petite blague religieuse

"Jesus christ est le fils de dieu" raison : est né sans père.

"Adam est un dieu" raison : est né sans père ni mère.

Un vieux curé de campagne décide de rendre visite à un jeune collègue tout récemment affecté à un village voisin. La réception est cordiale, le jeune invite son aîné à un repas somptueux, ils discutent de tout et de rien, de leur ministère, le vieux donne des conseils utiles, etc.

Après quelques verres de vin, le vieux, ayant regardé avec attention la jeune et jolie servante qui avait préparé et servi leur repas, dit discrètement au jeune, avec un clin d'œil: «Dis donc! voilà un beau brin de fille, cher ami. Est-ce que... la nuit... enfin, vous devinez ma pensée... Est-elle à votre service... à temps plein?»

Le jeune s'offusque: «Mais enfin! collègue, qu'allez-vous imaginer là?! Je suis curé, je me dois à mon Seigneur, je veille à mener une vie pure, etc.»

Le vieux: «Ne vous vexez pas! J'ai été jeune comme vous. À votre âge, les tentations de la chair sont encore vives, rien de plus naturel, je puis tout à fait comprendre, vous savez...»

Mais cette fois, le jeune curé n'est pas loin de se mettre en colère: «Cher collègue, j'ai ma chambre d'un côté de l'étage supérieur, ma bonne a la sienne du côté opposé, et un long couloir ainsi que ma propre vertu empêchent toute proximité pécheresse!»

Le vieux n'insiste plus, pour éviter de devenir blessant. Ils changent de sujet, parlent de mille et une choses, le jeune curé offre à son hôte une visite guidée de sa nouvelle demeure, puis l'invité prend congé, ils se saluent cordialement et le vieux rentre chez lui.

Le lendemain matin, la servante vient trouver son jeune maître dans le salon: «Monsieur le curé, je ne trouve plus les couverts d'argent dont votre collègue et vous-même vous êtes servis hier lors du repas... À vrai dire, déjà en débarrassant la table, au moment où vous montriez la maison à votre invité, je ne les voyais plus. Ils ont disparu, ils ne sont pas dans la cuisine, ni dans le buffet, ni ailleurs. Je ne voudrais accuser personne, mais je crains...»

Le jeune curé l'interrompt et l'envoie à la cuisine en répondant qu'il s'occupera de l'affaire en personne.

Embarrassé, il se dit: «Voilà que mon vieux collègue s'avère être cleptomane! Jamais je n'oserais ouvertement accuser de vol quelqu'un à qui je dois le respect! Je souhaite pourtant récupérer ces couverts d'argent, un héritage familial qui m'est cher. Comment faire? mon Dieu! comment faire?...»

Finalement, il prend son courage à deux mains et décide d'écrire à son vieux collègue un petit mot plein de tact. Il se contente de ces quelques paroles prudentes et mesurées:

«Monsieur le Curé, Très Cher Collègue,

Je ne dis pas que vous avez pris chez moi les couverts d'argent.

Je ne dis pas non plus que vous n'avez pas pris les couverts d'argent...

Je dis simplement qu'une chose est certaine:

Depuis que vous êtes passé chez moi, ces couverts d'argent ont disparu!»

Trois jours plus tard, il reçoit la réponse écrite suivante:

«Monsieur le Curé, Très Cher Collègue,

Je ne dis pas que vous couchez avec votre servante.

Je ne dis pas non plus que vous ne couchez pas avec votre servante...

Je dis simplement qu'une chose est certaine:

Si vous dormiez dans votre propre lit, vous sauriez où sont ces couverts d'argent!»

Doublon, mais elle est pas mal.

Doublon.

Je ne pense pas, non. Je viens encore de vérifier.

Oh me.de alors, je suis désolée, en fait j'ai du l'entendre ailleurs.

Encore toutes mes excuses.

(Tiré d'un Évangile apocryphe:)

«Or venus au milieu de la foule, les Pharisiens amenèrent à Jésus une femme adultère pour le mettre à l'épreuve et voir ce qu'il allait leur dire. “Est-il permis de lapider celle-ci?” demandèrent-ils. Mais Jésus se tut et ne répondit rien. Au bout d'un temps, il leur dit: “Que celui d'entre vous qui est sans péché lui jette la première pierre!” Or une pierre survola la foule et vint lourdement frapper la tête de la femme. Jésus se retourna, regarda d'où était venue la pierre, et s'écria: “Nom de nom! Maman!”»

