Le Poids de l'Ame

La conscience ? Personne n'a jamais pu me définir le mot âme.

La conscience, oui et aussi la quintessence de soi, le "moi" profond.

Je ne parviens pas à comprendre que l'on n'ait pas conscience de son "moi" profond.

J'ai été témoin d'une O.B.E. Et la personne n'était pas malade, sous l'emprise d'aucune substance quelconque. Impressionnant.

Pourriez-vous s'il vous plaît (et seulement si) raconter à ceux que cela intéresse (dont je fais partie) ce à quoi vous avez assisté ?

Pourriez-vous s'il vous plaît (et seulement si) raconter à ceux que cela intéresse (dont je fais partie) ce à quoi vous avez assisté ?

Une personne de ma famille est sortie de son corps, par accident, un jour où elle était allongée pour se reposer. Elle a flotté au plafond et s'est vue allongée sur le lit, ayant pris peur elle a réintégré son corps immédiatement. J'étais à la maison lors de cette expérience, bouleversée elle m'a de suite raconté ce qu'elle a vécu. Et j'ai toute confiance en son témoignage puisqu'elle ne croit en rien, ni Dieu ni paranormal ni quoique ce soit.

Une personne de ma famille est sortie de son corps, par accident, un jour où elle était allongée pour se reposer. Elle a flotté au plafond et s'est vue allongée sur le lit, ayant pris peur elle a réintégré son corps immédiatement. J'étais à la maison lors de cette expérience, bouleversée elle m'a de suite raconté ce qu'elle a vécu. Et j'ai toute confiance en son témoignage puisqu'elle ne croit en rien, ni Dieu ni paranormal ni quoique ce soit.

J'aime bien cette conclusion: "Et j'ai toute confiance en son témoignage puisqu'elle ne croit en rien, ni Dieu ni paranormal ni quoique ce soit."

Le poids de l'âme ?

et le poids de la Joie ?

Et le poids de la tristesse ?

Bon ... heureusement qu'il n'existe pas de mesures ni d'étalon ...

Tout d'abord c'est quoi l'âme concrètement ?...

Le moi n'est pas l'âme telle qu'en parle les religions le moi c'est l'affaire de la psychologie et de la philosophie pour moi.

Bref le jour où une âme se baladera toute seule au supermarket de mon quartier je pourrais en parler : pour le moment pour moi c'est une idée tout simplement elle est belle mais aussi peut être très moche.Donc cette idée est très subjective et aliénée à mes sentiments.

Allo allo Messieurs Freud, Lacan, Jung ... je fais quoi moi avec tout ça !En gros à mon âge c'est pas un souci la vie m'a façonnée et mon moi et mon âme si vous voulez cette appellation sait discerner ce qui me fait du bien et ce qui me fait du mal spirituellement et moralement parlant ça s'appelle l'expérience de la vie pas toujours cadeau mais passionnante !Ca suffira pas besoin d'eau de là celle d'ici me suffit et je n'en redemande pas certains jours comme tout le monde !

Sourire de dimanche.

Bon dimanche.

Une personne de ma famille est sortie de son corps, un jour où elle était allongée pour se reposer. Elle a flotté au plafond et s'est vue allongée sur le lit, ayant pris peur elle a réintégré son corps immédiatement.

Vraisemblablement un décrochement fugace du coeur s'étant arrêté une fraction de seconde. C'eut été un coma, probablement que la personne dont vous parlez aurait connu la suite habituelle : le tunnel, la Lumière ineffable...

Peut-on avoir le poids de "l'âme" sur la conscience ?

Le poids de l'âme ? Je dirais un certain temps.

Faut-il avoir la bonne balance !

Pensez vous que le corps ait une âme ?

La réponse à cette question peut changer toute une vie.

En 1907, MacDougall pèse six patients moribonds avant et après leur mort. Constatant dans l'écart des mesures une portion non nulle et d'après lui non justifiable biologiquement, il en déduit qu'il pourrait s'agir de la masse de l'âme s'échappant du corps humain. Son expérience en constituerait une preuve inédite.

Il reproduit l'expérience sur quinze chiens, probablement empoisonnés — MacDougall indique que « les conditions idéales pour une expérience sur des chiens seraient obtenus de chiens mourant d'une maladie qui les rendrait très fatigués et incapables de se débattre. Je n'ai pas eu la chance d'avoir des chiens mourant d'une telle maladie. »2 —, et ne constate aucune variation. Il extrapole alors que seul l'Homme possède une âme. Un compte-rendu de ces expériences est publié par le New York Times en mars 1907, puis par le journal médical American Medicine en avril de la même année1.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Poids_de_l%27%C3%A2me

Sortie du corps : une simple hallucination ?

Il opère une patiente de 43 ans atteinte d'épilepsie ; au cours de son intervention, elle est totalement éveillée donc consciente. Il procède à des stimulations électriques de différentes intensités dans le lobe temporal droit. L'IRM indiquait que l'épilepsie était due à un dysfonctionnement à cet endroit.

Les médecins ont insisté sur la zone médiane entre les lobes temporal et pariétal, sur le gyrus angulaire droit. A ce moment la patiente relate une sensation de sortie hors de son corps. Plus l'intensité de la stimulation augmente, plus l'intéressé se sent partir de son enveloppe corporelle et voit des hallucinations.

Un témoignage contradictoire

Jean-Pierre Jourdan raconte dans son livre l'histoire de cette femme opérée en 2001 d'un anévrisme. Cette intervention nécessite que la température corporelle soit abaissée à 15,8°C. Cette hypothermie est indispensable. Un électroencéphalogramme enregistre et surveille l'activité électrique du cerveau. A ce stade, il est totalement plat ; il n'y a aucune activité enregistrée. La patiente est parfaitement inconsciente et donc incapable de percevoir ce qui se passe autour d'elle.

