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Face aux critiques Dounia Bouzar s'explique


DroitDeRéponse

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 91 140 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)

http://info.sfr.fr/france/articles/face-aux-critiques-dounia-bouzar-s-explique,765147/

À la tête de l'association phare contre la radicalisation, Dounia Bouzar est soupçonnée de mélange des genres. Elle s'explique au JDD.

Dounia Bouzar, l'icône médiatique de la déradicalisation à la française, en fait-elle trop? Avec son association, le CPDSI (Centre de prévention des dérives sectaires liées à l'islam), elle s'est imposée sur les plateaux de télévision et auprès des pouvoirs publics. Suscitant la critique. La sénatrice centriste Nathalie Goulet, présidente de la commission d'enquête sur les réseaux djihadistes, vient de demander au ministère de l'Intérieur de lui fournir un bilan circonstancié des résultats du CPDSI. "Cette structure n'a pas de bureau et un très faible effectif, explique-t-elle, je souhaite juste comprendre comment on "déradicalise" dans de telles conditions".

Le journaliste Mohamed ­Sifaoui, spécialiste du terrorisme islamiste, attaque sur le fond : "Dounia Bouzar raisonne en musulmane et refuse d'admettre que nous sommes dans le traitement d'une maladie de l'islam et non d'une dérive sectaire", explique-t-il. D'autres critiquent anonymement sa méthode. "Le djihad, ce n'est pas seulement une histoire de jeunes filles radicalisées derrière un écran d'ordinateur", fustige un fonctionnaire, reprochant à Dounia Bouzar de s'intéresser principalement aux jeunes Françaises radicalisées.

900.000 euros de subventions depuis dix-huit mois L'association a reçu près de 900.000 euros de subventions depuis dix-huit mois, dont 100.000 euros pour former les acteurs publics (éducateurs, fonctionnaires...). En 2014, elle a perçu 130.000 euros de subventions pour son action auprès des jeunes. En 2015, elle a aussi remporté l'appel d'offres du ministère de l'Intérieur pour la constitution de l'équipe mobile d'intervention. Cette structure désormais dotée d'un budget annuel de 600.000 euros a vocation à intervenir auprès des préfectures confrontées à des cas de radicalisation. Pour quel bilan? Sur son site, Dounia Bouzar a publié mercredi ses derniers résultats : 1.059 jeunes suivis depuis avril 2014, dont 234 sur le départ, ont été "désembrigadés"... "Dounia Bouzar a évité plus de 200 départs, qui a fait mieux? s'impatiente le préfet antiradicalisation, Pierre N'Gahane. Lorsque nous avons lancé l'appel d'offres elle était seule à y répondre."

Son quasi-monopole sur ce créneau, Dounia Bouzar le doit d'abord à son intuition. Depuis 2001, publiant son livre L'Islam des banlieues (Syros), elle travaille sur ces questions. "Elle a longtemps prêché dans le désert, explique un haut fonctionnaire. Et puis, en 2014, Bernard Cazeneuve, confronté à l'explosion des départs, a été bien content de la trouver." L'ancienne éducatrice de la Protection judiciaire de la jeunesse avait aussi dans sa manche de précieux soutiens à gauche, dont Jean-Louis Bianco et Jean Glavany.

"Je suis restée une grande gueule" Aujourd'hui, certains lui reprochent l'embauche de membres de sa famille et le mélange des genres, entre son entreprise Bouzar Expertises, actuellement gérée par sa fille, et son association. L'inspection interministérielle, qui audite actuellement le dispositif ­national de lutte contre la radicalisation, s'en est ému avant même d'avoir terminé son rapport.Bouzar Expertises vend, en effet, des prestations de formation à des collectivités susceptibles de travailler avec l'association... "Pour éviter les soupçons de conflits d'intérêts, réagit le préfet N'Gahane, nous ne renouvellerons pas sa mission de formation pour l'année 2016. Dounia Bouzar consacrera désormais exclusivement son action aux familles."

Au ministère de l'Intérieur, on loue son dévouement et ses résultats mais on lui a conseillé d'éviter la surexposition médiatique. Quant à l'activité de son entreprise, elle revendique son droit à la liberté. "Ma société de conseil existait avant l'association, rétorque-t-elle. Ma fille continue à la faire tourner car c'est notre gagne-pain. Je n'ai pas l'intention de vivre des subventions publiques et j'ai baissé mes revenus d'un tiers depuis que je travaille pour l'État. Je suis restée une grande gueule et je veux pouvoir partir du jour au lendemain", conclut-elle.

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Membre, 46ans Posté(e)
renard79 Membre 3 212 messages
Baby Forumeur‚ 46ans‚
Posté(e)

Je ne me permettrai pas de critiquer le travail de son association vu que nous sommes mal placés pour le faire. Cependant, on peut en effet critiquer ce gaspillage à la française avec cette multitude d'associations qui pullulent en France.

http://www.observatoiredesgaspillages.com/category/argent-associations/

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Membre, Posté(e)
Abu nuwas Membre 9 355 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

http://info.sfr.fr/france/articles/face-aux-critiques-dounia-bouzar-s-explique,765147/

À la tête de l'association phare contre la radicalisation, Dounia Bouzar est soupçonnée de mélange des genres. Elle s'explique au JDD.

