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Les courants de pensée Philosophique

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zenalpha

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Membre, Posté(e)
zeugma Membre 670 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

...dire que la recherche qui utilise l'outil mathématique est la plus juste, la seule apte, la mieux appropriée et proportionnée "méthode" pour l'intelligence humaine de connaitre ce qu'est le réel, et la nature vivante est oublier ce qu'est fondamentalement l'abstraction mathématique et la structure du réel tout autant que la composition homéostatique de la vie naturelle...

cet oubli repose sur quatre causes...

premièrement :

 l'évolution de la pensée humaine qui à depuis longtemps utilisé l'outil mathématique, n'a pas fait émergée une connaissance parfaite et universelle, mais une segmentation relationnelle du savoir, les mathématiques ne crées rien comme perfectionnement de la pensée humaine, mais elles redisposent uniquement des données par une conceptualisation quantitative des qualités...

donnant un nouveau point de vue et pas une vision de la destination humaine...

c'est donc le premier oubli de ceux qui préconisent l'application des mathématiques à tous les plans de l'agir humain, économie, gestions sociales, répartition territoriale des populations par le travail etc...la liste est longue...

mais se résume à l'oubli de la fin en survalorisant les moyens...

deuxièmement :

la fonctionnalité qui est au centre de toute modalisation mathématique, est induite en toutes les programmations logiques, comme moyen-terme entre l'abstraction nécessaire pour la saisies des données de base : qualités quantifiés, et l'abstraction propre à la fonctionnalité : la quantité qualifiée...

ce retournement, ou plus exactement cette "réflexion", entendu comme image reflétée du réel, est oubliée par le mathématicien dans sa réflexion entendu comme mouvement de sa pensée...

mais surtout, que tout reflet est "un double" qui ne peut être exactement ce qu'est la réalité originale et originelle, que toute réflexion qui est un moment de saisie conditionnée, ne peut rendre compte de la totalité de ce réel organique et vital...

ainsi l'abstraction mathématique, qui est une inversion de la qualité quantifié par la quantité qualifiée, fonctionne et se programme dans une représentation du réel issue d'elle même, et pas du réel et de la nature, qu'elle à retranscrit à sa façon...

d'où l'oubli du caractère relatif des mathématiques, à l'intelligence complète de l'humain...

la recherche mathématique se résume à un choix fonctionnel de l'intelligence et donc aveugle au bien ou au mal de l'agir humain, puisque sa seule motivation est la fonctionnalité logique qui n'est ni bonne ni mauvaise en t'en que fonction opératrice produisant une suite cohérente de résultats...

on peut même dire que la fonctionnalité qui formalise le discourt méta-mathématique réduit le "sens" à la "signification", puisque seul compte pour l'intelligence mathématique, que l'enchaînement logique de la programmatique fonctionnelle...

ainsi nous voyons trop tard dans les applications pratiques de ce choix du fonctionnalisme généralisé, par les technologies qui modifient le conditionnent naturel en conditionnement artificiel, réduisent et détruisent le jugement humain sur le bien et le mal, et n'ont comme seule norme prudente, cette devise : "si ça fonctionne c'est que c'est bon"...

l'oubli de la distinction et le remplacement parfois entre le bon résultat et le bien fondé de l'application du choix fonctionnel, est un danger que l'humanité doit prendre au sérieux...

troisièmement :

un autre oubli qui est maintenant plus celui qui fait s'estomper la différence entre l'intelligence naturelle et l'intelligence artificielle (IA)... 

la programmation mathématique devient de plus en plus contrainte de se biné-ariser compte tenu du traitement quantitatif croissants des données intermédiaires entre la saisie première des données et la programmation mise en place pour modéliser et appliquer toutes les variables nécessaires...

cette nouvelle complexité à deux "niveaux" 1/ la possibilité de croisement de plusieurs résultats eux même complexes (je pense aux climatologues) et 2/ de fournir une "sortie informative" de nouvelles données, susceptible d'être comprises par des décideurs (je pense aux chefs d'entreprises et aux responsables politiques)...

