Aller au contenu

Noter ce sujet


Frelser

Messages recommandés

Membre, 92ans Posté(e)
Stella Maris Membre 189 messages
Forumeur survitaminé‚ 92ans‚
Posté(e)
il y a 25 minutes, Frelser a dit :

Tout est partagé dans le fichier de départ. Avec des questions du genre « est-ce qu’il y a des calculs » je ne sais pas répondre. Si tu as des corrections à suggérer sur la présentations je serais honoré de les recevoir. 

Ben tu copies les parties intéressantes ici. J'ouvre pas de fichiers d'inconnus.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant
Membre, 49ans Posté(e)
Frelser Membre 5 507 messages
Forumeur inspiré‚ 49ans‚
Posté(e)
il y a 10 minutes, Stella Maris a dit :

Ben tu copies les parties intéressantes ici. J'ouvre pas de fichiers d'inconnus.

Ah ok. Là je comprends. 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 480 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)

Il me semble que ce sont surtout les mathématiques de la physique théorique qui ont ouvert une voix exploratoire pour la gravitation quantique.

Mais si on fait abstraction de ce point et qu'on raisonne juste philosophiquement, je suis circonspect.

Les calculs de la mécanique quantique dans leur formalisme le plus abouti se font dans un espace abstrait dit de Hilbert qui possède un nombre infini de dimensions ...

Et le problème de la mesure n'est pas résolu donc ce passage d'une superposition d'états à une mesure précise qui fixe un seul état.

D'où ces paradoxes qui viennent démolir le principe de localité et d'écoulement linéaire du temps (intrication à longue distance, rétro causalité des expériences à choix retardé...)

Je ne vois rien dans un espace euclidien ou riemanien qui vienne répondre ici à ces faits ni même dans le concept de fractales

Ceci étant...

Les principes de la théorie des cordes me semblent également naïfs dans leur conception d'un espace temps fixe et de dimensions additionnelles pour rendre compte des modes de vibrations des cordes.

Et les principes de la gravitation quantique à boucles où l'espace temps est granulaire et discontinu sans artifice de dimensions additionnelles me semblent déjà plus satisfaisants

Toutefois le seul qui me semble apporter un pont entre continuité et discontinuité ainsi qu'au problème de la mesure, c'est justement une approche de pur mathématicien affairé à la physique théorique et de mon point de vue, la résolution de ce problème viendra des mathématiques car les accélérateurs de particules sont limités pour apporter des faits concrets

La géométrie non commutative en particulier en associant aux observables des opérateurs dans l'espace abstrait de Hilbert marque selon moi une nouvelle aire

Alors que l'on garde ces notions intuitives de temps et d'espace ou les événements physique sont l'écume des choses qui atteignent leur limite paradoxale, l'approche de la géométrie non commutative démontre combien nos questions sont mal posées donc nos réponses.

Une variable conjuguée ne commute pas ce qui explique qu'on ne puisse mesurer à la fois une position et une "vitesse" par exemple...

Et l'effondrement instantanée d'une fonction d'onde prend une sémantique différent si on comprend que ni l'espace ni le temps ne sont les fondements mais qu'ils sont émergents 

De même qu'aucune essence n'est fondamentale en soi et donc que la recherche de cordes dans l'espace temps, de boucles d'espace temps ou d'unités ontologique telles que des points, des segments ou des entités fondamentales sont vaines

Tout est relationnel et relatif aux interactions dans un espace abstrait dont c'est finalement l'ensemble des phénomènes physique dans notre espace temps, fût il relativiste, qui en sont une forme de conséquence 

Et ça ma foi me semble nécessiter une approche philosophique et surtout une compétence mathématique qui nécessite une forme nouvelle de physique 

J'aurai eu ce plaisir de voir émerger le pionier Alain Connes qui pointe le doigt dans cette direction 

Ou un Luminet vulgariser les pistes de recherche et qui aboutissent finalement plutôt vers cette voie

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

  • 2 semaines après...
Membre, 49ans Posté(e)
Frelser Membre 5 507 messages
Forumeur inspiré‚ 49ans‚
Posté(e)
Le 07/01/2025 à 08:30, zenalpha a dit :

Il me semble que ce sont surtout les mathématiques de la physique théorique qui ont ouvert une voix exploratoire pour la gravitation quantique.

