Pourquoi les athées ne croient pas les croyants

stvi dit :

Blaquière, le 04 avril 2016 - 10:46, dit :

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Voilà ; je vous ai expliqué pourquoi, moi, athée je ne crois pas ce que disent les croyants.

Mais je n'ai aucun mérite (!) : j'ai été élevé comme ça...

C'est mon côté traditionaliste !

Je ne crois pas en ce qu'on ne m'a pas dit de croire.

c'est une nouvelle notion ...l'athéisme traditionaliste...

ainsi on peut être athée de père en fils , ton raisonnement est donc faux ,et ta phrase " je ne crois pas en ce qu'on m'a dit de croire " se comprend comme une réaction épidermique ,dès qu'on te dis de croire à quelque chose ,tu n'y crois pas ....par exemple à l'amour ,à l'amitié ,aux valeurs du travail,en Dieu

Tu te rends compte que tu as lu le contraire de ce que je disais ?

Là où je dis :

"Je ne crois pas en ce qu'on ne m'a pas dit de croire"

tu lis :

"Je ne crois pas en ce qu'on (x) m'a (x) dit de croire"

POUR CETTE FOIS, çA VA, MAIS J'ATTENDS DES EXCUSES !

Je suis très "épidermique" en ce printemps naissant !...

(Non, je rigole !)

Pourquoi les athées ne croient pas les croyants ?

la réponse est simple, un athée ne croie pas, meme si on arrivait a prouver l'existence de dieu , ça ne serait plus une croyance mais un savoir. un athée ne croie toujours pas.

Bravo : un raisonnement implacable !

Pour changer un peu ce topic éternel qui revient avec les athées bien à la franchouillarde qui sont pas si loin du Ni dieu ni maitre des années boutonneuses, je poserais une question alternative : Comment se fait il que les Athées croient que la la vie, et l'homme, n'ont aucun sens, aucune signification "transcendante" autre que nos fonctions biologiques et notre survie en tant qu’espèce ? Pourquoi ne confient qu’une simple fonction biologique à leur conscience ? Pourquoi pensent il que la vie intellectuelle, artistique, qui miroitent ses questionnements les plus profonds ne sont que connections électriques du cervelet ?

Je n'ai pas de réponse que je puisse argumenter.

Je ne crois simplement pas au grand dessein d'une entité supérieure.

Ce que je pense, et ça n'engage bien évidemment que moi, c'est que pour supporter l'intolérable inéluctabilité de la mort, l'idée d'un grand ordonnateur est salvatrice.

La croyance est une béquille parmi tant d'autres. Si elle en remplit la fonction, tant mieux.