Un vieux curé de campagne décide de rendre visite à un jeune collègue tout récemment affecté à un village voisin. La réception est cordiale, le jeune invite son aîné à un repas somptueux, ils discutent de tout et de rien, de leur ministère, le vieux donne des conseils utiles, etc.

Après quelques verres de vin, le vieux, ayant regardé avec attention la jeune et jolie servante qui avait préparé et servi leur repas, dit discrètement au jeune, avec un clin d'œil: «Dis donc! voilà un beau brin de fille, cher ami. Est-ce que... la nuit... enfin, vous devinez ma pensée... Est-elle à votre service... à temps plein?»

Le jeune s'offusque: «Mais enfin! collègue, qu'allez-vous imaginer là?! Je suis curé, je me dois à mon Seigneur, je veille à mener une vie pure, etc.»

Le vieux: «Ne vous vexez pas! J'ai été jeune comme vous. À votre âge, les tentations de la chair sont encore vives, rien de plus naturel, je puis tout à fait comprendre, vous savez...»

Mais cette fois, le jeune curé n'est pas loin de se mettre en colère: «Cher collègue, j'ai ma chambre d'un côté de l'étage supérieur, ma bonne a la sienne du côté opposé, et un long couloir ainsi que ma propre vertu empêchent toute proximité pécheresse!»

Le vieux n'insiste plus, pour éviter de devenir blessant. Ils changent de sujet, parlent de mille et une choses, le jeune curé offre à son hôte une visite guidée de sa nouvelle demeure, puis l'invité prend congé, ils se saluent cordialement et le vieux rentre chez lui.

Le lendemain matin, la servante vient trouver son jeune maître dans le salon: «Monsieur le curé, je ne trouve plus les couverts d'argent dont votre collègue et vous-même vous êtes servis hier lors du repas... À vrai dire, déjà en débarrassant la table, au moment où vous montriez la maison à votre invité, je ne les voyais plus. Ils ont disparu, ils ne sont pas dans la cuisine, ni dans le buffet, ni ailleurs. Je ne voudrais accuser personne, mais je crains...»

Le jeune curé l'interrompt et l'envoie à la cuisine en répondant qu'il s'occupera de l'affaire en personne.

Embarrassé, il se dit: «Voilà que mon vieux collègue s'avère être cleptomane! Jamais je n'oserais ouvertement accuser de vol quelqu'un à qui je dois le respect! Je souhaite pourtant récupérer ces couverts d'argent, un héritage familial qui m'est cher. Comment faire? mon Dieu! comment faire?...»

Finalement, il prend son courage à deux mains et décide d'écrire à son vieux collègue un petit mot plein de tact. Il se contente de ces quelques paroles prudentes et mesurées:

«Monsieur le Curé, Très Cher Collègue,

Je ne dis pas que vous avez pris chez moi les couverts d'argent.

Je ne dis pas non plus que vous n'avez pas pris les couverts d'argent...

Je dis simplement qu'une chose est certaine:

Depuis que vous êtes passé chez moi, ces couverts d'argent ont disparu!»

Trois jours plus tard, il reçoit la réponse écrite suivante:

«Monsieur le Curé, Très Cher Collègue,

Je ne dis pas que vous couchez avec votre servante.

Je ne dis pas non plus que vous ne couchez pas avec votre servante...

Je dis simplement qu'une chose est certaine:

Si vous dormiez dans votre propre lit, vous sauriez où sont ces couverts d'argent!»

Ahaha très drôle

Ahaha! très drôle.

Merci, je l'aime aussi particulièrement, celle-là!

L'histoire se joue dans un quartier populaire et très catholique en Irlande.

Trois petits vieux sont assis sur un banc devant une des maisons de la longue rue qu'ils habitent. Ils voient passer un rabbin et le dévisagent avec méfiance. Le rabbin les salue en passant, continue son chemin et, au bout de la rue, sonne à la porte d'un établissement malfamé, connu pour être une maison de passe. On lui ouvre et il entre.

Les petits vieux ont tout vu et se lancent entre eux des regards indignés: «C'est scandaleux! Un homme de religion – certes pas de notre religion, mais tout de même d'une religion qui prône le même Dieu que la nôtre! – ose, devant tous les regards, frapper à cette porte et, sans nullement se cacher, y entrer! Mais où va-t-on si même une soi-disant élite spirituelle fréquente de tels établissements honteux! C'est abject!»

