sauraient que ce ne sont que des promesses électorales?

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 157ans Posté(e)
Anonymous Membre 1 769 messages
Baby Forumeur‚ 157ans‚
Posté(e)
il y a 30 minutes, PASCOU a dit :

j'ai du mal à comprendre comment les banques financent sa campagne

 

 

Mais pour les autres candidats vous ne vous posez aucune question  ?

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 1 minute, Anonymous a dit :

 

 

Mais pour les autres candidats vous ne vous posez aucune question  ?

Mais les autres ne s'attaquent pas à celles ci!

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité O)))
Invités, Posté(e)
Invité O)))
Invité O))) Invités 0 message
Posté(e)
Le 14/04/2017 à 16:43, Crabe_fantome a dit :

L'opposition (qui n'en est pas une pour moi) serait la même qu'entre la France et les Régions, économiquement, politiquement...

Effectivement, ce qui rendrait selon moi impossible d'être simultanément breton jusqu'au bout des ongles et français jusqu'au bout des ongles, par exemple.

Citation

Je ne crois pas que Napoléon 1er se soit dit un jour "plus j'étends mon empire plus je desserts mes intérêts". Idem pour les USA qui sont allé jusqu'à la guerre pour l'union... Comme au Japon encore au XVI ème siècle... Comme en France au long des siècles... 

Les intérêts des puissants ne servent pas nécessairement les intérêts des modestes administrés et ne sont certainement pas les mêmes.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 52ans Posté(e)
Crabe_fantome Membre 47 126 messages
Maitre des forums‚ 52ans‚
Posté(e)
il y a une heure, O))) a dit :

Effectivement, ce qui rendrait selon moi impossible d'être simultanément breton jusqu'au bout des ongles et français jusqu'au bout des ongles, par exemple.

Peut-être une question de sentiment. Le fait d'être né à Paris , d'avoir des parents métis auvergnat picard alsacien ne me permet pas de me sentir totalement auvergnat malgré une branche qui a toujours été auvergnate. Louis XIV n'avait pas ce problème malgré sa mère Anne d'Autriche, née en Espagne, il devait se sentir français jusqu'au bout des ongles. 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité O)))
Invités, Posté(e)
Invité O)))
Invité O))) Invités 0 message
Posté(e)
il y a 20 minutes, Crabe_fantome a dit :

Peut-être une question de sentiment. Le fait d'être né à Paris , d'avoir des parents métis auvergnat picard alsacien ne me permet pas de me sentir totalement auvergnat malgré une branche qui a toujours été auvergnate. Louis XIV n'avait pas ce problème malgré sa mère Anne d'Autriche, née en Espagne, il devait se sentir français jusqu'au bout des ongles. 

De sentiment ou de vision objective. Par exemple, se sentir breton jusqu'au bout des ongles, ça implique forcément d'avoir une certaine accointance avec l'indépendantisme breton, concept tout ce qu'il y a de plus concret et qui est difficilement miscible avec celui de français jusqu'au bout des ongles.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 52ans Posté(e)
Crabe_fantome Membre 47 126 messages
Maitre des forums‚ 52ans‚
Posté(e)
il y a 30 minutes, O))) a dit :

De sentiment ou de vision objective. Par exemple, se sentir breton jusqu'au bout des ongles, ça implique forcément d'avoir une certaine accointance avec l'indépendantisme breton, concept tout ce qu'il y a de plus concret et qui est difficilement miscible avec celui de français jusqu'au bout des ongles.

Finalement être européen jusqu'au bout des ongles c'est un peu comme le bouddhisme qui ne nous demande pas l'exclusivité. D'un point de vu bouddhiste je peux être chrétien et bouddhiste, mais du point de vu chrétien je ne peux pas être chrétien et bouddhiste. 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant

Rejoindre la conversation

Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Coller en tant que texte brut à la place

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.

Chargement

×