ce qui devient patent, c'est que le modèle informatif quantifié prend la place petit à petit sur le donné qualitatif soumis au calcul, et que nous passons d'un gouvernement des lois à une gouvernance par des chiffres, nous glissons des valeurs à une évaluation...se référer explicitement pour ce point au travail d'Alain Supiot 

mais ce danger nouveau ne s'arrête pas là, il y a aussi dans la possibilité d’accroître la complexité du calcul par l'informatique, un champs de recherche de la preuve numérique, jusque dans les sciences humaines, par la statistique comparée, dont nous avons déjà parlé et bien sûr incompatible-ment résolut que, selon l'acceptation du modèle statistique ou sa programmation, l'usage des résultats peut-avoir une incongruité relative à l'oubli de la disparité temporelle et spatiale de la saisie des données brutes...(se référer entre autre au paradoxe de Simpson)...


enfin l'oubli majeur du réel qui découle de l'efficience informatique, est la divisibilité non linéaire des zones du langage informatique, dans le Run-time-information par exemple ou dans l'usage d'un itérateur, qui désigne sans définir finement des objets informatiques...

ainsi le sens qualitatif de la vie qui est pour l'intelligence humaine une source et une quête, n'est plus dans l'IA qu'une quantité numérique et logique, utilisant un encodage type, pour toutes les données input, et une redistribution programmatique de l'output...programmation Duck typing est assez connu pour être en usage dans bon nombre des réseaux sociaux qui redécoupe la conscience humaine en zones d'influences et d'inférences...

encore un oubli du corps hic et nunc qui lui est sensible et donc limité dans la quantité informative de la qualité sensitive... je ne développe pas tout le monde aura compris...

quatrièmement : 

et peut-être l'oubli le plus troublant que l'intelligence mathématique pose par son unidirectionnalité logique, est l'oubli de la double nécessité alternative de la certitude et de l'évidence...

ce qui est naturellement inclus dans l'évolution du phylum intellectuel, c'est une alternance entre l'évidence et la certitude, mais qui devient pour l'intelligence mathématique une alternance expérimentation/preuve...

mais il est assez simple de montrer que les deux ne se recoupent pas exactement, et que si pour l'intelligence naturelle la certitude est une caution d'acceptabilité du sens, qui situe le sujet comme centre de son choix futur,  lors que la preuve mathématique est une transposition d'une cohérence numérique...

pareillement pour l'évidence qui est une saisie informationnelle à partir du sensible individuel, issu de l'expérience, l'expérimentation n'est qu'une réduction des facteurs inter-relationnels d'une suite choisie en vu de faire apparaître des informations de confluence et d'influence...

si le sujet intéresse, je poursuivrais...

 

 

 

 P.S:

...une contradiction devient une aberration lorsque l'intelligence qui inclue sa contradiction à son propre système de référencement, opte pour une recherche conditionnée par ce référencement...

 

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Membre, Posté(e)
zeugma Membre 670 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
il y a 37 minutes, LouiseAragon a dit :

Je voudrais savoir s'il y a de "faux philosophes" comme il y a de "faux scientifiques" ?

si vous appelez faux un enfermement dans un référencement normatif, qui n'inclus rien d'autre que les données qui viennent soutenir une forme systémique de jugement... alors oui il y a de faux philosophes, tels Kant ou Hegel comme il y a de faux scientifiques comme tous ceux qui sont tentés par le scientisme...la liste est longue mais point infini...

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 55ans Posté(e)
zenalpha Membre 19 082 messages
55ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)

C'est d'autant plus vrai que je n'aborde le monde scientifique que ponctuellement selon les études à mener au travers de mes competences statistiques

Et mon actualité est davantage l'économie voire la finance 

Suis Je scientifique, philosophe ou hors de l'humanité comme suggéré ?

