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Valérie Damidot révèle son passé de femme battue dans un livre confession

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Kira

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Membre, Je n'en ai aucun, 51ans Posté(e)
pep-psy Membre 23 493 messages
51ans‚ Je n'en ai aucun,
Posté(e)

Il n'y en a pas un, sur place, de psychiatre ou alors un medecin et un psychologue ?

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Membre, 36ans Posté(e)
sirielle Membre 8 516 messages
Maitre des forums‚ 36ans‚
Posté(e)
L’offre de soins psychiatriques dans les prisons présente une grande disparité. En effet, il existe vingt-six services médico-psychologiques régionaux (SMPR) implantés dans les plus grandes Maisons d’Arrêt (quatre en Région parisienne, trois dans les DOM, dix-neuf dans le reste de la France). Il s’agit de secteurs de psychiatrie en milieu pénitentiaire, créés comme les autres secteurs par une loi de 1985 et rattachés à un établissement hospitalier (CHU, CHR (Centre Hospitalier Régional.) ou hôpital psychiatrique). Ils sont composés d’une équipe pluridisciplinaire : psychiatres, psychologues, infirmiers, assistantes sociales, éducateurs spécialisés, secrétaires médicales. Leur mission consiste, notamment, à revoir systématiquement toutes les personnes arrivant dans l’établissement pénitentiaire d’implantation, à assurer le suivi durant l’incarcération et la mise en place du suivi postpénal, à prendre en charge les personnes présentant un problème avec les produits psycho-actifs. Ils disposent, pour la plupart, de « lits d’hospitalisation » permettant le suivi plus intensif, durant la journée, des détenus ayant des pathologies psychiatriques et consentant aux soins. Il s’agit, en fait, d’une hospitalisation de jour dans un quartier spécifique, situé au sein de la détention, mais permettant cependant une bonne prise en charge avec des entretiens individuels ou de groupe, des activités de médiation et d’expression…{...} Lorsqu’il n’existe pas de SMPR (c’est-à-dire dans un très grand nombre d’établissements pénitentiaires — il y en a 187 en France), c’est l’équipe du secteur de psychiatrie dont dépend l’établissement pénitentiaire qui doit assurer les soins psychiatriques. Des moyens ont été alloués à ces secteurs pour assurer cette mission, mais sont rarement suffisants pour assurer une prise en charge diversifiée et de qualité ; souvent, seuls les soins psychiatriques urgents sont assurés, au détriment des prises en charge psychothérapiques. En outre, comme de nombreux postes de psychiatres et d’infirmiers sont budgétés, mais non pourvus, le responsable du secteur doit faire des choix, et c’est souvent l’activité à la prison qui va être sacrifiée. Ainsi, il existe des établissements pénitentiaires où les soins psychiatriques ne sont assurés que par l’équipe en charge des soins somatiques.
source Modifié par sirielle
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