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Ces choses que vous ne pourrez plus faire en 2017


Anouckim

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Membre, 75ans Posté(e)
Anouckim Membre 933 messages
Forumeur Débutant‚ 75ans‚
Posté(e)
Chaque début d’année s’accompagne de nouvelles interdictions pour les citoyens français. Pour notre bien soi-disant. 
 
 Cette année, nous n’aurons : 
  • plus le droit d’aller en scooter sans gants homologués CE (d’énormes gants de sécurité), sous peine de 45 euros d’amende et d’un point de permis. Ce règlement s’applique à toutes les motos de plus de 50 cm3 ; 
  • plus le droit de faire faire du vélo au parc à nos enfants sans casque : dès le 22 mars, les parents qui laisseront leur enfant de moins de 12 ans faire de la bicyclette sans casque seront sanctionnés de 135 euros d’amende ;
  • plus le droit d’acheter des herbicides, fongicides et insecticides au rayon libre-service : ces produits sont désormais sous clef et ne seront vendus qu’avec les conseils d’un professionnel. En janvier 2019, leur vente sera définitivement prohibée en magasin ;
  • plus le droit de garder des vitres latérales teintées à l’avant de votre voiture : 135 euros d’amende et 3 points sur le permis depuis le 1er janvier, si le « taux de transparence » est inférieur à 70 % ;
  • plus le droit d’acheter des « cigarillos » : le 1er février 2017, le gouvernement a annoncé qu’il allait imposer aux cigarillos de changer de nom. Les marques Café crème, Paradiso et Punch sont visées et devront choisir d’autres appellations si elles veulent continuer à vendre leur produit ;
  • plus le droit de ravaler notre façade ou de refaire notre toiture sans mettre l’isolation thermique aux nouvelles normes ; 
  • plus le droit de mal nous garer avec notre voiture d’entreprise : votre patron devra désormais obligatoirement communiquer aux services de police les noms de leurs employés qui ont commis une infraction au Code de la route à bord d’un véhicule de fonction.
  •  il est désormais aussi interdit de mettre une fessée à son enfant : Depuis le 22 décembre dernier, toutes les formes de « violence éducative ordinaire » sont interdites, ce qui inclut les gifles, fessées, tirage d’oreille et privation de nourriture.
À cela, il faut ajouter la probabilité de plus en plus grande que de nouveaux vaccins deviennent obligatoires. Vendredi 10 février, le principal syndicat de médecins a appelé le gouvernement à rendre de nouveaux vaccins obligatoires. Il rejoint en cela la conclusion du rapport Fischer de novembre 2016, qui recommandait d’imposer huit nouveaux vaccins à la population. 
 
  

 Au sujet de la loi contre la fessée
Depuis le 22 décembre dernier, toutes les formes de « violence éducative ordinaire » sont interdites, ce qui inclut les gifles, fessées, tirage d’oreille et privation de nourriture.
 
 Notre époque ne manque pas d’enfants martyrs, comme on le voit dans les journaux. Enfants mis tout nus dans le froid de l’hiver, enfants forcés à manger leurs excréments, enfants tués à coups de ceinture, enfants noyés et torturés dans une machine à laver, enfants violés par une mère indigne et un beau-père de passage. 

 Mais les personnes qui ont voté cette loi contre la « violence éducative ordinaire » oublient, ou font semblant d’oublier, que les crimes contre les enfants cités ci-dessus n’ont justement rien « d’éducatif ». Ils sont au contraire commis par des adultes sadiques qui ont perdu tout sens de leur responsabilité éducative. Des adultes qui font le contraire de l’éducation, et qui apprennent à leurs enfants l’injustice, la haine, la violence gratuite contre des innocents qui ne peuvent pas se défendre !!! 
 
 Se servir de ces cas abominables pour pointer du doigt les autres parents, ceux qui cherchent à faire en sorte d’avoir des enfants bien élevés, polis, respectueux des règles de la vie en société, et qui dans ce but font des efforts pour corriger leurs mauvais penchants en les punissant de façon juste quand c’est nécessaire, c’est une inversion complète du bon sens. 
 
 La plupart du temps, quand on est parent, il suffit d’être attentif, présent, compréhensif. Quand on a instauré son autorité, on n’a pas besoin de lever la main sur son enfant. Il suffit de hausser la voix ; dans le meilleur des cas, il suffit de hausser les sourcils et de regarder l’enfant d’un air désapprobateur. 
 