Mais si on fait abstraction de ce point et qu'on raisonne juste philosophiquement, je suis circonspect.

Les calculs de la mécanique quantique dans leur formalisme le plus abouti se font dans un espace abstrait dit de Hilbert qui possède un nombre infini de dimensions ...

Et le problème de la mesure n'est pas résolu donc ce passage d'une superposition d'états à une mesure précise qui fixe un seul état.

D'où ces paradoxes qui viennent démolir le principe de localité et d'écoulement linéaire du temps (intrication à longue distance, rétro causalité des expériences à choix retardé...)

Je ne vois rien dans un espace euclidien ou riemanien qui vienne répondre ici à ces faits ni même dans le concept de fractales

Ceci étant...

Les principes de la théorie des cordes me semblent également naïfs dans leur conception d'un espace temps fixe et de dimensions additionnelles pour rendre compte des modes de vibrations des cordes.

Et les principes de la gravitation quantique à boucles où l'espace temps est granulaire et discontinu sans artifice de dimensions additionnelles me semblent déjà plus satisfaisants

Toutefois le seul qui me semble apporter un pont entre continuité et discontinuité ainsi qu'au problème de la mesure, c'est justement une approche de pur mathématicien affairé à la physique théorique et de mon point de vue, la résolution de ce problème viendra des mathématiques car les accélérateurs de particules sont limités pour apporter des faits concrets

La géométrie non commutative en particulier en associant aux observables des opérateurs dans l'espace abstrait de Hilbert marque selon moi une nouvelle aire

Alors que l'on garde ces notions intuitives de temps et d'espace ou les événements physique sont l'écume des choses qui atteignent leur limite paradoxale, l'approche de la géométrie non commutative démontre combien nos questions sont mal posées donc nos réponses.

Une variable conjuguée ne commute pas ce qui explique qu'on ne puisse mesurer à la fois une position et une "vitesse" par exemple...

Et l'effondrement instantanée d'une fonction d'onde prend une sémantique différent si on comprend que ni l'espace ni le temps ne sont les fondements mais qu'ils sont émergents 

De même qu'aucune essence n'est fondamentale en soi et donc que la recherche de cordes dans l'espace temps, de boucles d'espace temps ou d'unités ontologique telles que des points, des segments ou des entités fondamentales sont vaines

Tout est relationnel et relatif aux interactions dans un espace abstrait dont c'est finalement l'ensemble des phénomènes physique dans notre espace temps, fût il relativiste, qui en sont une forme de conséquence 

Et ça ma foi me semble nécessiter une approche philosophique et surtout une compétence mathématique qui nécessite une forme nouvelle de physique 

J'aurai eu ce plaisir de voir émerger le pionier Alain Connes qui pointe le doigt dans cette direction 

Ou un Luminet vulgariser les pistes de recherche et qui aboutissent finalement plutôt vers cette voie

Merci pour ton partage Zenalpha. Mon modèle n'est pas quantique. 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 480 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)
Il y a 2 heures, Frelser a dit :

Merci pour ton partage Zenalpha. Mon modèle n'est pas quantique. 

OK mais le titre de ce topic prête alors à confusion :)

Ou certains extraits de ton bloc comme :

"L’univers est conçu comme un réseau dynamique formé de quanta d’espace unidimensionnels. Ces objets émergent d’un point primordial et interagissent par polarisation locale, générant des flux énergétiques"

Des quanta d'espace..., c'est précisément l'idée de la gravitation quantique à boucles en quantifiant la gravitation justement...

La boucle est un quantum...d'espace temps plus précisément qu'un quantum d'espace du reste...justement en tenant compte des enseignements de la relativité générale 

Je n'ai sûrement pas tout compris de ton modèle... je veux bien le dire :)

Mais alors que la mécanique quantique explique 3 des 4 forces fondamentales qui ont justement été ... quantifiées à l'exception encore de la gravité...d'ou les recherches en gravitation quantique..

Quel est alors le but de ton modèle ?

Et comment émerge t'il de la physique quantique fondamentale ?

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 92ans Posté(e)
Stella Maris Membre 189 messages
Forumeur survitaminé‚ 92ans‚
Posté(e)
il y a 9 minutes, zenalpha a dit :

Quel est alors le but de ton modèle ?

