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L'alcool est un antidépresseur

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Mia Adaxo

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Membre, Posté(e)
Mia Adaxo Membre 8 792 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Leur botter le cul , ne serait-ce pas le meilleur des remèdes ?

Quelqu'un qui dort jour et nuit (ou presque) , qui ne mange plus , qui ne parle plus , qui n'a aucun but dans la vie

qui s'isole , qui ne veut voir personne , qui ne sait même plus pleurer , ETC ETC

Tu crois qu'il suffirait de lui botter le cul ??.......(ça s' saurait) sleep8ge.gif

Il est clair que tu n'as jamais vu de VRAI dépressif

Après l'alcoolisme, au delà de son côté répugnant , lui donne comme des "airs de noblesse..." et enlève une forme de culpabilité aux personnes concernées.

Tu parles de ceux qui ont l'alcool mauvais et / ou excessif

L'alcool est un anti dépresseur c'est sur,il n'y a qu'à regarder Renaud ou Sami Nacéri,ils respirent la joie de vivre!

Les anti dépresseurs donnent le même résultat (ma belle-mère ne tenait plus debout non plus avec ses médocs)

Des loques humaines toujours debout. :smile2:

Eux , doivent prendre les 2 (alcool antidepresseur) , voire 3 pour Naceri (alcool antidepresseur drogue)

Pour finir, je pense que l'alcool utilisé (c'est le cas de le dire) avec modération et uniquement de manière occasionnelle, PEUT remplacer un médicament et peut permettre de retrouver confiance en soi si on en manque terriblement

L'alcool ne peut pas etre une solution, juste un moyen ponctuel de relacher un peu la pression, de relativiser, consommé avec parcimonie et modération.

C'est bien de cela qu'il est question dans ce sujet

Merci smile.gif

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Modérateur, ©, 108ans Posté(e)
January Modérateur 61 992 messages
108ans‚ ©,
Posté(e)

Il y a quand même un truc qui n'a pas été dit c'est qu'on ne fait pas une dépression nerveuse pour s'être cassé un ongle.

Le terme a été extrêmement vulgarisé et pour finir, toute personne ressentant un mal-être s'est étiqueté dépressif. Comme on s'est rendu compte que ça devenait dangereux (sur-prescription de psychotropes et entretien de ce même mal-être dont les causes n'avaient pas été correctement cernées et traitées en fonction), on a décidé de classifier "l'état dépressif" : état dépressif léger jusqu'à épisode sévère. Ce qui a continué à faire dire au plus grand nombre (merci la vulgarisation) qu'il était "dépressif".

Aujourd'hui la dépression échappe à toute forme de catégorisation. L'état dépressif n'est pas le même ne serait-ce qu'en fonction des âges de la vie. La dépression d'un enfant n'est pas celle d'un ado pas plus que celle d'une personne âgée. On a tout de même résolu que la dépression majeure (endogène) se manifeste en dehors de tout élément déclencheur extérieur.

Si l'on s'attache au sens clinique du terme et pas à la vulgarisation à deux balles, et bien on ne déclare pas une dépression majeure pour avoir perdu son boulot par exemple, c'est toute une combinaison de facteurs. C'est là où la médecine n'est pas performante en prescrivant par réflexe des psychotropes à des gens qui n'en auraient peut être pas besoin. L'écoute, la vraie, avant tout, est trop souvent remplacée par une ordonnance longue comme le bras. Mais voilà les médecins ont cette "aura" et ce pouvoir de mettre des étiquettes. Pour certains cela va les aider, ils pourront comprendre ce qui leur arrive et se déculpabiliser, pour d'autres, cela va les enfermer dans la victimation, c'est une affaire de vécu. Et cette suite là, un médecin en vous accordant 15 minutes de consultation, ne pourra jamais le déterminer lorsqu'il vous donne votre ordonnance avec une tape dans le dos et un sourire bienveillant..