 C’est ce que je fais avec mes enfants, et ça marche très bien. Mais cette approche qui fonctionne dans 95 % des cas ne fonctionne pas dans 100 % des cas. Il peut arriver, dans certaines circonstances, qu’un enfant particulièrement énervé dépasse les bornes. On lui a demandé dix fois, sur tous les tons, d’arrêter d’embêter sa sœur et il continue. Si l’on ne peut pas, à ce moment-là, agir d’une autre façon que par les supplications, si c’est interdit par la loi, que l’enfant le sait, qu’il menace de dénoncer ses parents en appelant le numéro de SOS Enfants Battus qu’on lui a donné à l’école « au cas où ses parents le menaceraient d’une fessée », je ne sais pas comment on peut raisonnablement et humainement restaurer la concorde et la bonne humeur dans la famille. 
 
 Je ne parle pas de faire mal à l’enfant. Mais l’attraper par le col, le secouer un bon coup en lui intimant d’une voix forte d’arrêter, tout en le menaçant d’une façon crédible d’une sanction plus ferme (une fessée, une gifle) s’il continue, cela me paraît absolument indispensable de temps en temps, du moins avec certains enfants plus remuants que les autres. 
 
 Parce que nous ne sommes pas des anges, de purs esprits, et nos enfants non plus. Parce que, au contraire, c’est une forme de violence psychologique et une contrainte malsaine pour l’ambiance familiale et la bonne entente entre les frères et sœurs, que de priver les parents de leurs moyens naturels d’exercer leur autorité. Les petits enfants ne sont pas toujours et en toutes circonstances sensibles aux explications orales, ils ont parfois aussi besoin de ressentir physiquement la force de l’autorité structurante de leurs parents. 

 Ils n’en sont d’ailleurs pas surpris, et n’en éprouvent aucune rancune. Au contraire ! Sur le coup, ils crient plus fort, se calment puis, miraculeusement, ils sont à nouveau gais comme des pinsons et de bien meilleure humeur ! Je l’ai maintes et maintes fois constaté, les enfants aiment des parents autoritaires et justes. Ils sont reconnaissants qu’on intervienne pour les « remettre à leur place », y compris physiquement, car ils mesurent aussi de cette façon qu’ils existent, qu’on fait attention à eux, que leur présence et leurs actions sont importantes pour leur entourage. Cela les valorise, tandis qu’un « laisser-faire » excessif de la part des adultes est vécu par eux comme une forme de démission et, pire encore, une marque d’indifférence et donc d’absence d’amour : « Quoique je fasse, j’ai beau crier, casser, frapper, on ne me fait rien, c’est que tout le monde s’en fiche de moi. » 
 
 Ils apprécient d’autant plus les caresses, les compliments, qu’ils savent qu’ils sont mérités, et qu’un autre comportement de leur part leur aurait valu une autre réaction des parents. 
 
 Attention, je parle uniquement des petits enfants, jusqu’à l’âge de sept ou huit ans grand maximum. Au-delà, il est tout à fait vain, inutile et mauvais de chercher à instaurer l’autorité paternelle ou maternelle par la fessée, ou tout autre acte physique. 
 
 Car c’est trop tard. À cet âge-là, l’enfant est parfaitement conscient et responsable de ses actes et, s’il a décidé de mal faire, ce n’est plus la menace d’une fessée qui l’en dissuadera. Les coups plus violents sont encore pires, ils le rendront encore plus mauvais. Il faut que la relation de respect ait été solidement instaurée auparavant, impérativement avant l’âge de six ans, disent les spécialistes [12]. Si à dix ans l’enfant n’obéit pas à ses parents quand ils lui demandent quelque chose avec autorité, c’est que l’enfant ne les respecte pas et alors il y a un gros problème que la confrontation physique ne pourra qu’aggraver. 
 
 La seule solution alors est l’intervention d’un adulte extérieur qui serait capable d’inspirer l’admiration et le respect de l’enfant, en espérant bien sûr que son influence soit bienfaisante.
Conclusion
Avec les lois, il y a toujours ce qu’on voit… et ce qu’on ne voit pas. 
 
 Ce qu’on voit, ce sont les bonnes intentions : « Chouette, grâce à ces nouvelles obligations ou interdictions, il va y avoir moins de maladies (vaccins, tabac), moins d’accidents (casque, gants, ceinture), moins de pesticides dans la nature, moins d’enfants battus, plus de maisons isolées, moins de voitures mal garées… » 
 
 Ce qu’on ne voit pas, c’est l’effet décourageant, démoralisant pour les hommes et les femmes de vivre dans un système qui devient de plus en plus compliqué, intrusif, contraignant, par l'amoncellement de réglementations tatillonnes. 