Dounia Bouzar, l'icône médiatique de la déradicalisation à la française, en fait-elle trop? Avec son association, le CPDSI (Centre de prévention des dérives sectaires liées à l'islam), elle s'est imposée sur les plateaux de télévision et auprès des pouvoirs publics. Suscitant la critique. La sénatrice centriste Nathalie Goulet, présidente de la commission d'enquête sur les réseaux djihadistes, vient de demander au ministère de l'Intérieur de lui fournir un bilan circonstancié des résultats du CPDSI. "Cette structure n'a pas de bureau et un très faible effectif, explique-t-elle, je souhaite juste comprendre comment on "déradicalise" dans de telles conditions".

Le journaliste Mohamed ­Sifaoui, spécialiste du terrorisme islamiste, attaque sur le fond : "Dounia Bouzar raisonne en musulmane et refuse d'admettre que nous sommes dans le traitement d'une maladie de l'islam et non d'une dérive sectaire", explique-t-il. D'autres critiquent anonymement sa méthode. "Le djihad, ce n'est pas seulement une histoire de jeunes filles radicalisées derrière un écran d'ordinateur", fustige un fonctionnaire, reprochant à Dounia Bouzar de s'intéresser principalement aux jeunes Françaises radicalisées.

900.000 euros de subventions depuis dix-huit mois L'association a reçu près de 900.000 euros de subventions depuis dix-huit mois, dont 100.000 euros pour former les acteurs publics (éducateurs, fonctionnaires...). En 2014, elle a perçu 130.000 euros de subventions pour son action auprès des jeunes. En 2015, elle a aussi remporté l'appel d'offres du ministère de l'Intérieur pour la constitution de l'équipe mobile d'intervention. Cette structure désormais dotée d'un budget annuel de 600.000 euros a vocation à intervenir auprès des préfectures confrontées à des cas de radicalisation. Pour quel bilan? Sur son site, Dounia Bouzar a publié mercredi ses derniers résultats : 1.059 jeunes suivis depuis avril 2014, dont 234 sur le départ, ont été "désembrigadés"... "Dounia Bouzar a évité plus de 200 départs, qui a fait mieux? s'impatiente le préfet antiradicalisation, Pierre N'Gahane. Lorsque nous avons lancé l'appel d'offres elle était seule à y répondre."

Son quasi-monopole sur ce créneau, Dounia Bouzar le doit d'abord à son intuition. Depuis 2001, publiant son livre L'Islam des banlieues (Syros), elle travaille sur ces questions. "Elle a longtemps prêché dans le désert, explique un haut fonctionnaire. Et puis, en 2014, Bernard Cazeneuve, confronté à l'explosion des départs, a été bien content de la trouver." L'ancienne éducatrice de la Protection judiciaire de la jeunesse avait aussi dans sa manche de précieux soutiens à gauche, dont Jean-Louis Bianco et Jean Glavany.

"Je suis restée une grande gueule" Aujourd'hui, certains lui reprochent l'embauche de membres de sa famille et le mélange des genres, entre son entreprise Bouzar Expertises, actuellement gérée par sa fille, et son association. L'inspection interministérielle, qui audite actuellement le dispositif ­national de lutte contre la radicalisation, s'en est ému avant même d'avoir terminé son rapport.Bouzar Expertises vend, en effet, des prestations de formation à des collectivités susceptibles de travailler avec l'association... "Pour éviter les soupçons de conflits d'intérêts, réagit le préfet N'Gahane, nous ne renouvellerons pas sa mission de formation pour l'année 2016. Dounia Bouzar consacrera désormais exclusivement son action aux familles."

Au ministère de l'Intérieur, on loue son dévouement et ses résultats mais on lui a conseillé d'éviter la surexposition médiatique. Quant à l'activité de son entreprise, elle revendique son droit à la liberté. "Ma société de conseil existait avant l'association, rétorque-t-elle. Ma fille continue à la faire tourner car c'est notre gagne-pain. Je n'ai pas l'intention de vivre des subventions publiques et j'ai baissé mes revenus d'un tiers depuis que je travaille pour l'État. Je suis restée une grande gueule et je veux pouvoir partir du jour au lendemain", conclut-elle.

bjr Droit De Réponse,

Sifaoui a bien raison, il s'agit bien d'une maladie de l'islam, en provenance directe des sectes de l'islam, malheureusement tres nombreuses

a+

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Membre, 65ans Posté(e)
pila Membre 18 571 messages
Baby Forumeur‚ 65ans‚
Posté(e)

N'oublions pas le bon abbé Cottard, prêtre intégriste fada qui envoya à la noyade cinq scouts marins (plus un plaisancier secouriste qui perdit également la vie).

Les religions, c'est comme les cons : ça ne devrait pas exister.

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 91 140 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)

bjr Droit De Réponse,

Sifaoui a bien raison, il s'agit bien d'une maladie de l'islam, en provenance directe des sectes de l'islam, malheureusement tres nombreuses

a+

Abu Nuwas ,

Réaction typique , lisez Pila :smile2:

On a eu de la chance on a pas eu le droit au verset de la parabole des mines de Luc . Al'hamdoulilla

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