Pourtant, à son réveil, cette femme explique qu'elle est sortie de son corps et a observé toute l'opération. Elle décrit avec beaucoup de détail l'outil utilisé par le neurologue, une scie à trépanation ressemblant à une brosse à dent électrique. Elle raconte la discussion échangée entre le cardiologue et le neurochirurgien. Les faits ont pu être vérifiés car tout est enregistré sur une bande.

Cette histoire indique que malgré un cerveau inactif, la patiente inconsciente a pu assister à la scène et surtout s'en souvenir. Cette sortie du corps n'est en aucun cas une hallucination car tout est vrai

D'autres témoignages de ce genre ont été rapportés. Des personnes totalement inconscientes dont le cerveau est en parfait état ont décrit des scènes avec une précision que même une personne éveillée ne peut pas retranscrire. Ils ont mémorisé avec exactitude un environnement et des scènes banales alors qu'ils ne pouvaient pas les voir, ni les entendre... Ces faits contredisent les hypothèses scientifiques d'hallucinations évoquées précédemment

http://www.linternaute.com/science/biologie/dossier/les-enigmatiques-experiences-de-mort-imminente/la-decorporation-un-phenomene-inexpliquable.shtml

Pour avoir été personnellement témoin d'une décorporation je n'ai plus de doute.

Malheureusement ceux qui vont trop près de la mort en sorte paralysé et ne racontent rien, plusieurs centre de la mémoire son touché. La rééducation est longue et pénible, pour les aphasiques la parole peu se rattraper dans l'ère du cerveau qui traite la musique.

Il en est qui on passé 15 ans dans le coma, leur souvenir remonte à ce temps comme si c'était hier.

la sortie du sommeille permet de raconter un rêve proche, et permet des choses irréalisables

le cerveau semble faire l'essai d'une connections à des mémoires importantes

Il y a un corps entier dans le cerveau tous les membres son dupliqué dans le cerveau, pas étonnant que certaine personne puissent ne pas sentir le retour.

le cauchemar fait partie des rêves, c'est vécu comme si c'était vrais, bien content que ce ne soit qu'un rêve.

J'aime bien cette conclusion: "Et j'ai toute confiance en son témoignage puisqu'elle ne croit en rien, ni Dieu ni paranormal ni quoique ce soit."

Bien saisi l'opportunité :D

Il ne s'agit donc pas d'un témoin sous influence.

Le poids de l'âme ?

et le poids de la Joie ?

Et le poids de la tristesse ?

Bon ... heureusement qu'il n'existe pas de mesures ni d'étalon ...

Tout d'abord c'est quoi l'âme concrètement ?...

Le moi n'est pas l'âme telle qu'en parle les religions le moi c'est l'affaire de la psychologie et de la philosophie pour moi.

Bref le jour où une âme se baladera toute seule au supermarket de mon quartier je pourrais en parler : pour le moment pour moi c'est une idée tout simplement elle est belle mais aussi peut être très moche.Donc cette idée est très subjective et aliénée à mes sentiments.

Allo allo Messieurs Freud, Lacan, Jung ... je fais quoi moi avec tout ça !En gros à mon âge c'est pas un souci la vie m'a façonnée et mon moi et mon âme si vous voulez cette appellation sait discerner ce qui me fait du bien et ce qui me fait du mal spirituellement et moralement parlant ça s'appelle l'expérience de la vie pas toujours cadeau mais passionnante !Ca suffira pas besoin d'eau de là celle d'ici me suffit et je n'en redemande pas certains jours comme tout le monde !

Sourire de dimanche.

Bon dimanche.

Le Dalaï Lama et tous les bouddhistes du monde seraient à côté de la plaque ? Moi je leur accorde au moins le bénéfice du doute n'étant certain de rien.

Vraisemblablement un décrochement fugace du coeur s'étant arrêté une fraction de seconde. C'eut été un coma, probablement que la personne dont vous parlez aurait connu la suite habituelle : le tunnel, la Lumière ineffable...

Je ne sais pas mais à cette époque lointaine je ne croyais en rien d'extra-ordinaire et ça m'avait marqué. Depuis, beaucoup beaucoup de choses m'ont fait penser que c'est tout à fait plausible.

D'ailleurs chez les chrétiens on parle bien du salut de l'âme il me semble, pas du corps physique.

Peut-on avoir le poids de "l'âme" sur la conscience ?

Seulement si elle est chargée comme un une âne âme lourde de péchés :D

En tous cas l'existence de l'âme expliquerait bien des choses.

(...) la vie m'a façonnée et mon moi et mon âme si vous voulez cette appellation sait discerner ce qui me fait du bien et ce qui me fait du mal spirituellement et moralement parlant, ça s'appelle l'expérience de la vie pas toujours cadeau mais passionnante ! Ca suffira pas besoin d'eau de là, celle d'ici me suffit (...)

La vie continuera à vous façonner tout autant qu'elle nous façonne tous, nous tous autant que nous sommes et ce, que l'on soit croyant ou incroyant. Vous semblez avoir conscience de ce "moi" vous habitant, de votre conscience et il semblerait que ce ne soit que le mot "âme" qui vous dérange, de par sa connotation religieuse sous-entendant la continuité de la vie sous forme spirituelle dans la dimension intemporelle de l'Au-Delà mais si vous avez pleinement conscience de votre "moi" profond (ce qui lui fait du bien, ce qui lui fait du mal) vous agirez en conséquence et saurez les fontaines dont vous éviterez de boire l'eau et cela est bien.