 Pour des problèmes réglementaires, des problèmes d’assurance, des problèmes de normes, la moindre initiative devient une montagne. Arrive le moment où la peur du gendarme est omniprésente : on roule sur une nationale vide les yeux rivés sur son compteur de vitesse, de crainte de se faire flasher. On se sent « coupable » de faire une chose aussi anodine que de mettre son enfant sur une bicyclette. On a peur d’une inspection, d’une amende, alors qu’on n’a véritablement causé de tort à personne… 

 

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Membre, 75ans Posté(e)
Anouckim Membre 933 messages
Forumeur Débutant‚ 75ans‚
Posté(e)

prenez  vite  vos  dispositions  lol  

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Membre, 40ans Posté(e)
CM07591 Membre 1 382 messages
Baby Forumeur‚ 40ans‚
Posté(e)

Tant qu'on a encore le droit de lâcher une perle publiquement... :lol:

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Modérateur, ©, 108ans Posté(e)
January Modérateur 62 428 messages
108ans‚ ©,
Posté(e)

Sauf que... L’amendement contre la fessée a été censuré par le Conseil constitutionnel le 26 janvier 2017.


 

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Membre, Forumeur discret, 63ans Posté(e)
Kid_Ordinn Membre 9 703 messages
63ans‚ Forumeur discret,
Posté(e)

Une petite pensée à tous ceux qui ont une santé précaire et pour qui toutes ces choses passent au rang de futilités  

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Modérateur, ©, 108ans Posté(e)
January Modérateur 62 428 messages
108ans‚ ©,
Posté(e)

Ce ne sont pas des futilités, ça fait partie de la vie quotidienne et mieux vaut savoir certains trucs pour éviter les amendes par exemple.

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Membre, Forumeur discret, 63ans Posté(e)
Kid_Ordinn Membre 9 703 messages
63ans‚ Forumeur discret,
Posté(e)
il y a 1 minute, January a dit :

Ce ne sont pas des futilités, ça fait partie de la vie quotidienne et mieux vaut savoir certains trucs pour éviter les amendes par exemple.

Tu sais,le mec en souffrance dans son lit d’hôpital sera plutôt préoccupé de guérir ou de "passer la nuit",c'est ce que je voulais exprimer ;)

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Modérateur, ©, 108ans Posté(e)
January Modérateur 62 428 messages
108ans‚ ©,
Posté(e)

Je comprends bien mais ça m'a fait réagir parce-que c'est comme si tu disais à anouckim qu'elle poste des futilités quelque part, tu comprends ? :fille:

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Membre, Posté(e)
le merle Membre 21 605 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
Il y a 1 heure, Anouckim a dit :
Chaque début d’année s’accompagne de nouvelles interdictions pour les citoyens français. Pour notre bien soi-disant. 
 
 Cette année, nous n’aurons : 
  • plus le droit d’aller en scooter sans gants homologués CE (d’énormes gants de sécurité), sous peine de 45 euros d’amende et d’un point de permis. Ce règlement s’applique à toutes les motos de plus de 50 cm3 ; 
  • plus le droit de faire faire du vélo au parc à nos enfants sans casque : dès le 22 mars, les parents qui laisseront leur enfant de moins de 12 ans faire de la bicyclette sans casque seront sanctionnés de 135 euros d’amende ;
  • plus le droit d’acheter des herbicides, fongicides et insecticides au rayon libre-service : ces produits sont désormais sous clef et ne seront vendus qu’avec les conseils d’un professionnel. En janvier 2019, leur vente sera définitivement prohibée en magasin ;
  • plus le droit de garder des vitres latérales teintées à l’avant de votre voiture : 135 euros d’amende et 3 points sur le permis depuis le 1er janvier, si le « taux de transparence » est inférieur à 70 % ;
  • plus le droit d’acheter des « cigarillos » : le 1er février 2017, le gouvernement a annoncé qu’il allait imposer aux cigarillos de changer de nom. Les marques Café crème, Paradiso et Punch sont visées et devront choisir d’autres appellations si elles veulent continuer à vendre leur produit ;
  • plus le droit de ravaler notre façade ou de refaire notre toiture sans mettre l’isolation thermique aux nouvelles normes ; 
  • plus le droit de mal nous garer avec notre voiture d’entreprise : votre patron devra désormais obligatoirement communiquer aux services de police les noms de leurs employés qui ont commis une infraction au Code de la route à bord d’un véhicule de fonction.
  •  il est désormais aussi interdit de mettre une fessée à son enfant : Depuis le 22 décembre dernier, toutes les formes de « violence éducative ordinaire » sont interdites, ce qui inclut les gifles, fessées, tirage d’oreille et privation de nourriture.
À cela, il faut ajouter la probabilité de plus en plus grande que de nouveaux vaccins deviennent obligatoires. Vendredi 10 février, le principal syndicat de médecins a appelé le gouvernement à rendre de nouveaux vaccins obligatoires. Il rejoint en cela la conclusion du rapport Fischer de novembre 2016, qui recommandait d’imposer huit nouveaux vaccins à la population. 
 
