Avoir eu ....

C'est toute la différence entre le besoin et l'envie, on peut très bien désirer quelque chose sans en avoir vraiment besoin, juste pour se faire plaisir.

Préférer l’exceptionnel à l'ordinaire, même pour un temps limité, est tout à fait légitime!

Quant à la consommation qui passe forcément par la production, c'est tellement une évidence que la question ne se pose pas...

Donc si le riche devient pauvre c'est aussi une catastrophe pour les moins riches que lui (=ses fournisseurs),tandis que si le pauvre rêve à la richesse ,les catastrophes ne peuvent arriver que par l'explosion de la colère générée par la frustration .

Savez vous que l'impératrice Sissi a été assassinée par un homme sur un quai d'embarquement pratiquement par hasard ?

Son assassin ,luigi Lucheni,malade de frustration cherchait SELON SES DIRES quelqu'un qui avait l'air riche (Tapez autour de Sissi 1' extrait de l'acte d'accusation ...)

Bonjour Querida, gros bisous

L'or à pour propriété d'être inaltérable. Ou si tu préfère un riche qui devient pauvre, a toute son ancienne richesse qui a été transférer ailleurs, les biens ne furent perdus.

Pour moi l'argent me fut montrer par la vie que sous ses jours les plus dramatiques, c'est un domaine de mon histoire que je veux pas parler, même dans l’intimité. Mais il est synonyme de crimes, de parjures, de tout un tas de méfaits. Comme on m'a taxé d'alchimiste, je peut te dire l'alchimiste Cilianni en a particulièrement bien parlé de l'argent de toute les souffrances que cela lui occasionna, lit le.

Il y a bien d'autre richesse que l'argent, celle intérieur, celle de l'âme, de l'amitié, etc.

L'argent ne permet d'acquérir que le superflus jamais l'indispensable, ce n'est qu'un outil.

Le riche et le pauvre souffrent. Que l'on amasse des fortunes ou que l'on ne vive que dans la frustration, nous ne faisons que nous illusioner sur le fait que ce qui est perdu ne le soit pas definitivement. C'est le refus du deuil, en quelque sorte.

Mais justement comme nous ne sommes pas éternels ,on perd tout un jour ou l'autre !

Seulement Le riche ruiné en fait l'expérience de son vivant mais pas le pauvre qui croit que le bonheur c'est d'avoir et qui s'illusionne encore sur le pouvoir des choses de ne faire QUE son bonheur .

Ainsi l'un a acquis la faculté de perdre et pas l'autre !L'un sait que la possession est à double tranchant ,elle apporte bonheur quand on l'acquiert ,malheur quand on la perd !

Le phjlosophe ,lui ,sait que tout est perdu d'avance et connait la vanité des choses .

Donc c'est le riche qui est à plaindre puisqu'il est sans cesse dans la crainte de la perte. Le pauvre vit d'espoir, c e qui est moins pénible. Les lois furent créées pour protéger la propriété, pas pour protéger les faibles. Alors, quels sont les faibles en vérité ? Ceux qui sont soumis à leur désir de richesse.

Disons que les deux n'ont pas les mêmes angoisses, que l'un vit plus confortablement que l'autre, mais dans les deux cas c'est cette illusion que pour être il faut avoir qui genère bien des souffrances.

Évoquer l'angoisse et les soucis de gestion de celui qui vit dans le luxe est un moyen comme un autre de se rassurer et d'accepter sa pauvre condition.

Tout comme le dicton : l'argent ne fait pas le bonheur!

C'est sûr, le confort matériel ne vaut pas une bonne santé et le bonheur est un état intérieur qui n'a rien à voir avec la richesse mais l'argent apporte une certaine liberté, tu peux faire ce que tu veux, choisir d'aller où tu veux sans compter, être généreux, réaliser tes rêves, etc...

La plupart des hommes ordinaires vivent à crédit, coincés entre leur boulot et leurs loisirs réduits. Ceux là préfèrent penser que l'homme riche est malheureux et déprimé par sa fortune mais en réalité ils l'envient.

Les pauvres détestent les riches mais ils n'aspirent qu'à ça:

devenir riche à leur tour.

