La nature du désir est-elle différente chez les hommes et chez les femmes ?

Si je commente c'est une façon de donner mon avis et aussi pour alimenter-animer le débat.

De plus, l'essentiel de mon idée est exprimé dans le post initial.

Mais je suis toujours disponible pour répondre aux éventuelles questions.

Oui, mais comme quasi personne n'a trop compris ton post de départ... :smile2:

De plus, les rares personnes à avoir donné leur avis sont des femmes. De là à en conclure que les hommes n'ont pas de couilles, il y a un pas que je ne franchirai pas, déjà parce que ce serait anatomiquement faux.

Parce que si l'on s'en tient à la "théorie du membre manquant" (ça sonne bien, hein ?), on arrive à très bien saisir le pourquoi du désir féminin, à la base. Par contre, on n'en sais trop rien du côté masculin...

Ce serait bien d'en avoir les deux approches.

Au pire, on pourrait penser que le désir masculin est lui aussi totalement lié au pénis (pas de la même manière, évidemment) et ainsi toute la sexualité ne s'articulerait, finalement, qu'autour du pénis.

Ça ne me parait pas être une idée si conne que ça.

J'aime bien ta façon de t'exprimer, franche et honnete.

Aaarf, mais on va encore penser que je suis hypocrite ou niais parce que je fais des compliments.

Rassure-moi, tu te fiches clairement de moi, là ?!?

Je t'ai demandé, il y a encore quelques posts, si ça avait un lien, si j'avais compris et là tu m'as répondu: "

Je ne crois pas que tu aies bon, mais au moins on aura appris ton envie de pénis, ce qui n'est pas une mince affaire ! :D" Et maintenant tu viens nous dire le contraire... :bad:

Autrement, je ne suis pas du tout persuadée que le fait d'être plutôt cérébrale ou non ait une quelconque incidence sur la base du désir... Je vois mal comment.

T'es pas un peu perdu, là ? :D

Oui, mais comme quasi personne n'a trop compris ton post de départ... :smile2:

De plus, les rares personnes à avoir donné leur avis sont des femmes. De là à en conclure que les hommes n'ont pas de couilles, il y a un pas que je ne franchirai pas, déjà parce que ce serait anatomiquement faux.

Parce que si l'on s'en tient à la "théorie du membre manquant" (ça sonne bien, hein ?), on arrive à très bien saisir le pourquoi du désir féminin, à la base. Par contre, on n'en sais trop rien du côté masculin...

Ce serait bien d'en avoir les deux approches.

Au pire, on pourrait penser que le désir masculin est lui aussi totalement lié au pénis (pas de la même manière, évidemment) et ainsi toute la sexualité ne s'articulerait, finalement, qu'autour du pénis.

Ça ne me parait pas être une idée si conne que ça.

Rassure-moi, tu te fiches clairement de moi, là ?!?

Je t'ai demandé, il y a encore quelques posts, si ça avait un lien, si j'avais compris et là tu m'as répondu: "

Je ne crois pas que tu aies bon, mais au moins on aura appris ton envie de pénis, ce qui n'est pas une mince affaire ! :D" Et maintenant tu viens nous dire le contraire... :bad:

Autrement, je ne suis pas du tout persuadée que le fait d'être plutôt cérébrale ou non ait une quelconque incidence sur la base du désir... Je vois mal comment.

T'es pas un peu perdu, là ? :D

C'est un peu triste de se faire la conversation a deux sur le forum.

Pour les hommes j'en ai un peu parlé aussi, j'ai émis l'hypothese qu'ils avaient une sexualité plus cérébrale que les femmes, en général.

Ensuite j'ai corrigé en précisant que selon moi c'etait la masculinité qui etait cérébrale.

Une sexualité cérébrale ne tourne pas uniquement autour du pénis.

Par exemple le Don Juan de Molière est un cérébral, on en a meme fait un adjectif: le donjuanisme.