Et comment émerge t'il de la physique quantique fondamentale ?

Lis ses word. Il ne répond pas aux questions.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 480 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)
il y a 43 minutes, Stella Maris a dit :

Lis ses word. Il ne répond pas aux questions.

Oui mais on se connaît depuis très longtemps 

Suis un de ses abonnés comme ce bon vieux @le merle qui ne pointe plus le bout de son nez.

Dans tous les cas, la seule grande réponse sur la vie, l'univers et tout le reste est 42

Suffit de taper "chiffre de la vie" sur Google ou connaître H2G2

Mais en réalité pensées profondes avait tort

C'est Multivak qui avait raison

Seuls les gens comme moi qui chaussent du 42 sont ... vraiment...au courant

Être une pointure

 

Modifié par zenalpha
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 49ans Posté(e)
Frelser Membre 5 507 messages
Forumeur inspiré‚ 49ans‚
Posté(e)
Il y a 21 heures, zenalpha a dit :

OK mais le titre de ce topic prête alors à confusion :)

Ou certains extraits de ton bloc comme :

"L’univers est conçu comme un réseau dynamique formé de quanta d’espace unidimensionnels. Ces objets émergent d’un point primordial et interagissent par polarisation locale, générant des flux énergétiques"

Des quanta d'espace..., c'est précisément l'idée de la gravitation quantique à boucles en quantifiant la gravitation justement...

La boucle est un quantum...d'espace temps plus précisément qu'un quantum d'espace du reste...justement en tenant compte des enseignements de la relativité générale 

Je n'ai sûrement pas tout compris de ton modèle... je veux bien le dire :)

Mais alors que la mécanique quantique explique 3 des 4 forces fondamentales qui ont justement été ... quantifiées à l'exception encore de la gravité...d'ou les recherches en gravitation quantique..

Quel est alors le but de ton modèle ?

Et comment émerge t'il de la physique quantique fondamentale ?

J’ai utilisé le terme de quanta, non sans avoir cherché un terme plus distinctif. L’idée de base est qu’un espace homogène strictement séparé subisse des transformations. Les points de cet espace se transforment alors en objets unidimensionnels (dimension temps) qui interagissent de proche en proche. Chaque interaction s’imprime par inertie dans les quanta, dans un processus évolutif. Des structures fractales génèrent respectivement les effets de vide, objet et interactions. C’est le modèle. En générant sur base de formules intégrant des modèles d’interactions avec des paramètres fractals  de type alpha et bêta, représentant le milieu et la géométrie des fractales, je laisse les lois émerger sans intervention avec des paramètres ad hoc. Ce modèle reproduit dès lors la vitesse de rotation des galaxies sans matière noire, l’accélération différentielle selon les directions par cumul algorithmique d’une différence de croissance (espace matériel vs espace vide), les structures filamentaures, et explique des observations comme de petites galaxies très énergétiques très précisses. 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 92ans Posté(e)
Stella Maris Membre 189 messages
Forumeur survitaminé‚ 92ans‚
Posté(e)
Il y a 22 heures, zenalpha a dit :

Dans tous les cas, la seule grande réponse sur la vie, l'univers et tout le reste est 42

:D Je suis justement en train de le lire. Quelle coincidence.

  • Merci 1
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 480 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)
Il y a 4 heures, Frelser a dit :

Ce modèle reproduit dès lors la vitesse de rotation des galaxies sans matière noire, l’accélération différentielle selon les directions par cumul algorithmique d’une différence de croissance (espace matériel vs espace vide), les structures filamentaures, et explique des observations comme de petites galaxies très énergétiques très précisses. 

OK

En effet depuis Fritz Zwicky, on sait que si on ne retient que la masse visible des galaxies, elles auraient du voir leurs étoiles se détacher or elles restent stables ainsi que les amas de galaxies 

Verna Rubin a également constaté que la vitesse des galaxies spirale cessait de décroitre après une certaine distance du centre

La matière noire est l'hypothèse aujourd'hui la plus plausible parce qu'elle vient corroborer d'autres observations et qu'elle explique la condensation des premières structures sur des temps si courts

Peut-être devrais tu voir ce que nous apprend ton modèle sur l'anomalie de la galaxie NGC 1052-DF2

