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Les courants de pensée Philosophique

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zenalpha

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Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 5 739 messages
If you don't want, you Kant...,
Posté(e)
Le 31/01/2017 à 16:58, Spontzy a dit :

Sauf erreur de ma part, il n'est jamais question de l'intérieur de la théorie dans tout ce que vous écrivez. S'il en est question et que je n'ai pas vu, merci de surligner en jaune quelle partie de la théorie est d'ordre psychologique

[...]

Le reste de votre message explique que des impacts psychologiques existent dans la création de théories scientifiques. Il y a compromis la dessus. Pourquoi y revenir ?

 

Bonsoir,

c'est avant tout un " problème " de compréhension, et si tu as lu et compris ce que j'avais développé succinctement au-dessus de ta réponse, tu ne peux pas ne pas voir le lien entre les effets de la psyché humaine et la production théorique avec ou sans formalisme, et donc son introduction corrélativement.

Par exemple, avant Kepler, pour des considérations propre à Aristote entre autres, les orbites étaient circulaires, et à vrai dire dans un système héliocentrique les erreurs auraient été minimes avec les instruments de l'époque pour l'orbite de Mars en l'occurrence. Kepler en est arrivé à l'idée d'ellipse, et j'y reviendrais, en s'appuyant sur la deuxième loi, qui est donc première historiquement en réalité, quoi qu'il en soit cette ellipse n'est pas plus réelle que le cercle, elle est juste moins " fausse " si l'on s'en réfère à des mesures plus précises, car n'oublions pas que l'influence des autres astres déforme l'orbite des planètes, ce n'est donc pas une ellipse telle que la géométrie l'entend, de plus toujours depuis notre illustre Poincaré, on sait que le système solaire est chaotique, c'est à dire que les trajectoires des planètes ne ressemblent à aucune forme géométrique définie, elles sont inconstantes, ce qui signifie que ce n'était que des approximations, elles-mêmes issues de processus mentaux, des limitations, des erreurs, des choix, des hypothèses ou modèles en tête, imaginés, devinés, supposés, supputés, et plus ou moins corroborés, d'ailleurs Kepler est le premier savant à commencer à faire des hypothèses/représentations physiques avant d'en rechercher la validité dans les mesures, en ce sens il est un scientifique dans le sens moderne du terme, bien qu'aussi motivé par toutes sortes de sources divine ou mystiques.

 

Je te donne plusieurs éléments documentaires, pour y songer/réfléchir par toi-même:

http://r.search.yahoo.com/_ylt=A9mSs2d.PpNYzVMAba1jAQx.;_ylu=X3oDMTByMWk2OWNtBGNvbG8DaXIyBHBvcwMyBHZ0aWQDBHNlYwNzcg--/RV=2/RE=1486073599/RO=10/RU=http%3a%2f%2fwww.sens-neuchatel.ch%2fbulletin%2fno36%2fart3-36.pdf/RK=0/RS=DDR1lMMd4e0j6_gZt8g0evHvQ_I-

https://media4.obspm.fr/public/FSU/pages_lois-kepler/impression.html

 

Ainsi que: Les cahiers de Science et Vie, n°21, Kepler ( qui ne fait que reprendre en substance ce que l'on trouve dans les deux liens en ligne )

 

Citation
  • Première loi de Kepler : les planètes décrivent une ellipse dont le Soleil occupe l'un des foyers ;
  • Deuxième loi de Kepler : le rayon Soleil-planète balaie des aires égales pendant des intervalles de temps égaux ;
  • Troisième loi de Kepler : le carré de la période de révolution est proportionnel au cube du demi grand-axe de l'orbite.

La deuxième loi étant chronologiquement la première, il est tout de même important de commencer par là, car le seconde, même si ça n'a pas été évident pour Kepler, est une conséquence de la première en quelque sorte.

Il obtient donc cette seconde loi, pour les " aires ", en s'appuyant sur deux/trois prémisses/hypothèses fausses/erronés:

" Kepler imagine une méthode pour obtenir l'excentricité de l'orbite de Mars à partir de trois observations de Mars faites à 687 jours d'intervalle (période de révolution sidérale de Mars). Il sait en outre que plus les planètes sont proches du Soleil, plus elles se déplacent vite, tandis que plus elles s'en éloignent, plus leur mouvement ralentit. Kepler en déduit que l'action du Soleil doit varier en fonction de la distance de la planète au Soleil ; il la suppose inversement proportionnelle à la distance. Première erreur.

Kepler cherche ensuite à calculer la durée que met la Terre pour passer d'une position à une autre. Il décompose pour cela une portion de l'orbite en petits segments et s'aperçoit que la durée passée par la Terre sur de petits arcs est approximativement proportionnelle à la distance de ces arcs au Soleil. Il assimile donc une surface à une somme de lignes. Deuxième erreur.

Mais il transforme ces deux déductions en une loi correcte, la loi des aires : le rayon vecteur qui joint une planète au Soleil balaie des aires égales en des intervalles de temps égaux. Historiquement, Kepler découvrit donc en premier la loi que nous appelons la deuxième loi. "

 

" Il commet l’erreur de penser que l’action du Soleil ne se répartit pas dans l’espace à l’instar de la lumière mais uniquement dans le plan de l’orbite. Sa conclusion est qu’elle diminue avec la distance entre la planète et le Soleil et non avec cette distance élevée au carré.

L’astronome en conclut que le temps que met la Terre pour parcourir une distance donnée est
proportionnel à la somme des rayons dans le quartier d’orbite que l’on considère. Il fait
ensuite tendre le nombre de quartier vers l’infini et substitue à la somme infinie des rayons
vecteurs(ou vecteurs position) l’aire de la portion d’orbite que l’on considère.
En conséquence, il énonce sa deuxième loi (dont on ne manquera pas de remarquer qu’elle
apparaît avant la première) : le rayon vecteur balaie des aires égales en temps égaux. Kepler la
nommera la « loi des aires ».

Loin de basculer dans le triomphalisme, Kepler met sa loi à l’épreuve des mesures en vue de
la vérifier. Il doute en effet du bien-fondé de la substitution dont il a usé pour y parvenir et a
raison de le faire : en effet, la somme infinie des vecteurs position n’équivaut en fait pas à
l’aire constituées des triangles que ces vecteurs délimitent. Seulement voilà, lorsque l’on
confronte les observations aux calculs, cette loi offre des résultats d’une remarquable
précision. Kepler, avec un peu de mauvaise foi peut-être, passe donc sur ces imprécisions
mathématiques comme chat sur braise et indique au lecteur que cette loi utilise un certain
nombre d’approximations, qui selon lui « s’annulent ».

Arthur Koestler met en exergue le fait que Kepler se base en réalité sur trois suppositions dont
nous savons qu’elles sont erronées pour parvenir à cette loi. En effet, il pense que l’orbite de
la Terre est circulaire alors qu’elle est elliptique, il substitue une aire à la somme des vecteurs
position et il croit que la vitesse de la planète varie comme l’inverse de la distance entre cette
dernière et le Soleil.
"

 

Pour les ellipses, la première loi, il n'y a trop rien à y redire, puisque c'est une conséquence de la seconde loi, bien que cela ne corresponde pas à la stricte réalité, faute de mesure encore plus précises, et tatillon comme il était, si il avait eu vent des écarts, il aurait tout rejeter !