C'est l'esprit qu'il veut séduire, conquérir, le corps est secondaire.

Certes la c'est poussé a l'extreme.

Mais tout ce que je dis est sujet a caution, ce qui est interessant c'est le dialogue.

D'ailleurs, mine de rien Erneste, je ne sais pas si tu te rends compte que cette fascination pour le pénis que tu évoques chez les femmes, confirmerait presque exactement ce que je dis en introduction.

Au paroxysme de l'excitation sexuelle l'homme s'efface devant le pénis.

En tout cas moi j'ai plus d'une fois eu cette impression.

Exception faite avec des femmes cérébrales.

exception faite avec des femmes cérébrales et aussi des femmes très sensuelles qui aiment les préliminaires " à rallonge " et peu l'acte sexuel en lui même...

quand je vous lis, swam, erneste, je me demande où vous placeriez le désir entre personnes de même sexe......il n'y a point de pénis alors affirmer que tout tourne autour de cela...c'est un peu fort de café...:dry:

2 femmes évidemment

C'est un peu triste de se faire la conversation a deux sur le forum.

Ouais, ok, j'hésite... Je le prends bien ?

Dis-toi que c'est moins pire que de se la faire tout seul.

Pis sérieusement, j'ai quand même tout fait pour essayer de comprendre ton truc, mais je commence à me demander si tu le comprends vraiment toi-même... :)

Enfin, honnêtement, t'as déjà initié combien de topics sur les relations hommes/femmes ? Qu'est-ce que tu as écouté des réponses qui t'ont été faites ?

Y a sûrement de ça aussi, les gens en ont peut-être marre, je dis ça...

Pour les hommes j'en ai un peu parlé aussi, j'ai émis l'hypothese qu'ils avaient une sexualité plus cérébrale que les femmes, en général.

Ensuite j'ai corrigé en précisant que selon moi c'etait la masculinité qui etait cérébrale.

Oui, parce que toutes les femmes s'étant prononcées t'ont quand même bien dit que la sexualité féminine était bien plus cérébrale que son pendant masculin. Alors ça parait quand même étrange que tu continues à le penser...

Je sais pas trop sur quelle base tu te places pour dire ça... ? (Non, soi-même n'est pas suffisant)

Une sexualité cérébrale ne tourne pas uniquement autour du pénis.

Par exemple le Don Juan de Molière est un cérébral, on en a meme fait un adjectif: le donjuanisme.

C'est l'esprit qu'il veut séduire, conquérir, le corps est secondaire.

Certes la c'est poussé a l'extreme.

Mais tout ce que je dis est sujet a caution, ce qui est interessant c'est le dialogue.

Non, mais je me suis franchement mal faite comprendre avec cette histoire de pénis, je remarque...

Pffff, c'est épuisant.

Et d'un autre côté, j'ai plus l'impression que tu essaies à tout prix de valider tes "certitudes" plutôt que de véritablement dialoguer... C'est peut-être juste une impression, va savoir.

exception faite avec des femmes cérébrales et aussi des femmes très sensuelles qui aiment les préliminaires " à rallonge " et peu l'acte sexuel en lui même...

quand je vous lis, swam, erneste, je me demande où vous placeriez le désir entre personnes de même sexe......il n'y a point de pénis alors affirmer que tout tourne autour de cela...c'est un peu fort de café...:dry:

2 femmes évidemment

Personnes de même sexe ou non, ça n'a pas la moindre importance. C'est plutôt de l'ordre de la pulsion, l'idée du pénis, pas le pénis en lui-même. En réalité. La base de la base du désir, quoi, c'est plutôt inconscient j'imagine.

Ouais, ok, j'hésite... Je le prends bien ?

Dis-toi que c'est moins pire que de se la faire tout seul.