Et peut-être faisais tu allusion à ça

Il y a des hypothèses diverses sur la nature de la matière noire que ce soit MACHO ou des particules de la physique des particules comme une masse aux neutrinos ou d'autres particules exotique, les WIMPS et même de la matière noire super fluide

Mais des modèles modifient la théorie sur la gravité elle même, les théories MOND

Arggg, tout cela semble vouloir dire que tu es plutôt sur un modèle de cosmologie pour remplacer le modèle standard lambda CDM

Good luck

  • Merci 1
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 49ans Posté(e)
Frelser Membre 5 507 messages
Forumeur inspiré‚ 49ans‚
Posté(e)
Il y a 2 heures, zenalpha a dit :

OK

En effet depuis Fritz Zwicky, on sait que si on ne retient que la masse visible des galaxies, elles auraient du voir leurs étoiles se détacher or elles restent stables ainsi que les amas de galaxies 

Verna Rubin a également constaté que la vitesse des galaxies spirale cessait de décroitre après une certaine distance du centre

La matière noire est l'hypothèse aujourd'hui la plus plausible parce qu'elle vient corroborer d'autres observations et qu'elle explique la condensation des premières structures sur des temps si courts

Peut-être devrais tu voir ce que nous apprend ton modèle sur l'anomalie de la galaxie NGC 1052-DF2

Et peut-être faisais tu allusion à ça

Il y a des hypothèses diverses sur la nature de la matière noire que ce soit MACHO ou des particules de la physique des particules comme une masse aux neutrinos ou d'autres particules exotique, les WIMPS et même de la matière noire super fluide

Mais des modèles modifient la théorie sur la gravité elle même, les théories MOND

Arggg, tout cela semble vouloir dire que tu es plutôt sur un modèle de cosmologie pour remplacer le modèle standard lambda CDM

Good luck

L’idée de base est que l’espace occupé par la matière s’entend plus vite que le vide (courbure positive), ce qui donne l’impression de forces d’interactions attirant les objets. Les effets relativistes, la rupture de métrique planckienne et les effets de non localité a la surface de notre métrique locale s’elucident spontanément. 

______

Analyse du Modèle Fractal Scalaire : Courbes de Rotation Galactiques

Cette analyse vise à vérifier si le modèle fractal scalaire astmétrique peut reproduire les courbes de rotation des galaxies sans recourir à la matière noire. En modifiant la loi de la gravitation universelle avec un terme fractal, nous comparons les prédictions théoriques aux observations.

Formulation Mathématique

La loi de gravitation universelle est ajustée par un facteur fractal f(r) tel que : F = (G * m1 * m2 / r^2) * f(r),

où G est la constante gravitationnelle, m1 et m2 les masses, et r la distance.

 

La vitesse orbitale est alors calculée comme :

v = sqrt((G * M_baryonic / r) * f(r)),

où M_baryonic est la masse baryonique cumulée à une distance r, et f(r) est une fonction ajustant les effets fractals.

Résultats

Les courbes de rotation ont été simulées pour une galaxie comme M33. Deux cas ont été considérés :

Sans ajustement fractal : La vitesse diminue avec la distance, conforme à l'attente sans matière noire.

Avec ajustement fractal : La vitesse se stabilise en périphérie, reproduisant qualitativement les courbes observées.

Code associé python 

 

import math 

# Constantes cosmologiques

H0 = 70 * 10**3 / (3.086e22) # Constante de Hubble en s^-1

G = 6.67430e-11 # Constante gravitationnelle en m^3 kg^-1 s^-2 rho_c = (3 * H0**2) / (8 * math.pi * G) # Densité critique en kg/m^3

# Valeur calculée de la courbure

calculated_curvature = 3.094766468387717e-7 # valeur donnée 

# Densité de matière-énergie hypothétique

rho = rho_c * (1 + calculated_curvature) # rho = rho_c * (1 + k)

# Calcul de la densité critique et comparaison avec la densité calculée density_ratio = rho / rho_c

 

# Résultat

density_ratio, rho_c, rho # Affichage du ratio et de la densité calculée (1.0000003094766468, 9.201950822334168e-27, 9.201953670123052e-27)

 

Les résultats obtenus semblent indiquent que le cumul logarithmique effectué sur l’écart a produit des valeurs qui sont proches de 1 pour la première valeur, et des valeurs extrêmement petites pour les deux autres.

