Vers un baril à 20 dollars ?

Vers le litre de super à 0.85€ ?

Ahahahaha même si le baril passait à $5 on continuerait de payer autant.

Les pays producteurs comme l'Algérie ne vivent que du pétrole. L'économie ne ramène quasiment aucune devise hors mis le pétrole. Si la situation du pétrole très bas devait se prolonger, le cashflow va se tarir, et la les ennuis vont commencer très vite. Et la la production risque de s'effondrer, je pense à l'Algérie bien sur, mais aussi le Vénézuela, le Nigeria, ( déja en anarchie), l'Angola etc. Et on pourrait passer d'une surproduction a une pénurie. Et je ne sais pas si l'Iran peut compenser. Donc des prix bas oui, trop bas, c'est pas si bon que ça.

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Oui les économies mondiales sont posées sur un baril de pétrole "explosif".

Se réjouir d'un pétrole bon marché à la pompe c'est peu sensible mais ça fait plaisir à l'automobiliste ou pour faire le plein de sa cuve à fioul.

Mais les conséquences indirectes pour l'économie mondiale et française sont désastreuses !

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Oui les économies mondiales sont posées sur un baril de pétrole "explosif".

Se réjouir d'un pétrole bon marché à la pompe c'est peu sensible mais ça fait plaisir à l'automobiliste ou pour faire le plein de sa cuve à fioul.

Mais les conséquences indirectes pour l'économie mondiale et française sont désastreuses !

Ah bon ?! La France n'est pas producteur à que je sache.

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Oui les économies mondiales sont posées sur un baril de pétrole "explosif".

Se réjouir d'un pétrole bon marché à la pompe c'est peu sensible mais ça fait plaisir à l'automobiliste ou pour faire le plein de sa cuve à fioul.

Mais les conséquences indirectes pour l'économie mondiale et française sont désastreuses !

Non pas du tout les conséquences sont positives pour le France. Ça fait 20 milliards de cash à la louche (si tant est qu'on puisse faire une intégrale un an avec cette volatilité), moitié pour les particuliers, moitié pour les entreprises dont certaines vont reconstituer leurs marges.

L'alignement des étoiles, ce sont les trois facteurs. Sauf qu'il y a six mois nombreuses étaient les prévisions que ça n'allait pas durer longtemps pour le pétrole. Finalement l'alignement va durer.

Par contre, ça peut déclencher en effet des secousses financières. Ce n'est pas tant l'ampleur de la baisse qui est en question que sa durabilité. Le problème c'est qui si ça traine longtemps, certains producteurs sont endettés en dollars alors que celui-ci va monter durablement les prochaines années. On pourrait avoir des défauts de dette en $ et les éventuels effets dominos sont imprévisibles.

C'est pas bon pour les spéculateurs, alias les marchés, alias les banques, alias ceux qui "prêtent de l'argent aux entreprises".

Heureusement ils ne prêtent déjà rien donc on s'en fout. Reste que c'est mauvais pour les porteurs de parts donc les marchés, donc l'état puisqu'il est leur employé.

By the way vous continuerez de payer le super 1€30 quelque soit le prix du baril. Et le fait que ça coutait 1€ en 2004 avec un baril plus cher n'entre pas et n'entrera jamais en ligne de compte, l'automobiliste est un salaud, c'est bien fait pour lui. Le français est un criminel il doit payer pour le vel d'hiv ou pour la colonisation. 1€30 c'est pas cher payé.

L'Iran ou un autre , je m'en fout , ce qui m'intéresse c'est le prix à la pompe , le reste c'est que de la spéculation

La baise du prix du pétrole à commencer avec l'arrivée de Daesh, qui a confisqué de nombreux puits afin de financer leur soi-disant jihad horriblement meurtrier.

Moi, je n'ai pas de voiture... vive le vélo !

Cela permet de garder la forme, et ça coûte que dalle en essence.

Et en plus, je suis sûr de ne pas financer l'islamisme prédateur.