Pis sérieusement, j'ai quand même tout fait pour essayer de comprendre ton truc, mais je commence à me demander si tu le comprends vraiment toi-même... :)

Enfin, honnêtement, t'as déjà initié combien de topics sur les relations hommes/femmes ? Qu'est-ce que tu as écouté des réponses qui t'ont été faites ?

Y a sûrement de ça aussi, les gens en ont peut-être marre, je dis ça...

Oui, parce que toutes les femmes s'étant prononcées t'ont quand même bien dit que la sexualité féminine était bien plus cérébrale que son pendant masculin. Alors ça parait quand même étrange que tu continues à le penser...

Je sais pas trop sur quelle base tu te places pour dire ça... ? (Non, soi-même n'est pas suffisant)

Non, mais je me suis franchement mal faite comprendre avec cette histoire de pénis, je remarque...

Pffff, c'est épuisant.

Et d'un autre côté, j'ai plus l'impression que tu essaies à tout prix de valider tes "certitudes" plutôt que de véritablement dialoguer... C'est peut-être juste une impression, va savoir.

Personnes de même sexe ou non, ça n'a pas la moindre importance. C'est plutôt de l'ordre de la pulsion, l'idée du pénis, pas le pénis en lui-même. En réalité. La base de la base du désir, quoi, c'est plutôt inconscient j'imagine.

Je suis toujours attentif aux réponses qui me sont faites, je viens ici pour connaitre les gens, enrichir mon expérience intra-personnelle.

Ce que dit la majorité, est-il un critère de vérité pour toi ?

Non tu t'es parfaitement exprimée sur l'idée de pénis, et je t'en remerçie pour ça.

Je t'aime bien Erneste, ce qui ne m'empeche pas de te trouver un peu chaotique, mais ça a son charme.

exception faite avec des femmes cérébrales et aussi des femmes très sensuelles qui aiment les préliminaires " à rallonge " et peu l'acte sexuel en lui même...

quand je vous lis, swam, erneste, je me demande où vous placeriez le désir entre personnes de même sexe......il n'y a point de pénis alors affirmer que tout tourne autour de cela...c'est un peu fort de café...:dry:

2 femmes évidemment

C'est Erneste qui voit des pénis partout, pas moi. :D

désolée swam mais tu en as parlé en premier...

erneste: ok je compris ce que tu voulais dire par penis: la pénetration en somme?

peu importe le moyen.

A mon avis, ça c'est quand on observe les gens a leur surface, et les gens qui ne veulent ou ne peuvent que rester en surface.

J'ai précisé que je voulais parler de ce qui se passe quand le désir est a son paroxysme, la ou on ne peut plus se mentir, ou notre vérité profonde est la plus apparente.

Tu sais l'image de l'iceberg avec ses 2 faces, émargées et immergées.

Pour ce qui est du désir, il est évident qu'il vise a combler un manque, un trou, un vide, mais qui n'en a pas ?

Qui meme pense etre un etre achevé et plein ?

C'est toujours pareil, la valeur d'un discours ne peut pas etre séparée de qui le tien, sinon on est dans le sophisme.

Oui, en surface... Mais est-ce que assumer, réaliser, assouvir ses désirs (même ceux qu'on a du mal à "comprendre", qu'on juge" limites", extrêmes..) ce n'est pas justement ne pas rester en surface ?

"Pour ce qui est du désir, il est évident qu'il vise a combler un manque, un trou, un vide, mais qui n'en a pas ?

Qui meme pense etre un etre achevé et plein ?"

Je suis assez d'accord sur ce point.

C'est exactement ce à quoi j'avais pensé quand il nous a sorti sa petite liste (mais je ne me suis pas permis le moindre commentaire parce que je suis correcte, moi)... :)

L'est pas doué, c'est sûr ! :D

Mais il faudrait qu'il nous précise ce qu'est une sexualité masculine et féminine, parce que j'avoue que j'y comprends plus rien. :gurp:

Oui, tu es la correction incarnée (et du coup j'ai envie de t'appeler Maîtresse) !