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Membre, Posté(e)
Mia Adaxo Membre 8 792 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

C'est là où la médecine n'est pas performante en prescrivant par réflexe des psychotropes à des gens qui n'en auraient peut être pas besoin. L'écoute, la vraie, avant tout, est trop souvent remplacée par une ordonnance longue comme le bras. Mais voilà les médecins ont cette "aura" et ce pouvoir de mettre des étiquettes. un médecin en vous accordant 15 minutes de consultation, ne pourra jamais le déterminer lorsqu'il vous donne votre ordonnance avec une tape dans le dos et un sourire bienveillant..

Mon fils ainé était tombé en depression quelques semaines après son entrée à l'université...

(enfin , un début de depression)

Cela avait commencé par des crises d'angoisse puis un isolement...Il ne voulait plus aller en cours

Le médecin traitant lui avait prescrit du temesta à ne prendre qu'en cas de crise ,

surtout pas tous les jours pour éviter la dépendance

Le médicament était effectivement efficace , dés qu'il prenait un comprimé , la crise se calmait en 10 / 15 mn.

Seulement les crises devenaient de plus en plus présentes , donc , plus de comprimés.

A cela s'ajoutaient d'autres symptômes comme dormir beaucoup , perte d'appetit , tristesse ....

J'ai donc emmené mon fils chez une psychiatre (il avait 20 ans à l'époque) , malgré ma peur qu'elle lui donne du lourd

Cette psychiatre m'a fait sortir de la pièce et est restée avec mon fils durant presque 2 heures.

A mon grand étonnement il est ressortit sans ordonnance.

Je l'avais questionné un peu sur le déroulement de la visite , mais rien , il ne parlait déjà pas beaucoup ,

je l'avais donc laissé tranquille pour ne pas le brusquer......(on verrait bien)

Puis il s'est mis à espacer seul le temesta , ne le prenait qu'en dernier recours , puis plus du tout.

Il s'est mis à remanger , à sourire , à reprendre ses cours

(aujourd'hui il est en master de recherche physique fondamentale)

(je précise quand même que tout cela a duré 4 / 5 ans , c'est pas rien une parenthèse de 5 ans)

Plus tard , je lui ai redemandé ce que la psychiatre avait bien pu lui dire durant ces 2 heures ,

il m'a dit qu'elle lui avait fait un cours complet sur les antidepresseurs et autres médicaments du même type

que c'était une mauvaise direction , etc etc , ....puis aussi elle avait parlé sur d'autres sujets

A la fin de la consultation , elle lui avait quand même proposé une ordonnance , que mon fils avait refusé ,

la psy lui avait dit : "de toute façon tu ne l'aurais pas eu , c'était juste pour voir si tu aurais accepté"

Bon , j'en ai déduit qu'il était tombé sur la bonne personne au bon moment ,

cette psychiatre a (apparemment) su le rattraper avant le grand plongeon

J'aurais tellement aimé la remercier d'avoir pris ce temps pour mon enfant ,

(pour juste 26 euros remboursés par la sécu , elle a pris le temps qu'il fallait)

qui sait , avec un autre psy , comment mon fils serait aujourd'hui ?? mellow9wl.gif

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Membre, In love with life and truth, Posté(e)
Swannie Membre 10 264 messages
In love with life and truth,
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Pour finir, je pense que l'alcool utilisé (c'est le cas de le dire) avec modération et uniquement de manière occasionnelle, PEUT remplacer un médicament et peut permettre de retrouver confiance en soi si on en manque terriblement (c'est vrai que quand on voit le Gainsbourg de ses débuts et celui d'après !!). hehe3.gif

J'ai pensé que c'était le sens de ce topic, et absolument pas un sujet incitant à consommer de l'alcool sans modération. Je n'ai jamais pris non plus d'antidépresseurs ou d'anxiolytiques, je n'ai donc pas de moyen de comparaison, mais s'ils mettent dans un état proche d'une personne qui aurait consommé 2 verres d'alcool, et cela de manière permanente tant que la personne est sous l'effet de ces médicaments, alors il y a de quoi se poser des questions... Ce serait traiter la maladie en masquant sa cause, alors que la seule guérison possible est justement de trouver la cause et de l'éradiquer.

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Modérateur, ©, 108ans Posté(e)
January Modérateur 61 992 messages
108ans‚ ©,
Posté(e)

Mon fils ainé était tombé en depression quelques semaines après son entrée à l'université...

