Capitalisme

Bonjour,

Cette série documentaire est LA série documentaire à regarder absolument si vous voulez comprendre les bases de notre système:

https://www.youtube.com/watch?v=Yny3Ks92lXc&list=PLl3DjIVE8dgufnplmymTa7ZFsm7B3SaPJ

Salut,

j'ai regardé en partie cette série documentaire, avec notamment la vision du capitalisme de Karl Marx. Très ludique est assez bien expliqué, je la recommande également!

Assez d'accord avec toi !

ps: ta signature est excellente !

Pour dénaturer un esprit, lui faire abjurer son libre-arbitre, l’assouvir au colectivisme forcé, il n’est nullement nécessaire de le « rééduquer » à l'école du Goulag ou l’obliger à regarder un certain documentaire sur Arte.

Soumettez-le à cet instrument de torture littéraire par excellence: Das Kapital.

Con testeur.

Pour dénaturer un esprit, lui faire abjurer son libre-arbitre, l’assouvir au colectivisme forcé, il n’est nullement nécessaire de le « rééduquer » à l'école du Goulag ou l’obliger à regarder un certain documentaire sur Arte.

Soumettez-le à cet instrument de torture littéraire par excellence: Das Kapital.

Con testeur.

Il est vrai que le capital est un traité d'économie

politique, pas de la littérature ! :smile2:

Salut,

j'ai regardé en partie cette série documentaire, avec notamment la vision du capitalisme de Karl Marx. Très ludique est assez bien expliqué, je la recommande également!

C'est à recommander puisque cela permet de réfléchir

de comprendre, et de choisir en conscience !

Ceux qui ne veulent rien en savoir ont peur de quoi ? :smile2:

J’ai lu deux fois Das Kapital (en traduction française et anglaise). La première fois dans ma jeune vingtaine (que celui qui n’a pas fait d’erreurs dans sa jeunesse me lance la première pierre), la deuxième sur le bol des chiottes. Je le recommande: ça fait chier même un constipé!

Con testeur.

Bonjour,

Cette série documentaire est LA série documentaire à regarder absolument si vous voulez comprendre les bases de notre système:

https://www.youtube.com/watch?v=Yny3Ks92lXc&list=PLl3DjIVE8dgufnplmymTa7ZFsm7B3SaPJ

"Il est appréciable que le peuple de cette nation ne comprenne

rien au système bancaire et monétaire, car si tel était le cas,

je pense que nous serions confrontés à une révolution avant demain matin".

Henry Ford (1863-1947)

Salut,

j'ai regardé en partie cette série documentaire, avec notamment la vision du capitalisme de Karl Marx. Très ludique est assez bien expliqué, je la recommande également!

"Nous possédons 50% des richesses de la planète,

mais seulement 6% de sa population.

Dans cette situation, nous ne pouvons éviter

d’être l’objet d’envies et de jalousies.

Notre véritable tâche dans la période à venir

sera de créer un tissu de relations qui nous

permettra de faire perdurer cette inégalité."

Département d’Etat Etats-Unien - Planning Study #23, 1948

The economic value of a man’s work is determined, on a free market, by a single principle: by the voluntary consent of those who are willing to trade him their work or products in return. This is the moral meaning of the law of supply and demand.

La valeur économique du travail d’un humain est déterminé, dans un libre marché, par un principe fort simple: le consentement volontaire de ceux désirant échanger leur travail ou produits entre eux. C’est là la signification morale de la loi de l’offre et de la demande.

Observe the paradoxes built up about capitalism. It has been called a system of selfishness (which, in my sense of the term, it is)—yet it is the only system that drew men to unite on a large scale into great countries, and peacefully to cooperate across national boundaries, while all the collectivist, internationalist, One-World systems are splitting the world into Balkanized tribes.

Capitalism has been called a system of greed—yet it is the system that raised the standard of living of its poorest citizens to heights no collectivist system has ever begun to equal, and no tribal gang can conceive of.

Capitalism has been called nationalistic—yet it is the only system that banished ethnicity, and made it possible, in the United States, for men of various, formerly antagonistic nationalities to live together in peace.