Mais au moins il essaie, c'est déjà ça

Arrête, après j'ai tout un tas d'images bizarres qui me viennent en tête, c'est pas gentil.

Quelque part, tu me rassure parce que tu étais quand même en train de nous expliquer que les femmes avaient plutôt une sexualité "masculine" ainsi que son inverse. Pas que l'absurde me dérange plus que ça mais quand même...

Mais une femme ne peut pas être complète: elle n'a pas de pénis, la pauvre, faut la comprendre, c'est pour ça qu'elle est frustrée.

Peut-être qu'avec un gode-ceinture, on arrive à quelque chose ?

Du coup, elle aura besoin de l'homme qui deviendrait une sorte de pénis de substitution.

C'est assez simple, finalement. :)

On n'a pas de pénis mais on a le clito, et chez les hyènes je crois, il est très proéminent comme un pénis

Pour le god ceinture, je connais des proches qui ont testé, mais c'étaient des femmes sur des hommes, donc l'exemple est "faussé"

Ouais ben ça va, t'as un pénis, toi, alors viens pas te plaindre, c'est indécent.

Autrement, autant on peut parler du manque de pénis chez la femme mais dans le cas contraire... Je vois pas trop, en fait, qu'est-ce qu'il manquerait à l'homme et qui existerait chez la femme ?

Pas la moindre idée en fait...

Du coup, je commence, peut-être, enfin à comprendre ton post de départ (ça doit tenir du miracle, je dis): Alors que la femme ne désire que le fait de posséder un pénis, l'homme, ne pouvant décemment rien désirer qui viendrait de la femme parce que, bon, faut pas trop déconner non plus, il s'intéresserait alors à des choses moins physiques.

J'ai bon ?

Sauf que dans la réalité, j'ai pas vraiment l'impression que c'est comme ça que ça se passe.

Mais y avait de l'idée quand même.

J'imagine. Tu peux avoir envie de partager un moment avec ton chien, c'est pas pour autant que tu le désireras sexuellement. Enfin... j'imagine.

Honnêtement, évite, c'est mon conseil.

Je crois aussi qu'il y a de ça. L'homme est poussé à distribuer ses gènes au maximum alors que la femme aurait plus le rôle d'en sélectionner les meilleurs.

Avec tout ça, je crois qu'on va bientôt pouvoir lui boucler son topic. :)

Et sinon, je crois que beaucoup de femmes ont voulu, pensé à ce que se serait d'avoir un pénis (dédi à Giedré et sa magnifique ode "Pisser debout", "vulgaire comme un mec, bête comme une fille", ça me ferait une belle signature)

Moi j'aimerais en avoir un pour voir ce que ça fait, si les sensations sont différentes..., tester, jouer avec.

Pour les hommes, il y en a certains (mais je crois que c'est surtout des frustrés ou ceux qui ont du mal à pécho, quoique non, les chauds lapins sont dans le lot aussi) qui disent que s'ils étaient une femme, ils/elles seraient la pire des salopes et en profiteraient bien...

Après, c'est surtout de l'ordre du fantasme, du "rêve", je ne crois pas que des seins leur manque (surtout pour certains comme Juday, private joke)

@Cassandre0101

Non je pense qu'elle voulait parler de posséder, d'avoir un pénis et pas de pénétration (enfin je le vois comme cela)

Bonjour Marla,

Excellente, comme d'habitude.

De mon coté, il y a quelques années de cela, j'ai entendu dans une émission de radio plus ou moins consacrée a la psychologie, une jeune femme dire que si elle avait un pénis " baiserait tout ce qui bouge"

Comme quoi, l'organe crée(rait) la fonction.

Je suis toujours attentif aux réponses qui me sont faites, je viens ici pour connaitre les gens, enrichir mon expérience intra-personnelle.

Ce que dit la majorité, est-il un critère de vérité pour toi ?

Pas forcément, non.

