Les féministes ont-elles fini d'achever ce qui reste des hommes ?

C'est une caricature de bobo. Parisien des beaux quartiers, de gauche, forcément progressiste et... forcément féministe, Louis Lanher a décidé de faire sa mauvaise tête. Dans "Les féministes n'auront pas l'Alsace et la Lorraine", le gendre idéal règle son compte à sa belle-mère et ses copines adeptes de la théorie du genre. Et démontre, ce faisant, les ravages du féminisme sur le mâle contemporain... s'il en reste encore un !<br style="-webkit-tap-highlight-color: transparent;">

La suite: http://www.atlantico.fr/rdv/livre-debat/feministes-ont-elles-fini-achever-qui-reste-hommes-louis-lanher-barbara-lambert-1998013.html

Mais ouais, elles nous font chier à vouloir gagner pareil que nous ou avoir la même retraite... on est déjà bien gentil de les sauter... et encore, la plupart, faut les forcer un peu parce qu'elles sont pas toujours consciente de ce qui est bien pour elle, si vous voyez ce que je veux dire MOUHAHAHA HAHA HAHA....

Modifié le 24 février 2015 par Crabe_fantome

crabe, va troller ailleurs. Ou alors lit l'article et ensuite, tu viendras commenter, tu seras gentil

Tu veux parler de ce dialogue où on interview UNE personne (qui a besoin de vendre son livre) qui donne son avis sur QUELQUES féministes du milieu bobo parisien?

Il doit exister 3 655 725 000 sujets sur les fââââmes, et surtout, à propos de ces sales féminiches sur ce for homme. Y'a pas moyen de condenser le tout? C'est lassant à la longue, le radotage.

Modifié le 24 février 2015 par Lucy Van Pelt

En outre le site est payant et ils font des petites pages pour nous inviter à nous abonner à ces conneries...

Qouaiiiis on aura la peau des machos néandertaliens ....

Il doit exister 3 655 725 000 sujets sur les fââââmes, et surtout, à propos de ces sales féminiches sur ce for homme. Y'a pas moyen de condenser le tout? C'est lassant à la longue, le radotage.

Typique d'une féministe qui cherche à réduire à néant la parole des hommes au sujet du féminisme...

Juste revanche contre ceux qui nous ont baîllonnées des millénaires durant. Continue MRS vAN pELT

ceci dit mon mari va où il veut: à la pêche ,au foot,au stade chez des copains ,on ne lui a pas encore mis le voile ;et moi aussi, quand ce que je fais ne l'intéresse pas .

querida, arrête de toujours tout ramener à toi. As tu lu l'article? Le but est de commenter l'article et non pas de nous raconter sa vie :smile2:

L'article est nul à chier parce-que ce n'est pas un article journalistique mais la promotion d'un bouquin. Achète le bouquin, lis le et reviens nous voir pour discuter du passage où la polygamie est forcément masculine... Par exemple...

C'est toujours la même chose avec les pro féministes... De la mauvaise foi toujours et encore... Vous balayez d'un revers de main les arguments de ceux qui émettent des critiques sur le féminisme... C'est peine perdue de débattre avec vous...

Débattre de quoi?! Ton article c'est de la promo pour un bouquin tiré de l'expérience d'une personne qui vit dans un milieu qui nous est totalement indifférent (les bobos parisiens)... C'est quoi la pertinence? T'as l'impression qu'on t'as ôté tes couilles? ok on peut en parler... t'as une pub pour un bouquin que t'as pas lu et qui parle d'un milieu dont tout le monde se contrefout, ben non y a pas grand chose à dire parce que personne ne l'a lu et personne ne vit dans ce milieu... Tu veux pas qu'on parle de la pub de nouvelle 308 pendant que tu y es?

Ta mauvaise foi me sidère... Mais bon, j'ai l'habitude avec toi, le fameux défenseur des femmes et du féminisme... Les femmes t'ont bien lavé le cerveau... Tu es un homme soumis.

Modifié le 24 février 2015 par renard79

querida, arrête de toujours tout ramener à toi. As tu lu l'article? Le but est de commenter l'article et non pas de nous raconter sa vie :smile2:

Le titre de ton sujet c'est :Les féministes ont-elles fini d'achever ce qui reste des hommes ? , si tu ne veux pas que des personnes répondent à des questions, tu ne les poses pas, c'est mieux!

