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Paye ta shneck, chair collaboratrice, paye ta fac


Ninouschkaya

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Membre, Brise-noix devant l'éternel, 29ans Posté(e)
Ninouschkaya Membre 3 047 messages
29ans‚ Brise-noix devant l'éternel,
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Salut, salut,

 

Ca fait plusieurs semaines que le phénomène s'accélère, je voulais simplement avoir l'avis et les reactions sur ces tumblr qui fleurissent en ce moment, faisant appel à des témoignages pour dénoncer les situations de harcèlement sexistes dans divers milieu (travail, école, fac, milieu juridique, politique, médical...je vous conseille la page Facebook "paye ton bahut" qui dénonce des faits dès le collège).

 

Voici quelques liens pour les moins débrouillards :

 

payetashnek.tumblr.com/

https://payetafac.tumblr.com/

payetarobedavocate.tumblr.com

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Membre+, Amiereuse de Nouille <3 Zalakiss, 30ans Posté(e)
Elsa Membre+ 29 929 messages
30ans‚ Amiereuse de Nouille <3 Zalakiss,
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Membre+, Amiereuse de Nouille <3 Zalakiss, 30ans Posté(e)
Elsa Membre+ 29 929 messages
30ans‚ Amiereuse de Nouille <3 Zalakiss,
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Pas trop ''mdr'' sur le coup...

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Modérateur, ©, 107ans Posté(e)
January Modérateur 59 800 messages
107ans‚ ©,
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Moi non plus ça ne m'a pas fait rigoler. Faudrait carrément citer leurs noms à ces connards. 

 

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Invité Lucy Van Pelt
Invités, Posté(e)
Invité Lucy Van Pelt
Invité Lucy Van Pelt Invités 0 message
Posté(e)

Coïncidence, il y avait justement un article dans La Presse de ce matin citant une étude sur les violences sexuelles dans les universités québécoises suite à plusieurs évènements survenus sur les campus, entre autre, lors d'initiations;

 

Citation

Violences sexuelles à l'université: un fléau bien réel

 Il me complimentait sur mes fesses quand je portais certains pantalons. [...] Il se tenait toujours trop proche de moi et quand je lui demandais de sortir de "ma bulle", il s'offusquait. Il saisissait chaque occasion pour se coller contre moi. Il me disait régulièrement que si jamais il apprenait que je le dénonçais pour harcèlement sexuel, il ne pourrait s'en remettre. P.-S. J'ai dénoncé la situation, il a été reconnu coupable et suspendu... mais c'est moi qui ai perdu mon emploi, car mon contrat dépendait de lui. »

C'est le genre de témoignage troublant qu'on peut lire dans le rapport Violences sexuelles en milieu universitaire au Québec, qui sera rendu public aujourd'hui. Cette vaste enquête, dirigée par Manon Bergeron, professeure de sexologie à l'Université du Québec à Montréal (UQAM), a été menée auprès de plus de 9000 répondants de six universités québécoises. L'étude, qui est la première à dresser un portrait de la situation au Québec, confirme que ces cas ne sont malheureusement pas qu'anecdotiques et ne se limitent pas aux activités d'initiation. On parle plutôt d'un fléau : plus du tiers (37 %) des personnes travaillant ou étudiant à l'université ont déjà subi au moins une forme de violence sexuelle.

http://www.lapresse.ca/actualites/education/201701/15/01-5059860-violences-sexuelles-a-luniversite-un-fleau-bien-reel.php

 

Citation

Initiations à l'UdeM: «Tu te sens presque obligée» de te déshabiller

Des étudiantes en droit à l'Université de Montréal se sont senties « presque obligé[es] » de se déshabiller pendant les récentes initiations de la prestigieuse faculté, selon le journal des étudiants en droit, Le Pigeon dissident, qui décrit des événements hypersexualisés perpétuant « la culture du viol ».

Dans un témoignage et un texte collectif de la rédaction publiés cette semaine, on dénonce une ambiance qui encourage « plusieurs étudiants à accepter de poser ou de subir des comportements sexuels déplacés » et à entonner « des chansons dégradantes » qui transforment « la femme » en « vulgaire objet, facile et docile, utile et bonne uniquement à amuser des phallus ».

« À Laval, les filles avalent », « à Ottawa, y sucent même pas », ont chanté les étudiants, toujours selon le journal.

Toute l'initiation prend la forme d'un concours où « tu ne peux tout simplement pas en gagner [de points] s'il n'y a pas au moins trois ou quatre filles dans ta section [classe] qui se mettent en brassière pratiquement toute la semaine », relate une jeune femme anonyme dans les mêmes pages. « C'est tellement valorisé d'enlever son chandail et ses pantalons. » Les étudiantes qui gagnent les reconnaissances des « juges », « c'est celles qui étaient les moins habillées toute la semaine », ajoute-t-elle.

 

Ce type de comportement n'est pas une nouveauté à l'Association des étudiants en droit (AED). En janvier dernier, selon nos informations, le comité organisateur de l'événement officiel de rentrée à l'école a fait la promotion de celui-ci avec une photo où plusieurs d'entre eux étaient très légèrement vêtus. Elle a ensuite été retirée.

« Ce n'est pas écrit sur un bout de papier qu'il faut se mettre toute nue, c'est juste vraiment trop valorisé », dit-elle encore. « Et si tu veux le moindrement gagner, tu n'as pas le choix. »

L'association étudiante reconnaît « qu'il reste du travail à effectuer pour éliminer toute trace d'anciennes pratiques dégradantes et sexistes » et promet d'entamer une « réflexion » sur le sujet. La faculté ne commente pas le dossier, préférant s'en remettre à l'Université, qui assure qu'une analyse de la situation sera menée.

« Il y a déjà des démarches qui ont été entamées avec la directrice du bureau du harcèlement chez nous et avec la FAECUM », l'association qui regroupe tous les étudiants de l'Université de Montréal, a indiqué la porte-parole de l'Université Geneviève O'Meara.

L'incitation à se dévêtir ou à commettre des gestes dégradants « n'était pas dans les règles de l'activité édictées par l'association », a-t-elle ajouté. « Il n'y avait pas de mention que la nudité ou des jeunes femmes en soutien-gorge, ça méritait plus de points. »

Elle a aussi précisé que le règlement de l'Université qui condamne ce type de pratique s'applique à tout événement « universitaire », qu'il soit sur le campus ou à l'extérieur de celui-ci : une partie des initiations de droit se sont déroulées dans un lieu loué à Saint-Pie, en Montérégie.

« LES COUPABLES, C'EST VOUS, C'EST NOUS »

Les initiations des nouveaux étudiants en droit de l'UdeM se déroulaient alors qu'à l'Université du Québec en Outaouais, une affiche associant un nombre de points à des actes comme « prendre une photo de sein » ou boire de l'alcool « dans une craque de seins » faisait les manchettes.

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