 

Pour la troisième loi, c'est encore plus flagrant !

" Kepler, pour qui la corrélation d’une certaine précision entre le rapport de ces vitesses
angulaires et certains intervalles conforte sa conviction que l’univers est régit par l’Harmonie,
décide d’aller plus loin et de véritablement faire de la musique avec les planètes du système
solaire. Les sourcils des lecteurs ne manqueront pas de se hausser à cette idée, mais quoi de
plus normal pour notre astronome que de mettre en lumière la beauté, autrement dit
l’Harmonie de la création, par une sorte de mélodie céleste ? Il associe ainsi la vitesse
angulaire minimale de Saturne avec la note sol. La note « produite » par Saturne varie avec sa
vitesse angulaire ; elle va produire un glissando continu du sol vers une note plus haute. Il
procède de la même manière avec les autres planètes et obtient ainsi un chant à six voix.

Aujourd’hui, il nous paraît douteux, voire même délirant d’écouter ainsi une hypothétique
musique céleste jouée par des planètes. Ces idées peuvent sembler en contradiction avec les
travaux d’un Kepler qui nous semble parfois cartésien avant l’heure, émettant une hypothèse
en s’intéressant aux causes des faits observés et la vérifiant ensuite expérimentalement.
Cependant, force nous est de constater que ces deux façons de procéder ne se distinguent pas
du point de vue de cet astronome, et que lui ne placera jamais ses lois sur un piédestal par
rapport au reste de son oeuvre : pour lui, elle ne possèdent pas plus de valeur que son modèle
des solides platoniciens ou ses applications de l’Harmonie à des domaines aussi variés que
l’architecture ou la politique.

Des années auparavant, alors qu’il rédigeait le Mysterium Cosmographicum, l’astronome
avait observé que les périodes de révolutions des planètes ne variaient pas linéairement avec
leurs rayons. Autrement dit, pour deux planètes à distances r1 et r2 du soleil de période de
révolution T1 et T2, la relation T1/T2 = r1/r2 est erronée. Kepler tente alors une dépendance
quadratique qui elle non plus, ne donne pas de résultat probants. Loin de se décourager,
Kepler remarque que si la dépendance linéaire n’induit pas une variation assez grande des
périodes, la dépendance quadratique les fait varier de manière trop importante. Il en conclut
que l’exposant en question doit se trouver entre 1 et 2.
La suite de sa démarche diffère quelque peu selon les historiens : certains pensent que Kepler
aurait procédé de manière empirique en testant plusieurs exposant fractionnaires compris
entre 1 et 2 et qu’il serait ainsi « tombé » presque par hasard sur l’exposant correct, 3/ 2.
D’autres, à l’image d’Alexandre Koyré, soutiennent que le choix de Kepler est dû au fait que
le rapport 3/2 correspond à la quinte, intervalle consonant jugé supérieur par les
pythagoriciens. "

 

Ça me parait assez subjectif comme démarche, sans que ce soit arbitraire, puisque il revient régulièrement aux mesures, et qui se retrouve dans ses travaux finaux.

 

Citation

Concernant la falsification, Galilée maintient l'hypothèse des orbites circulaires malgré la réfutation par l'expérience. Comment pouvez-vous dire (je suppose que vous êtes en phase avec le texte que vous citez) qu'il respecte la méthode scientifique ? N'aurait-il pas lu Popper ? :smile2:

A noter que je ne vois pas en quoi l'erreur de Galilée apparait dans la théorie de Kepler, car je rappelle que c'est bien la le sujet sur lequel nos avis divergent. Pouvez-vous me le montrer ?

 

Cette partie traitait du travail d'analyse de Popper et Kuhn, non de ce que Galilée ou Kepler pensaient l'un de l'autre, ce serait un anachronisme que de parler en ces termes en ces temps là.

Il n'était donc pas question que l'erreur de Galilée se retrouve dans le travail de Kepler, mais de montrer que ces deux savants s'appuyaient sur leur subjectivité pour avancer dans leur travaux, et que les deux positions étaient à la fois tenables et critiquables, donc scientifiques !  

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Invité Spontzy
Invités, Posté(e)
Invité Spontzy
Invité Spontzy Invités 0 message
Posté(e)
Citation

c'est avant tout un " problème " de compréhension, et si tu as lu et compris ce que j'avais développé succinctement au-dessus de ta réponse, tu ne peux pas ne pas voir le lien entre les effets de la psyché humaine et la production théorique avec ou sans formalisme, et donc son introduction corrélativement.

Pour la 1000ème fois... la production théorique est hors sujet. Ou dans la théorie y-a-t-il un impact du psyché ? Lequel des termes de la théorie, contient l'impact psychologique ?

Sinon pourquoi citez vous encore et encore des paragraphes complets décrivant la conception des théories ? Il y a déjà consensus à ce sujet. Qu'y a t-il de pas clair sur ce point ?

 

Citation

Cette partie traitait du travail d'analyse de Popper et Kuhn, non de ce que Galilée ou Kepler pensaient l'un de l'autre, ce serait un anachronisme que de parler en ces termes en ces temps là.

C'était un peu fait exprès... pour l’anachronisme, d'où le smiley.

Ce que je souligne c'est qu'on ne peut pas en conclure que deux personnes utilisant la méthode scientifique arrivent à des résultats différents alors qu'un des deux n'utilise pas la méthode scientifique. Je crois que zenalpha a résumé ça en disant qu'il y a des erreurs logiques dans vos citations.

A+

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Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 5 739 messages
If you don't want, you Kant...,
Posté(e)
il y a 6 minutes, Spontzy a dit :

Pour la 1000ème fois... la production théorique est hors sujet. Ou dans la théorie y-a-t-il un impact du psyché ? Lequel des termes de la théorie, contient l'impact psychologique ?

Sinon pourquoi citez vous encore et encore des paragraphes complets décrivant la conception des théories ? Il y a déjà consensus à ce sujet. Qu'y a t-il de pas clair sur ce point ?

Bon, je n'insiste pas, si tu ne vois pas, c'est pas grave !

( Apparemment tu bloques sur le coté mathématique, parce qu'il y a un formalisme alors c'est indépendant de la psyché ou un truc du genre, partant de là, tu ne peux pas voir les choses autrement )

Comme ton copain l'a dit, et oui ça m'arrive d'être d'accord avec lui, ne pas comprendre, ça n'empêche pas de vivre !

 

il y a 6 minutes, Spontzy a dit :

 

Ce que je souligne c'est qu'on ne peut pas en conclure que deux personnes utilisant la méthode scientifique arrivent à des résultats différents alors qu'un des deux n'utilise pas la méthode scientifique.

 

Mais qui des deux n'a pas d'approche de physicien ?

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Invité Spontzy
Invités, Posté(e)
Invité Spontzy
Invité Spontzy Invités 0 message
Posté(e)
Citation

( Apparemment tu bloques sur le coté mathématique, parce qu'il y a un formalisme alors c'est indépendant de la psyché ou un truc du genre, partant de là, tu ne peux pas voir les choses autrement )

ou y a -t-il des maths dans les lois de Kepler que je vous ai soumise ?