Femmes du monde ou bien putains

Qui, bien souvent, êtes les mêmes

Femmes normales, stars ou boudins

Femelles en tout genre, je vous aime

Même la dernière des connes

Je veux dédier ces quelques vers

Issus de mon dégoût des hommes

Et de leur morale guerrière

Car aucune femme sur la planète

N’s’ra jamais plus con que son frère

Ni plus fière ni plus malhonnête

A part peut-être, Madame Thatcher

Femme je t’aime parce que

Lorsque le sport devient la guerre

Y’a pas de gonzesses, ou si peu

Dans les hordes des supporters

Ces fanatiques fous furieux

Abreuvés de haine et de bière

Défiant les crétins en bleu

Insultant les salauds en vert

Y’a pas de gonzesse hooligan

Imbéciles et meurtrière

Y’en a pas, même en Grande-Bretagne

A part, bien sûr, Madame Thatcher

Femme je t’aime parce que

Une bagnole entre les pognes

Tu n’deviens pas aussi con qu’eux

Ces pauvres tarés qui se cognent

Pour un phare un peu amoché

Ou pour un doigt tendu bien haut

Y’en a qui vont jusqu’à flinguer

Pour sauver leur auto-radio

Le bras d’honneur de ces cons-là

Aucune femme n’est assez vulgaire

Pour l’employer à tour de bras

A part, peut-être, Madame Thatcher

Femme je t’aime parce que

Tu vas pas mourir à la guerre

Parce’ que la vue d’une arme à feu

Fait pas frissonner tes ovaires

Parc’que dans les ranges des chasseurs

Qui dégomment la tourterelle

Et occasionnellement les beurs

J’ai jamais vu une femelle

Pas une femme n’est assez minable

Pour astiquer un revolver

Et se sentir invulnérable

A part, bien sûr, Madame Thatcher

C’est pas un cerveau féminin

Qu’est sortie la bombe atomique

Et pas une femme n’a sur les mains

Le sang des Indiens d’Amérique

Palestiniens et Arméniens

Témoignent du fond de leurs tombeaux

Qu’un génocide c’est masculin

Comme un SS, un torero

Dans cette putain d’humanité

Les assassins sont tous des frères

Pas une femme pour rivaliser

A part peut-être, Madame Thatcher

Femme je t’aime, surtout, enfin

Pour ta faiblesse et pour tes yeux

Quand la force de l’homme ne tient

Que dans son flingue ou dans sa queue

Et quand viendra l’heure dernière

L’enfer s’ra peuplé de crétins

Jouant au foot ou à la guerre

A celui qui pisse le plus loin

Moi je me changerai en chien

Si je peux rester la Terre

Et comme réverbère quotidien

Je m’offrirai Madame Thatcher

Modifié le 24 février 2015 par metal guru

Ta mauvaise foi me sidère... Mais bon, j'ai l'habitude avec toi, le fameux défenseur des femmes et du féminisme... Les femmes t'ont bien lavé le cerveau... Tu es un homme soumis.

Ok, l'attaque personnelle maintenant au lieu d'essayer de défendre ton sujet... ah tiens pendant que j'y pense, et parce que c'est de bonne guerre, j'ai trouvé ça par terre... c'est pas à toi par hasard?

Modifié le 24 février 2015 par Crabe_fantome

Le titre de ton sujet c'est :Les féministes ont-elles fini d'achever ce qui reste des hommes ? , si tu ne veux pas que des personnes répondent à des questions, tu ne les poses pas, c'est mieux!

Il manquait plus que toi! :smile2:

Non mais sérieux les mecs, are you kidding me???

Vous sentez vous obligés de venir défendre les femmes de ce forum?? C'est parce qu'elles ne savent pas se défendre? Ou bien, c'est parce que le féminisme vous a déjà terrassé?? Oui, je crois que c'est ça en fait...

Vous me faites exactement penser à tous ces bobos parisiens mais pas que car en France règne une sorte de soumission des hommes et vous en êtes la preuve!

NB: metal, Renaud, il doit regretter d'avoir écrit cette chanson.

Modifié le 24 février 2015 par renard79

Ta mauvaise foi me sidère... Mais bon, j'ai l'habitude avec toi, le fameux défenseur des femmes et du féminisme... Les femmes t'ont bien lavé le cerveau... Tu es un homme soumis.

Hahaha Hohohoho! L'argument débile, tiens, voici 44 raisons d'être féministe pour un homme...pensant;

"

