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Abandon d'animaux : une photo poignante fait le buzz

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Savonarol

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Membre, Freak and geek, 46ans Posté(e)
Marla Membre 2 320 messages
46ans‚ Freak and geek,
Posté(e)

Tu ne sais même pas à quoi je fais allusion quand j'évoque la corruption. Et à vrai dire je me fiche de savoir si pour toi l'abandon est pire que la maltraitance ou l'inverse. Il en fait parfois partie.

A vrai dire, je ne sais pas à quoi tu fais allusion souvent en te lisant ! mellow9wl.gif

Et sinon, ce n'est pas "pour moi", mais selon la loi et le statut juridique...

L'évolution des textes

Autrefois sans le moindre droit, l'animal a acquis, grâce au travail de ses avocats humains, les défenseurs des animaux, une certaine protection légale.

Malgré cela, il reste l'objet d'abus divers car il est souvent difficile de faire appliquer la loi dans toute sa rigueur.

La première loi en faveur des animaux date de 1850 en France : c'est la loi Grammont qui punit les auteurs de mauvais traitements publics aux animaux. En 1963 est créé le délit d'acte de cruauté et l'animal martyr peut désormais être confié à une association de protection. Le 10 juillet 1976, l'animal est reconnu comme un être sensible. Le 8 juillet 2003, la France ratifie la convention européenne de 1987 qui reconnaît l'importance des animaux de compagnie dans la qualité de vie générale. Il y est précisé que « toute personne qui détient un animal de compagnie ou qui a accepté de s'en occuper doit être responsable de sa santé et de son bien-être ».

Les lois qui les protègent

On ne peut maltraiter impunément un animal de compagnie, réputé être sensible par le législateur. L'animal de compagnie, c'est «tout animal détenu ou destiné à être détenu par l'homme, notamment dans son foyer, pour son agrément et en tant que compagnon. »

Mauvais traitements. Il faut distinguer les mauvais traitements des actes de cruauté. Les premiers sont passibles du tribunal de police et punis en vertu de l'article R 654-1 du code pénal d'une contravention de 4ème classe, soit 750 € maximum. Ne pas nourrir suffisamment un animal, l'entraver trop court, le laisser aux intempéries, le frapper est généralement considéré comme un mauvais traitement.

Le sommet de l'horreur. Les actes de cruauté et les sévices graves sont soumis à l'article 521-1 du code pénal qui prévoit jusqu'à deux ans d'emprisonnement et 30 000 € d'amende au coupable, qui peut, de plus, se voir interdire de posséder un animal, à titre temporaire ou définitif. Les actes de torture, la mise à mort sont des actes de cruauté.

Plaintes systématiques.

En réalité, il est parfois difficile de faire le distinguo entre les mauvais traitements et les actes de cruauté. La sévérité des jugements dépend entièrement des juges : d'un tribunal à l'autre, les coupables sont condamnés plus ou moins lourdement et les peines de prison ferme restent exceptionnelles. Toutefois, depuis une dizaine d'années, les condamnations sont un peu plus sévères. Il faut dire que les associations de protection se portent systématiquement partie civile : mais toutes les plaintes, même légitimes, ne sont pas systématiquement retenues.

L'abandon aussi. A noter : l'abandon est considéré comme un acte de cruauté Article 453 du code pénal.

http://www.cnspa.fr/?SousRubrique=13

santa2.gif

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Membre, 37ans Posté(e)
sirielle Membre 9 628 messages
Maitre des forums‚ 37ans‚
Posté(e)

A vrai dire, je ne sais pas à quoi tu fais allusion souvent en te lisant ! mellow9wl.gif

Et sinon, ce n'est pas "pour moi", mais selon la loi et le statut juridique...

L'évolution des textes

Autrefois sans le moindre droit, l'animal a acquis, grâce au travail de ses avocats humains, les défenseurs des animaux, une certaine protection légale.

Malgré cela, il reste l'objet d'abus divers car il est souvent difficile de faire appliquer la loi dans toute sa rigueur.

La première loi en faveur des animaux date de 1850 en France : c'est la loi Grammont qui punit les auteurs de mauvais traitements publics aux animaux. En 1963 est créé le délit d'acte de cruauté et l'animal martyr peut désormais être confié à une association de protection. Le 10 juillet 1976, l'animal est reconnu comme un être sensible. Le 8 juillet 2003, la France ratifie la convention européenne de 1987 qui reconnaît l'importance des animaux de compagnie dans la qualité de vie générale. Il y est précisé que « toute personne qui détient un animal de compagnie ou qui a accepté de s'en occuper doit être responsable de sa santé et de son bien-être ».