Vous affirmez que DANS la théorie il y a impact du psyché. Ca doit donc etre possible dans la thérie de montrer cet impact. C'est tout ce que j'attends.

Citation

Mais qui des deux n'a pas d'approche de physicien ?

Etes vous sérieux ? A la question "qui a une approche de physicien entre une personne qui construit une théorie qui contredit les faits expérimentaux et une autre qui ne contredit pas les faits ?", je crois qu'une réponse doit pouvoir se dégager sans trop de difficulté.

A+

 

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 55ans Posté(e)
zenalpha Membre 19 082 messages
55ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)
Il y a 11 heures, deja-utilise a dit :

Bon, je n'insiste pas, si tu ne vois pas, c'est pas grave !

( Apparemment tu bloques sur le coté mathématique, parce qu'il y a un formalisme alors c'est indépendant de la psyché ou un truc du genre, partant de là, tu ne peux pas voir les choses autrement )

Comme ton copain l'a dit, et oui ça m'arrive d'être d'accord avec lui, ne pas comprendre, ça n'empêche pas de vivre !

D'un côté Zeugma parle de nous comme des personnes qui compartimentont le savoir alors qu'il ne revendique aucune connaissance en mathématique n'ayant même pas idée des apports et de la structure de ce "tiroir" dans le meuble des connaissances puisque son "Tout" en est totalement dépourvu...

Comment peut il parler de "compartimenter" les connaissances quand le problème est qu'il n'élargie absolument pas les siennes en statuant sur des sujets sans jamais les avoir jamais creusé donc eventuellement en ayant compris ce qu'ils apportaient ?

De l'autre, déja utilisé, tu t'es souvent presenté "en physicien" mais tu ne formalises pas tes "théories" et tu ne les mets pas à l'épreuve de l'expérience...par ailleurs, tu remets en question la pertinence même des mathematiques en physique...un physicien, peut être bien... mais qui s'est retiré sur une planete tellement lointaine que, depuis la Terre, nous ne pouvons employer pour lui ce qualificatif

Vous ne comprendrez peut-être pas mais il s'agit là d'une tendance qui inquiète énormément à l'heure des dogmatismes où beaucoup de gens tranchent sur tous sujets du très petit bout de leur lorgnette tout en revendiquant une vue d'aigle...de manière inversement proportionnelle à l'etendue de ce qu'ils n'ont pas creusé 

Ça va loin cette histoire d'ailleurs 

Un philosophe allemand, dont je retrouverai le nom, avait produit une thèse sur les racines profondes du nazisme.

Et, selon lui, la spécificité de l'Europe dans son rapport au savoir s'était métamorphosée avec Galilée 

Le "pari métaphysique" de Galilée avait introduit les mathematiques comme "Le langage de la nature" et, se faisant, il avait deplacé notre rapport à elle sur une "mécanisation" qui avait transformé notre rapport historique à elle d'une connaissance "méditante" empreinte de "pourquoi" a une connaissance calculante empreinte du "comment"

Et voici comment Galilée se retrouve par des thèses partant de ce "constat" simpliste comme l'origine meme du Nazisme dans une société déshumanisée et "efficacement sans scrupule"

C'est prodigieux mais je retrouve dans les racines assez dogmatique de vos representations cette très très mauvaise digestion de l'apport (et non de la prédominance...) des mathematiques dans la connaissance humaine 

Zeugma la diabolise tout autant... Et déjà utilisé l'écarte complètement...

Mais....

Notre propos n'est pas et n'a jamais été de remplacer l'homme par les mathematiques...ni de ne réfléchir que par les mathematiques...

Nietzche, encore une fois..., parlait d'un "salut" pour l'humanité dans un double cerveau à developper : celui des émotions et de l'irrationalité tempéré par celui de la rationalité et des connaissances universelles 

Je pense que vous ne developpez qu'un demi-cerveau en rejoignant des conceptions aristotélicienne totalement mais totalement depassées 

On peut à la fois etre homme de science et humaniste voire homme de science et croyant (je suis agnostique)

Mais on ne peut tourner le dos à des evidences universelles et, en l'occurrence, je parle de l'efficacité des mathematiques en physique qu'aucune autre discipline ne peut concurrencer dans les limites de l'objet des sciences physique (et non sur le bien, le mal, la politique)

Je declinerai les 3 principaux attributs qu'on peut associer à cette efficacité qui sont 3 attributs qu'absolument aucune discipline ne peut revendiquer de pres ou de loin...

Mais aujourd'hui, je voulais vous dire que vos modes de fonctionnement profond, bien que probablement humanistes,sont très profondément ancré dans un dogmatisme antique et quelque part, contenant les attributs du danger

C'est au nom de son dogme qu'on se ferme aux autres representations du monde et quand il s'agit de demander des justifications à tous au nom de ses propres valeurs morales à soi, on est exactement sur le meme plan que l'intégriste 

Par aillleurs La conviction d'avoir une "vue d'aigle" sur des sujets dont absolument personne ne peut revendiquer d'en avoir fait le tour, encore moins en se mettant en dehors des domaines d'études et sur des sujets si ouverts est dangereuse 

Ceci étant, plaisir de l'échange pour l'échange mais profonde méfiance respective aussi

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 55ans Posté(e)
zenalpha Membre 19 082 messages
55ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)
Il y a 11 heures, deja-utilise a dit :

Bon, je n'insiste pas, si tu ne vois pas, c'est pas grave !

( Apparemment tu bloques sur le coté mathématique, parce qu'il y a un formalisme alors c'est indépendant de la psyché ou un truc du genre, partant de là, tu ne peux pas voir les choses autrement )

Comme ton copain l'a dit, et oui ça m'arrive d'être d'accord avec lui, ne pas comprendre, ça n'empêche pas de vivre !

D'un côté Zeugma parle de nous comme des personnes qui compartimentont le savoir alors qu'il ne revendique aucune connaissance en mathématique n'ayant même pas idée des apports et de la structure de ce "tiroir" dans le meuble des connaissances puisque son "Tout" en est totalement dépourvu...

Comment peut il parler de "compartimenter" les connaissances quand le problème est qu'il n'élargie absolument pas les siennes en statuant sur des sujets sans jamais les avoir jamais creusé donc eventuellement en ayant compris ce qu'ils apportaient ?

De l'autre, déja utilisé, tu t'es souvent presenté "en physicien" mais tu ne formalises pas tes "théories" et tu ne les mets pas à l'épreuve de l'expérience...par ailleurs, tu remets en question la pertinence même des mathematiques en physique...un physicien, peut être bien... mais qui s'est retiré sur une planete tellement lointaine que, depuis la Terre, nous ne pouvons employer pour lui ce qualificatif

Vous ne comprendrez peut-être pas mais il s'agit là d'une tendance qui inquiète énormément à l'heure des dogmatismes où beaucoup de gens tranchent sur tous sujets du très petit bout de leur lorgnette tout en revendiquant une vue d'aigle...de manière inversement proportionnelle à l'etendue de ce qu'ils n'ont pas creusé 

Ça va loin cette histoire d'ailleurs 

Un philosophe allemand, dont je retrouverai le nom, avait produit une thèse sur les racines profondes du nazisme.