Un baril de pétrole à seulement 20 dollars sera une réalité dans

les prochains jours, en l'absence d'un consensus sur la baisse de la production, a-t-on appris du ministre de l'Energie algérien...

http://www.lequotidien-oran.com/index.php?news=5223786

bsr bena11,

poussons la réalité un peu plus loin, en l'absence d'un consensus sur la baisse de la production, l'algérie va voir son islamisme augmenter, c'est inversement proportionnel

a+

Un discours se voulant rassurant devant l'effondrement du baril qui est passé, le 12 janvier dernier, sous la barre symbolique des 30 dollars, une première dans la mercuriale de l'or noir depuis décembre 2003. Un discours pour une consommation locale, histoire d'apaiser les Algériens qui ont commencé, malgré eux, à s'intéresser de plus près aux bourses pétrolières. Le retour en grâce du pétrole iranien et l'incapacité chronique de l'Opep à réguler le marché en présence d'une Arabie Saoudite omnipotente devront précipiter les prix vers le bas...

...

Plus pessimistes encore, les économistes de la Royal Bank of Scotland estiment que «le pétrole pourrait chuter à 16 dollars le baril», publie le quotidien anglais The Guardian. Des informations qui font craindre des lendemains incertains pour l'Algérie qui, rappelons-le encore une fois, a établi son budget sur un baril de référence à 37 dollars. Dans son intervention, si l'ancien ministre n'a plus confiance dans la capacité de l'Opep à trouver une parade à la chute des prix, il estime que le pétrole, contrairement au gaz, va perdre de son influence à cause des énergies de substitution. Il propose une sortie de crise pour l'Algérie à travers l'utilisation des recettes de change du pays ou recourir à l'endettement intérieur et extérieur «pour mener à bien des projets en ce sens».

http://www.lequotidien-oran.com/?news=5223868

Ce n'est pas le moindre des paradoxes de ce monde mondialisé du capitalisme; les ressources s'épuisent; le pic est bien passé et dépassé, et l'opep produit toujours plus, ils foncent tête baissée droit dans le mur....ou alors, les dynasties en place se dépêchent de tout encaisser .....les cours s'effondrent, les pétroles de schistes des states ne sont plus rentables, on n'est pas loin de la nouvelle crise .....tous les 8 ans, c'est une bonne moyenne.

Le truc, c'est qu'avec l'Iran et la levée de l'embargo, du brut supplémentaire va se déverser sur le marché ce qui va maintenir cette situation dans les mois à venir. Mais bientôt, des puits attendront le point mort en matière de rentabilité, tout particulièrement en Russie, aux USA, le forage off-shore dans de nombreux pays (comme la Norvège), etc.

Ce qui va se passer à terme, c'est une fermeture des puits les moins rentables, donc une baisse de la production mondiale, donc un rééquilibrage du marché. Les premiers à en profiter seront les pays arabes, car leurs forages sont plus facilement rentables (pour des raisons géologiques) que les USA, le Canada, la Norvège, le Venezuela, la Russie...

Mais entre temps, la plupart des pays exportateurs de pétrole vont souffrir de cette faiblesse du brut, ce qui présage un risque de crise dans les pays en voie de développement. C'est cependant très positif pour les pays développés importateurs.

Un discours se voulant rassurant devant l'effondrement du baril qui est passé, le 12 janvier dernier, sous la barre symbolique des 30 dollars, une première dans la mercuriale de l'or noir depuis décembre 2003. Un discours pour une consommation locale, histoire d'apaiser les Algériens qui ont commencé, malgré eux, à s'intéresser de plus près aux bourses pétrolières. Le retour en grâce du pétrole iranien et l'incapacité chronique de l'Opep à réguler le marché en présence d'une Arabie Saoudite omnipotente devront précipiter les prix vers le bas...