Et ce n'est pas la Française des jeux qui me contredira...

Oui mais on parle ici des malheurs du riche qui a tout perdu. Ou de l'angoisse que ressent le riche a l'idée de tout perdre. Ceci dit oui, les aspirations du pauvre ne sont pas loins des réalités des riches. Sauf que la réalité du riche n'est pas forcément le bonheur . Un vieux proverbe dit :Ce qui te manque, cherches le dans ce que tu as.

La fdj est aussi appelée par certains l'impôt sur le désespoir ,c'est donc une institution qui a de beaux jours devant elle et qui ne sera jamais déficitaire !Il faurt bien se dire que 100% des perdants ont aussi tenté leur chance !

En ce qui concrne les soucis liés à l'argent lire le financier et le savetier deLa FONTAINE

Évoquer l'angoisse et les soucis de gestion de celui qui vit dans le luxe est un moyen comme un autre de se rassurer et d'accepter sa pauvre condition.

Tout comme le dicton : l'argent ne fait pas le bonheur!

C'est sûr, le confort matériel ne vaut pas une bonne santé et le bonheur est un état intérieur qui n'a rien à voir avec la richesse mais l'argent apporte une certaine liberté, tu peux faire ce que tu veux, choisir d'aller où tu veux sans compter, être généreux, réaliser tes rêves, etc...

La plupart des hommes ordinaires vivent à crédit, coincés entre leur boulot et leurs loisirs réduits. Ceux là préfèrent penser que l'homme riche est malheureux et déprimé par sa fortune mais en réalité ils l'envient.

Les pauvres détestent les riches mais ils n'aspirent qu'à ça:

devenir riche à leur tour.

Et ce n'est pas la Française des jeux qui me contredira...

Tout a fait raison pour une majorité des gens , car ils ne savent pas. Imaginons que nous vivions dans un monde de fou, un sage faisant apparition dans ce milieu, paraîtra complètement fou à la majorité des gens. Mais un monde de sage dans lequel un fou pénétrera sera pris en main par les sages pour le faire évoluer.

Tout ça est une question de valeur vraie, l'argent est il une vraie valeur, ou ne serais ce qu'un outil pratique d'échange. Un humain existe il par sa fortune ou pour exister peut il s'en affranchir. La générosité est elle liè impérativement à l'argent ou à ce qu'on a dans le cœur ou l'âme. Les anciens ont répondu à ces questions, Démocrite, Anthistène, Zénon de Cition, Sénèque, Pyrrhon et bien d'autres.

Répondant à la question de Querida, non un sage ayant eu tout l'argent du monde le jour ou il perd tout ne sera pas malheureux, un pauvre s'il est sage sait s'en passer et se satisfera de lui même, d'ailleurs Épicure n'était il pas pauvre. Même si je partage peu il dit aussi bien des vérité. Puis me semble que même prés de nous Spinoza accorde bien peu de valeur aux bien matériels.

Quand au divagations ambiante accordant trop de crédit a ce qui n'en a aucunement, c'est un piège grossier, fait pour asservir des ignorants, et les éloigner du Vrai, du Beau, du Bien qui seul mérite attrait.

Salut à toi Hadès ô vénérable!

OK ,mais n'oublions pas que sur Terre le Beau ,le Bon et le Bien ont aussi un prix !

Démocrite d’Abdère hérita d'une véritable fortune, il s'en servi pour voyager et apprendre de partout dans le monde d'alors. Il côtoya divers peuple appris d'eux, réfléchis aussi au relativisme de la vie humaine, et bien que conspué par ses contemporain pour avoir dilapidé sa fortune aux quatre coins du monde il finit sa vie pauvre mais très heureux. Il mourut même en riant, on dit de lui que ce philosophe riait toute sa vie.