Et, selon lui, la spécificité de l'Europe dans son rapport au savoir s'était métamorphosée avec Galilée 

Le "pari métaphysique" de Galilée avait introduit les mathematiques comme "Le langage de la nature" et, se faisant, il avait deplacé notre rapport à elle sur une "mécanisation" qui avait transformé notre rapport historique à elle d'une connaissance "méditante" empreinte de "pourquoi" a une connaissance calculante empreinte du "comment"

Et voici comment Galilée se retrouve par des thèses partant de ce constat comme l'origine meme du Nazisme dans une société déshumanisée et "efficacement sans scrupule"

C'est prodigieux mais je retrouve dans les racines assez dogmatique de vos representations cette très très mauvaise digestion de l'apport (et non de la prédominance...) des mathematiques dans la connaissance humaine 

Zeugma la diabolise tout autant... Et déjà utilisé l'écarte complètement...

Mais....

Notre propos n'est pas et n'a jamais été de remplacer l'homme par les mathematiques...ni de ne réfléchir que par les mathematiques...

Nietzche, encore une fois..., parlait d'un "salut" pour l'humanité dans un double cerveau à developper : celui des émotions et de l'irrationalité tempéré par celui de la rationalité et des connaissances universelles 

Je pense que vous ne developpez qu'un demi-cerveau en rejoignant des conceptions aristotélicienne totalement mais totalement depassées 

On peut à la fois etre homme de science et humaniste voire homme de science et croyant (je suis agnostique)

Mais on ne peut tourner le dos à des evidences universelles et, en l'occurrence, je parle de l'efficacité des mathematiques en physique qu'aucune autre discipline ne peut concurrencer dans les limites de l'objet des sciences physique (et non sur le bien, le mal, la politique)

Je declinerai les 3 principaux attributs qu'on peut associer à cette efficacité qui sont 3 attributs qu'absolument aucune discipline ne peut revendiquer de pres ou de loin...

Mais aujourd'hui, je voulais vous dire que vos modes de fonctionnement profond, bien que probablement humanistes,sont très profondément ancré dans un dogmatisme antique et quelque part, contenant les attributs du danger

C'est au nom de son dogme qu'on se ferme aux autres representations du monde et quand il s'agit de demander des justifications à tous au nom de ses propres valeurs morales à soi, on est exactement sur le meme plan que l'intégriste 

Ceci étant, plaisir de l'échange pour l'échange mais profonde méfiance respective aussi

 

 

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Membre, Posté(e)
zeugma Membre 670 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

je prend acte que certaines assertion sont aussi dépourvu de bon sens qu'elle le sont de sens tout court...comme ce qui suit :

"D'un côté Zeugma parle de nous comme des personnes qui compartimentons le savoir alors qu'il ne revendique aucune connaissance en mathématique n'ayant même pas idée des apports et de la structure de ce "tiroir" dans le meuble des connaissances puisque son "Tout" en est totalement dépourvu... "

cette personne ne sait ce que veux dire interdépendance des savoirs, et se renferme dans son "tiroir" comme seule garanti de n'être plus dérangé par les autres intervenants, facilité diront certains, moi je dit lâcheté ou plus exactement démission par forclusion...

car on peut lire aussi ceci :" Comment peut il parler de "compartimenter" les connaissances quand le problème est qu'il n'élargie absolument pas les siennes en statuant sur des sujets sans jamais les avoir jamais creusé donc eventuellement en ayant compris ce qu'ils apportaient ? "

ma recherche est celle qui permet justement d'éviter l'isolationnisme de la science, alors que j'ai à maintes reprises réclamé une coopération, cette personne à choisi l'enfermement dans sa logique binaire, "seul un contenu scientifique à raison de vrai par la preuve" donc "la science seule est apte à définir son bien fondé".

je conteste cette binarité car elle supprime la notion de moyens en vue d'une fin et le remplace par une production systémique de moyens en vue d'eux même...ou dit autrement elle supprime la notion de connaissance en vue du bonheur, et le remplace par un savoir recherché pour lui même...

et puis quand on lit ceci :" Notre propos n'est pas et n'a jamais été de remplacer l'homme par les mathematiques...ni de ne réfléchir que par les mathematiques... "

ne manque-t-il pas à cette phrase, une autre donnée importante, que notre civilisation est de plus en plus mathématisée dans ses informations et dans sa programmation ? Alzheimer serait-il un facteur qui sonne toujours trois fois...car voici ce qui frappe dans cette troisième citation   : "Mais aujourd'hui, je voulais vous dire que vos modes de fonctionnement profond, bien que probablement humanistes,sont très profondément ancré dans un dogmatisme antique et quelque part, contenant les attributs du danger"

alors sous cette reconnaissance "humaniste" de nos positions, l'auteur dit, que "ces modes de fonctionnements " serait un danger puisqu'ils s'ancrent dans un savoir antique...et pas seulement, mais aussi dans un savoir "dogmatique"...

1/  est-ce que si l'on dit : "une connaissance qui se détermine elle même dans ces choix des recherches et ne regarde plus le bien et la nature comme quelque chose de la finalité humaine..." c'est un mode de fonctionnement dogmatique ?

2/ est-ce que si l'on dit : "la systématisation des savoirs issus de l'intelligibilité scientifique pose une notion réductrice à l'intelligibilité humaine générale, puisqu'elle ne s'ouvre qu'à la partie matérielle du réel..." c'est un mode de fonctionnement dogmatique ?

3/  est-ce que si l'on dit : "une définition du réel par la formulation mathématique restitue la quantité avant la qualité de ce réel, puisque l'abstraction mathématique est un retournement préférentiel du multiple sur le diverse...(que l'on trouve dans la nature vivante dans l'ordre inverse, le diverse est premier et le multiple second dans le principe d'individuation...)" c'est un mode de fonctionnement dogmatique ?

4/  est-ce que si l'on dit : "une connaissance qui trouve sa motivation dans sa propre continuité, exclue tôt ou tard toutes les autres motivations sous prétexte que ces autres motivations n'apportent rien de nouveau à cette connaissance..." c'est un mode de fonctionnement dogmatique ?

5/  est-ce que si l'on dit : "les applications techniques issues des recherches scientifiques s'imposent par leur efficience et réorganisent les sociétés par une métaprogrammation des données informatives..." c'est un mode de fonctionnement dogmatique ?

6/  est-ce que si l'on dit : "le consensus fusionnelle des recherches scientifiques implique obligatoirement la retranscription des nécessitées naturelles en évaluation des besoins, des envies et des projets, mais abandonne le désir de bonheur, puisqu'il n'est pas saisie comme une donnée universellement formulable..." c'est un mode de fonctionnement dogmatique ?

7/  est-ce que si l'on dit : " toute recherche qui ne se détermine pas un point de limite unitif entre sa progressivité et son irréversibilité, ne s'enferme-t-elle pas dans la fuite en avant de l'auto-programmation, qui induit que seules ses limites de fonctionnalités, sont garantes de son bien fondé..." c'est un mode de fonctionnement dogmatique ?

