On supprime le latin, le grec et l’allemand pour leur donner du Jamel Debbouze

L'espéranto est un échec, et au niveau mondial... Bof quoi...

eh oui tu as raison ,c,est un èchec, parce que cet échec a été voulu et imposè, je me souviens de çà aprés la guerre 39/45,cette langue d,espoir et de paix ,n,arrangeait pas la finance guerriére.c,est bien triste de passer a côté d,une chance comme celle là, mais les dirigeants du monde en ont pas voulu.

eh oui tu as raison ,c,est un èchec, parce que cet échec a été voulu et imposè, je me souviens de çà aprés la guerre 39/45,cette langue d,espoir et de paix ,n,arrangeait pas la finance guerriére.c,est bien triste de passer a côté d,une chance comme celle là, mais les dirigeants du monde en ont pas voulu.

C'est exact.

Mon banquier m'a dit récemment : "Si vous apprenez l'esperanto, je ne vous autorise pas de découvert".

Farpaitement.

C'est exact.

Mon banquier m'a dit récemment : "Si vous apprenez l'esperanto, je ne vous autorise pas de découvert".

Farpaitement.

pour être aussi ....tu as dut suivre les cours du soir renforcés de la connerie.

Tempora mori, tempora mundis recorda. Voilà. Et bien ça, par exemple, ça veut absolument rien dire, mais l’effet reste le même, et pourtant j’ai jamais foutu les pieds dans une salle de classe attention !

• François Rollin, Kaamelott, Livre III, L’Assemblée des rois 2^e partie, écrit par Alexandre Astier.

Le latin ('fin l'italien et le savoisien, desquels j'ai déduit des origines latines) m'a aidé une fois...

Il s'agissait de faire un puzzle de 3000 pièces, une mappemonde, avec une inscription en latin. :D

Ce qui me surprend, c'est que des instructions utiles à la vie adulte soient peu à peu remplacée par des instructions "de confort".

Dieu nous préserve d'une plus grande intrusion de l'utilitarisme dans l'enseignement

Ces options visent à l'épanouissement, à l'équilibre du gosse, pas à une visée utilitariste. Un établissement avec plusieurs options sportives est un sport où les élèves vont dépenser une énergie qu'ils ne dépenseront pas à faire le en classe. Et, pour rester dans le sujet et faire mon intello, il s'agit d'atteindre l'idéal antique de mens sana in corpore sano

Je ne trouve donc pas qu'il s'agisse là d'option de confort. C'est même une sacrée occasion de rattraper l'insuffisance du sport dans notre enseignement.

Là dessus, je ne sais pas, puisque seuls les élèves déjà licenciés dans les clubs définis peuvent prétendre à l'option ski (ou hockey ou foot), donc l'esprit sain dans un corps sain, il est déjà en place.

Autre exemple, si le gamin est licencié au club de foot du bas de la vallée, et ce, depuis ses 6 ans, RAF, il faut qu'il prenne sa licence dans le club du haut de la vallée pour bénéficier de l'option (heures qui sont posées sur des heures "facultatives", soit le mercredi après midi, et gérées entièrement par les clubs, non par les enseignants).

Je comprends aisément que ce soit un casse-tête pour établir des emplois du temps, mais bon, y'a un moment, on privilégie soigneusement le gosse "local" au détriment du gosse "rapatrié".

C'est ce qui me dérange dans ce principe de fonctionnement. Après qu'on ne mette pas un enseignant "latin" pour 3 élèves qui sont demandeurs, je peux le comprendre, mais ne peut on pas mutualiser les moyens humains et regrouper cet enseignement????

Je pense que nos décideurs sont tellement déconnectés de la réalité, qu'ils estiment que ce qui leur coûte le moins cher est forcément mieux, c'est dommage.

Au delà, et pour en revenir au sujet, latin et grec (ou russe) ont toujours été en option, que le gouvernement acte ce procédé ne me choque pas, qu'il zappe les moyens d'enseigner ces matières, là, ça me chiffonne. :)

Le lycée dans lequel j'ai été, pour des raisons de coupes budgétaires, a supprimé le grec ancien en 1e et terminale, la section européenne ainsi que l'allemand et le russe en LV2 et il voulait aussi supprimer l'option cinéma audiovisuel et l'italien en LV3 (mais, les profs sont montés au créneau).

Ce qui fait que le lycée a perdu beaucoup d'élèves qui étaient là ou ceux susceptibles d'y aller.

Je reste sur mon idée de donner X heures de cours d'étymologie. Qui pourraient être intégrée au programme de Français.

C'est ce que j'ai eu et franchement ça m'a aidé. S'agit pas de corriger les sous titres de " L'Histoire de Rome ", ou de lire l'Odyssée dans le texte, mais d'avoir des bases.

Alors en ce qui concerne l'étymologie, j'en ai mangé...

