Incapacité à entreprendre sans obligation de résultat, ennui.

il y a 3 minutes, PLS maker a dit :

Ce n'est pas une mode : les adultes hpi étant plus à l'aise à l'écrit (ils peuvent prendre le temps de réfléchir, ce qui a l'oral n'est pas ou peu permis et les met donc mal à l'aise) et plus à l'aise dans des endroits impersonnels, ils sont effectivement surreprésentés sur ce genre d'espace de discussion. 

Et pouvoir se coller l'étiquette zèbre, concrètement ça t'apporte quoi?

il y a 3 minutes, Marpletree a dit :

Et pouvoir se coller l'étiquette zèbre, concrètement ça t'apporte quoi?

 

gnè ? 

C'est une question pour moi ? ou générale ? 

il y a 9 minutes, PLS maker a dit :

gnè ? 

C'est une question pour moi ? ou générale ? 

Générale !

Ce que je veux dire faudrait pas s'enfermer dans un rôle " oh oui, mais MOI je suis zèbre alors..."

il y a 14 minutes, PLS maker a dit :

Ce n'est pas une mode : les adultes hpi étant plus à l'aise à l'écrit (ils peuvent prendre le temps de réfléchir, ce qui a l'oral n'est pas ou peu permis et les met donc mal à l'aise) et plus à l'aise dans des endroits impersonnels, ils sont effectivement surreprésentés sur ce genre d'espace de discussion. 

C'est intéressant, c'est vrai que je suis très loin d'être à l'aise à l'oral, mais je n'avais jamais pensé que c'était du à ma particularité, si elle existe.

il y a 9 minutes, Marpletree a dit :

Générale !

Je crois que si quelqu'un développe sur ça, le fil va dévier.

Peut-être vaudrait il mieux créer une sujet spécialement pour ça ? Ou alors aller sur un forum spécialisé ?

il y a 2 minutes, doremi001 a dit :

Peut-être vaudrait il mieux créer une sujet spécialement pour ça ? Ou alors aller sur un forum spécialisé ?

Ok. Fin du hors sujet 

J'ai eu peur X) 

Zèbre n'est pas une étiquette pour l'étiquette, n'est-ce pas ; il s'agit de la base , trop souvent absente, de la réflexion pour régler des problèmes de vie de la façon qui convient. 

Avec les zèbres, les solutions habituelles ("soit plus rigoureux", "bouge-toi", "fais des efforts, parce que là tu donnes l'air de rien foutre", "motive-toi", ou tout autre "motivations" émanant d'une autorité quelconque) ne fonctionne pas : son fonctionnement mental différent fait que personne ne perçoit les efforts fait par lui pour tenter de remonter la pente. Il est nécessaire d'explorer avec lui des chemins différents, seyant à son fonctionnement, dont, si, on connait bien les grandes lignes. Mais ce travail, il ne peut s'effectuer seul : le zèbre, comme tout le monde, pense penser comme les autres et pense que les autres pensent comme lui, d'où une tendance au rabaissement de soi...

Identifier si une personne est zèbre ou non, c'est s'armer efficacement pour trouver des pistes de solution. C'est aussi très rassurant pour le zèbre : ça déculpabilise et ça lui fait se rendre compte que, contrairement à ce qu'on lui rabache sans cesse depuis x années, si, il fait des efforts, si, il est fort capable, il a un "haut potentiel", à lui de trouver comment l'exprimer et l'utiliser. Mais aussi comment gérer, par exemple, les effets de la pensée en arborescence, expliquer et gérer la procrastination, déculpabiliser pour la dysorthographie...

L'étiquette zèbre, c'est une base de réflexion, pas une fin en soi. D'où ma question initiale. Et elle peut être salvatrice, surtout pour ceux découverts sur le tard.

il y a 20 minutes, PLS maker a dit :

J'ai eu peur X) 

Zèbre n'est pas une étiquette pour l'étiquette, n'est-ce pas ; il s'agit de la base , trop souvent absente, de la réflexion pour régler des problèmes de vie de la façon qui convient. 

Avec les zèbres, les solutions habituelles ("soit plus rigoureux", "bouge-toi", "fais des efforts, parce que là tu donnes l'air de rien foutre", "motive-toi", ou tout autre "motivations" émanant d'une autorité quelconque) ne fonctionne pas : son fonctionnement mental différent fait que personne ne perçoit les efforts fait par lui pour tenter de remonter la pente. Il est nécessaire d'explorer avec lui des chemins différents, seyant à son fonctionnement, dont, si, on connait bien les grandes lignes. Mais ce travail, il ne peut s'effectuer seul : le zèbre, comme tout le monde, pense penser comme les autres et pense que les autres pensent comme lui, d'où une tendance au rabaissement de soi...