8/  est-ce que si l'on dit : "l'interprétation dans le processus de validation de la preuve a une valeur non-universelle si on remet cette preuve dans le contexte historique des connaissances, la recherche scientifique admet la possibilité d'erreur, donc elle est en partie faillible..."c'est un mode de fonctionnement dogmatique ?

9/  est-ce que si l'on dit : "une déduction mathématique produit une néguentropie positive dans l'intelligibilité du réel, mais uniquement sous une forme de signification isométrique avec la quantité d'information utilisée pour cette déduction..." c'est un mode de fonctionnement dogmatique ?

10/ est-ce que si l'on dit : " aucun savoir scientifique spécifique ne peut se prévaloir de l'intégralité numérique du réel, mais seul un savoir considérant l'unité des savoirs organiques est à même de servir de pôle de référencement décisionnel..."c'est un mode de fonctionnement dogmatique ?

liste non close évidement...

 

 

 

 

 

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 55ans Posté(e)
zenalpha Membre 19 082 messages
55ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)

Zeugma... Il existe une coopération des physiciens entre eux...avec d'autres scientifiques...avec la société civile....

Mais...

On ne vote pas pour décréter les résultats d'une experience dans un accélérateur de particules ni pour élire la premiere theorie du premier creatif qui passe....

C'est profondément malheureux de ne pouvoir constater que des connaissances scientifiques sont des connaissances qu'on ne peut refuter n'importe comment ni par la première idée qui passe

Kant voyait les mathematiques comme une totale création humaine qui torture la nature pour forcer cette derniere à cracher des mathématiques par lequel la raison la force à nous transmettre un message intelligible et voyait dans l'espace de Newton et le temps absolu une impossibilité de l'esprit humain de se détacher de ce cadre

Sauf qu'on sait avec Einstein qu'il s'est vautré et je peux écrire avec certitude que l'espace absolu et le temps absolu de Kant est une erreur

Einstein lui meme voyait les mathématiques comme une creation humaine et a décrété à tort que l'espace devait être stationnaire et que Dieu ne jouait pas aux dés

Sauf que les observations du décalage vers le rouge des galaxies et les experiences EPR d'Alain Aspect ont infirmé sa representation intuitive initiale. L'intuition d'Einstein a parfois ete fausse.

Au moins, les intuitions qui l'ont guidé par des experiences de pensée pour la RR et la RG, il les a formalisé mathématiquement puis elles ont été maintes fois vérifiée dans les faits...dans les faits...

Les mathematiques ont 3 attributs en physique que nulle autre discipline ne peut pretendre :

1- Elles touchent les faits experimentaux et c'est presque "magique" que la prediction ou la retroaction d'un fait collé parfaitement à la theorie 

2- Elles donnent une explication par des structures qui éclairent la signification d'un phénomène physique. L'électromagnétisme puis la force nucléaire forte puis la force nucléaire faible entrent chacune dans un groupe mathematique qui permet de les predire. On comprend dès lors une coherence des différentes forces qui a accouché de la theorie des jauges devenue Le modele standard de la physique des particules grace à laquelle tu utilises l'ordinateur 

3- Elles sont un treuil ontologique donc elles ne predisent pas que des phénomènes mais aussi l'existence d'objets physique avant de les avoir experimenté : le photon, l'anti matiere, les quarks, le neutrino, le boson de Higgs.....autant de realités physique prédites par les maths

Donc....

Les maths et la physique n'expliquent pas tout....sont limitées....mais, en compensation de cette limitation, elles touchent La realité comme aucune discipline ne peut le faire dans ce domaine 

Si tu ne comprends pas ça, je veux bien coopérer pour une bière et un billard mais aucune coopération d'échange de savoir n'est possible 

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Membre, 68ans Posté(e)
Maroudiji Membre 6 485 messages
Forumeur expérimenté‚ 68ans‚
Posté(e)
il y a 8 minutes, zenalpha a dit :

Donc....

Les maths et la physique n'expliquent pas tout....sont limitées....mais, en compensation de cette limitation, elles touchent La realité comme aucune discipline ne peut le faire dans ce domaine

Typique du fanatique de la science. La réalité ? Les physiciens et les mathématiciens savent ce qu'est LA réalité ! Et ils le savent mieux que quiconque... Que ne faut-il pas lire !
 

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Invité Vintage
Invités, Posté(e)
Invité Vintage
Invité Vintage Invités 0 message
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Il y a 6 heures, zenalpha a dit :

 

Ça va loin cette histoire d'ailleurs 

Un philosophe allemand, dont je retrouverai le nom, avait produit une thèse sur les racines profondes du nazisme.

Et, selon lui, la spécificité de l'Europe dans son rapport au savoir s'était métamorphosée avec Galilée 

Le "pari métaphysique" de Galilée avait introduit les mathematiques comme "Le langage de la nature" et, se faisant, il avait deplacé notre rapport à elle sur une "mécanisation" qui avait transformé notre rapport historique à elle d'une connaissance "méditante" empreinte de "pourquoi" a une connaissance calculante empreinte du "comment"

Et voici comment Galilée se retrouve par des thèses partant de ce constat comme l'origine meme du Nazisme dans une société déshumanisée et "efficacement sans scrupule"

C est claire que ça va loin.

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Invité Vintage
Invités, Posté(e)
Invité Vintage
Invité Vintage Invités 0 message
Posté(e)
il y a 18 minutes, zenalpha a dit :

 

Les maths et la physique n'expliquent pas tout....sont limitées....mais, en compensation de cette limitation, elles touchent La realité comme aucune discipline ne peut le faire dans ce domaine 

Si tu ne comprends pas ça, je veux bien coopérer pour une bière et un billard mais aucune coopération d'échange de savoir n'est possible 

La physique énonce des hypothèses sur le voyage dans le temps, la philosophie trouve sa place en interrogeant la science disant : si le voyage dans le temps est possible, pourquoi ne recevons nous pas de visiteurs du futur ? 

Faut il conclure que le voyage dans le temps est impossible ?

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Membre, Posté(e)
Dompteur de mots Membre 1 841 messages
Forumeur activiste‚
Posté(e)
il y a 13 minutes, zenalpha a dit :

Les maths et la physique n'expliquent pas tout....sont limitées....mais, en compensation de cette limitation, elles touchent La realité comme aucune discipline ne peut le faire dans ce domaine 

Les mathématiques, comme la physique et comme toutes les autres sciences créent leur propre domaine. En ce sens, il va de soi qu'elles sont les mieux placées pour en traiter.

Quant à la philosophie, nous pourrions dire qu'elle crée des passerelles entre les domaines de l'esprit et en tire une synthèse; quelque chose comme un super-domaine.

Mais l'erreur à ne pas faire, c'est de croire que la philosophie couronne tous les domaines de la connaissance à la manière d'une super-connaissance. Elle fonctionne plutôt sur un mode complètement différent.