Seulement, mon expérience personnelle ainsi que tous ceux (celles, plutôt), qui se sont exprimés ici sont du même avis. A un moment, quand tu es le seul à penser un truc, t'es peut-être un peu dans le faux, non ?

Ensuite, il est évident que rien n'est toujours tout noir ou tout blanc et que les choses ne sont pas à ce point binaires, mais à la base c'est quand même bien toi qui a voulu différencier le désir selon le sexe... Reste que tous les avis vont dans le même sens, alors, quelques fois, c'est bien aussi de remettre en question ses propres certitudes. Du moins, je le crois.

Je t'aime bien Erneste, ce qui ne m'empeche pas de te trouver un peu chaotique, mais ça a son charme.

Je sais, c'est un peu le bordel dans ma tête, rien n'est très cloisonné, c'est une partie du problème (ainsi que mes différentes personnalités qui cohabitent plus ou moins pacifiquement). Au-delà de ça, je me trouve quand même assez logique et cohérente, on ne peut pas en dire autant de ton topic. :blush:

désolée swam mais tu en as parlé en premier...

erneste: ok je compris ce que tu voulais dire par penis: la pénetration en somme?

peu importe le moyen.

La pénétration peut en être une illustration, en effet.

Mais c'est bien plus profond que ça, ce serait comme avoir un pénis dans la tête (et les pulsions qui l'accompagnent) mais pas ailleurs. Alors forcément, ça pose un problème... Mais encore une fois, c'est pas hyper conscient, c'est pas réellement avoir envie d'en avoir un en vrai, hein.

Oui, tu es la correction incarnée (et du coup j'ai envie de t'appeler Maîtresse) !

T'as raison, c'est hyper crédible. :smile2:

Mais au moins il essaie, c'est déjà ça

Faut toujours positiver, t'as raison. :blush:

On n'a pas de pénis mais on a le clito, et chez les hyènes je crois, il est très proéminent comme un pénis

Oui, mais c'est pas vraiment pareil et ça n'a absolument pas la même fonction.

Pour le god ceinture, je connais des proches qui ont testé, mais c'étaient des femmes sur des hommes, donc l'exemple est "faussé"

Personne ne veut savoir ce genre de chose, je te promets.

Et sinon, je crois que beaucoup de femmes ont voulu, pensé à ce que se serait d'avoir un pénis (dédi à Giedré et sa magnifique ode "Pisser debout", "vulgaire comme un mec, bête comme une fille", ça me ferait une belle signature)

Moi j'aimerais en avoir un pour voir ce que ça fait, si les sensations sont différentes..., tester, jouer avec.

Pour les hommes, il y en a certains (mais je crois que c'est surtout des frustrés ou ceux qui ont du mal à pécho, quoique non, les chauds lapins sont dans le lot aussi) qui disent que s'ils étaient une femme, ils/elles seraient la pire des salopes et en profiteraient bien...

Après, c'est surtout de l'ordre du fantasme, du "rêve",

Oui, mais c'est pas vraiment ce dont je voulais parler, là on est plus dans le "fantasme".

je ne crois pas que des seins leur manque (surtout pour certains comme Juday, private joke)

A qui est-ce que cela pourrait bien manquer... ? :gurp:

Y a rien de plus handicapant, en réalité, encore que j'aie pas trop à me plaindre de ce côté là.

T'es méchante avec Juday, le pauvre ... Mais oui, il aurait peut-être fallu qu'il évite cette photo qui me reste en mémoire, malheureusement. Je veux l'oublier.

Il me semble qu'il y a une certaine confusion entre pénis et phallus, mais ceci dit, c'est tout de même pile-poil ,si j'ose m'exprimer ainsi,autour de ce phallus que ça tourne, :)

"Le sujet se situe du côté de la fonction phallique (du signifiant) ou du côté du manque (le « ne pas » ou le « pas », voire la négation totale). Pour Lacan, le phallus est le signifiant du manque pour les deux sexes, le signifiant de l'objet perdu, conçu imaginairement comme une complétude béate avec le corps de la mère, l'objet total."