(enfin , un début de depression)

Cela avait commencé par des crises d'angoisse puis un isolement...Il ne voulait plus aller en cours

Le médecin traitant lui avait prescrit du temesta à ne prendre qu'en cas de crise ,

surtout pas tous les jours pour éviter la dépendance

Le médicament était effectivement efficace , dés qu'il prenait un comprimé , la crise se calmait en 10 / 15 mn.

Seulement les crises devenaient de plus en plus présentes , donc , plus de comprimés.

A cela s'ajoutaient d'autres symptômes comme dormir beaucoup , perte d'appetit , tristesse ....

J'ai donc emmené mon fils chez une psychiatre (il avait 20 ans à l'époque) , malgré ma peur qu'elle lui donne du lourd

Cette psychiatre m'a fait sortir de la pièce et est restée avec mon fils durant presque 2 heures.

A mon grand étonnement il est ressortit sans ordonnance.

Je l'avais questionné un peu sur le déroulement de la visite , mais rien , il ne parlait déjà pas beaucoup ,

je l'avais donc laissé tranquille pour ne pas le brusquer......(on verrait bien)

Puis il s'est mis à espacer seul le temesta , ne le prenait qu'en dernier recours , puis plus du tout.

Il s'est mis à remanger , à sourire , à reprendre ses cours

(aujourd'hui il est en master de recherche physique fondamentale)

(je précise quand même que tout cela a duré 4 / 5 ans , c'est pas rien une parenthèse de 5 ans)

Plus tard , je lui ai redemandé ce que la psychiatre avait bien pu lui dire durant ces 2 heures ,

il m'a dit qu'elle lui avait fait un cours complet sur les antidepresseurs et autres médicaments du même type

que c'était une mauvaise direction , etc etc , ....puis aussi elle avait parlé sur d'autres sujets

A la fin de la consultation , elle lui avait quand même proposé une ordonnance , que mon fils avait refusé ,

la psy lui avait dit : "de toute façon tu ne l'aurais pas eu , c'était juste pour voir si tu aurais accepté"

Bon , j'en ai déduit qu'il était tombé sur la bonne personne au bon moment ,

cette psychiatre a (apparemment) su le rattraper avant le gros plongeon

J'aurais tellement aimé la remercier d'avoir pris ce temps pour mon enfant ,

(pour juste 26 euros remboursés par la sécu , elle a pris le temps qu'il fallait)

qui sait , avec un autre psy , comment il serait aujourd'hui ?? mellow9wl.gif

On aimerait lire ce genre d'histoire plus souvent, merci à toi de la partager ici. La bonne personne au bon moment oui :)

J'ai pensé que c'était le sens de ce topic, et absolument pas un sujet incitant à consommer de l'alcool sans modération. Je n'ai jamais pris non plus d'antidépresseurs ou d'anxiolytiques, je n'ai donc pas de moyen de comparaison, mais s'ils mettent dans un état proche d'une personne qui aurait consommé 2 verres d'alcool, et cela de manière permanente tant que la personne est sous l'effet de ces médicaments, alors il y a de quoi se poser des questions... Ce serait traiter la maladie en masquant sa cause, alors que la seule guérison possible est justement de trouver la cause et de l'éradiquer.

Non, les AD la plupart du temps rendent bien malades au début de traitement, rien d'euphorisant. Et les anxios apaisent, ils n'ont pas d'effet euphorisant non plus.

Lorsqu'on boit de l'alcool, on a l'impression d'avoir les sens en meilleur éveil (au début, hips!), puis vient comme on l'appelle "être gai" (hips hips) - et on ne va pas plus loin parce-qu'après c'est le verre de trop.

A ce propos, je voudrais dire à tous les jeunes gens que lorsque vous aimez cet "état euphorique" et que vous voulez rester comme ça, ce n'est pas en reprenant un verre que vous allez entretenir votre "gaieté", le verre de trop vous mettra sous la table, toujours ;)

Certains AD "éveillent" si l'on peut dire, c'est le cas du Prozac par exemple (mais ce n'est pas vérifiable sur tout le monde), mais l'euphorie, avec les AD, on en est loin...