Et vous qui me lisez ? Vous êtes quoi ?

eh eh

 

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 55ans Posté(e)
zenalpha Membre 19 082 messages
55ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)
Il y a 7 heures, zeugma a dit :

...dire que la recherche qui utilise l'outil mathématique est la plus juste, la seule apte, la mieux appropriée et proportionnée "méthode" pour l'intelligence humaine de connaitre ce qu'est le réel, et la nature vivante est oublier ce qu'est fondamentalement l'abstraction mathématique et la structure du réel tout autant que la composition homéostatique de la vie naturelle...

cet oubli repose sur quatre causes...

premièrement :

 l'évolution de la pensée humaine qui à depuis longtemps utilisé l'outil mathématique, n'a pas fait émergée une connaissance parfaite et universelle, mais une segmentation relationnelle du savoir, les mathématiques ne crées rien comme perfectionnement de la pensée humaine, mais elles redisposent uniquement des données par une conceptualisation quantitative des qualités...

donnant un nouveau point de vue et pas une vision de la destination humaine...

c'est donc le premier oubli de ceux qui préconisent l'application des mathématiques à tous les plans de l'agir humain, économie, gestions sociales, répartition territoriale des populations par le travail etc...la liste est longue...

mais se résume à l'oubli de la fin en survalorisant les moyens...

deuxièmement :

la fonctionnalité qui est au centre de toute modalisation mathématique, est induite en toutes les programmations logiques, comme moyen-terme entre l'abstraction nécessaire pour la saisies des données de base : qualités quantifiés, et l'abstraction propre à la fonctionnalité : la quantité qualifiée...

ce retournement, ou plus exactement cette "réflexion", entendu comme image reflétée du réel, est oubliée par le mathématicien dans sa réflexion entendu comme mouvement de sa pensée...

mais surtout, que tout reflet est "un double" qui ne peut être exactement ce qu'est la réalité originale et originelle, que toute réflexion qui est un moment de saisie conditionnée, ne peut rendre compte de la totalité de ce réel organique et vital...

ainsi l'abstraction mathématique, qui est une inversion de la qualité quantifié par la quantité qualifiée, fonctionne et se programme dans une représentation du réel issue d'elle même, et pas du réel et de la nature, qu'elle à retranscrit à sa façon...

d'où l'oubli du caractère relatif des mathématiques, à l'intelligence complète de l'humain...

la recherche mathématique se résume à un choix fonctionnel de l'intelligence et donc aveugle au bien ou au mal de l'agir humain, puisque sa seule motivation est la fonctionnalité logique qui n'est ni bonne ni mauvaise en t'en que fonction opératrice produisant une suite cohérente de résultats...

on peut même dire que la fonctionnalité qui formalise le discourt méta-mathématique réduit le "sens" à la "signification", puisque seul compte pour l'intelligence mathématique, que l'enchaînement logique de la programmatique fonctionnelle...

ainsi nous voyons trop tard dans les applications pratiques de ce choix du fonctionnalisme généralisé, par les technologies qui modifient le conditionnent naturel en conditionnement artificiel, réduisent et détruisent le jugement humain sur le bien et le mal, et n'ont comme seule norme prudente, cette devise : "si ça fonctionne c'est que c'est bon"...

l'oubli de la distinction et le remplacement parfois entre le bon résultat et le bien fondé de l'application du choix fonctionnel, est un danger que l'humanité doit prendre au sérieux...

troisièmement :

un autre oubli qui est maintenant plus celui qui fait s'estomper la différence entre l'intelligence naturelle et l'intelligence artificielle (IA)... 

la programmation mathématique devient de plus en plus contrainte de se biné-ariser compte tenu du traitement quantitatif croissants des données intermédiaires entre la saisie première des données et la programmation mise en place pour modéliser et appliquer toutes les variables nécessaires...

cette nouvelle complexité à deux "niveaux" 1/ la possibilité de croisement de plusieurs résultats eux même complexes (je pense aux climatologues) et 2/ de fournir une "sortie informative" de nouvelles données, susceptible d'être comprises par des décideurs (je pense aux chefs d'entreprises et aux responsables politiques)...