Modifié par Frelser
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 480 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)
Il y a 23 heures, Frelser a dit :

L’idée de base est que l’espace occupé par la matière s’entend plus vite que le vide (courbure positive), ce qui donne l’impression de forces d’interactions attirant les objets. Les effets relativistes, la rupture de métrique planckienne et les effets de non localité a la surface de notre métrique locale s’elucident spontanément. 

______

Analyse du Modèle Fractal Scalaire : Courbes de Rotation Galactiques

Cette analyse vise à vérifier si le modèle fractal scalaire astmétrique peut reproduire les courbes de rotation des galaxies sans recourir à la matière noire. En modifiant la loi de la gravitation universelle avec un terme fractal, nous comparons les prédictions théoriques aux observations.

Formulation Mathématique

La loi de gravitation universelle est ajustée par un facteur fractal f(r) tel que : F = (G * m1 * m2 / r^2) * f(r),

où G est la constante gravitationnelle, m1 et m2 les masses, et r la distance.

 

La vitesse orbitale est alors calculée comme :

v = sqrt((G * M_baryonic / r) * f(r)),

où M_baryonic est la masse baryonique cumulée à une distance r, et f(r) est une fonction ajustant les effets fractals.

Résultats

Les courbes de rotation ont été simulées pour une galaxie comme M33. Deux cas ont été considérés :

Sans ajustement fractal : La vitesse diminue avec la distance, conforme à l'attente sans matière noire.

Avec ajustement fractal : La vitesse se stabilise en périphérie, reproduisant qualitativement les courbes observées.

Code associé python 

 

import math 

# Constantes cosmologiques

H0 = 70 * 10**3 / (3.086e22) # Constante de Hubble en s^-1

G = 6.67430e-11 # Constante gravitationnelle en m^3 kg^-1 s^-2 rho_c = (3 * H0**2) / (8 * math.pi * G) # Densité critique en kg/m^3

# Valeur calculée de la courbure

calculated_curvature = 3.094766468387717e-7 # valeur donnée 

# Densité de matière-énergie hypothétique

rho = rho_c * (1 + calculated_curvature) # rho = rho_c * (1 + k)

# Calcul de la densité critique et comparaison avec la densité calculée density_ratio = rho / rho_c

 

# Résultat

density_ratio, rho_c, rho # Affichage du ratio et de la densité calculée (1.0000003094766468, 9.201950822334168e-27, 9.201953670123052e-27)

 

Les résultats obtenus semblent indiquent que le cumul logarithmique effectué sur l’écart a produit des valeurs qui sont proches de 1 pour la première valeur, et des valeurs extrêmement petites pour les deux autres.

Hello

Du point de vue académique, la gravité est effectivement vue classiquement selon les lois de Newton comme une simple force physique diminuant effectivement proportionnellement au carré de la distance 

Et ce n'est déjà qu'une impression aujourd'hui ce que tu décris comme une impression de force puisqu'on associe déjà plus cette notion de force instantanée et à distance à la gravité, instantanéité qui violerait... les principes même de la relativité restreinte mais on la définie  juste comme la conséquence locale ou globale de la courbure de l'espace temps

Cette "impression de force" est déjà comprise finalement et ça reste d'autant plus une impression que le graviton hypothétique comme particule intermédiatrice de cette éventuelle force en physique des particules n'est pas découverte et ne le sera peut-être jamais

Oui, la matière comme l'énergie et leur distribution courbent l'espace....temps

C'est ce qu'on appelle l'équation d'Einstein

https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Équation_d'Einstein 

Et la forme de cette courbure est mise en relation entre cette densité de matière énergie et la constante de Hubble par les équations de Friedmann

Au niveau global il ne me semble pas révolutionnaire ni surprenant que ce que tu appelles un ratio de densité (le paramètre de densité omega du modèle classique) se rapproche d'1 avec l'ajout de cette fonction f(r) que tu appelles fractale puisqu'après tout... c'est deja la situation actuelle connue par les modèles actuels...