(1)Parce que je suis un homme et que, tout compte fait, j’ai moi aussi assez peu choisi d’en être un. (2)Parce que cet homme est blanc, hétérosexuel, issu de ce qu’on appelle parfois les classes moyennes supérieures et que, en tant que tel, il est malgré lui impliqué dans un système socioculturel androcentrique dont il est par ailleurs le produit. (3)Parce qu’à l’instar de bien des hommes et contrairement à trop de femmes, j’y suis intégré de façon telle que certaines discriminations et relations de pouvoir (invisibles ou non) sont pour moi objectivement avantageuses. (4)Et parce que la domination masculine s’appuie sur une violence symbolique dont la force propre est de s’exercer silencieusement et de produire une disposition à la soumission féminine qui est à la fois, et sans contradiction, le fait d’une «libre» spontanéité et l’effet d’une contrainte. (5)Parce que les traces de ma socialisation se sont sédimentées sous la forme d’un dépôt de culture imprimé dans mon corps et dans certains de mes réflexes les mieux enfouis. (6)Parce que malgré tout, la pensée, qui n’est pas une abstraction désincarnée et sans pouvoir effectif sur la réalité, permet de mettre en état de crise le donné et l’apparente naturalité du monde. (7)Et parce qu’en ce sens, un contact prolongé avec la réflexion féministe m’a transformé et m’a forcé à repenser les manières que, spontanément, je pouvais avoir de désirer, d’approcher, d’aimer. (8)Parce que notre condition historique nous enseigne que les victoires définitives et irréversibles n’existent pas et que les luttes, interminables, vivent justement de ne jamais pouvoir s’arrêter. (9)Parce qu’il reste et restera probablement toujours des phallocrates qui, comme des chiens excités, exhibent fièrement une queue qui branle. (10) Et parce qu’en vérité, comme des chiens piteux, ceux-là n’ont rien d’autre, lorsque vient le temps de revendiquer une dignité qu’ils humilient, qu’une queue logée entre les deux jambes. (11)Parce que ce texte lui-même ne va pas de soi. (12)Parce que, d’un point de vue général, le fait qu’un homme puisse s’identifier à la critique féministe est non seulement perçu, souvent, comme constitutivement contradictoire mais aussi, parfois, comme fondamentalement suspect – ce qui fait présentement de moi un éveilleur de soupçons. (13)Et parce que d’un point de vue sociologique, cette identification souhaitable constitue probablement l’une des conditions de possibilité des transformations collectives appelées par les féministes. (14)Parce qu’au sens à la fois le plus restreint et le plus large du terme, les luttes féministes, entendues comme démarche visant l’enrayement des discriminations et inégalités de nature sexuelle, ne sont pas uniquement l’affaire de toutes. (15)Parce que pour prendre l’ampleur qu’elles méritent et avoir les effets qu’elles appellent, elles doivent aussi être l’affaire de tous. (16)Parce qu’apparemment, plusieurs formes de solidarité sont comme les pandas: en voie d’extinction. (17)Et parce que l’organisation d’une résistance politique globale, à l’heure des pluralismes et des combats locaux pour la reconnaissance de droits particuliers et d’identités singulières, doit passer par l’établissement d’une «chaîne d’équivalence» (Chantal Mouffe) entre les divers mouvements ou épicentres de la contestation démocratique. (18)Parce qu’être détenteur d’un pénis, ça devrait juste vouloir dire avoir un pénis, rien de plus. (19)Parce que les livres de Judith Butler sont convaincants et que, Gender trouble en tête, ils ont considérablement modifié le regard que je portais sur le monde social. (20)Parce qu’en ce sens, je reconnais aux sujets le droit de désaligner et de désarticuler à l’envie leur sexe, leur genre et leurs désirs. (21)Et parce qu’en amateur convaincu de la contraception, je crois que l’euphorie de la jouissance autonome devrait toujours avoir la permission inviolable d’être à elle-même sa propre fin. (22)Parce que la figure (certes forcément stéréotypée) du «gros macho dégueulasse» n’est ni uniquement un épouvantail brandi par les féministes, ni seulement une construction fantasmatique, mais aussi une espèce commune et bien répertoriée de notre faune sociale. (23)Parce que comme le «grand méchant loup», que plusieurs petites filles apprennent à intérioriser, la culture du viol désigne non pas un mythe mais, précisément, une réalité. (24)Et parce que, conséquemment, il m’arrive à certaines occasions, en écoutant vivre et en regardant parler mes concitoyen-ne-s, de ne plus vouloir accorder aux traits socioculturels de la masculinité le droit de figurer dans l’inventaire de mes composantes identitaires pertinentes. (25)Parce qu’à côté de Michel Baudry et consorts, qui malheureusement existent encore, Jean-Jacques Samson a récemment réclamé la mise en place d’un ministère de la condition masculine. (26)Parce que les chroniqueurs de sa catégorie ne cessent plus de contaminer, pour mieux la pourrir, une zone déjà sinistrée et trop étendue du discours public alors même que la somme des textes qu’ils publient est, au bas mot, un invraisemblable amas de honte pour l’humanité – que seul le lexique de