 

Identifier si une personne est zèbre ou non, c'est s'armer efficacement pour trouver des pistes de solution. C'est aussi très rassurant pour le zèbre : ça déculpabilise et ça lui fait se rendre compte que, contrairement à ce qu'on lui rabache sans cesse depuis x années, si, il fait des efforts, si, il est fort capable, il a un "haut potentiel", à lui de trouver comment l'exprimer et l'utiliser. Mais aussi comment gérer, par exemple, les effets de la pensée en arborescence, expliquer et gérer la procrastination, déculpabiliser pour la dysorthographie...

L'étiquette zèbre, c'est une base de réflexion, pas une fin en soi. D'où ma question initiale. Et elle peut être salvatrice, surtout pour ceux découverts sur le tard.

En ce cas, comment on fait pour approfondir un sujet  si on est un zèbre paresseux et superficiel  ?

Paresseux ou bien procrastinateur ?  

Ou bien mentalement fatigué ? 

il y a 40 minutes, PLS maker a dit :

 procrastinateur 

J'aime bien ce terme 

il y a une heure, PLS maker a dit :

Paresseux ou bien procrastinateur ?  

Ou bien mentalement fatigué ? 

Je crois vraiment que je suis paresseux car je n'ai jamais eu à faire d'efforts.

Je n'ai pas l'habitude. Procrastinateur, oui, je crois, oui, plutôt, si prends en considération le fait que j'ai une tendance à faire les choses au dernier moment, je me sens plus efficace. Par contre, ce semestre, je ne procrastine pas du tout, je fais tout en avance, et le travail fini, je m'ennuie. Et là, survient ma problématique : que faire de tout ce temps si je ne parviens pas à travailler hors cadre académique.

Il y a 3 heures, doremi001 a dit :

Vos questions n'appellent pas de réponse, mais je suis entièrement d'accord.

Qu'est ce que j'aimerais pouvoir être capable en autonomie d'apprendre en parallèle...

Tout se travaille, tout s'entraîne, tu te poses des questions ce qui est très bon signe, car tu constates de toi-même que quelque chose ne va pas et qu'il y a un manque ou une envie que cela change...

il y a une heure, doremi001 a dit :

Je crois vraiment que je suis paresseux car je n'ai jamais eu à faire d'efforts.

Je n'ai pas l'habitude. Procrastinateur, oui, je crois, oui, plutôt, si prends en considération le fait que j'ai une tendance à faire les choses au dernier moment, je me sens plus efficace. Par contre, ce semestre, je ne procrastine pas du tout, je fais tout en avance, et le travail fini, je m'ennuie. Et là, survient ma problématique : que faire de tout ce temps si je ne parviens pas à travailler hors cadre académique.

As-tu dans tes souvenirs une date ou un moment de ta vie dans lequel tu constates un changement dans ta façon d'être et d'agir ?

Ma vie est également d'un puissant ennui, comme si j'étais au level 30 de Tetris et qu'autour de moi, les gens montrent des difficultés au level 5...

Alors j'évolue et eux traînent sans réelle envie d'évoluer !

Frustration, limitation, ralentissement, c'est chiant !

J'aurais envie de responsabilités et d'activité permanente, me sentir utile et efficace...

Là j'ai l'impression d'être branché sur le chargeur en attendant qu'on veuille bien m'utiliser !

Lorsque je m'ennuie, je m'enfonce dans le nettoyage, faire briller, se focaliser sur les petits détails qui demandent du temps à résoudre, c'est une des rare chose qui m'apporte de la satisfaction et que je prends du plaisir à regarder lorsque c'est terminé !

On a, je pense, pas envie d'essayer de nouvelle chose, parce que ça risque d'être une frustration supplémentaire.

Il y a 15 heures, doremi001 a dit :

Qu'importe le concept de liberté ici, je ne parle qu'en termes communs de tous les jours, pour chercher à régler ce problème concret. Mon cerveau a besoin de nourriture mais sans obligation de résultat, il ne parvient pas à rester concentré.

Ce que j'entrevois de toi se rapprocherait d'un "performer" quelque part... 

Pourquoi ne pas créer des challenges pour encore plus te dépasser et donc moins t'ennuyer ?

il y a 28 minutes, Yokkie a dit :

Ce que j'entrevois de toi se rapprocherait d'un "performer" quelque part... 

Pourquoi ne pas créer des challenges pour encore plus te dépasser et donc moins t'ennuyer ?

Essaies de penser au cerveau indépendamment de la personne et tu auras d'autres perspectives

il y a 35 minutes, pep-psy a dit :

Tout se travaille, tout s'entraîne, tu te poses des questions ce qui est très bon signe, car tu constates de toi-même que quelque chose ne va pas et qu'il y a un manque ou une envie que cela change...

As-tu dans tes souvenirs une date ou un moment de ta vie dans lequel tu constates un changement dans ta façon d'être et d'agir ?

Ma vie est également d'un puissant ennui, comme si j'étais au level 30 de Tetris et qu'autour de moi, les gens montrent des difficultés au level 5...

Alors j'évolue et eux traînent sans réelle envie d'évoluer !