  

 Au sujet de la loi contre la fessée
Depuis le 22 décembre dernier, toutes les formes de « violence éducative ordinaire » sont interdites, ce qui inclut les gifles, fessées, tirage d’oreille et privation de nourriture.
 
 Notre époque ne manque pas d’enfants martyrs, comme on le voit dans les journaux. Enfants mis tout nus dans le froid de l’hiver, enfants forcés à manger leurs excréments, enfants tués à coups de ceinture, enfants noyés et torturés dans une machine à laver, enfants violés par une mère indigne et un beau-père de passage. 

 Mais les personnes qui ont voté cette loi contre la « violence éducative ordinaire » oublient, ou font semblant d’oublier, que les crimes contre les enfants cités ci-dessus n’ont justement rien « d’éducatif ». Ils sont au contraire commis par des adultes sadiques qui ont perdu tout sens de leur responsabilité éducative. Des adultes qui font le contraire de l’éducation, et qui apprennent à leurs enfants l’injustice, la haine, la violence gratuite contre des innocents qui ne peuvent pas se défendre !!! 
 
 Se servir de ces cas abominables pour pointer du doigt les autres parents, ceux qui cherchent à faire en sorte d’avoir des enfants bien élevés, polis, respectueux des règles de la vie en société, et qui dans ce but font des efforts pour corriger leurs mauvais penchants en les punissant de façon juste quand c’est nécessaire, c’est une inversion complète du bon sens. 
 
 La plupart du temps, quand on est parent, il suffit d’être attentif, présent, compréhensif. Quand on a instauré son autorité, on n’a pas besoin de lever la main sur son enfant. Il suffit de hausser la voix ; dans le meilleur des cas, il suffit de hausser les sourcils et de regarder l’enfant d’un air désapprobateur. 
 
 C’est ce que je fais avec mes enfants, et ça marche très bien. Mais cette approche qui fonctionne dans 95 % des cas ne fonctionne pas dans 100 % des cas. Il peut arriver, dans certaines circonstances, qu’un enfant particulièrement énervé dépasse les bornes. On lui a demandé dix fois, sur tous les tons, d’arrêter d’embêter sa sœur et il continue. Si l’on ne peut pas, à ce moment-là, agir d’une autre façon que par les supplications, si c’est interdit par la loi, que l’enfant le sait, qu’il menace de dénoncer ses parents en appelant le numéro de SOS Enfants Battus qu’on lui a donné à l’école « au cas où ses parents le menaceraient d’une fessée », je ne sais pas comment on peut raisonnablement et humainement restaurer la concorde et la bonne humeur dans la famille. 
 
 Je ne parle pas de faire mal à l’enfant. Mais l’attraper par le col, le secouer un bon coup en lui intimant d’une voix forte d’arrêter, tout en le menaçant d’une façon crédible d’une sanction plus ferme (une fessée, une gifle) s’il continue, cela me paraît absolument indispensable de temps en temps, du moins avec certains enfants plus remuants que les autres. 
 
 Parce que nous ne sommes pas des anges, de purs esprits, et nos enfants non plus. Parce que, au contraire, c’est une forme de violence psychologique et une contrainte malsaine pour l’ambiance familiale et la bonne entente entre les frères et sœurs, que de priver les parents de leurs moyens naturels d’exercer leur autorité. Les petits enfants ne sont pas toujours et en toutes circonstances sensibles aux explications orales, ils ont parfois aussi besoin de ressentir physiquement la force de l’autorité structurante de leurs parents. 