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Membre, 104ans Posté(e)
papyfedelaresistance Membre 860 messages
Baby Forumeur‚ 104ans‚
Posté(e)

Quoiiiiiii ? tu me crois pas ? :hehe:

Viens, rejoins moua, je vais te faire une tite démonstration :smile2: :smile2: :smile2:

papy y peut toujours faire de la résistance, j'ai une arme pour le dérésister : l'humour, pis après au choix la voie, la suite dans un complexe luxueux :bave:

(mais bon là je dé...ne LOL)

Il va falloir qu'on se parle de manière plus...approfondie ! :hehe:
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Membre, Posté(e)
Mia Adaxo Membre 8 792 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

On aimerait lire ce genre d'histoire plus souvent, merci à toi de la partager ici. La bonne personne au bon moment oui :)

De rien , j'aimerai aussi qu'il y ait plus de médecin comme ça

Malheureusement , je n'en ai jamais plus vu d'autre depuis , une rareté, une exception ........sleep8ge.gif

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Membre, In love with life and truth, Posté(e)
Swannie Membre 10 264 messages
In love with life and truth,
Posté(e)

Non, les AD la plupart du temps rendent bien malades au début de traitement, rien d'euphorisant. Et les anxios apaisent, ils n'ont pas d'effet euphorisant non plus.

Lorsqu'on boit de l'alcool, on a l'impression d'avoir les sens en meilleur éveil (au début, hips!), puis vient comme on l'appelle "être gai" (hips hips) - et on ne va pas plus loin parce-qu'après c'est le verre de trop.

A ce propos, je voudrais dire à tous les jeunes gens que lorsque vous aimez cet "état euphorique" et que vous voulez rester comme ça, ce n'est pas en reprenant un verre que vous allez entretenir votre "gaieté", le verre de trop vous mettra sous la table, toujours ;)

Certains AD "éveillent" si l'on peut dire, c'est le cas du Prozac par exemple (mais ce n'est pas vérifiable sur tout le monde), mais l'euphorie, avec les AD, on en est loin...

Merci pour ces précisions :) et oui, attention au verre de trop, bien dit :drinks: (depuis le temps que je voulais le caser celui là :D )

Il va falloir qu'on se parle de manière plus...approfondie ! :hehe:

hein ? qui ? que ? quoi ? j'ai précisé que je déc.....s papy :smile2: :smile2: :smile2:

De rien , j'aimerai aussi qu'il y ait plus de médecin comme ça (je n'en ai jamais vu d'autre depuis)

Superbe ton histoire :bo:

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Membre, 65ans Posté(e)
pila Membre 18 571 messages
Baby Forumeur‚ 65ans‚
Posté(e)

En 1992, j'avais le choix entre les cachets et l'alcool. Surmenage au travail (+ une vie de drames). Je ne voulais pas entendre parler de cachets.

En 2004, il a fallu que j'arrête l'alcool. J'étais au bord du gouffre. Depuis j'ai des cachets. Ca me fatigue !

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Membre, Posté(e)
Mia Adaxo Membre 8 792 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

hein ? qui ? que ? quoi ? j'ai précisé que je déc.....s papy :smile2: :smile2: :smile2:

Ben apparemment , lui il déconne pas laugh.gif

Superbe ton histoire :bo:

Merci , bien que j'aurais préféré que mon fils ne passe pas par cet épisode douloureux, ça va de soi sleep8ge.gif

wink1.gif

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Modérateur, ©, 108ans Posté(e)
January Modérateur 61 992 messages
108ans‚ ©,
Posté(e)

En 1992, j'avais le choix entre les cachets et l'alcool. Surmenage au travail (+ une vie de drames). Je ne voulais pas entendre parler de cachets.

En 2004, il a fallu que j'arrête l'alcool. J'étais au bord du gouffre. Depuis j'ai des cachets. Ca me fatigue !

J'ai une question un peu perso, tu réponds ou non à toi de voir pas de soucis :

Penses-tu que si tu arrêtais le traitement, tu replongerais dans l'alcool à coup sûr aujourd'hui ?