3 galaxies aussi éloignées qu'on souhaite ont comme somme des angles 180 degrés : l'univers est quasi plat tout au moins c'est ce qu'on conclue de l'univers observable 

Tu arrives la dessus c'est heureux sinon tu serais contraire aux observations 

Là où je ne te suis pas du tout, c'est sur ton propos oû ce que tu appelles la rupture de la métrique planckienne serait élucidé par ton modèle 

Pour la raison que toutes tes équations font totalement abstraction des enseignements de la mécanique quantique et opèrent dans un espace (qui fait d'ailleurs disparaître le concept d'espace temps relativiste), espace qui perd physiquement totalement sa place justement aux échelles atomiques ou les notions de position, de vitesse ou de trajectoire disparaissent pour des notions de superposition d'états et de champs

Bref, ça n'engage que moi

Mais je ne suis pas convaincu "philosophiquement", un modèle finalement ne faisant que ce qu'on lui dit de faire :)

il faudrait vraiment que non seulement ce modèle n'amène aucune régression 

Mais surtout qu'il apporte une explication à des phénomènes non prédit

En tout cas, tu ne peux pas écrire qu'il a pour conséquence de faire une rupture avec l'échelle de Planck 

Au niveau semi classique, Alain Connes a un modèle qui y parvient déjà du reste à la réunification qje tu vises et qui fait émerger de son modèle les équations de jauge du modèle standard de la physique des particules, la relativité et le champs BEH qui était posé ad hoc

bref, i love Alain Connes.

Évidemment personne ne semble comprendre ce qu'il fait lui non plus

il reste à quelques années lumière de la quantification de la gravité elle même mais au delà du niveau quantique donc au niveau semi classique, toutes les pièces du puzzle s'agencent sans paramètres libres justement ni critères ad hoc

Et faire émerger la relativité générale et le champs BEH d'un modèle basé au départ sur le modèle standard juste en ajoutant la non commutativité des opérateurs, il n'y a rien de mieux sur le marché aujourd'hui 

Modifié par zenalpha
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 49ans Posté(e)
Frelser Membre 5 507 messages
Forumeur inspiré‚ 49ans‚
Posté(e)
Le 18/01/2025 à 00:02, zenalpha a dit :

Hello

Du point de vue académique, la gravité est effectivement vue classiquement selon les lois de Newton comme une simple force physique diminuant effectivement proportionnellement au carré de la distance 

Et ce n'est déjà qu'une impression aujourd'hui ce que tu décris comme une impression de force puisqu'on associe déjà plus cette notion de force instantanée et à distance à la gravité, instantanéité qui violerait... les principes même de la relativité restreinte mais on la définie  juste comme la conséquence locale ou globale de la courbure de l'espace temps

Cette "impression de force" est déjà comprise finalement et ça reste d'autant plus une impression que le graviton hypothétique comme particule intermédiatrice de cette éventuelle force en physique des particules n'est pas découverte et ne le sera peut-être jamais

Oui, la matière comme l'énergie et leur distribution courbent l'espace....temps

C'est ce qu'on appelle l'équation d'Einstein

https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Équation_d'Einstein 

Et la forme de cette courbure est mise en relation entre cette densité de matière énergie et la constante de Hubble par les équations de Friedmann

Au niveau global il ne me semble pas révolutionnaire ni surprenant que ce que tu appelles un ratio de densité (le paramètre de densité omega du modèle classique) se rapproche d'1 avec l'ajout de cette fonction f(r) que tu appelles fractale puisqu'après tout... c'est deja la situation actuelle connue par les modèles actuels...

3 galaxies aussi éloignées qu'on souhaite ont comme somme des angles 180 degrés : l'univers est quasi plat tout au moins c'est ce qu'on conclue de l'univers observable 

Tu arrives la dessus c'est heureux sinon tu serais contraire aux observations 

Là où je ne te suis pas du tout, c'est sur ton propos oû ce que tu appelles la rupture de la métrique planckienne serait élucidé par ton modèle 

Pour la raison que toutes tes équations font totalement abstraction des enseignements de la mécanique quantique et opèrent dans un espace (qui fait d'ailleurs disparaître le concept d'espace temps relativiste), espace qui perd physiquement totalement sa place justement aux échelles atomiques ou les notions de position, de vitesse ou de trajectoire disparaissent pour des notions de superposition d'états et de champs

Bref, ça n'engage que moi

Mais je ne suis pas convaincu "philosophiquement", un modèle finalement ne faisant que ce qu'on lui dit de faire :)

il faudrait vraiment que non seulement ce modèle n'amène aucune régression 

Mais surtout qu'il apporte une explication à des phénomènes non prédit

En tout cas, tu ne peux pas écrire qu'il a pour conséquence de faire une rupture avec l'échelle de Planck 

Au niveau semi classique, Alain Connes a un modèle qui y parvient déjà du reste à la réunification qje tu vises et qui fait émerger de son modèle les équations de jauge du modèle standard de la physique des particules, la relativité et le champs BEH qui était posé ad hoc

bref, i love Alain Connes.