Pas forcément, non.

Seulement, mon expérience personnelle ainsi que tous ceux (celles, plutôt), qui se sont exprimés ici sont du même avis. A un moment, quand tu es le seul à penser un truc, t'es peut-être un peu dans le faux, non ?

Ensuite, il est évident que rien n'est toujours tout noir ou tout blanc et que les choses ne sont pas à ce point binaires, mais à la base c'est quand même bien toi qui a voulu différencier le désir selon le sexe... Reste que tous les avis vont dans le même sens, alors, quelques fois, c'est bien aussi de remettre en question ses propres certitudes. Du moins, je le crois.

Je sais, c'est un peu le bordel dans ma tête, rien n'est très cloisonné, c'est une partie du problème (ainsi que mes différentes personnalités qui cohabitent plus ou moins pacifiquement). Au-delà de ça, je me trouve quand même assez logique et cohérente, on ne peut pas en dire autant de ton topic. :blush:

Tu as l'impression que tout le monde dit la meme chose dans ce topic, a part moi ?

Bizarre, je le perçois pas du tout comme ça.

Si c'est le bordel dans ta tete, comment peux tu etre cohérente ?

Disons que tu peux trouver un équilibre, que tu prendras pour de la logique.

Mais je te rassure, je ne crois pas qu'il puisse exister quelqu'un d'entierement cohérent, mais seulement un peu plus ou un peu moins qu'un autre.

D'ailleurs etre entierement coherent serait tres ennuyeux pour les autres, et empecherait toute tentative de communication, la mort quoi.

Il me semble qu'il y a une certaine confusion entre pénis et phallus, mais ceci dit, c'est tout de même pile-poil ,si j'ose m'exprimer ainsi,autour de ce phallus que ça tourne, :)

"Le sujet se situe du côté de la fonction phallique (du signifiant) ou du côté du manque (le « ne pas » ou le « pas », voire la négation totale). Pour Lacan, le phallus est le signifiant du manque pour les deux sexes, le signifiant de l'objet perdu, conçu imaginairement comme une complétude béate avec le corps de la mère, l'objet total."

Oui, c'est évidemment le phallus qui draine le plus de fantasmes.

Mais si on accepte, au moins un instant, de voir tout en termes sexuels, comme Freud et ses disciples, il faudrait donc que tout tourne autour du phallus ?

Je trouve ça vraiment trop limité, bien que ça puisse dépendre des personnes.

De toute façon je ne crois pas que le sexe explique tout, loin de la !

Il n'y a pas que la cave, il y a aussi le grenier.

Certains sont plus dans la cave, d'autres dans le grenier

Il me semble qu'il y a une certaine confusion entre pénis et phallus, mais ceci dit, c'est tout de même pile-poil ,si j'ose m'exprimer ainsi,autour de ce phallus que ça tourne, :)

"Le sujet se situe du côté de la fonction phallique (du signifiant) ou du côté du manque (le « ne pas » ou le « pas », voire la négation totale). Pour Lacan, le phallus est le signifiant du manque pour les deux sexes, le signifiant de l'objet perdu, conçu imaginairement comme une complétude béate avec le corps de la mère, l'objet total."

Je t'aime !

Bon, je comprends pas le quart de ta citation mais c'est pas si grave, l'idée y est. Je savais bien que c'était pas si débile !

D'un autre côté, si pénis et phallus c'est pas la même chose, je risque pas d'y arriver, mais heureusement, tu es là pour traduire (je sais pas trop comment tu fais).

Tu as l'impression que tout le monde dit la meme chose dans ce topic, a part moi ?

Bizarre, je le perçois pas du tout comme ça.