l’excrémentiel serait propre à dépeindre avec exactitude. (27)Parce qu’une série de préjugés circulent toujours et encore inlassablement au sujet des féministes. (28)Parce que le mot «féminisme» est un mot qui fait peur à beaucoup d’hommes (et de femmes), chez qui il suscite des images monstrueuses et poilues qui sont d’autant plus ridicules qu’elles relèvent d’une volonté de codification des identités et d’une mythologie à saveur misogyne. (29)Parce que j’entends encore certains gars se servir du petit exemple et demi qu’ils ont puisé dans leur propre mauvaise foi et qu’ils considèrent comme la preuve indiscutable d’un grand dérapage féministe pour justifier un refus «du» féminisme (sans nuance ni cérémonie – ce refus net est toujours implicitement fondé sur le «bon sens») et, par le fait même, un conservatisme qui les habitent d’autant mieux que, culturellement, il tend à les avantager. (30)Et parce que s’il m’est arrivé, moi aussi, de me sentir parfois (in)directement attaqué par certains discours féministes, qui risquaient bien de retourner la discrimination sexuelle de façon à la recomposer autrement et subrepticement, je comprends qu’il s’agissait de dérives localisées et qui, en tant que telles, ne sont nullement représentatives du féminisme dans son ensemble, dont elles n’invalident aucun fondement. (31)Parce que, loin de constituer un bloc monolithique ou un corps homogène, «le» féminisme, comme tout mouvement de revendication sain et sensé, est pluriel et dynamique, c’est-à-dire perméable à l’autoréflexivité et ponctué par d’éventuelles petites tempêtes intestines – les consensus trop sphériques finissent à l’inverse par tuer la pensée. (32)Parce qu’aujourd’hui, dans une culture comme la nôtre, j’estime que toute personne dotée d’une hygiène intellectuelle et réellement soucieuse d’un respect et d’une estime de soi et des autres devrait reconnaître la valeur des principes éthiques fondamentaux appelés par les luttes féministes, c’est-à-dire par cette démarche de pensée destinée à dialoguer avec l’histoire, installée, édifiée et alimentée, enfin, par des femmes qui font aujourd’hui de nous, en Occident, les héritiers et héritières d’une série de transformations à la fois entamées et inachevées. (33)Parce que contrairement à ce que laissent entendre certains réactionnaires déguisés en justiciers, le projet des féministes, dont la légitimation trouve sa source dans un immémorial débalancement historique et non dans une guerre substantialiste, n’est pas d’opérer un rabaissement des hommes ni d’organiser une atteinte à leurs droits, à leur qualité de vie, à leurs chances de réussite ou au spectre de possibles qui s’ouvre devant eux. (34)Parce que la visée de ce projet, c’est tout simplement la condamnation des formes de domination, d’exclusion, de violence, de discrimination et de stigmatisation fondées sur le sexe entendu comme critère de division du monde. (35)Parce que la Raison supposément «universelle» a souvent eu tendance à porter un pénis – l’androgynie lui convient nettement mieux. (36)Parce qu’en ce sens les luttes féministes apparaissent comme le déploiement d’un ensemble d’actions et de discours destinés à élargir le spectre historiquement restrictif d’une «universalité» des droits et des libertés. (37)Parce qu’à ce titre, elles ont donné et donnent toujours lieu à une vaste lutte pour la reconnaissance et que, dans une vie humaine, la reconnaissance demeure le seul moyen de pouvoir vivre un peu avant de mourir, c’est-à-dire à la fois d’échapper à la mort sociale et symbolique et, par là, de lancer un défi à la mort biologique, la vraie, la seule qui soit pleinement naturelle, inéluctable et nécessaire. (38)Parce que, si l’on tient vraiment à conserver une référence à l’universalité, il faudrait dire que la pensée et l’action politique doivent travailler à «l’universalisation des conditions d’accès à l’universel» (Pierre Bourdieu) de façon à ce que, devant tous, devant toutes, s’ouvrent et se dessinent les plus amples possibilités de réalisation. (39)Parce que ma vie, mon discours, ma voix, qui ne se construisent qu’à partir de ce qu’ils reçoivent, se trouvent quotidiennement enrichis par toutes les femmes qui, à des titres divers, les habitent et les partagent. (40)Parce que comme toute personne encombrant le monde de sa présence, j’ai une mère. (41)Parce que comme bien des gens, jeunes, vieux, hommes ou femmes, j’ai une sœur. (42)Parce que comme bien d’autres, femmes, hommes, vieux ou jeunes, j’ai une blonde. (43)Parce que, comme tout le monde, j’ai aussi des amies. (44)Et aussi surtout parce que j’ai une fille de cinq ans qui ne demande qu’à grandir devant un avenir qu’il faut contribuer à rendre ouvert, libre des contraintes évitables, aussi riche de pensables qu’un ciel dégagé, désobstrué et désengorgé. Faisant fondre, insolemment, la congestion que cultivent les déterminations arbitraires. Alex GAgnon"

Judith Butler, Excitable speech

:D

Vous me faites exactement penser à tous ces bobos parisiens mais pas que car en France règne une sorte de soumission des hommes et vous en êtes la preuve!

Entre les femmes et les blaireaux, j'ai choisi mon camp!