Quel(s) est(sont) votre(vos) film(s) préféré(s) ?

Ca parle de quoi cet hôtel ?

En gros, c'est l'histoire d'un maître d'hôtelier pendant l'entre deux guerres qui, un jour, apprend qu'une riche veuve (avec laquelle il s'entendait très bien...) décède et lui lègue un tableau d'une valeur inestimable. Bien sûr, l'héritier légitime (son fils) n'est pas d'accord et engage un tueur à gage pour éliminer M. Gustave (le maître d'hôtel) afin de récupérer ce qui lui appartient.

Bref, je ne vais pas en dire plus : tu apprécieras en le regardant ! Et je te conseille très vivement de la voir, parce que c'est génial !

Ca parle de quoi cet hôtel ?

Ok, on en a beaucoup parlé, mais je n'ai pas été attiré, je vais jeter un coup d'oeil

L'un des plus beaux films des 15 dernières années demeure Un Cœur oublié.

Au crépuscule de sa très longue vie, Fontenelle, qui n'avait jusqu'alors recherché que la raison et l'égalité d'humeur, qui l'avaient tenu éloigné de tout véritable engagement et surtout de la passion, éprouve, à son grand étonnement, un sentiment amoureux pour une jeune Italienne, belle, intelligente, sensible, aussi douée pour l'art lyrique que pour la physique. Bouleversement total pour ce vieil homme, que sa longévité a autant conduit à faire vivre le Grand Siècle, qu'à accompagner la maturation du suivant.

D'un raffinement adorable, révérant autant le souvenir de son oncle Corneille que regrettant ceux de ses critiques dont la voix s'est éteinte dans la mort, il reste alerte et d'un esprit suffisamment primesautier pour faire les délices des Salons. Michel Serrault, qui lui offre ses traits, allie merveilleusement, dans son jeu, une dignité bienveillante et d'inimitables mimiques facétieuses, qui rendent compte d'une adorable délicatesse d'âme et de maintien.

Le texte de Jacques Santamaria offre, dans cette merveilleuse langue épurée et subtile qu'est le français du XVIIIe siècle, des scènes qui font harmonieusement alterner la plus exquise sensibilité à la drôlerie la plus assassine, témoignages d'une époque qui a poussé l'art oratoire jusqu'au génie. Ainsi, n'ayant, en dépit de son cornet acoustique, pu ou voulu entendre une question acerbe qui lui était adressée au cours d'un souper, l'annonce que fait Fontenelle de vouloir présenter à la prochaine séance de l'Académie une communication sur les asperges, légumes aux propriétés insoupçonnées, constitue un grand moment de badinage littéraire, loufoquerie à consommer avec volupté.

Réflexion sur l'éternel thème du Temps, Un Cœur oublié marie avec grâce la primauté de l'espoir et l'inéluctabilité de la dilution.

Je ne pense pas que cette liste soit exhaustive (il y en a tellement :smile2: ) :

- L'effet papillon,

- Donnie Darko,

- Sixième Sens,

- Demolition man,

- Hypnose,

- Le jardin des secrets (Agnieszka Holland),

- L'armée des douze singes,

- Retour vers le futur (les 3),

- The Grudge (le 1),

- La planète des singes (toutes les versions),

- Orgueil et préjugés (toutes les versions),

- Warm bodies ,

- The X files,

- Sex and the city,

- Into the wild ,

- Je suis une légende,

- Prometheus,

- Sweeney Todd,

- Inception,

- Shutter Island,

- Reviens-moi (Joe Wright),

- Si je reste,

- Wall e,

...

et ce ne sont que mes préférés... :coeur:

- Le souper : Le vice au bras du crime : tout le long du film, on assiste à un diner qui a lieu entre fouché et Talleyrant, au lendemain de Waterloo...Les deux hommes ont choisi des camps différents dans cette periode incertaine....Se posant des questions sur leur avenir respectif, se haissant, s'affrontant, s'alliant au fur et à mesure du diner alors que chacun abat ses cartes. Des acteurs et un dialogue juste exceptionnel.