Oui, tu es le seul à continuer de prétendre que la sexualité féminine serait moins cérébrale que la sexualité masculine alors que toutes les personnes qui se sont exprimées pensent le contraire. Alors que ce soit vrai pour toi, soit, mais en conclure que ça représenterait la dominante du comportement masculin, pas du tout.

Si c'est le bordel dans ta tete, comment peux tu etre cohérente ?

Disons que tu peux trouver un équilibre, que tu prendras pour de la logique.

Mais je te rassure, je ne crois pas qu'il puisse exister quelqu'un d'entierement cohérent, mais seulement un peu plus ou un peu moins qu'un autre.

D'ailleurs etre entierement coherent serait tres ennuyeux pour les autres, et empecherait toute tentative de communication, la mort quoi.

D'accord...

Bon, sinon, je pense que je vais lâcher ce topic. A mon sens on arrive à grand pas au grand n'importe quoi...

Déjà que tu dis un truc et son exact contraire deux posts plus tard, sans même t'en expliquer quand on te le fait remarquer, qu'on t'explique que ce que tu dis est incompréhensible et que tu ne prennes même pas la peine de te montrer plus clair, que tu ne répondes qu'à une partie des posts de la manière la plus vague qui soit... Ben ça va bien, on a plutôt l'impression de parler à un mur.

Désolée d'être désagréable mais bon, j'y avais quand même mis pas mal de bonne volonté, c'est décevant.

D'un autre côté, tu as déjà toutes tes réponses: la vision biologique, psychologique et Ping t'as même mis un film porno-spirituel (avec un son atroce :gurp: ), on ne peut guère faire plus. De toutes manière, j'ai plutôt l'impression que tu ne cherches qu'à valider ta propre vision des choses, ça n'a donc aucun intérêt.

Bonne continuation. :)

Mon sentiment/ mon avis sur le topic est le même que celui d'Erneste

qui plus est on tourne en rond

Que c'est dur de s'entendre ! Que c'est dur de se comprendre ! Que c'est dur de communiquer !

En fait, si je devais mourir aujourd'hui je dirais que c'est impossible.

Je t'aime !

Bon, je comprends pas le quart de ta citation mais c'est pas si grave, l'idée y est. Je savais bien que c'était pas si débile !

D'un autre côté, si pénis et phallus c'est pas la même chose, je risque pas d'y arriver, mais heureusement, tu es là pour traduire (je sais pas trop comment tu fais).

C'est loin d'être débile, tu en a probablement plus compris intuitivement que certains qui apprènent de longues et dures théories, :smile2:

"Le pénis est l’organe mâle dans sa réalité anatomique alors que le phallus souligne la fonction symbolique attribuée au pénis (la dimension symbolique du complexe d’Œdipe est abordée au travers de cet objet). Il faut entendre par phallus un fantasme selon lequel la possession d’un pénis procure et signifie complétude et puissance. Pour Freud, ce qui caractérise le plus le phallus, c’est d’être un objet détachable, c’est-à-dire un objet partiel. Entre la mère et l’enfant, il y a un objet imaginaire : le phallus. C’est une réalité psychique, autrement dit, un organe imaginaire qui existe dans le fantasme.

L’enfant construit cet objet (phallus) à partir du constat de la différence des sexes. Au départ, il est persuadé que tout le monde a la même chose, est identique, comme s’il refoulait la perception de la différence. Il ne peut imaginer que sa mère toute puissante manque de quelque chose. Il lui attribue un organe phallique imaginaire. Quand la réalité s’impose à lui et qu’il accepte la différence d’organes sexuels, il repère ce qui manque et ce qui ne manque pas (il ignore le rôle de la semence et l’existence de l’organe féminin interne, donc invisible). Il est troublé... Le constat de la différence des sexes destitue l’enfant de l’omnipotence".

Oui, c'est évidemment le phallus qui draine le plus de fantasmes.

Mais si on accepte, au moins un instant, de voir tout en termes sexuels, comme Freud et ses disciples, il faudrait donc que tout tourne autour du phallus ?