ce qui devient patent, c'est que le modèle informatif quantifié prend la place petit à petit sur le donné qualitatif soumis au calcul, et que nous passons d'un gouvernement des lois à une gouvernance par des chiffres, nous glissons des valeurs à une évaluation...se référer explicitement pour ce point au travail d'Alain Supiot 

mais ce danger nouveau ne s'arrête pas là, il y a aussi dans la possibilité d’accroître la complexité du calcul par l'informatique, un champs de recherche de la preuve numérique, jusque dans les sciences humaines, par la statistique comparée, dont nous avons déjà parlé et bien sûr incompatible-ment résolut que, selon l'acceptation du modèle statistique ou sa programmation, l'usage des résultats peut-avoir une incongruité relative à l'oubli de la disparité temporelle et spatiale de la saisie des données brutes...(se référer entre autre au paradoxe de Simpson)...


enfin l'oubli majeur du réel qui découle de l'efficience informatique, est la divisibilité non linéaire des zones du langage informatique, dans le Run-time-information par exemple ou dans l'usage d'un itérateur, qui désigne sans définir finement des objets informatiques...

ainsi le sens qualitatif de la vie qui est pour l'intelligence humaine une source et une quête, n'est plus dans l'IA qu'une quantité numérique et logique, utilisant un encodage type, pour toutes les données input, et une redistribution programmatique de l'output...programmation Duck typing est assez connu pour être en usage dans bon nombre des réseaux sociaux qui redécoupe la conscience humaine en zones d'influences et d'inférences...

encore un oubli du corps hic et nunc qui lui est sensible et donc limité dans la quantité informative de la qualité sensitive... je ne développe pas tout le monde aura compris...

quatrièmement : 

et peut-être l'oubli le plus troublant que l'intelligence mathématique pose par son unidirectionnalité logique, est l'oubli de la double nécessité alternative de la certitude et de l'évidence...

ce qui est naturellement inclus dans l'évolution du phylum intellectuel, c'est une alternance entre l'évidence et la certitude, mais qui devient pour l'intelligence mathématique une alternance expérimentation/preuve...

mais il est assez simple de montrer que les deux ne se recoupent pas exactement, et que si pour l'intelligence naturelle la certitude est une caution d'acceptabilité du sens, qui situe le sujet comme centre de son choix futur,  lors que la preuve mathématique est une transposition d'une cohérence numérique...

pareillement pour l'évidence qui est une saisie informationnelle à partir du sensible individuel, issu de l'expérience, l'expérimentation n'est qu'une réduction des facteurs inter-relationnels d'une suite choisie en vu de faire apparaître des informations de confluence et d'influence...

si le sujet intéresse, je poursuivrais...

 

 

 

 P.S:

...une contradiction devient une aberration lorsque l'intelligence qui inclue sa contradiction à son propre système de référencement, opte pour une recherche conditionnée par ce référencement...

 

Bien sûr que ça interesse nous sommes totalement en désaccord et qu'importe 

Une fois n'est pas coutume, je suivrai vos points comme l'élève peu discipliné que je n'étais parfois pas (je vous laisse dépatouiller le sens de ma phrase sans logique)

Point 1 : En effet, tout savoir est parcellaire et plus la certitude est forte, plus son domaine est encadré et precis dans le temps et l'espace ou dans un domaine de. Definition mathematique, aucun savoir absolu n'étant donc omniscient (vous pensez à dieu peut-être ? Au philosophe ? Quelle humilité !)

Si la science dégage des connaissances, c'est uniquement par la linéarité de systemes isolés dont le tout est strictement egal à la somme de ses composantes. Il suffit alors de comprendre la partie pour rendre compte du tout.