Les lois qui les protègent

On ne peut maltraiter impunément un animal de compagnie, réputé être sensible par le législateur. L'animal de compagnie, c'est «tout animal détenu ou destiné à être détenu par l'homme, notamment dans son foyer, pour son agrément et en tant que compagnon. »

Mauvais traitements. Il faut distinguer les mauvais traitements des actes de cruauté. Les premiers sont passibles du tribunal de police et punis en vertu de l'article R 654-1 du code pénal d'une contravention de 4ème classe, soit 750 € maximum. Ne pas nourrir suffisamment un animal, l'entraver trop court, le laisser aux intempéries, le frapper est généralement considéré comme un mauvais traitement.

Le sommet de l'horreur. Les actes de cruauté et les sévices graves sont soumis à l'article 521-1 du code pénal qui prévoit jusqu'à deux ans d'emprisonnement et 30 000 € d'amende au coupable, qui peut, de plus, se voir interdire de posséder un animal, à titre temporaire ou définitif. Les actes de torture, la mise à mort sont des actes de cruauté.

Plaintes systématiques.

En réalité, il est parfois difficile de faire le distinguo entre les mauvais traitements et les actes de cruauté. La sévérité des jugements dépend entièrement des juges : d'un tribunal à l'autre, les coupables sont condamnés plus ou moins lourdement et les peines de prison ferme restent exceptionnelles. Toutefois, depuis une dizaine d'années, les condamnations sont un peu plus sévères. Il faut dire que les associations de protection se portent systématiquement partie civile : mais toutes les plaintes, même légitimes, ne sont pas systématiquement retenues.

L'abandon aussi. A noter : l'abandon est considéré comme un acte de cruauté Article 453 du code pénal.

http://www.cnspa.fr/?SousRubrique=13

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Au point de vue pénal effectivement. Au point de vue définition maltraiter signifie "traiter durement, avec violence" donc on peut quand même considérer que l'abandon peut être aussi une maltraitance. Personnellement je n'ai pas évoqué les actions en justice. Or l'euthanasie s'apparente à une mise à mort et donc aussi à un acte de cruauté lorsqu'elle n'est pas justifiée médicalement.

J'ajoute que j'ai évoqué l'abandon au sens large (bien que j'ai peu développé cette problématique là) et pas au sens pénal, c'est à dire se défaire de ses responsabilités envers son animal de compagnie par une séparation, même légale pour certains cas.

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Membre, 60ans Posté(e)
alcina Membre 5 752 messages
Baby Forumeur‚ 60ans‚
Posté(e)

Personne ne t'oblige à discuter avec moi, je te réponds simplement. Tu n'es pas obligée de t'adresser à moi pour exprimer ton opinion sur le sujet.

Je t'ai fait savoir que tu ne me ferais pas changer d'avis tout simplement parce que tu as contredit plusieurs fois mon jugement tiré de mon propre ressenti. Je n'ai donc pas cette impression en n'importe quelle circonstance.

Mais tu peux constater que sur ce sujet, sur lequel je ne souhaitais pas m'attarder comme je l'ai déjà précisé, il te suffit de me critiquer personnellement sans même évoquer vraiment le sujet et sans raison véritablement valable pour que ton message soit soutenu par plusieurs personnes. C'est assez risible.

Il faut absolument arrêter la fumette par ce que là ça devient grave. A aucun je ne t'ai critiquée toi j'ai fait un commentaire sur ton commentaire. Et j'ai pas l'impression non plus que mon message à été soutenu par qui que ce soit, c'est ta remarque ou tes remarques qui ont fait réagir des personnes.

l faut arrêter deux secondes de faire deux secondes le Caliméro.

Fin de la discussion en ce qui me concerne.

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Membre, 37ans Posté(e)
sirielle Membre 9 628 messages
Maitre des forums‚ 37ans‚
Posté(e)

Il faut absolument arrêter la fumette par ce que là ça devient grave. A aucun je ne t'ai critiquée toi j'ai fait un commentaire sur ton commentaire. Et j'ai pas l'impression non plus que mon message à été soutenu par qui que ce soit, c'est ta remarque ou tes remarques qui ont fait réagir des personnes.

l faut arrêter deux secondes de faire deux secondes le Caliméro.

Fin de la discussion en ce qui me concerne.