Cinq minutes plus tard, un pasteur protestant passe devant eux, les salue, poursuit sa route et, pour finir, va frapper à la même porte. On lui ouvre et il entre.

Les vieux n'en croient plus leurs yeux. Ils chuchotent: «Non mais! Cette fois, cela dépasse les bornes! C'est insensé! Un homme de religion chrétienne – soit! pas de la bonne religion chrétienne, mais néanmoins d'une religion qui se veut chrétienne! – a le culot de s'arrêter publiquement devant une maison close et d'y mettre le pied ensuite! C'est la fin de la civilisation!»

Encore cinq minutes plus tard, un prêtre catholique passe devant eux, les salue, arrive au bout de la rue, frappe à la même porte et entre.

Pendant quelques secondes, les petits vieux restent interloqués et muets de stupeur. Puis ils se signent en s'écriant: «Mon Dieu! une de ces pauvres pécheresses doit être à l'article de la mort!»

pourquoi dieu a donné des jambes aux femmes ?

pour qu'elle ne ressemble pas aux escargots

la réponse des femmes

pourquoi dieu a donné une colonne vertébrale aux hommes ?

pour qu'ils ne se fassent pas de pipes.

1 partout balle au centre.

C'est Moïse , il est tout sale , alors il ce dit « je vais aller prendre un bain pour me laver » et la pas de chance , des qu'il met un pied dans la baignoire l'eau sans vas , depuis il vie dans la mouise, y peu pas se laver.

une fois il a voulue plonger , y c'est fracassé le crane contre un rocher .

Moise veut dire en hébreu :::: EAU

Elle est gentillette ta blague

C'est vrai que pour les musulmans on ne peut pas faire de blague sur le prophète c'est un péché, pour les catholiques c'est beaucoup moins grave, un petit jésus marie et c'est pardonné !

Un chauffeur de taxi charge une bonne sœur.

En déboîtant un peu brusquement, il manque d’accrocher un de ses collègues qui lui crie :

- Regarde moi cet abruti avec sa poufiasse ! Tu peux pas faire gaffe ?

Alors l’autre hurle :

- Ma pouffiasse, elle t’emmerde !

Puis il se tourne galamment vers sa passagère :

- N’est-ce pas, ma soeur ?

C'est le jeune Isaac qui va trouver son patron et qui lui dit:

- Je ne peux plus travailler chez vous. Tous vos employés sont antisémites!

- Quoi?! Qu'est ce que vous racontez-la?! Qu'il y en ait un ou deux, je veux

bien, mais pas tous!

- Si je vous dit qu'ils sont tous antisémites!!! D'ailleurs j'ai fait un test...

Je leur ai tous posé la même question, et ils ont tous fait la même réponse! Ils

sont tous antisémites, j'vous dit!!

- Mais c'est quoi cette question????

- Je leur ai demandé ce qu'ils penseraient si on exterminait tous les juifs et

tous les coiffeurs...

- Les coiffeurs!?! Pourquoi les coiffeurs???

- Ben, vous voyez, vous aussi!

:smile2: :smile2: :smile2: :smile2: :smile2: :smile2:

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David, donc, va prier tous les samedis à la synagogue et dit : Mon D..., s'il te

plaît fais-moi gagner 1 million, s'il te plaît, je sais que c'est toi le vrai

D..., alors fais-moi gagner un million et je donne la moitié à la synagogue'.

Tous les jours, c'est la même chose, et il ne gagne jamais.

Dégoûté, il dit : 'Attention, mon D..., si je ne gagne pas cette fois, je vais à

l'église !!' Et comme il perd, il va prier à l'église :

'Jésus, s'il te plaît, fais-moi gagner 1 million et je te jure que je donnerai

la moitié à l'église et à toutes les paroisses'

Il joue le jour même et hop ! il gagne le million...

Alors, il retourne à la synagogue et dit : 'Mon D..., il y a que toi qui savait

que j'allais rien donner, hein ?'

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Chanukah est dans deux jours, et Monsieur Feldman qui est plutôt fauché rentre

chez lui de mauvaise grâce. Il rumine:

- Où vais-je trouver de l'argent pour les cadeaux des enfants et de ma femme?