Évidemment personne ne semble comprendre ce qu'il fait lui non plus

il reste à quelques années lumière de la quantification de la gravité elle même mais au delà du niveau quantique donc au niveau semi classique, toutes les pièces du puzzle s'agencent sans paramètres libres justement ni critères ad hoc

Et faire émerger la relativité générale et le champs BEH d'un modèle basé au départ sur le modèle standard juste en ajoutant la non commutativité des opérateurs, il n'y a rien de mieux sur le marché aujourd'hui 

Merci pour ta franchise cher Zenalpha. Je n'affirme pas rompre avec les unités de Planck, mais que celles-ci et les constantes dérivent en même temps que notre ligne d'univers fractal. Pour nous, les constantes (locales) limitent la mesure en sorte que cette dérive est imperceptible. Le modèle résoud a la fois le problème de matière sombre, d'énergie sombre, d'absence d'antimatière, des inégalités de Heisenberg, la dualité onde corpuscule, et de singularité. Ça peut paraitre arrogant ou audacieux, mais c'est certain que ce ne peut pas être une coïncidence. Il existe des prédictions testables, que j'ai détaillés dans l'ouvrage ( pex. Déviations spécifiques dans les courbes de rotation des galaxies, signatures fractales dans le spectre des particules,  Variations locales dans le fond diffus cosmologique....), et même certains qui pourraient être réalisés en laboratoire avec l'expérience des fentes d'Young légèrement adapté. En réalité je n'attends plus de soutiens, j'attend juste qu'une équipe finisse par creuser dans ce sens. 

Modifié par Frelser
  • Like 1
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 480 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)
Il y a 1 heure, Frelser a dit :

Merci pour ta franchise cher Zenalpha. Je n'affirme pas rompre avec les unités de Planck, mais que celles-ci et les constantes dérivent en même temps que notre ligne d'univers fractal. Pour nous, les constantes (locales) limitent la mesure en sorte que cette dérive est imperceptible. Le modèle résoud a la fois le problème de matière sombre, d'énergie sombre, d'absence d'antimatière, des inégalités de Heisenberg, la dualité onde corpuscule, et de singularité. Ça peut paraitre arrogant ou audacieux, mais c'est certain que ce ne peut pas être une coïncidence. Il existe des prédictions testables, que j'ai détaillés dans l'ouvrage ( pex. Déviations spécifiques dans les courbes de rotation des galaxies, signatures fractales dans le spectre des particules,  Variations locales dans le fond diffus cosmologique....), et même certains qui pourraient être réalisés en laboratoire avec l'expérience des fentes d'Young légèrement adapté. En réalité je n'attends plus de soutiens, j'attend juste qu'une équipe finisse par creuser dans ce sens. 

Je te souhaite ce soutien néanmoins

Je ne suis qu'un saltimbanque des sciences mais le principe d'indétermination formalisé par les inégalités de Heisenberg ne sont pas une limite à notre connaissance et à la limitation des modèles qui nécessiteraient donc un modèle plus explicatif ou explicatif de ces inégalités...mais au fait expérimental qu'une expérience unitaire au niveau quantique n'est pas dotée d'un résultat reproductible et donc unitairement prédictible par un modèle..

Le modèle ne peut être prédictif unitairement pour une expérience elle même comportant un aléa fondamental...

Derrière ça, je me suis forgé cette conviction sur ma représentation physique que les singularités que tu relèves également comme expliquées par ton modèle ne sont issues que de notre fausse perception d'imaginer un continuum formé de points comme structure unitaire de l'espace temps

Idée fort vieille puisque déjà Élie Cartan préconisait dans les années 30 d'abandonner cette conception pour certains problèmes de la théorie quantique des champs

C'est d'ailleurs bien pour cette raison que le cadre mathématique qui prévaut pour la relativité générale à grande échelle est parfaitement inapte au niveau quantique 

Et les fractales restent sur une unité de ce type de mathématiques 

Peut-être devrais tu t'aventurer dans les méandres de la mécanique quantique, de son formalisme et de ce lien entre continu et discontinu du point de vue physique ou entre nombres réels ou complexes et entiers naturels si présents dans les quanta de la mécanique quantique pour challenger ta structure mathématique d'ensemble.