 Ils n’en sont d’ailleurs pas surpris, et n’en éprouvent aucune rancune. Au contraire ! Sur le coup, ils crient plus fort, se calment puis, miraculeusement, ils sont à nouveau gais comme des pinsons et de bien meilleure humeur ! Je l’ai maintes et maintes fois constaté, les enfants aiment des parents autoritaires et justes. Ils sont reconnaissants qu’on intervienne pour les « remettre à leur place », y compris physiquement, car ils mesurent aussi de cette façon qu’ils existent, qu’on fait attention à eux, que leur présence et leurs actions sont importantes pour leur entourage. Cela les valorise, tandis qu’un « laisser-faire » excessif de la part des adultes est vécu par eux comme une forme de démission et, pire encore, une marque d’indifférence et donc d’absence d’amour : « Quoique je fasse, j’ai beau crier, casser, frapper, on ne me fait rien, c’est que tout le monde s’en fiche de moi. » 
 
 Ils apprécient d’autant plus les caresses, les compliments, qu’ils savent qu’ils sont mérités, et qu’un autre comportement de leur part leur aurait valu une autre réaction des parents. 
 
 Attention, je parle uniquement des petits enfants, jusqu’à l’âge de sept ou huit ans grand maximum. Au-delà, il est tout à fait vain, inutile et mauvais de chercher à instaurer l’autorité paternelle ou maternelle par la fessée, ou tout autre acte physique. 
 
 Car c’est trop tard. À cet âge-là, l’enfant est parfaitement conscient et responsable de ses actes et, s’il a décidé de mal faire, ce n’est plus la menace d’une fessée qui l’en dissuadera. Les coups plus violents sont encore pires, ils le rendront encore plus mauvais. Il faut que la relation de respect ait été solidement instaurée auparavant, impérativement avant l’âge de six ans, disent les spécialistes [12]. Si à dix ans l’enfant n’obéit pas à ses parents quand ils lui demandent quelque chose avec autorité, c’est que l’enfant ne les respecte pas et alors il y a un gros problème que la confrontation physique ne pourra qu’aggraver. 
 
 La seule solution alors est l’intervention d’un adulte extérieur qui serait capable d’inspirer l’admiration et le respect de l’enfant, en espérant bien sûr que son influence soit bienfaisante.
Conclusion
Avec les lois, il y a toujours ce qu’on voit… et ce qu’on ne voit pas. 
 
 Ce qu’on voit, ce sont les bonnes intentions : « Chouette, grâce à ces nouvelles obligations ou interdictions, il va y avoir moins de maladies (vaccins, tabac), moins d’accidents (casque, gants, ceinture), moins de pesticides dans la nature, moins d’enfants battus, plus de maisons isolées, moins de voitures mal garées… » 
 
 Ce qu’on ne voit pas, c’est l’effet décourageant, démoralisant pour les hommes et les femmes de vivre dans un système qui devient de plus en plus compliqué, intrusif, contraignant, par l'amoncellement de réglementations tatillonnes. 

 Pour des problèmes réglementaires, des problèmes d’assurance, des problèmes de normes, la moindre initiative devient une montagne. Arrive le moment où la peur du gendarme est omniprésente : on roule sur une nationale vide les yeux rivés sur son compteur de vitesse, de crainte de se faire flasher. On se sent « coupable » de faire une chose aussi anodine que de mettre son enfant sur une bicyclette. On a peur d’une inspection, d’une amende, alors qu’on n’a véritablement causé de tort à personne… 

 

bonjour

allons allons , nous avons encore le droit de respirer gratuitement ... quoique ?

bonne soirée 

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Membre, 52ans Posté(e)
Crabe_fantome Membre 47 126 messages
Maitre des forums‚ 52ans‚
Posté(e)

Conduire une moto avec des gants... faire du vélo avec un casque quand on est enfant... C'est clair que la France nous déteste pour nous imposer ces trucs qui vont à l'encontre de notre bien!!!! Si j'avais su j'aurais fais Paris Madrid en moto sans gant tant que j'en avais encore la possibilité... et sans doute même que j'aurais mis un short, un débardeur et des tongs... Oh ?! Mais wait ?! Je peux encore conduire ma moto en slip  et pieds nus !!!!!! Vive la liberté !!!!

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Membre, 75ans Posté(e)
Anouckim Membre 933 messages
Forumeur Débutant‚ 75ans‚
Posté(e)

Mais  oui  ,  vas  falloir  serré  les  fesses  , et  rouler  à  droite  , tout  à droite  lol!!

 

Sarkozy-Le-Pen-web.jpg

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