Capitalism has been called cruel—yet it brought such hope, progress and general good will that the young people of today, who have not seen it, find it hard to believe.

Observez le paradoxe construit à propos du capitalisme. Il fut qualifié de système égoïste (lequel, en mon sens l’est)—encore est-il l’unique système qui a attiré les hommes à s’unir en nombre dans de grands pays, à coopérer pacifiquement parmi des frontières nationales, alors que le collectivisme, l’internationaliste, divise le monde en tribus Balkanisées.

Le capitalisme fut décrit comme cupide—encore est-il l’unique système qui éleva le niveau de vie des plus pauvres à telle hauteurs qu’aucun système collectiviste n’est jamais parvenu à égaler, ni qu’aucun groupe tribal n’a pu le concevoir.

Le capitalisme fut décrit comme nationaliste—encore est-il l’unique système qui a banni l’ethnicité, et qui rendit possible, aux États-Unis, une multitude d’hommes, de nationalités formellement antagonistes à vivre en paix ensemble.

Le capitalisme fut appelé cruel—encore a-t’il apporté espoirs, progrès, intérêt général dont les jeunes de nos jours, ceux qui ne l’on pasvécu, trouvent difficile de croire.

Aynd Rand. Capitalism :The Unknown Ideal.

When you consider socialism, do not fool yourself about its nature. No human rights can exist without property rights. Since material goods are produced by the mind and effort of individual men, and are needed to sustain their lives, if the producer does not own the result of his effort, he does not own his life. To deny property rights means to turn men into property owned by the state. Whoever claims the “right” to “redistribute” the wealth produced by others is claiming the “right” to treat human beings as chattel.

Lorsque vous analyser le socialisme, ne soyez pas dupe de sa nature. Aucun droit humain ne peut exister sans les droits de propriété. Depuis que les biens sont produits par l’effort individuel des hommes, et sont requis pour subvenir à leurs existences, si le producteur ne peut détenir les résultats de ses efforts, alors il ne détient pas sa propre vie. Dénier les droits de propriété revient à traiter les hommes comme une propriété de l'État. Quiconque réclame le « droit» à « redistribuer» la richesse produit par d’autres réclame le « droit » de traiter les humains comme des biens mobiliers.

Aynd Rand. The VirtueOf Selfishness.

Con testeur, traduction libre.

"Le premier qui, ayant enclos un terrain, s'avisa de dire :

'Ceci est à moi', et trouva des gens assez simples pour

le croire, fut le vrai fondateur de la société civile.

Que de crimes, que de guerres, de meurtres, que de misères

et d'horreurs n'eût point épargnés au genre humain celui qui,

arrachant les pieux ou comblant le fossé,

eût crié à ses semblables :

'Gardez-vous d'écouter cet imposteur;

vous êtes perdus, si vous oubliez que les fruits sont à tous,

et que la terre n'est à personne'."

Jean-Jacques Rousseau

Il est inutile de travailler à défricher la terre si c’est pour ne pas détenir les fruits de votre labeur.

Quel bel esclave vous eûtes fait!

Con testeur.

Je crois que vous n'avez pas bien compris Rousseau !

Relisez !

Il est inutile de travailler à défricher la terre si c’est pour ne pas détenir les fruits de votre labeur.

Quel bel esclave vous eûtes fait!

Con testeur.

(Celui qui n'est pas propriétaire travaille pour un autre

et se fait voler le produit de son travail )

""Or, en quoi consiste la dépossession du travail?

D'abord, dans le fait que le travail est extérieur à l'ouvrier,

c'est-à-dire qu'il n'appartient pas à son être; que, dans son travail,

l'ouvrier ne s'affirme pas, 'mais se nie; qu'il ne s'y sent pas satisfait,

mais mal- heureux; (...)

Travail forcé, il n'est pas la satisfaction d'un besoin,

mais seulement un moyen de satisfaire des besoins (salaire)

en dehors du travail.