Une méthode reductionniste dont la precision a pour consequence l'impossibilité de rendre compte de tout (j'englobe ici davantage que la theorie du tout de la physique elle meme non decouverte si tenté qu'elle existe)

Le bas blesse quand des principes émergents font apparaître un nouvel ordre qui s'émancipe  de celui des constituants et bien sûr cela arrive dans les systemes 

Neanmoins, en expliquant petit à petit des systemes isolés, seule la science a permis de comprendre des mecanismes a priori indépendants tels que la lumiere, le magnétisme ou l'électricité dans un formalisme unique

S'il avait fallu attendre les lumieres du philosophe pour allumer la lumiere du salon, nous serions tous encore ampoulés

Oui, nous ne savons pas tout mais ce que nous savons est bigrement precis et efficace.

La "quantification" de la "qualité" est bigrement naïve 

Il n'y a pas "quantification" par les mathematiques qui recoupent des concepts bien plus étendus que le nombre... mais sur ce point, l'image des mathematiques vu par un non mathematicien est ... Partielle elle aussi... mais fausse...

point 2 : 

Le scientifique ne confond jamais le formalisme du phénomène physique lui meme...il utilise un isomorphisme...c'est bien la preuve qu'il ne confond pas puisque l'isomorphie met en relation deux entités différentes...

Et s'il veut savoir a quelle vitesse tombe deux individus très différents sur Terre dans un tube vertical dans lequel on a fait le vide, de quelle information le philosophe a t'il besoin pour répondre ?

ça rend humble ce qu'on est et surtout à quoi ça sert dans un phénomène naturel tel qu'une chute... le scientifique est plus humble que le philosophe et Pourtant c'est lui qui amène aussi l'ordinateur après l'électricité au philosophe

Point 3

L'homme n'est pas une machine ni totalement rationnel 

Et les mathematiques ne sont pas des automates à calcul !

Jamais aucun ordinateur n'a produit un theoreme mathematique, jamais...

La vision que vous defendez est celle d'Hilbert qui a été demontrée impossible concernant cette mécanisation des mathematiques 

L'ordinateur sert à effectuer des calculs et verifie sur d'énormes quantités d'iterations qu'un theoreme non encore logiquement demontre semble juste

L'ordinateur est un peu l'expérimentation du mathematicien

Mais le jour ou un ordinateur obtiendra la medaille Field, ce sera sans doute la fin de l'humanité.

vous parlez des mathematiques comme je parle de l'art de cuisiner une bollox par les marsupilami de La planete sigma dans 30 000 siecle et je leur explique ce qui ne va pas dans leur recette

Quant a l'utilisation pratique des statistiques En societe, je préfère ne pas en parler etant statisticien... Mais bon...

Point 4

Toutes les evidences se sont cassées la figure au 20 eme siècle, toutes

Nos representations du temps, de l'espace, de La matiere, de l'univers, de la place de la terre, rien n'a résisté à la science qui demontre plus que souvent l'inverse de ce que nos sens montrent et de ce que le bon sens pressent

 

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Membre, Posté(e)
zeugma Membre 670 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

 

 

...par la conclusion de ce dernier post, l'auteur signe en toutes lettres sa sortie de l'humanité naturelle et son entrée dans une humanisation de l'artificiel...

je ne défendrais pas une nouvelle fois ce que j'ai déjà posté ailleurs, chacun sait maintenant ce qu'est cette dérive et la prégnance scientifique qui accouche des scientistes...

quant un humain choisi d'intégrer une forme logique de résultat à son agir pratique et morale, jusqu'à oublier que sa vie est avant tout naturelle, c'est à ne pas douter que l'overdose est atteinte...

avec comme seule excuse je reconnais que les mathématiques ont un pouvoir si grisant dans leur efficience, que la vie de l'intelligence qui pratique cette discipline est irrésistiblement sous l'attraction d'un phénomène d'auto-satisfaction, car le "connexionnisme" cérébrale trouve dans toute méthodologie utilisant les mathématique, un "terrain de jeux" à la mesure de sa fonctionnalité...

 

ce qui sera perçu dans quelques années, mais qui est déjà su aujourd'hui par quelques personnes, c'est que la dimensionnalité de l'intelligence offre une multitude de gestion de l'information, mais que toutes n'ont pas la même qualité de vie que les autres, et que certaines même sont opposés à la pérennité de la vie...