- Eyes wide shut : Film difficile à saisir dans toute sa complexité. Bill et Alice sont un couple qui semble tout avoir. Pourtant, au court d'une soirée une revelation va faire exploser les certitudes de Bill, le mari : se déroule un film dont on ne sait si il est rêve, réalité, ou plus probablement, mi chemin entre les deux, explorant les recoins les plus obscurs de la société New Yorkaise. Hypocrisie bourgeoise, de moeurs, de l'exploitation féminine, la nature de l'amour, de la prostitution, du couple, de la corruption, de la nature de ce qu'est être un homme ou une femme libre dans un tels univers dont bien peu de lumiére spirituelle ou humaine perce la noirceur de cette société pyramidale, sous les lumiéres factices de la periode de noel. Impossible a résumer, mais selon moi le tout meilleur de kubrick, et une réalisation, une photographie, des couleurs, et des acteurs au top.

- Ouvres les yeux/Abre los ojos : Tombé amoureux de ce film il y a longtemps, à sa sortie quasiment. Un homme aisé, plaisant au film, vit une vie facile, enchainant les conquetes fémines. Au moment ou il semble trouver une femme spéciale, un accident provoqué par une amante blessée le défigure, et son histoire prometteuse est anéantie. Il descend aux enfers.... Pourtant, il réussi finalement a reconquerir cette femme qui l'avait tant séduite, et sa vie semble se remettre en place malgré son énorme handicap....Mais l'homme qui nous raconte ça est en Prison, interrogé par un Psychologue, quoi qu'il ne prétends avoir tué personne. Pourquoi as t'il déraillé ? As t'il été piégé ? Est il fou ? Est il meurtrier ? Un final complétement inattendu qui nous tient en haleine jusqu'au bout, pour un film riche et plein démotions.

- Existenz : Un bon David Cronenberg ayant comme théme les réalités virtuelles. Alors qu'une celebreconceptrice de jeu vidéo basés sur le principe d’immersion totale et psycholohique, est sur le point en avant premiére de tester sa derniere création, un fanatique interrompt en fusillant les participants : La conceptrice fuit avec un employé de la multinationale commercialisant le jeu. Mais l'homme n'aurait jamais pénétré la sécurité sans une complicité de haut niveau, et elle ne sait pas à qui faire confiance, ni même si des piéges ont pu etre inclus dans son jeu. Elle va devoir explorer les niveaux de réalités virtuelles pour esssayer de le découvrir. Un film qui joue avec les perceptions, les identités, avec une allusion plus que marquée aux drogues psychadéliques, et un happening final réussi.

-Dark City : Un homme se réveille dans son bain, une goutte de sang perle sur son front. Il ne se souvient de rien, il met des vêtements neufs déposés dans sa chambre d'hôtel quand il reçoit un appel téléphonique anonyme. On le prévient qu'« ils » arrivent et qu'il ne doit jamais « les » laisser l'attraper... Il y a un corps déminin à coté de lui. Est il coupable ? Il fuit la police, des flashs de mémoire lui revenant mais semblants tous irréels. Il va découvrir que la réalité, et la ville ne sont pas ce qui semble. Le film qui a précédé Matrix, en gros, moins les scenes d'action, de kung fu, avec certe un style particulier "années 30", une musique bof, mais un scénario plus que brillant.

Invasion Los angeles : John Nada parcourt les routes à la recherche de travail comme ouvrier sur les chantiers. Embauché à Los Angeles, il fait la connaissance de Frank Armitage qui lui propose de venir loger dans son bidonville. Lors d'un raid de police ultra violent sur une secte étrange, John va découvrir une paire de lunettes de soleil hors du commun : elles permettent de voir le monde tel qu'il est réellement. Il va tomber de haut. Drôle, Jouissif, et avec un fond évident.

Sinon Total Rekall, demolition man, Terminator 2.....Ridicules, aussi. Usual suspects.

blade runner-ridley scott

la compagnie des loups-neil jordan

tous les tarantino

tous les sergio leone

la saga star wars

les louis de funes

les pierre richards

les robert de niro

les al pacino