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 55ans Posté(e)
zenalpha Membre 19 082 messages
55ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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il y a 24 minutes, Maroudiji a dit :

Typique du fanatique de la science. La réalité ? Les physiciens et les mathématiciens savent ce qu'est LA réalité ! Et ils le savent mieux que quiconque... Que ne faut-il pas lire !
 

Les couscoussieres volantes des Védas, ça il ne faut pas le lire...sans raisonner

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Membre, 68ans Posté(e)
Maroudiji Membre 6 485 messages
Forumeur expérimenté‚ 68ans‚
Posté(e)

Toi et ton mépris des Védas qui vient nous trompéter La vérité des physiciens... Quelle honte de lire en 2017 tant de haine et par quelqu'un qui fait l'éloge de la science. 

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 55ans Posté(e)
zenalpha Membre 19 082 messages
55ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)

Un canard dans le café, j'ai du mal à digérer, parfois, tous les papiers mâchés, qui se prennent à mon filet

De voix, pauvre pêcheur, fallait lire entre mes lignes, pas mordre à mes sautes d'humeur, meme si je n'en suis pas digne

Fallait rester zen soyons zen, du sang froid dans les veines soyons zen, plus de choc à la chaîne 

Zen restons Zen, du calme à la vie comme à la scene sans amour et sans haine 

Toutes mes excuses aux pilotes des couscoussieres Vedas que j'aurai offensé 

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 55ans Posté(e)
zenalpha Membre 19 082 messages
55ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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Il y a 3 heures, Vintage a dit :

La physique énonce des hypothèses sur le voyage dans le temps, la philosophie trouve sa place en interrogeant la science disant : si le voyage dans le temps est possible, pourquoi ne recevons nous pas de visiteurs du futur ? 

Faut il conclure que le voyage dans le temps est impossible ?

Je réponds avec toute la retenue qu'on peut avoir sur un tel sujet...

Le voyage dans le futur....d'un autre... est théoriquement possible dans la mesure ou, experimentalement, nous avons déjà constaté le décalage des horloges atomiques conformément à la relativité restreinte pour des mouvements uniformes et conformément à la relativité générale lorsqu'il y a acceleration ou décélération 

L'exemple théorique bien connu des jumeaux dont l'un resterait sur terre quand l'autre se deplacerait à une vitesse proche de celle de la lumiere est l'illustration 

En pratique, c'est hors de notre technologie car la vitesse de la lumiere est de 300 000 km sec alors que nous n'avons atteint que quelques dizaines de km sec avec nos lanceurs et Parfois un peu plus en utilisant des astres comme "accelerateurs naturels" en utilisant les lois de la gravitation

Plus la vitesse augmente, plus la masse augmente et plus il faut d'énergie 

Ces voyages dans le futur de l'autre ont concerné les astronautes par rapport à nous mais le décalage est anecdotique...

le voyage dans le passé impliquerait de rompre la causalité du point de vue physique et est theoriquement impossible 

En mecanique quantique, le passé "bouge encore" en fonction d'observations présentes et l'expérience des fentes de Young à choix retardé en est une demonstration experimentale 

Les intégrales de chemin de Feynman stipulent que toutes les combinaisons de vitesse et de position des particules subatomiques existent simultanément quand un observateur conditionne et fixe par ses choix present une histoire qui rend cohérente sa mesure

Je doute que ce "passé non fixé" existe à l'échelle macroscopique, les lois de la MQ n'ayant plus cours...ce qui revient à interdire un "voyage vers le passé"

Neanmoins rêvons totalement et si on accredite la these d'Hawking...Le multivers existe et correspond à toutes les potentialités que l'univers pouvait prendre quand Il etait infiniment petit

En ce sens, certains rêveurs postulent que c'est parce que nous existons aujourd'hui que l'univers quantique passé d'il y a 14 milliards d'années est fixé sur une des seules histoires possibles par un renversement quantique de causalité 

A l'inverse du quantique, la RG d'Einstein implique un univers bloc ou le passé comme le futur existent déjà fondamentalement, le temps n'etant qu'une illusion liée à notre déplacement dans l'espace temps comme le paysage qui semble defiler est une illusion liée à notre propre déplacement 

La science aussi est empli de rêveries compatibles à ses theories comme autant de couscoussieres volantes potentielles et hypothétiques 

 

 

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Membre, 68ans Posté(e)
Maroudiji Membre 6 485 messages
Forumeur expérimenté‚ 68ans‚
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il y a une heure, zenalpha a dit :

La science aussi est empli de rêveries compatibles à ses theories comme autant de couscoussieres volantes potentielles et hypothétiques

Zen passe son temps à radoter. Il fait exactement ce que les vrais et bons scientifiques dénoncent, c.à.d. clamer haut et fort que la science est supérieure aux autres champs du savoir sans jamais démontrer en quoi en l'occurrence les Védas (Feyerabend donne l'exemple de la magie) sont inférieurs à la physique. En plus il ne les connaît même pas et ne sait pas de quoi il parle ! Son argument majeur est la moquerie.

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Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 5 739 messages
If you don't want, you Kant...,
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Il y a 23 heures, Spontzy a dit :

1-ou y a -t-il des maths dans les lois de Kepler que je vous ai soumise ?

2-Vous affirmez que DANS la théorie il y a impact du psyché. Ca doit donc etre possible dans la thérie de montrer cet impact. C'est tout ce que j'attends.

1-Euh... une ellipse objet mathématique par excellence, ensuite les deux lois des orbites prononcées en langages mathématiques: multiplication, division, puissance et égalité !

 

2-Peut-être qu'une approche autre que strictement historique pourrait t'aider:

Si on avait garder les cercles et que l'on ait " tarabiscoter "  des relations mathématiques en paramétrant des formules pour que ça coïncide avec les faits, verrais-tu la subjectivité agir ou pas ? par exemple pour t'aider à visualiser, au lieu d'écrire la 3ème loi comme a^3 x ( 2pi/P )^2 = k, si un savant l'avait écrite comme ( R+t )^3 x ( 2pi/P )^(2+z) = k' avec R le rayon, t et z deux facteurs liés à la planète considérée, et paramétrés de façon à ce que la " loi " soit extrêmement précise, ne verrais-tu pas que ses considérations sur la forme de l'orbite avait un impact sur ses formules ou inversement ?

Et bien de même Kepler, qui ne pouvait avoir accès à des mesures plus précises que 1" d'arc, a postuler et écrit ses relations ou propriétés en fonctions à la fois des valeurs empiriques et aussi et surtout selon ses hypothèses plus ou moins physiques, qui ont donc eut nécessairement un retenti sur le formalisme.

 

Encore une fois, si les théories étaient objectives, elles n'auraient pas besoin d'être remaniées ou rectifiées ou changées avec le temps ! Si l'objet est tel qu'on le décrit, il n'y a donc rien à modifier sur la propriété ou la qualité considérées, or ce n'est jamais le cas, donc l'approche n'était pas objective, et ne l'a jamais été sur quoi que ce soit en science. 

 

Citation

Etes vous sérieux ? A la question "qui a une approche de physicien entre une personne qui construit une théorie qui contredit les faits expérimentaux et une autre qui ne contredit pas les faits ?", je crois qu'une réponse doit pouvoir se dégager sans trop de difficulté.