 

P.S : j'aurai à revenir sur ce sujet, dans un article que je prépare en vu d'être débattu ici et ailleurs...

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 55ans Posté(e)
zenalpha Membre 19 082 messages
55ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)

A part sur injonction de Dieu lui meme, ma qualité d'être humain me semble être un acquis pour la vie

Et malgré votre appréhension globale de l'univers concomitante à votre grande ignorance des mathematiques et de la physique, vous n'êtes certainement pas Dieu...

Apprenez en un peu pour élargir ce que vous savez plutot que de ne rien savoir sur absolument tout

Pour qui vous prenez vous pour me parler de qualité de vie ?

Modifié par zenalpha
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Membre, Posté(e)
zeugma Membre 670 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Si vous aviez encore une intelligence humaine, vous ne poseriez pas cette question....

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 55ans Posté(e)
zenalpha Membre 19 082 messages
55ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)

L'intelligence est la ressource la mieux partagée de la terre puisque chacun est persuadé d'en être davantage doté que son voisin

J'eviterai de trop faire appel à la mienne et vous poser la question puisque vous êtes expert de vous meme 

Je respecte l'expertise 

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Membre, Posté(e)
zeugma Membre 670 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

...partagée dans sa qualité de perception des priorités, oui, mais dans les conséquences complexes de l'agir morale et pratique, non...

si vous ne savez pas vous voir tel que vous êtes devenu, évidement vous ne me voyez pas tel que je suis...

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Invité Spontzy
Invités, Posté(e)
Invité Spontzy
Invité Spontzy Invités 0 message
Posté(e)
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Si vous aviez encore une intelligence humaine, vous ne poseriez pas cette question....

:bienvenue:

 

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 55ans Posté(e)
zenalpha Membre 19 082 messages
55ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)

Je veux bien me poser des questions sur moi-même...je me les pose...

Mais que vous me suggériez d'avoir les réponses à votre sujet sans vous poser de question, c'est assez representatif de votre maniere de voir les choses...

Vous posez-vous des questions sur Vous mêmes ou suis je donc dans l'obligation d'avoir les reponses pour vous ?

je vous invite à apprecier le décalage entre image de soi et image perçue par l'autre, vous constaterez que mes réponses sur vous et sur moi sont differentes des votres...

En science, l'expérimentation tranche sur une difference de theorie...

En relation humaine, vous invoquez un grand gourou pour trancher et la verité avec un grand V

Mais il n'y a rien à trancher...Si grand gourou est Le mandarom, nous savons qu'il est d'accord avec vous Sauf que Le mandarom ou le grand gourou... il a pas encore inventé le fil à couper le beurre

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Membre, Posté(e)
zeugma Membre 670 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

la logique "de l'objet saisi dans le questionnement" qui influe sur le sujet qui use de cette logique est un problème de distinction entre la nature exacte de ce qu'est un objet et ce qu'est un sujet...

nul doute que votre logique personnelle vous fasse apprécier les autres sujets comme des objets, puisqu'elle est une objectivation unilatérale du réel, provenant de votre méthodologie statisticienne...

déformation professionnelle ais-je dis ailleurs...

je rajoute, tendance psychologique à réduire le sujet à son expressivité, qui est comme toute forme de logique, une simplification par caractérisation typologique de la diversité...

 

 

 

P.S cette phrase : "Mais que vous me suggériez d'avoir les réponses à votre sujet sans vous poser de question, c'est assez representatif de votre maniere de voir les choses... "

 

est la preuve si il en est... (non-scientifique évidement)  de la confusion entre la connaissance d'un objet et la coopération avec un autre sujet...tout est dit...

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Membre, 76ans Posté(e)
Blaquière Membre 18 869 messages
Maitre des forums‚ 76ans‚
Posté(e)
Il y a 22 heures, zeugma a dit :

 P.S:

...une contradiction devient une aberration lorsque l'intelligence qui inclue sa contradiction à son propre système de référencement, opte pour une recherche conditionnée par ce référencement...