Démocrite est souvent représenté en train de rire car sa propension à rire de tout et à vivre isolé du monde le fit considérer comme un fou par ses compatriotes (le rire de Démocrite est cité à plusieurs reprises dans l’Éloge de la folie d’Érasme) à tel point qu'on fit venir le médecin Hippocrate pour le traiter. Au lieu d'un malade qui avait besoin de secours prévenants, il trouva un philosophe judicieux et appliqué, assis tranquillement à l'ombre sur un vert gazon. Le philosophe avait un livre sur ses genoux : plusieurs autres étaient répandus à sa droite et à sa gauche et comme à son habitude, il rit beaucoup en discutant avec le médecin.

« Quelle est la cause de cette joie ? Mes discours ont-ils quelque chose qui vous choque ? »

Après quelques moments de silence, le philosophe commença un discours merveilleux sur les bizarreries et les disparités du genre humain. Il fit voir que rien n'est plus comique ni plus risible que toute la vie ; qu'elle s'emploie à chercher des biens imaginaires, à former des projets qui demanderaient plusieurs vies ajoutées l'une à l'autre ; qu'elle échappe au moment même où l'on ose le plus compter sur ses forces, où l'on s'appuie davantage sur la durée, qu'elle n'est enfin qu'une illusion perpétuelle qui séduit d'autant plus vite, qui séduit d'autant plus aisément, qu'on porte avec soi-même le principe de la séduction.

« Je voudrais, continua Démocrite, que l'Univers entier se dévoilât tout d'un coup à nos yeux. Qu'y verrions-nous, que des hommes faibles, légers, inquiets, passionnés pour des bagatelles, pour des grains de sable ; que des inclinations basses et ridicules, qu'on masque du nom de vertu ; que de petits intérêts, des démêlés de famille, des négociations pleines de tromperie, dont on se félicite en secret et qu'on n'oserait produire au grand jour ; que des liaisons formées par hasard, des ressemblances de goût qui passent pour une suite de réflexions ; que des choses que notre faiblesse, notre extrême ignorance nous portent à regarder comme belles, héroïques, éclatantes, quoiqu'au fond elles ne soient dignes que de mépris ! Et après cela, nous cesserions de rire des hommes, de nous moquer de leur prétendue sagesse et de tout ce qu'ils vantent si fort. »

« Ce discours que j'ai abrégé exprès, remplit Hippocrate de surprise et d'admiration. II s'aperçut que, pour être véritablement philosophe, il fallait se convaincre en détail qu'il n'y a presque dans le monde, que des fous et des enfants. Des fous plus dignes de pitié que de colère ; des enfants qu'on doit plaindre et contre lesquels il n'est jamais permis de s'aigrir, ni de se fâcher »

https://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9mocrite

Salut à toi Hadès ô vénérable!

OK ,mais n'oublions pas que sur Terre le Beau ,le Bon et le Bien ont aussi un prix !

Tout a fait :smile2: :smile2: :smile2: , le travail pour les acquérir, qui commence toujours par des exercices psychique. Ce n'est pas pour rien qu'Ignace de Loyola les imposa à ses disciples et qui perdurent aujourd'hui, bien que ceux ci différent des anciens.

Souffrez donc charmante Querida que je vous offre un gros bisous.

Ôh honte sur moi , j'ai failli à la plus élémentaire des politesse, j'ai omis de vos saluer, faut que je me jette de la cendre sur la tête.

N'y a til pas une forme de liberté à ne pas posséder ?

Vaste débat !!!

Vous connaissez l'histoire du pecheur mexicain?

Je la connaissais elle est excellente, savoureuse.

Antiphon le Sophiste raconte l'histoire d'un homme riche qui cachait son magot dans la forêt. Son voisin lui demanda un prêt avec intérêt. Le riche refusa par crainte de ne pas recouvrer son prêt. Or il advint que son trésor fut découvert et emporté par quelqu'un. Le riche qui se lamentait auprès de son voisin disait qu'il regrettait de ne pas avoir accepté son prêt, son argent aurait été mieux sécurisé et lui aurait été de bon rapport. "Ne vous chagrinez pas, répartit le voisin, vivez comme auparavant. Cet argent était inutilisé, vous ne l'utiliserez pas plus maintenant." Alors, qu'à donc perdu le riche ? La liberté d'utiliser ou non son argent : son pouvoir.

A quoi bon l'avarice ?