Frustration, limitation, ralentissement, c'est chiant !

J'aurais envie de responsabilités et d'activité permanente, me sentir utile et efficace...

Là j'ai l'impression d'être branché sur le chargeur en attendant qu'on veuille bien m'utiliser !

Lorsque je m'ennuie, je m'enfonce dans le nettoyage, faire briller, se focaliser sur les petits détails qui demandent du temps à résoudre, c'est une des rare chose qui m'apporte de la satisfaction et que je prends du plaisir à regarder lorsque c'est terminé !

On a, je pense, pas envie d'essayer de nouvelle chose, parce que ça risque d'être une frustration supplémentaire.

Ce changement est très récent. Avant, je voyais bien que j'avais besoin de nourriture, et grand désir d'apprendre, soif de connaissance, avec incapacité à être autonome, besoin que l'on évalue ensuite. Mais le sentiment  d'ennui, ce n'est que très récemment que je le sens à plein poumons. Car c'est depuis très peu que l'on m'a fait comprendre ma différence, je suis encore dans la découverte.

Du coup, cela se recouperait avec le post de la personne suivante :

il y a 29 minutes, Yokkie a dit :

Ce que j'entrevois de toi se rapprocherait d'un "performer" quelque part... 

Pourquoi ne pas créer des challenges pour encore plus te dépasser et donc moins t'ennuyer ?

oui, c'est vrai, j'ai comme besoin de montrer ce dont je suis capable pour entreprendre quelque chose. Mais sans cela, je n'y arrive pas. Challenge, dépassement, oui, mais pour qui ? Pourquoi ? Pour moi seule, ce n'est pas suffisant, car je ne connais que trop bien mes limites ...

il y a 10 minutes, doremi001 a dit :

oui, c'est vrai, j'ai comme besoin de montrer ce dont je suis capable pour entreprendre quelque chose. Mais sans cela, je n'y arrive pas. Challenge, dépassement, oui, mais pour qui ? Pourquoi ? Pour moi seule, ce n'est pas suffisant, car je ne connais que trop bien mes limites ...

Pardonne-moi mais c'est un peu présomptueux...

quelque soit l'âge, on apprend de soi et des autres.

Nous n'avons jamais terminé d'explorer nos limites et ainsi de pouvoir les dépasser. 

Essaie de faire des trucs que tu détestes faire ou qui te demandent bcp d'efforts... va jusqu'au bout de tes à prioris ou difficultés en devenant bon dans ces domaines qui te rebutent ou d'handicapent et là, tu auras réussi un sacré challenge ! 

il y a 15 minutes, pep-psy a dit :

Essaies de penser au cerveau indépendamment de la personne et tu auras d'autres perspectives

Et en decrypté, cela signifie quoi ? 

il y a 22 minutes, Yokkie a dit :

Pardonne-moi mais c'est un peu présomptueux...

quelque soit l'âge, on apprend de soi et des autres.

Nous n'avons jamais terminé d'explorer nos limites et ainsi de pouvoir les dépasser. 

Essaie de faire des trucs que tu détestes faire ou qui te demandent bcp d'efforts... va jusqu'au bout de tes à prioris ou difficultés en devenant bon dans ces domaines qui te rebutent ou d'handicapent et là, tu auras réussi un sacré challenge ! 

Je répète : se dépasser, ok, (par exemple je suis une huitre en maths (dys), je pourrais essayer, mais pour qui ? pour quoi ? Pour moi seul, cela ne sert à rien. J'ai besoin de quelque chose derrière, qui a du sens.

il y a 9 minutes, doremi001 a dit :

Je répète : se dépasser, ok, (par exemple je suis une huitre en maths (dys), je pourrais essayer, mais pour qui ? pour quoi ? Pour moi seul, cela ne sert à rien. J'ai besoin de quelque chose derrière, qui a du sens.

On pourrait en déduire que tu accordes plus de sens aux autres qu'à toi-même... par extension, si seul le regard de l'autre à du sens, tu te nies quelque part. 

Peut-être faut-il fouiller là-dedans... ? Car logiquement, on fait d'abord les choses pour soi, avant les autres.

C'est ce vers quoi, je souhaiterais t'amener à réfléchir... 

il y a 10 minutes, doremi001 a dit :

Je répète : se dépasser, ok, (par exemple je suis une huitre en maths (dys), je pourrais essayer, mais pour qui ? pour quoi ? Pour moi seul, cela ne sert à rien. J'ai besoin de quelque chose derrière, qui a du sens.

C'est ça le challenge. Trouver le sens...

Il y a 3 heures, doremi001 a dit :

Je répète : se dépasser, ok, (par exemple je suis une huitre en maths (dys), je pourrais essayer, mais pour qui ? pour quoi ? Pour moi seul, cela ne sert à rien. J'ai besoin de quelque chose derrière, qui a du sens.

Peut-être que tu as besoin d'une pause ?