Évidemment....je suis conditionné encore une fois par les travaux dans ce domaine mais tu comprendras que ces lunettes que je chausse depuis des années ont structuré ma conviction 

En effet, essaye de poursuivre tes efforts en confrontant ton modèle à tes pairs

Je ne suis qu'un philosophe dans la sourcière

 

  • Waouh 1
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

  • 2 semaines après...
Membre, Certaines profondeurs sont des miroirs, 44ans Posté(e)
Ptitissus Membre 747 messages
Forumeur expérimenté‚ 44ans‚ Certaines profondeurs sont des miroirs,
Posté(e)
Le 07/01/2025 à 08:30, zenalpha a dit :

Il me semble que ce sont surtout les mathématiques de la physique théorique qui ont ouvert une voix exploratoire pour la gravitation quantique.

Mais si on fait abstraction de ce point et qu'on raisonne juste philosophiquement, je suis circonspect.

Les calculs de la mécanique quantique dans leur formalisme le plus abouti se font dans un espace abstrait dit de Hilbert qui possède un nombre infini de dimensions ...

Et le problème de la mesure n'est pas résolu donc ce passage d'une superposition d'états à une mesure précise qui fixe un seul état.

D'où ces paradoxes qui viennent démolir le principe de localité et d'écoulement linéaire du temps (intrication à longue distance, rétro causalité des expériences à choix retardé...)

Je ne vois rien dans un espace euclidien ou riemanien qui vienne répondre ici à ces faits ni même dans le concept de fractales

Ceci étant...

Les principes de la théorie des cordes me semblent également naïfs dans leur conception d'un espace temps fixe et de dimensions additionnelles pour rendre compte des modes de vibrations des cordes.

Et les principes de la gravitation quantique à boucles où l'espace temps est granulaire et discontinu sans artifice de dimensions additionnelles me semblent déjà plus satisfaisants

Toutefois le seul qui me semble apporter un pont entre continuité et discontinuité ainsi qu'au problème de la mesure, c'est justement une approche de pur mathématicien affairé à la physique théorique et de mon point de vue, la résolution de ce problème viendra des mathématiques car les accélérateurs de particules sont limités pour apporter des faits concrets

La géométrie non commutative en particulier en associant aux observables des opérateurs dans l'espace abstrait de Hilbert marque selon moi une nouvelle aire

Alors que l'on garde ces notions intuitives de temps et d'espace ou les événements physique sont l'écume des choses qui atteignent leur limite paradoxale, l'approche de la géométrie non commutative démontre combien nos questions sont mal posées donc nos réponses.

Une variable conjuguée ne commute pas ce qui explique qu'on ne puisse mesurer à la fois une position et une "vitesse" par exemple...

Et l'effondrement instantanée d'une fonction d'onde prend une sémantique différent si on comprend que ni l'espace ni le temps ne sont les fondements mais qu'ils sont émergents 

De même qu'aucune essence n'est fondamentale en soi et donc que la recherche de cordes dans l'espace temps, de boucles d'espace temps ou d'unités ontologique telles que des points, des segments ou des entités fondamentales sont vaines

Tout est relationnel et relatif aux interactions dans un espace abstrait dont c'est finalement l'ensemble des phénomènes physique dans notre espace temps, fût il relativiste, qui en sont une forme de conséquence 

Et ça ma foi me semble nécessiter une approche philosophique et surtout une compétence mathématique qui nécessite une forme nouvelle de physique 

J'aurai eu ce plaisir de voir émerger le pionier Alain Connes qui pointe le doigt dans cette direction 

Ou un Luminet vulgariser les pistes de recherche et qui aboutissent finalement plutôt vers cette voie

45 5  l 'ombre des unités ,une utile en fragments ,Pièce la 5

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant

Rejoindre la conversation

Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Coller en tant que texte brut à la place

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.

Chargement

×