La nature aliénée du travail apparaît nettement dans le fait que,

dès qu'il n'existe pas de contrainte physique ou autre,

on fuit le travail comme la peste.

Le travail aliéné, le travail dans lequel l'homme se dépossède,

est sacrifice de soi, mortification.

Enfin, l'ouvrier ressent la nature extérieure du travail

par le fait qu'il n'est pas son bien propre, mais celui d'un autre,

qu'il ne lui appartient pas;

que dans le travail l'ouvrier ne s'appartient pas à lui-même,

mais à un autre.(...)

Marx, Ébauche d'une critique de l'économie politique.

Il est vrai que le capital est un traité d'économie

politique, pas de la littérature ! :smile2:

C'est à recommander puisque cela permet de réfléchir

de comprendre, et de choisir en conscience !

Ceux qui ne veulent rien en savoir ont peur de quoi ? :smile2:

"Le capital" est un ouvrage abscon. D'autant plus incompréhensible qu'il traite d'exemples sur des problèmes liés à la fabrique du XIXe siècle qui n'évoque rien aux communs des mortels post XIXe siècle. Une chose est certaine, cette prose marxiste jargonneuse et scientiste, une fois appliquée n'a produit que des étagères vides dans les magasins.

"Le capital" est un ouvrage abscon. D'autant plus incompréhensible qu'il traite d'exemples sur des problèmes liés à la fabrique du XIXe siècle qui n'évoque rien aux communs des mortels post XIXe siècle. Une chose est certaine, cette prose marxiste jargonneuse et scientiste, une fois appliquée n'a produit que des étagères vides dans les magasins.

On voit que tu l'as lu et que tu parles

en connaissance ! :smile2:

Quelques exemples de la dernière production ! :smile2:

| Cédric Durand, « Généalogie et actualité du concept de capital fictif »

(Le signe de l’automne – essai sur la financiarisation, Les Prairies ordinaires, 2014)

• Jean-Numa Ducange, « Analyser et comprendre la Révolution française, de Marx aux marxistes »

(La Révolution Française et l’histoire du monde, Armand Colin, 2014)

En partenariat avec le séminaire « Lectures de Marx » de l'ENS Ulm

Ludovic Hetzel, « La dialectique de la production capitaliste selon Marx »

(Commentaire du Livre I du Capital – Contribution à l’étude de la dialectique matérialiste, Éditions sociales, 2014)

| Sophie Béroud, « Luttes dans le monde du travail et transformations du syndicalisme : éléments d’analyse à partir d’une sociologie marxiste »

(Nouveau siècle, nouveau syndicalisme, dir. D. Mezzi, Syllepse, 2013)

Colloque international Nicos Poulantzas

Intervenants : Alvaro Garcia Linera, Cédric Durand, Tristan Auvray, Ludivine Bantigny, Marco Di Maggio, Stathis Kouvelakis, Alex Demirovic, James Martin, Isabelle Garo, Guillaume Sibertin-Blanc.

En partenariat avec Espaces-Marx, la Fondation Gabriel-Péri, les revues Actuel Marx et ContreTemps

(Programme détaillé)

Mais rassure-toi, le ridicule ne tue pas !

Emmanuel Barot, « Qu’est-ce qu’une classe révolutionnaire ? Marcuse aujourd’hui »

(Marcuse - la dialectique révolutionnaire au seuil de la stratégie, La Dispute, 2015)

Isabelle Gouarné, « Sciences sociales, marxisme et antifascisme dans les années 1930-1940 »

(L’introduction du marxisme en France : philosoviétisme et Sciences humaines (1920-1939), Presses universitaires de Rennes, 2013)

Emmanuel Renault, « Sur le jeune Engels » (à l’occasion de la publication par la GEME des deux volumes des écrits de jeunesse d’Engels)

En partenariat avec le séminaire « Lectures de Marx » de l'ENS Ulm

Tu vis dans une bulle intellectuelle ouatée.

Tu devrais regarder de plus près la souffrance infligée à des millions de gens par ce scientisme marxiste.

Ce que je vois autour de moi

c'est le chômage partout !

En France, en Europe, aux USA ...