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Plus pessimistes encore, les économistes de la Royal Bank of Scotland estiment que «le pétrole pourrait chuter à 16 dollars le baril», publie le quotidien anglais The Guardian. Des informations qui font craindre des lendemains incertains pour l'Algérie qui, rappelons-le encore une fois, a établi son budget sur un baril de référence à 37 dollars. Dans son intervention, si l'ancien ministre n'a plus confiance dans la capacité de l'Opep à trouver une parade à la chute des prix, il estime que le pétrole, contrairement au gaz, va perdre de son influence à cause des énergies de substitution. Il propose une sortie de crise pour l'Algérie à travers l'utilisation des recettes de change du pays ou recourir à l'endettement intérieur et extérieur «pour mener à bien des projets en ce sens».

http://www.lequotidien-oran.com/?news=5223868

bsr bena11,

a la venu du bébé a moustache en 99, la référence était de 30 dollars pour le budget de l'algérie, le baril tournait alors autour des 25, auriez vous oublié qu'il a pulvérisé les 100 dollars

les revenus cumulé par l'algérie sous l'ère Ben Bella et Boumèdiene durant la période 62 a 69, est de 25 milliards de dollars

de 1999 a 2013, l'algérie a cumulé 800 milliards de dollars, cherchez l'erreur

dans une société occidentale, si quelqu'un par ses activités a crée 100 milliards de dollars et en prélevè indument 10, cela n'est pas moral, certes,l'econnomie est lésée certes, mais le pays s'est quand même enrichi de 100 moins 10, soit 90 milliard

au bled, le prélèvement s'opère par dépeçage, par l'appauvrissement du pays et par son abaissement

coté projet l'autoroute est/ouest aura couté plus de deux fois qu'un ouvrage aussi considérable que le tunnel sous la manche, comment expliquer cela

a+

Le retour du pétrole Iranien et aussi les Saouds qui ne veulent pas baisser la production, personne ne veut baisser la production, ni la russie, ni l'algerie, ni le venezuela, ni les pays du golf, résultat, les prix baissent

En ces 3 jours les prix ont grimpé

mais ça doit etre la fausse remontée, avant l'effondrement total

Et le gaz, il baisse?

Je dis ça parce qu'avant on justifiait le prix exorbitant du gaz , car indexé sur celui du le pétrole!

Le retour du pétrole Iranien et aussi les Saouds qui ne veulent pas baisser la production, personne ne veut baisser la production, ni la russie, ni l'algerie, ni le venezuela, ni les pays du golf, résultat, les prix baissent

En ces 3 jours les prix ont grimpé

mais ça doit etre la fausse remontée, avant l'effondrement total

bsr leymen,

et plus ça baisse, et plus les pays producteur extrait, ce qui contribue a faire descendre un peu plus bas le prix du baril, toujours est t-il qu'un scénario a 3 chiffres est possible dans les cinq ans a venir

a+

bonjour,

petite réflexion du citoyen lambda que je suis : le pétrole cher c'est la crise , le pétrole pas cher c'est la crise......alors ?

c'est la crise quoi qu'il arrive, même quand ce pétrole est à son "juste" prix.....c'est quoi au fait ce juste prix ? celui qui permet aux compagnies pétrolières d’engranger des profits colossaux ?

c'est jean qui rit et maintenant jean qui pleure....et je ne vais pas pleurer sur les "pertes" de ces compagnies là

essence moins chère cela me va bien, et que deviennent toutes les choses qui intègrent une part de pétrole dans leur prix ( matière première, fabrication, transport ) ? vont elles , elles aussi , baisser ?

j’attends de voir.

une chose me chagrine quand même, c'est que l'état pourrait bien en profiter pour rajouter quelques taxes supplémentaires sur les carburants, taxes qui , bien sûr, ne disparaitraient pas avec la remontée du pétrole.

pour sortir de la crise, il faut, dixit nos grands économistes,redonner du pouvoir d'achat aux ménages.....voilà une occasion de le faire et pour le gouvernement quelque chose qui ne lui coûte guère, car si les prix baissent, la tva baisse, mais cette baisse sera plus que probablement compensée par une augmentation de la consommation.

bon , je file faire le plein ou j'attends la prochaine baisse ?

bonne journée