Et bien je suis curieux de l'entendre !

Deux génies des sciences que sont Galilée et Kepler, j'aimerais assez savoir qui est l'imposteur, que l'on puisse le signaler à la communauté mondiale d'astrophysiciens ou physiciens ! : ) ( je fais mon scientiste là, pour montrer l'effet que ça fait )

 

*********

 

Le 02/02/2017 à 20:33, Spontzy a dit :

Je crois que zenalpha a résumé ça en disant qu'il y a des erreurs logiques dans vos citations.

 

L'erreur n'est pas de nature logique, mais à nouveau psychologique, dans la mesure où tu n'envisages pas que ce que je t'explique puisse être non seulement censé, mais très profond, tu préfères par économie et défense/résistance spirituelle en arriver à dire que ce que je dis ne se tient pas parce que tu ne le comprends pas, car ne rentrant pas dans ta vision et tes compétences. La logique si tant soit peu que l'on puisse l'appeler ainsi, aurait voulu que tu envisages d'abord une incompréhension de ta part, et non d'emblée envisager que mes écrits manquent de logique, apparemment ta " logique " est la suivante: je ne comprends pas ce qu'il dit, alors il doit se tromper, et puisqu'il se trompe c'est qu'il n'est pas cohérent, donc il fait des erreurs de raisonnement logique.

 

Or j'ai soulevé deux/trois objections logiques peu avant à la prétendue objectivité, qui n'a pas eu jusqu'à présent d'écho de la part de ceux qui la revendiquent, bizarre non ? :

 

Objections logiques:

- Si la science était rigoureusement objective, il n'y aurait pas besoin de faire de révision dans les théories au fil du temps, juste des complémentations ! Si une bille est bleue, on peut certes découvrir qu'elle a d'autres attributs dans le temps, comme sa sphéricité ou sa malléabilité, mais on ne revient pas sur sa couleur !

- Ma théorie scientifique, par exemple sociologique, est que les théories scientifiques ne sont pas réellement objectives ! Soit c'est vrai, et dans ce cas c'est bouclé, soit la théorie est fausse, et dans ce cas ça prouve qu'elle n'était pas objective, en tant que théorie scientifique ! Pourtant cette théorie est réfutable, on peut faire des expériences qui la corrobore ou l'infirme.

- L'imperfection n'engendre jamais la perfection, dans le même acabit, le subjectif est incapable d'aller à l'objectivité ( pure ).

 

et ce complément connexe:

 

Objection ontologique:

Il y a un présupposé ( mental/psychique/culturel ) dans la science positive, qui veut que tôt ou tard on finira par découvrir la vérité et tendre vers une connaissance certaine, dit autrement, que le science tend asymptotiquement vers une limite, qui représente la connaissance définitive. Rien pourtant ne laisse présager concrètement une telle vision de manière réaliste ou réelle, par analogie, on peut se référer à ce qui se passe en mathématique avec la sommation de la série en 1/n2 ( n au carré ) et la série en 1/n, et si il est vrai que la différence entre deux termes consécutifs diminuent en s'éloignant de " l'origine ", l'une est convergente quand l'autre est divergente, ce qui veut dire que ce n'est pas parce que l'on constate un rétrécissement dans la progression ou la remise en cause des modèles historiquement, que l'on s'approche d'une limite bien définie, et que ce ne serait qu'une question de temps !

 

A+

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Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 5 739 messages
If you don't want, you Kant...,
Posté(e)

Et bien, je ne sais si tu as pris le temps de la réflexion ou si tu as discuté avec un autre forumeur, mais pour ma part, et je n'engage que moi, je trouve pour une fois un élan d'humanisme dans tes écrits, ce n'est peut-être pas le terme exactement approprié, mais c'est celui qui m'est venu.

Je ne répondrai qu'à la partie qui me concerne donc.

 

Il y a 13 heures, zenalpha a dit :

De l'autre, déja utilisé, tu t'es souvent presenté "en physicien" mais tu ne formalises pas tes "théories" et tu ne les mets pas à l'épreuve de l'expérience...par ailleurs, tu remets en question la pertinence même des mathematiques en physique...un physicien, peut être bien... mais qui s'est retiré sur une planete tellement lointaine que, depuis la Terre, nous ne pouvons employer pour lui ce qualificatif

Je m'en suis déjà expliqué, en rubrique science il y a longtemps, et si tu es véritablement intéressé, je pourrais t'exposer mes idées, et oui, ayant des capacités intellectuelles très modestes et des moyens financiers quasi nuls, il n'est pas possible pour moi, ni de les développer convenablement, ni de m'appuyer sur des expériences concrètes, tout seul, puisque je ne suis ni un génie, ni riche donc, ce qui ne veut pas dire que ce soit complètement farfelue.

Je n'ai pas remis en cause la pertinence des mathématiques en physique, et c'est là que ça confirme ce que je soupçonnais, c'est que tu ne saisis pas ce que je dis vraiment, tu le survoles malheureusement et tu m'amalgames avec d'autres types certainement, dans une catégorie, j'ai dit que l'on pouvait faire de la physique qualitativement, ce que n'importe quel physicien fait de nos jours, il suppose un modèle de travail puis envisage ou d'autres des expériences pour le mettre à l'épreuve, il existe des physiciens qui ne sont que théoriciens, d'autres plutôt du coté de l'expérimentation, j'envisage une troisième possibilité, un physicien qualiticien en quelque sorte, qui s'intéresse plus volontiers aux qualités des objets ou évènements qu'aux mesures ou quantités, et j'espère d'être traduit convenablement, cette fois-ci. Ce n'est donc certainement pas une opposition ou un rejet des maths, mais je rappelle que j'ai dit qu'en science les mathématiques jouaient le rôle du langage pour les sciences, comme le langage naturel l'est pour le quotidien des humains.

 

Je pense que " maitre " en physique théorique est un titre suffisamment évocateur, et qui n'a donc rien d'usurpé il me semble, même si je n'y attache pas une très grande importance, comme je le fais également en philosophie, ce qui compte c'est l'état d'esprit, non la somme des connaissances !  

 

 

Citation

Vous ne comprendrez peut-être pas mais il s'agit là d'une tendance qui inquiète énormément à l'heure des dogmatismes où beaucoup de gens tranchent sur tous sujets du très petit bout de leur lorgnette tout en revendiquant une vue d'aigle...de manière inversement proportionnelle à l'etendue de ce qu'ils n'ont pas creusé 

Ça va loin cette histoire d'ailleurs

 

 Sur ça nous sommes d'accord, mais on n'y met pas les mêmes ingrédients, c'est à dire les mêmes acteurs.

 

Citation

C'est prodigieux mais je retrouve dans les racines assez dogmatique de vos representations cette très très mauvaise digestion de l'apport (et non de la prédominance...) des mathematiques dans la connaissance humaine

 

Personnellement je n'ai pas de souci avec la mathématique de manière globale, au contraire, j'ai adoré l'Analyse, mais il convient de ne pas exagérer ses prétentions, au même titre qu'il m'est arrivé ici même de pestiférer contre les philosophes, obnubilés ou empêtrés qu'ils étaient parfois dans leurs " délires ", c'est pour cela que je prône une vision synthétique ou plurielle du monde, pour ne pas s'enfermer dans un cadre étriquée et donc ne comprendre le monde qu'à travers un filtre épais.