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Membre, In love with life and truth, Posté(e)
Swannie Membre 10 264 messages
In love with life and truth,
Posté(e)

Merci , bien que j'aurais préféré que mon fils ne passe pas par cet épisode douloureux, ça va de soi sleep8ge.gif

wink1.gif

ça va de soi :)

Mais si toutes les personnes en voie de tomber dépressives pouvaient rencontrer elles-aussi une personne comme ton fils a eu a chance de le faire, ce serait magnifique :)

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Membre, Posté(e)
Rodolphe YTTRIUM Membre 2 501 messages
Baby Forumeur‚
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De rien , j'aimerai aussi qu'il y ait plus de médecin comme ça

Malheureusement , je n'en ai jamais plus vu d'autre depuis , une rareté, une exception ........sleep8ge.gif

C'est une très touchante histoire en effet. Elle prouve qu'on ne PEUT PAS s'en sortir sans une aide EXTERIEURE à soi. A l'évidence ce psy avait un GROS plus qui ne s'apprend pas dans les livres de medecine et qui est autrement plus éfficace que les médicaments : l'emphatie ! Et j'ajouterais : une VRAIE écoute... smile.gif

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Membre, Posté(e)
Rodolphe YTTRIUM Membre 2 501 messages
Baby Forumeur‚
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HS ? alors que c'est toi qui l'amène le HS, sur un plateau ? je ne faisais que te répondre, faut pas trop déco...er quand même :hehe:

Alors ok, je passe, puisque HS, et sage décision d'en faire autant.

je te stimulerai papy va, avec un tit remontant :smile2: :smile2: :smile2:

Mais c'est pas vrai !! Elle a rien compris au film ! Il te dit que l'alcool flingue sa libido, alors si tu lui donne un p'tit remontant...ça fait "remonter" Non tu vois pas ? Tu veux que j'te fasse un dessin ? wallbash.gif

Au contraire t'amènes toute la bouteille de poire de tante Agathe, et comme les hommes deviennent moins intelligents devant une femme, il va tout siffler et t'auras plus qu'à te débiner vite fait bien fait s'ul gaz ! D'toutes façons avec la tête qu'il a, ça peut pas être un bon coup...Laisses tomber va !! yahoo.gif

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Modérateur, ©, 108ans Posté(e)
January Modérateur 61 992 messages
108ans‚ ©,
Posté(e)

Empathie ;)

Etre emphatique n'est pas la même chose.

Au départ ce n'est qu'une pensée, elle se transforme en pensée + émotion lorsque l'écoutant peut ressentir ce que la personne en face lui raconte.

C'est une belle qualité, si tant est qu'on soit doté d'un solide respect de soi-même. Sinon, on s'abîme dans le "trop d'empathie", on finit dans la compassion, on souffre comme l'autre et on plonge avec l'autre. C'est là toute la difficulté que rencontrent au quotidien les praticiens en maintenant à distance raisonnable l'empathie au profit d'un savant mélange avec la sympathie.

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Membre, In love with life and truth, Posté(e)
Swannie Membre 10 264 messages
In love with life and truth,
Posté(e)

Mais c'est pas vrai !! Elle a rien compris au film ! Il te dit que l'alcool flingue sa libido, alors si tu lui donne un p'tit remontant...ça fait "remonter" Non tu vois pas ? Tu veux que j'te fasse un dessin ? wallbash.gif

Au contraire t'amènes toute la bouteille de poire de tante Agathe, et comme les hommes deviennent moins intelligents devant une femme, il va tout siffler et t'auras plus qu'à te débiner vite fait bien fait s'ul gaz ! D'toutes façons avec la tête qu'il a, ça peut pas être un bon coup...Laisses tomber va !! yahoo.gif

oui, je veux bien un dessin merci :)

:smile2: :smile2: :smile2:

y va être content tiens, de lire que "ça peut pas être un bon coup" :hehe: tu vas de faire remonter les bretelles toi :D :D :D

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Membre, Posté(e)
Rodolphe YTTRIUM Membre 2 501 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Empathie ;)

Etre emphatique n'est pas la même chose.

