Nos monarques absolus de la 5e république

On sait que par la volonté du Grand Charles, le président doit avoir de nombreux pouvoirs. On sait que de tous les dirigeants élus du peuples démocratiquement, le chef de l'état français est peut-être celui qui a le plus de pouvoir au monde.

Faut-il qu'un président est beaucoup de pouvoir ou pensez-vous que ses pouvoirs devraient être limités ?

On sait que de tous les dirigeants élus du peuples démocratiquement, le chef de l'état français est peut-être celui qui a le plus de pouvoir au monde.

L'assertion est fausse. Il ne bat plus monnaie et la loi Rothschild de 1973 l'oblige à s'endetter auprès des seuls organismes bancaires.

Le Premier Consul avait bien plus de pouvoirs.

L'assertion est fausse. Il ne bat plus monnaie et la loi Rothschild de 1973 l'oblige à s'endetter auprès des seuls organismes bancaires.

Le Premier Consul avait bien plus de pouvoirs.

Là, je parle des présidents de la 5e par rapport au pays démocratiques du monde actuel.

Peut-être que la phrase est mal tournée.

Là, je parle des présidents de la 5e par rapport au pays démocratiques du monde actuel.

Peut-être que la phrase est mal tournée.

En ce cas, le Président russe et même le Premier Ministre britannique ont plus de pouvoirs. Ils battent monnaie.

En douce France, c'est le peuple souverain qui confie le pouvoir exécutif au Président. Pour une période. Et le pouvoir législatif, judiciaire et d'information ne sont pas les siens. Sinon, ce serait une dictature. Dictateur = celui qui dit, dont la parole fait loi.

En ce cas, le Président russe et même le Premier Ministre britannique ont plus de pouvoirs. Ils battent monnaie.

Je ne sais pas si c'est l'indépendance monétaire qui joue réellement sur le pouvoir... même si nous avons transféré beaucoup de pouvoir à l'UE.

Un mauvais président a toujours trop de pouvoir.

Le président ne sert à rien, autant supprimer son poste...

En France, c'est plutôt le premier ministre qui ne sert à rien puisque double emploi avec le président.

Je ne sais pas si c'est l'indépendance monétaire qui joue réellement sur le pouvoir... même si nous avons transféré beaucoup de pouvoir à l'UE.

Qu'est-ce qu'un "pouvoir" politique, sans souveraineté réelle ? Et quels sont les éléments de la souveraineté ?

1969

1986-1988

1993-1995

1997-2002

Cohabitations.

Pas si absolus que ça, les présidents..

La France demeure, grâce à sa Liberté de la Presse, la quasi-transparence de ses élections, son droit de grève et de manifestations, l'une des démocraties les plus avancées de la planète.

Avec le FN, ça ne sera plus le cas.

Choisissez votre camp.

La France demeure, grâce à sa Liberté de la Presse, .

Peux-tu nous préciser l'organisation des groupes de presse et les noms de leurs propriétaires, afin que nous puissions concrètement vérifier l'existence d'une "indépendance" et d'une pluralité ?

L'erreur serait de croire que la "liberté" se concevrait par rapport à un pouvoir s'incarnant dans des institutions politiques. Il est constant, dans toute l'Histoire humaine, que le Pouvoir se confond avec la détention de l'argent. C'est ce qui explique d'ailleurs la lutte inlassable menée par les Rois de France contre les banquiers et financiers divers.

Les sociétés occidentales se caractérisent principalement par le fait que le personnel politique n'a plus même la capacité juridique de conserver le pouvoir financier à l'Etat, qui par exemple est obligé, selon des législations identiques d'un pays à l'autre, d'emprunter avec taux d'intérêt aux banques. Ce sont donc les banques qui, en créant de facto la monnaie, décident de l'attribution de la richesse. Pour virtuelle que soit fondamentalement ladite richesse depuis la fin de l'étalon or, il n'en demeure pas moins que c'est elle qui commande la politique des Etats, dont le rôle du personnel politique se borne à habiller juridiquement les mécanismes qui profitent au Pouvoir réel, comme les négociations "secrètes" du TAFTA viennent le démontrer presque au grand jour.

Quelle liberté reste-t-il aux rédacteurs en chef de quotidiens, dans ce contexte ? De choisir le niveau lexical de leur titre qui, pour répéter sur le fond exactement la même chose que ses confrères, pourra prétendre à l'expression d'une "sensibilité" différente. Jamais d'une politique autre !

Rappelez-nous les titres de la presse nationale qui se sont violemment montrés hostiles à l'adoption du traité constitutionnel, lors de la campagne référendaire de 2005 ?