Deux personnes ont voté pour ton message précédent qui se limitait à me critiquer sans aborder vraiment le sujet. Mais je ne m'en plains pas à toi, je te le faisais simplement remarquer pour que tu ais conscience de la façon dont certaines personnes se comportent ici et d'une des façons importante dont est traité ce sujet. Cela me permet de te préciser le contexte de la discussion à laquelle je ne tiens pas particulièrement et où je ne réponds que par principe depuis le début, n'y étant pas la bienvenue comme ça m'a été clairement exprimé plusieurs fois.

(Je ne fume pas et je vais bien quoi que tu puisses en penser. Mais je préfèrerais ne plus avoir à répondre sur ce thème, c'est pourquoi je le souligne encore. J'attends de n'avoir plus à y justifier ce que j'y ai écrit pour pouvoir quitter définitivement ce forum le mieux possible.)

Modifié par sirielle
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Membre, 57ans Posté(e)
ping Membre 6 305 messages
Baby Forumeur‚ 57ans‚
Posté(e)
Au départ, c'était plus de la "collabarotion"et domestication réciproque.

Pour les chiens, depuis les hommes des cavernes qui avaient le feu, et les chiens qui aidaient à la chasse, les chats en Egypte qui mangeaient les souris dans les réserves de récoltes et les préservaient ainsi pour les humains...

C'est arrangeant de decrire ça comme ça mais non. Le chien ou le chat de l'epoque n'avait pas envie ni besoin de collaborer avec l'homme. C'est l'homme qui a domestiqué et utilisé tous les animaux qu'il pouvait en fonction de ses besoins. De la même façon que l'on peut s'arranger à croire qu'un animal parce-qu'on le traite bien est heureux, ou qu'il est super soulagé quand on le castre, comme ça il ne sera plus embété par ses pulsions. De toute façons c'est pratique, il pourra jamais dire le contraire, :)

Quand à leurs droits, vaste débat, mais je comprends la gêne du législateur qui est obligé de trouver un juste milieu pour, à la fois proteger les animaux dignes de plus d'egards que d'autres ( au nom de quoi?), et autoriser dans le même temps leur massacre quand c'est pour " la bonne cause". La réalité est qu'il y a une sorte de schizophrènie collective qui fait que nos amies les bêtes sont nos amies quand ça nous arrange, et il m'est avis qu'à la place d'une bête on serait en droit de penser que l'homme est un drôle d'ami dont il ne vaut mieux pas trop s'approcher.

Modifié par ping
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Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)

..soupir..

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Membre, Posté(e)
Alinea Membre 516 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

C'est arrangeant de decrire ça comme ça mais non. Le chien ou le chat de l'epoque n'avait pas envie ni besoin de collaborer avec l'homme. C'est l'homme qui a domestiqué et utilisé tous les animaux qu'il pouvait en fonction de ses besoins. De la même façon que l'on peut s'arranger à croire qu'un animal parce-qu'on le traite bien est heureux, ou qu'il est super soulagé quand on le castre, comme ça il ne sera plus embété par ses pulsions. De toute façons c'est pratique, il pourra jamais dire le contraire, :)

Quand à leurs droits, vaste débat, mais je comprends la gêne du législateur qui est obligé de trouver un juste milieu pour, à la fois proteger les animaux dignes de plus d'egards que d'autres ( au nom de quoi?), et autoriser dans le même temps leur massacre quand c'est pour " la bonne cause". La réalité est qu'il y a une sorte de schizophrènie collective qui fait que nos amies les bêtes sont nos amies quand ça nous arrange, et il m'est avis qu'à la place d'une bête on serait en droit de penser que l'homme est un drôle d'ami dont il ne vaut mieux pas trop s'approcher.

Les chiens et les chats ont été choisi en fonction de l'Homme, donc de longues sélections qui font que les animaux d'aujourd'hui n'ont plus grand choses a voir avec leurs ancêtres sauvages. Est-ce que le caniche ressemble à un loup? non. Les animaux sauvages sont bien plus vifs et je ne sais pas si tu as déjà eu un animal sauvage apprivoisé, mais moi oui, et même si il y a interaction avec lui on voit la différence d'avec un chat ou un chien car il y a bien plus de "sauvage" chez cet animal qui n'a pas un tas de générations d'animaux domestiqués derrière lui.

Maintenant, le fait de le castrer (surtout le chat) est plutôt une bonne chose à moins de vouloir encourager les empoisonnements, tout simplement parce que les chats non castrés pullulent très vite et en plus de gêner les gens ceux-ci vont avoir un impacte non négligeable sur la faune.

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