Tout en marchant, il passe devant une chapelle. À la porte de la chapelle, une

grande affiche dit '1000 Euros OFFERTS À TOUS CEUX QUI SE CONVERTISSENT. OFFRE VALABLE AUJOURD'HUI SEULEMENT!

Alors le pauvre Monsieur Feldman se dit

- Voila la solution à mon problème. Et tant pis si je dois renier le judaïsme!

Il entre dans la chapelle, prend connaissance de sa nouvelle religion, signe en bas de la page et empoche les 1000 €.

De retour chez lui, il annonce à toute la famille:

- Voila 1000 € pour les cadeaux.

Et il brandit la liasse de billets en l'air.

Alors sa femme dit:

- Chéri, tu te souviens de la robe que je t'avais montrée dans la vitrine...

Elle est en solde en ce moment.

- Combien coûte-t-elle?

- Seulement 500 €, alors qu'elle en vaut bien 800 en temps normal.

Alors M. Feldman prend 500 € de la liasse et les tend à sa femme.

Le fils dit alors:

- Papa, ça fait pas mal de temps déjà que j'économise pour me payer un VTT. J'ai

presque la totalité de la somme...

- Combien te manque-t-il?

- 250 €

Alors M. Feldman prend 250 € de la liasse et les tend à son fils.

La fille dit alors:

- Papa, la semaine prochaine c'est le voyage de fin d'année. Si je n'y vais pas,

je ne verrai plus mes copines. ça serait trop dur.

- Ne t'inquiète pas ma fille. Combien veux-tu pour ce voyage?

- 250 €.

Alors M. Feldman prend les 250 € restant, les donne à sa fille et fait la

grimace en disant:

- Ça ne rate jamais! Dès que nous les goys on a un tout petit peu d'argent, vous

les juifs, vous vous dépêchez de nous le prendre.

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C'est Natanyahou et Clinton qui discutent aux États-Unis... Patati Patata...

Paix... Bla bla etc...

Quand soudain, Natanyahou dit : 'Excuse-moi Bill, c'est quoi tous ces téléphones

sur ton bureau ?'

- Ben le rouge, c'est pour la Russie. Le bleu, pour la France, le noir, pour

Asie etc...

- Ouais mais le blanc là ?

- Ah le blanc c'est pour le ciel...

- Ah bon ? Ben, je peux essayer ?

- Bien sur, vas-y !!

Et Natanyahou appelle le ciel, et discute avec Dieu pendant 3 minutes...

Lorsqu'il raccroche, Clinton lui sort la note : 2 millions de dollars...

- Ok, voila un chèque...

La rencontre se fait six mois plus tard entre les deux participants en Israël.

Alors ils papotent et tout et idem, bill demande à Benyamine :

- Tiens ils sont beaux tes téléphones... j'imagine que c'est comme moi: rouge,

Russie, bleu, France etc... Tiens, mais c'est pour qui le téléphone là dans le

coin ?

- Ben c'est pour le ciel...

- Je peux essayer aussi moi ?

- Bien sur vas-y !!

Alors bill téléphone et parle pendant 20 min.... Et bien sur, Natanyahou lui

donne la note : 4 $

Alors Bill lui demande pourquoi c'est si peu cher

- Ben parce que ici l'appel est local...

:smile2: :smile2:

:smile2:

c'est une dame qui monte au paradis.

saint pierre l'accueille

il lui dit nous allons visiter le paradis. c'est un très long couloir avec des portes de chaque coté du couloir

ils avancent, ils arrivent près d'une porte et là on entend "aie ! AIE !" et des bruits de foreuse

la dame s'arrete , inquiète et elle demande à saint pierre ce qui se passe dérrière la porte.

saint pierre "ne vous inquiétez pas on fore deux trous pour mettre les ailes sur les épaules. lais vous savez en enfer c'est pire on vous viole et vous sodomise"

la femme "ah,... !"

ils avancent et arrivent près d'une autre porte

et là rebelotte "aie ! AIE !" de nouveaux un bruit de foreuse

la dame "m'enfin qu'est ce qui se passe ?"

saint pierre "là ! on fore le dessus de la tête pour y mettre l'auréole, mais vous savez en enfer c'est pire on vous viole et vous sodomise"

la dame "moi je vais en enfer car ces deux trous là je les ai déjà !"

talmud de passe ?

non !

thora rien

@+