Un taux de chômage qui stagne, au mieux !

Et la misère que cela entraine !

L'insécurité devant l'avenir !

Je vois un monde qui creuse les inégalités !Partout!

Partout des riches plus riches!

et des pauvres, de plus en plus pauvres et plus nombreux !

Je vois plus d' 1 milliard d'humains qui meurent de faim,

je vois la pollution et le dérèglement climatique

et la multiplication des catastrophes naturelles !

Le mur de Berlin est tombé il y a 30 ans ! :smile2:

Que vois-tu toi de ta bulle ? :smile2:

Je vois que tu ne peux décidément pas quitter ton cocon bibliothécaire franco-français.

La misère a reculé dans le monde. Voir article réf. Banque Mondiale (qui ne passe pas pour une officine ultralibérale).

C'est la liberté économique à commencer par celle du commerce qui a permis ce recul. En zone Asie il est même spectaculaire. Demande aux millions de chinois, indiens, brésiliens et j'en passe qui sont sortis de la pauvreté en quelques décennies, s'ils ont besoin de conseils en marxisme?

Aère-toi de temps en temps. Prend un billet d'avion. A quelques heures de Paris, pour la plupart des populations que tu visiteras, ton pessimisme anti-capitaliste deviendra aussi exotique que les cocotiers..

http://www.ndf.fr/nos-breves/21-03-2012/la-pauvrete-recule-grace-a-la-liberte-economique

D'abord, dans le fait que letravail est extérieur à l'ouvrier,

c'est-à-dire qu'il n'appartient pas à son être;que, dans son travail,

l'ouvrier ne s'affirme pas, 'mais se nie; qu'il ne s'y sent pas satisfait,

mais mal- heureux; (...)

C’est sur que dans les usines à plans quinquénaux bolchéviques y z’étais vachement heureux les kamarades-travailleurs hein? Et les kolkhozes étaient des Clubs Med!

Le travail aliéné, le travail dans lequel l'homme se dépossède,

est sacrifice de soi, mortification.

Il y environ 27 millions de travailleurs en France. Tous ne peuvent être patrons. À un moment donné il faut bien quelqu’un pour mettre les mains dans le cambouis.

Et puis tu es bien contente que ton plombier soit plombier et pas PDG d’Esssilor ou courtier au CAC 40 ou encore Premier Secrétaire du PCF parce que sinon, les chiottes qui déborde, faudra attendre ma p’tite Dame hein!

Enfin, l'ouvrier ressent la nature extérieure du travail

par le fait qu'il n'est pas son bien propre, mais celui d'un autre,

qu'il ne lui appartient pas;

que dans le travail l'ouvrier ne s'appartient pas à lui-même,

mais àun autre.(...)

Qui a jamais prétendu que le travail était ou allait devenir une colonie de vacance pour les siècles à venir? Tous naissent égaux, soit. Mais tous n’ont pas le même talent, les mêmes capacités. Pour certains le bonheur consiste à aller à la pêche (qui est du travail en soi), pour d’autres à résoudre des théorêmes mathémathiques insurmontables (du travail également).

Ni l’écrivain à son pupitre, ni le poète à sa plume, ni l’artisan à son atelier, ni le prête au confessional, ni la mère à son fourneau ne s’apppartiennent. Tous et toutes pointent au boulot pour quelqu’un d’autre.

Tous par contre ne peuvent aller à la pêche en même temps. Et je demeure convaincu que ton idole, ne s’apartenant plus, aurai tpréféré y être certains jours plutôt que de ‘’travailler’’ sur Das Kapital.

Con testeur.

Hé les pros capitalistes, vous allez vous calmer un peu? N'oubliez pas que nous sommes en crise, donc à votre place, j'éviterai de me la ramener... Et en aucun cas, il s'agit de promouvoir le communisme. Le capitalisme a ses failles et c'est de cela dont il s'agit!

Parlons plutôt d'Hayek, de Keynes et si vous n'avez pas vu le reportage, je vous invite à le regarder avant de vouloir commenter. C'est la moindre des choses.