Je trouve ça vraiment trop limité, bien que ça puisse dépendre des personnes.

De toute façon je ne crois pas que le sexe explique tout, loin de la !

Il n'y a pas que la cave, il y a aussi le grenier.

Certains sont plus dans la cave, d'autres dans le grenier

Le débat d'une libido exclusivement sexuelle ou non a été posé depuis longtemps, notemant lors de la rupture entre Freud et Jung. Pour l'un la libido est energie exclusivement sexuelle et l'inconscient est personnel à l'individu. Pour l'autre, s'il ne remet pas en cause cet inconscient personnel, il estime que la libido est une energie psychique au sens large qui inclue d'autres aspects, notament un besoin religieux, et que l'inconscient personnel baigne dans un inconscient collectif. Pour l'un hommes et femmes sont confrontés au complexe d'Oedipe. Pour l'autre, la fille est confrontée à un complexe qu'il appelle complexe d'Electre. Lequel a raison? Le fait que la carte n'est pas le territoire fait que quelle que soit la precision de la carte, elle n'est que le dessin du territoire, et que celui-ci restera toujours inconnu à celui qui ne s'y rendra pas par lui-même...

Le débat d'une libido exclusivement sexuelle ou non a été posé depuis longtemps, notemant lors de la rupture entre Freud et Jung. Pour l'un la libido est energie exclusivement sexuelle et l'inconscient est personnel à l'individu. Pour l'autre, s'il ne remet pas en cause cet inconscient personnel, il estime que la libido est une energie psychique au sens large qui inclue d'autres aspects, notament un besoin religieux, et que l'inconscient personnel baigne dans un inconscient collectif. Pour l'un hommes et femmes sont confrontés au complexe d'Oedipe. Pour l'autre, la fille est confrontée à un complexe qu'il appelle complexe d'Electre. Lequel a raison? Le fait que la carte n'est pas le territoire fait que quelle que soit la precision de la carte, elle n'est que le dessin du territoire, et que celui-ci restera toujours inconnu à celui qui ne s'y rendra pas par lui-même...

Un peu des deux ou aucun des deux.

Il n'y a pas que la psychanalyse pour expliquer l'ame humaine.

Je vois un peu la réalité comme un oignon avec ses peaux successives, tout dépend donc a quel niveau de la réalité on veut se situer.

D'apres Erneste et Cassandre, il est tres confus mon innocent topic, enfin ce serait surtout moi qui le serait.

J'espère seulement que tous ne partagent pas leur avis.

Erneste a parlé d'elle-meme de cette fascination pour le pénis-phallus qu'éprouverait la plupart des femmes ( d'apres elle ), et en fait c'est a ça que je pensais en faisant ce topic.

C'est ce que j'appelle ne pas etre cérébrale, ne pas rechercher l'etre, mais uniquement le symbole phallique.

Et cela de maniere plus ou moins inconsciente, mais c'est quand l'excitation est forte que l'inconscient se manifeste plus facilement.

Donc a partir de la il est aisé de comprendre pourquoi les hommes seraient sexuellement plus cérébraux, il y a moins de fascination, plus de volonté de controle, plus de volonté de comprendre.

C'est toute la différence qu'il y a entre le contenant et le contenu, la forme et le fond.

Et tout ceci a minorer en fonction de la part de masculin et de féminin qu'il y a en chacun de nous.

Enfin quand je dis qu'il y a moins de fascination chez l'homme, je parle uniquement de fascination pour le symbolique.

Ce qui laisse toute la place a la fascination pour l'etre, avec pour conséquences le romantisme et l'idéalisation.

C'est trés difficile de se faire comprendre par écrit.

En littérature, l'oeuvre qui me vient a l'esprit pour illustrer tout cela c'est:

" La confession d'un enfant du siècle" D'Alfred de Musset.

Un résumé ici:

http://www.alalettre.com/musset-oeuvres-confession.php