Au départ ce n'est qu'une pensée, elle se transforme en pensée + émotion lorsque l'écoutant peut ressentir ce que la personne en face lui raconte.

C'est une belle qualité, si tant est qu'on soit doté d'un solide respect de soi-même. Sinon, on s'abîme dans le "trop d'empathie", on finit dans la compassion, on souffre comme l'autre et on plonge avec l'autre. C'est là toute la difficulté que rencontrent au quotidien les praticiens en maintenant à distance raisonnable l'empathie au profit d'un savant mélange avec la sympathie.

EXACTEMENT !! Pas mieux...

Soit tu es très intelligente

Soit tu es psychologue"

Soit tu es une psychologue très intelligente (rayer les mentions inutiles) hehe3.gif Celà me donne de l'empathie et ça n'est pas une simple pensée

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Membre, Posté(e)
Mia Adaxo Membre 8 792 messages
Baby Forumeur‚
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ça va de soi :)

Mais si toutes les personnes en voie de tomber dépressives pouvaient rencontrer elles-aussi une personne comme ton fils a eu a chance de le faire, ce serait magnifique :)

Oh que oui , parler soulage bien des maux, encore faut-il trouver quelqu'un qui veuille bien prendre le temps

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Membre, Posté(e)
passion06 Membre 355 messages
Baby Forumeur‚
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ça va de soi :)

Mais si toutes les personnes en voie de tomber dépressives pouvaient rencontrer elles-aussi une personne comme ton fils a eu a chance de le faire, ce serait magnifique :)

Certes... Il est vrai que tous les médecins ne sont pas prêts non plus à passer autant de temps avec un patient. Je n'ai pas eu cette chance : tout le monde était toujours "pressé" avec moi. Une psy m'a même répondu qu'elle "n'avait pas de place pour l'urgence" (j'étais dans l'urgence...).

Maintenant il faut arrêter de dire qu'avec les antidépresseurs on est comme des zombies. A condition de trouver le bon, il n'y a parfois pas d'autres solutions. Cela peut nous permettre au contraire de "retourner à la vie", vie de laquelle on sort dès lors qu'on est dépressif (au sens médical du terme, pas la déprime passagère). En prendre m'a en tout cas permis de "raccrocher les wagons". Mais ça a été un chemin de croix pour trouver le bon traitement. Quant aux anxiolytiques, ils peuvent aider de manière ponctuelle en cas de crises d'angoisse ou d'anxiété. Il ne faut pas tout diaboliser, surtout si on n'a jamais eu l'occasion de "devoir en prendre". Même avant ma dépression, j'en consommais déjà des anxiolytiques, c'est pas la mort. Et on peut s'arrêter quand on veut dès lors qu'on en abuse pas (parce qu'il y a risque d'accoutumance dans le cas contraire).

Vous avez pour certains d'entre vous la chance de n'avoir jamais connu ni crises d'angoisse ni dépression personnellement (je dis "personnellement" car le vivre via une autre personne c'est pas pareil). Mais quand les crises d'angoisse sont comme des bêtes qui habitent votre corps dès le réveil, croyez moi, vous ne demandez qu'une chose : être soulagé. Et parlementer n'apporte parfois rien du tout. Dans une vraie dépression, le dialogue est un complément, mais en aucun cas un "traitement".

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Mia Adaxo Membre 8 792 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

C'est une très touchante histoire en effet. Elle prouve qu'on ne PEUT PAS s'en sortir sans une aide EXTERIEURE à soi. A l'évidence ce psy avait un GROS plus qui ne s'apprend pas dans les livres de medecine et qui est autrement plus éfficace que les médicaments : l'emphatie ! Et j'ajouterais : une VRAIE écoute... smile.gif

Peut-être qu'à ce moment là , cette psychiatre avait un fils du même âge que le mien ,

et que ç'avait pu la toucher personnellement....(que ça pourrait arriver aussi à son fils) ....

Ce qui est sûr , c'est qu'elle a trouvé les mots (peut importe lesquels)

Une sacrée femme en tout cas , en plus d'être un bon médecin.

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