 

Citation

Notre propos n'est pas et n'a jamais été de remplacer l'homme par les mathematiques...ni de ne réfléchir que par les mathematiques...

Tant mieux, tant mieux.

Il convient quand même de se poser la question du rapport entre sciences et mathématiques, aussi bien celles molles que celles dures.

Car encore une fois, si nous n'avions pas besoin de quantifier en science, pour calculer et prédire/prévoir, cet outil serait assez marginal, et c'est ça que je veux te montrer entre autres.

 

 

Citation

On peut à la fois etre homme de science et humaniste voire homme de science et croyant (je suis agnostique)

 

Oui manifestement, Mendel en première ligne par exemple, mais j'avoue que ce n'est pas un point qui me parait pertinent, d'autant plus que l'étiquette publique peut n'être qu'une façade. Ce qu'il faut c'est le démontrer Zenalpha en permanence, rassurer les gens, car le moindre écart et le fragile équilibre est rompu.

On peut ne pas être d'accord, ne pas se ranger du même côté qu'un autre, d'avoir des opinions différentes, mais quand même comprendre autrui, sans faire nôtres ses idées, tout en le respectant en tant qu'individu.

 

Citation

Mais on ne peut tourner le dos à des evidences universelles et, en l'occurrence, je parle de l'efficacité des mathematiques en physique qu'aucune autre discipline ne peut concurrencer dans les limites de l'objet des sciences physique (et non sur le bien, le mal, la politique)

 

Oui sur un plan quantitatif, rien ne peut concurrencer les mathématiques en physique, puisque c'est l'outil le plus adapté à cela, si je dois enfoncer un clou le mieux est encore le marteau, en revanche pour peindre le mur, ce n'est pas le plus recommandé. Mais sans vouloir insister, la réflexion sur la compréhension du phénomène, n'est pas une question de mathématique, elle peut y contribuer certes, mais ce n'est pas prépondérant, là c'est justement le travail du physicien qualiticien, qui vient en aval comme en amont de celui du physicien théoricien.

 

Citation

Mais aujourd'hui, je voulais vous dire que vos modes de fonctionnement profond, bien que probablement humanistes,sont très profondément ancré dans un dogmatisme antique et quelque part, contenant les attributs du danger

Tout excès est effectivement mauvais, que ce soit la résurrection des monstres du passé ou l'alimentation boulimique de ceux présents.

 

 

Citation

C'est au nom de son dogme qu'on se ferme aux autres representations du monde et quand il s'agit de demander des justifications à tous au nom de ses propres valeurs morales à soi, on est exactement sur le meme plan que l'intégriste 

 

Mais justement je ne fais que ça de demander d'ouvrir son esprit, non d'accepter sans réserve tout ce qui se présente, mais d'élargir son horizon intellectuel, et quand je préconise métaphoriquement de faire le tour du monde pour s'éveiller, il ne suffit pas de tourner sur soi-même de 360° pour dire, qu'il n'y a pas de différence entre avant et après, ce tour du monde, puisque en faisant cela, on n'a absolument pas élever son esprit.

Le monde est compliqué, il est donc normal qu'il y ait nombre d'éléments à considérer en même temps, d'où la pluridisciplinarité en science par exemple, mais même pour le philosophe, il est temps comme je l'appelle de mes voeux depuis un moment, de s'enrichir non seulement des connaissances scientifiques, mais de tout les courants de pensées passés et éventuellement présents, puisqu'ils sont une revisite des anciens en général.

Citation

Par aillleurs La conviction d'avoir une "vue d'aigle" sur des sujets dont absolument personne ne peut revendiquer d'en avoir fait le tour, encore moins en se mettant en dehors des domaines d'études et sur des sujets si ouverts est dangereuse 

Personnellement je n'ai certainement pas prétendu une telle chose, même si c'est comme ça que ça a raisonné à tes oreilles.

Si tu me lis ici depuis un bon moment, je suis le premier à dire que mon intelligence est d'une banalité consternante, si elle n'est pas en-dessous, je n'ai jamais laisser entendre ou dit que j'étais un génie ou quelque chose du genre, j'ai simplement dit et évoqué clairement, qu'il faut sortir de sa bulle, essayer de comprendre le monde, qui n'est pas quelque chose qui se donne à voir facilement et sans effort, et/ou à partir de quelques concepts, il faut donc être prudent, multivalent ou polymathe, pour avoir un début de chance de se rendre compte, et non l'éviter ou l'éradiquer, que ce que nous savons est incommensurablement moindre que ce que nous ignorons encore, et que donc lorsque l'on touche seulement du doigt d'autres champs que celui que nous avions l'habitude de cultiver, on ne peut plus en faire abstraction, ou comme si nous ne savions pas; ce que tu fais toi aussi, quand tu laisses entendre que tu ne peux pas laisser Zeugma dans son appréhension sans tenir compte des mathématiques ! Et bien je t'ai dit exactement la même chose, mais à partir d'autres critères que ceux qui te sont familiers, non pas que j'en saurais plus que toi, ni que je verrais tout et de loin, non juste que je sais qu'il existe autre chose, qu'il y a d'autres univers autour de nous, et que lorsque l'on y a goûté on ne peut plus faire machine arrière, comme lorsque l'on devient adulte, et qu'on ne peut plus faire semblant d'être naïf ou candide, parce que l'on sait ( un peu ) justement, ce que des enfants ne savent pas ( du tout ) ! 

 

Citation

Ceci étant, plaisir de l'échange pour l'échange mais profonde méfiance respective aussi

 

Oui c'est tout à fait compréhensible, et cette petite phrase anodine te rend, enfin dirais-je humain ( car je suis étanche naturellement à la partie littéraire, humoristique ou poétique, en l'occurrence de tes écrits  tout comme à ceux des autres ), et non tel un automate qui radote sans cesse la même chose, et en cataloguant les intervenants dans des petites boites. Tout étant bien rangé à sa place à tous les niveaux, rejetant purement et simplement ce qui n'y rentre pas...

 

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 55ans Posté(e)
zenalpha Membre 19 082 messages
55ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)

Physicien qualiticien...

Est ce qu'on peut connaitre un physicien qualiticien de reference ? Un concept référent de la physique issu de la physique qualitative ? Une connaissance issue de la discipline ?

Dans votre quête de "manque d'objectivité de la physique", que nous apporte la "physique qualitative" pour répondre à vos griefs ? Quelles en sont les methodes ?

Quelle hideuse perte totale de temps.....

Je note que si Les theories scientifique ne sont pas "objectives" car refutable alors n'importe quelle ânerie qui ne change jamais devient objective car impossible à refuter 

ma theorie physique qualitative a moi c'est que l'univers est un tajin dans lequel chaque monde habité est plein de couscoussieres volantes invisibles qui volent a petit pas pour la cause finale de faire plaisir au dieu des moules frites 

quand le scientifique coopére le monde avance....

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