De gros fou rires lors de l'études des préfixes (si "déshériter" veut dire ôter l'héritage, alors que veut dire "débiter" ; à l'origine, le "copain" partage le pain ... et la "copine" alors???) :D

Mais au delà de ça, j'ai appris à retrouver une racine dans un mot, et ma gosse de 10 ans travaille là dessus actuellement (exemple à midi : "maman, empaqueter, c'est bien de la même famille que paquet?")

Donc l'étymologie est utile, le latin et le grec, strictement enseignés comme langue, j'en suis moins sûre (à moins que ce soit un outil essentiel de la future vie professionnelle). :)

Donc l'étymologie est utile, le latin et le grec, strictement enseignés comme langue, j'en suis moins sûre (à moins que ce soit un outil essentiel de la future vie professionnelle). :)

Un enseignement n'a pas non plus à être inféodé strictement (j'nsiste bien sur le "strictement")à un avenir professionnel de toute façon encore mal décidé à cet âge

J'enseigne le chinois tout en sachant que à peine 5% de mes élèves vont l'utiliser un jour dans leur vie professionnelle. Pour moi, le plus important c'est qu'il fasse quelque chose qui leur plaît, qui leur ouvre l'esprit, qui leur fasse découvrir plein de chose. Et ça, tous les cours de langue, mortes ou vivantes, peuvent procurer ce plaisir à nos élèves. C'est ce qui s'appelle l'épanouissement, et c'est tout aussi sinon plus important qu'un enseignement utilitariste.

L'enseignement du latin en tant que langue peut servir à l'étymologie tout autant que des cours d'étymologie pure, si le prof sait rendre le cours vivant et agréable. On retiens mieux les informations quand elles sont données en système (comme une langue) que via des listes/questionnaires bruts.

L'enseignement du latin en tant que langue peut servir à l'étymologie tout autant que des cours d'étymologie pure, si le prof sait rendre le cours vivant et agréable. On retiens mieux les informations quand elles sont données en système (comme une langue) que via des listes/questionnaires bruts.

Et l’étymologie est enseignée dans quel but ?

Sans parler du fait que les étymologies latines ont été le plus souvent réinventées au 19ème siècle pour faire "classique" en rajoutant des lettres muettes comme le "g" de "doigt"

De l’ancien français dei, doi. Du latin populaire dĭtus, altération du latin classique dĭgĭtus de même sens, issu d’une racine indo-européenne deik (« montrer ») dont est issu index mais aussi juge. La graphie moderne est une fausse régression inspirée du latin classique.

Et l’étymologie est enseignée dans quel but ?

En fait, je ne savais pas qu'il y avait des cours d'étymologie dans le secondaire avant cette discussion :D L'étymologie pour l'étymologie, ça doit pas être très vivant...

Personnellement, le latin-grec m'a servi dès lors que j'ai commencé mes études d'histoire-géo (et encore plus tard quand j'ai du me lancer dans l'anthropologie) pour déchiffrer certains concepts propres à ces sciences. Ca m'a évité de passé une minute dans le dictionnaire ! :D

Après, faire face à une langue extrêmement flexionnelle comme le latin peut aider à faire prendre conscience des différentes fonctions grammaticales. Mais faut-il encore que nous ayons des élèves qui, en sixième, aient au moins une idée de ce qu'est, par exemple, un COD... c'est pas gagné, et ce manque de connaissance rend l'enseignement du latin en fait plus compliqué (de l'allemand aussi du coup...).

Apprenez-leur à parler mieux que les chtis à Hollywood ça sera déjà un bonus.

Mieux ! Une surprise......

On verra plus tard pour les fioritures.

Apprenez-leur à parler mieux que les chtis à Hollywood ça sera déjà un bonus.

Faut aussi dire ça aux instits et aux parents qui ne suivent pas les devoirs de leurs gosses... Nous, profs de LV n'avons pas le droit de noter le français..

La langue maternelle est très difficile à rattraper dès lors que les fondamentaux est passée, et que des programmes font que nous n'avons plus assez de temps à consacrer à ça.

Si je comprends bien, au début du post, il était question de supprimer le latin etc.....notre douce ministre souriante nous explique que c'est le contraire......comme ces matiéres feront partie de listes dans laquelle les établissements seront obligés de piocher, et bien certains enfants se veront donc enseigner l'allemand, le latin ou le grec sans l'avoir demandé........donc davantage d'aujourd'hui où les profs ont leur mot à dire sur le minimum de niveau qu'il faut avoir ou étre capable de développer pour ne pas aller droit dans le mur...................

Mais elle préfére aller écraser encore un peu plus la tronche des gosses sur les murs de la démagogie que de laisser ceux qui ont des possibilités les exploiter dans des classes où ,au moins, ils ne s'ennuient pas comme des rats morts.......voiçi donc la fin des classes bilingues et européennes.

Je suis vraiment bien contente d'avoir de grands ados............