 

Il est compliqué ce Zeugma et je me garderai bien de le contredire...

 

Citation

je rajoute, tendance psychologique à réduire le sujet à son expressivité, qui est comme toute forme de logique, une simplification par caractérisation typologique de la diversité...

Ah que oui !

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Invité Spontzy
Invités, Posté(e)
Invité Spontzy
Invité Spontzy Invités 0 message
Posté(e)

Compliqué ?

Il me semble pourtant très clair, incisif même :

Citation

tout est dit...

Non je plaisante :

Citation

pour ce qui est particulièrement dit ici et qui touche la santé mentale des personnes et le climat de fragilisation des consciences, je vous demanderais de mesurez l'espace qui vous sépare de la prise en compte de cas réels comme vous dites et de la domination d'une culture de la psychologie tout azimut qui est cause de tant de drames au quotidien, faisant de l'état stable de l'intelligence humaine, une suite complexe de refoulement et de non-dit qui brouille toute lucidité de la vie spirituelle...

;)

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Membre, Posté(e)
zeugma Membre 670 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
il y a 16 minutes, Blaquière a dit :

Il est compliqué ce Zeugma et je me garderai bien de le contredire...

cher Blaquière, comme disait Nietzsche : avec les bossus il faut parler la langue des bossus, mais rien ne nous empêche de creuser un peu ensemble de cette "complexité" qui vous semble absconsEU (par soumission au dictat de la forme sur le fond  ... 

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Membre, Posté(e)
zeugma Membre 670 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

cette faute d'orthographe n'était que le leurre qui cachait l'hameçon, car celui ci vous attrape par la partie de votre intelligence qui tend à réduire le fond par la forme...comme procédure usuelle de toutes les psychologies...

cette faute est la réussite d'un acte manqué...:smile2:

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Membre, Posté(e)
LouiseAragon Membre 14 351 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
Il y a 4 heures, zeugma a dit :

Si vous aviez encore une intelligence humaine, vous ne poseriez pas cette question....

"Si vous aviez encore une intelligence humaine, vous ne poseriez pas cette question.... dites-vous"

Est-ce de la provocation ? Est-ce une question honnête ? Est-ce un jugement de valeur que vous portez sur telle personne ? 

Pour moi votre assertion  aurait  tendance à mettre en lumière une façon erronée que vous avez de poser le problème .... 

Peut-être faites-vous erreur sur la définition de "l' intelligence" et de "l'idéologie " qui posent des questions philosophiques et sociales différentes ! 

 

Il y a 4 heures, zeugma a dit :

Si vous aviez encore une intelligence humaine, vous ne poseriez pas cette question....

 

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Membre, Posté(e)
LouiseAragon Membre 14 351 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
Il y a 21 heures, zenalpha a dit :

C'est d'autant plus vrai que je n'aborde le monde scientifique que ponctuellement selon les études à mener au travers de mes competences statistiques 

Et mon actualité est davantage l'économie voire la finance 

Suis Je scientifique, philosophe ou hors de l'humanité comme suggéré ? Et vous qui me lisez ? Vous êtes quoi ?

eh eh

 

:)Ce dialogue me laisse entrevoir (mais peut-être fais-je erreur) comme une bataille d'égos assez puérile !  Est-il question de bataille pour le pouvoir ? Lequel serait à même d'orienter l'humanité vers le bien ? Serait-ce le  philosophe, le mathématicien, le physicien, le scientifique, l'ouvrier, le patron, le cadre, le financier ou banquier, l'actionnaire ... Il est encore ici question d'idéologie ! Parle t-on de démocratie, de coopération, d'échanges et de partages de savoirs .... Parle t-on  d'une science aux service des profits et de la technologie ... La "philosophie " serait-elle étanche à l'idéologie en cours ? 

C'est un terme absent de la discussion et qui est à mon sens au centre du débat ! A quelle idéologie se réfère t-on ? 

Et peut-être faut-il définir ce qu'est l'idéologie ? 

:)

Modifié par LouiseAragon
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