L'alcool et vous

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Mais c'est très simple :

Le décompte des consommations :

3 doses pour un homme de 78 kg en mangeant et on reste au-dessous du seuil

Une sensation de "légèreté", les mots n'arrivent pas aussi vite.

Et encore je ne parle pas du stade ou on perd l'équilibre ( chaussures en tranche de melon", stade que je ne connais pas.

Mon maximum d'alcoolémie a été de 0,4 g et je n'avais pas à conduire.

(j'ai un alcoolmètre et pas un "ballon")

enfin pour ta gouverne, je suis biochimiste et donc plus à même de calculer les doses et les effets de l'alcool.

En théorie je suis d'accord, mais en pratique les effets diffèrent d'une personne à une autre non?

Certains tiennent avec 5 g dans le sang alors que d'autres, un verre et ils sont par terre.

Tout à fait, certaines personnes tiennent mieux l'alcool que d'autres. Et il est bien connu que ce sont les excès chez les "buveurs du dimanche" qui causent le plus de dégâts.

Je ne prétends pas pouvoir écarter tous les risques en conseillant de ne pas boire plus que ce qui est conseillé.

Après si tu sais qu en ayant bu telle quantité d alcool tu tiens alors je te demanderai qu est ce qui te pousserai à vouloir consommer plus ? La curiosité ? Un défis ?

Après je ne bois pas donc je ne peux pas tout comprendre sur la vision d une personne qui consomme de l alcool. Dans ma tête le trip boire pour déconner je ne l'ai jamais compris, alors tu penses bien que boire pour voir jusqu ou je peux tenir je le comprends encore moins. Je le tolère évidemment je ne vais pas faire ma loi mais on assume.

Comment détermines-tu la limite si tu ne la franchis jamais?

1. J'essaie d'éviter de boire plus de trois verres (de bières) en soirée. Ou l'équivalent. Mais comme je ne bois presque que de la bière, sauf chez mes parents, j'ai rarement le problème de l'équivalence.

2. Je ne bois trois verres que si je mange à côté.

3. J'étale systématiquement la consommation sur plusieurs heures.

4. Si je bois plus, ce ne sera jamais sans avoir bien mangé avant et sans prendre garde à laisser un délai de plus de 3/4 d'heure entre chaque verre.

De plus, je sais que j'approche de mes limites quand je commence à sourire trop souvent. J'ai tendance à garder une expression assez neutre (pas sinistre, mais neutre). Si je commence à sourire tout le temps, c'est que l'alcool agit et qu'il faut que je fasse attention. Il y a un certain nombre de très légères modifications du comportement et des sensations. Pas assez pour que je n'ai plus le contrôle, mais suffisamment pour que je le sache.

Quand j'en suis là, je ne bois plus, ou pas avant 1 ou 2 heures.

plus que la sensation, ce qui compte c'est la quantité ingurgitée.

Pour les sensations on s'habitue hélas mais côté perte des réflexes c'est strictement proportionnel à la quantité ingurgitée.

Donc c'est la quantité qui est le seul vrai repère.

1. J'essaie d'éviter de boire plus de trois verres (de bières) en soirée. Ou l'équivalent. Mais comme je ne bois presque que de la bière, sauf chez mes parents, j'ai rarement le problème de l'équivalence.

2. Je ne bois trois verres que si je mange à côté.

3. J'étale systématiquement la consommation sur plusieurs heures.

4. Si je bois plus, ce ne sera jamais sans avoir bien mangé avant et sans prendre garde à laisser un délai de plus de 3/4 d'heure entre chaque verre.

De plus, je sais que j'approche de mes limites quand je commence à sourire trop souvent. J'ai tendance à garder une expression assez neutre (pas sinistre, mais neutre). Si je commence à sourire tout le temps, c'est que l'alcool agit et qu'il faut que je fasse attention. Il y a un certain nombre de très légères modifications du comportement et des sensations. Pas assez pour que je n'ai plus le contrôle, mais suffisamment pour que je le sache.

Quand j'en suis là, je ne bois plus, ou pas avant 1 ou 2 heures.

A deux verres, ça commence à être difficile de garder les idées parfaitement claires, même si l'on reste lucide. Les réflexes sont plus lents, et les risques d'accidents sont accrus.

A trois verres, tu es joyeux et borderline.

C'est le premier. Je peux en boire un deuxième ?

Les gens ont toujours tendance à aller dans les excès et le pire, c'est qu'ils s'en vantent. Comme si la modération était réservée aux faibles.

Ah, la vantardise...

T'as du fric, c'est ça ?

Oui mais c'est pas le sujet!

plus que la sensation, ce qui compte c'est la quantité ingurgitée.

Pour les sensations on s'habitue hélas mais côté perte des réflexes c'est strictement proportionnel à la quantité ingurgitée.

Donc c'est la quantité qui est le seul vrai repère.

C'est bien pour cela qu'en général, je me limite à trois bières sur plusieurs heures. Je sais pertinemment que c'est une quantité que je tiens.

Par ailleurs, je sors si rarement en soirée que ma consommation est bien inférieur à ça. Il y a donc peu de risques que je m’habitue.

A deux verres, ça commence à être difficile de garder les idées parfaitement claires, même si l'on reste lucide. Les réflexes sont plus lents, et les risques d'accidents sont accrus.

A trois verres, tu es joyeux et borderline.

Eh bien vous devez être encore moins tolérant à l'alcool que moi. Parce qu'après trois verres (sur plusieurs heures et en mangeant, je rappelle), je suis toujours capable de tenir une discussion de haut niveau intellectuel.

C'est le premier. Je peux en boire un deuxième ?

Si jamais je bois ça, j'explose mon record d’absorption d'alcool.

Eh bien vous devez être encore moins tolérant à l'alcool que moi. Parce qu'après trois verres (sur plusieurs heures et en mangeant, je rappelle), je suis toujours capable de tenir une discussion de haut niveau intellectuel.

"Alooooooors... *Hips* Nietzsche disaaaaaiiiiit... *Hips* Purée mais qu'est-ce qu'il disait Nietzsche déjà ?"

"Alooooooors... *Hips* Nietzsche disaaaaaiiiiit... *Hips* Purée mais qu'est-ce qu'il disait Nietzsche déjà ?"

Si jamais je ressemblait à ça, nul doute que mes camarades me l'auraient montré ensuite. Et ça n'est jamais arrivé.

J'en conclus que vous ne tenez juste pas l'alcool. Encore moins que moi.

Et de toute manière, je ne parle pas de Nietzsche. Je l'ai pas lu.

Si jamais je ressemblait à ça, nul doute que mes camarades me l'auraient montré ensuite. Et ça n'est jamais arrivé.

J'en conclus que vous ne tenez juste pas l'alcool. Encore moins que moi.

Et de toute manière, je ne parle pas de Nietzsche. Je l'ai pas lu.

Ai-je dit qu'il s'agissait de moi ? Non, mais au bout de deux verres, les capacités sont amoindries et on n'est pas EXACTEMENT comme dans son état normal. C'est un fait, et non pas une expérience.

Ai-je dit qu'il s'agissait de moi ? Non, mais au bout de deux verres, les capacités sont amoindries et on n'est pas EXACTEMENT comme dans son état normal. C'est un fait, et non pas une expérience.

Cela signifierait-il que je suis à moitié bourré en permanence?

Au bout de deux verres, mais en combien de temps et en quelles circonstances? Deux verres en 15 minutes à jeun, ce n'est pas deux verres sur plus de 2 heures et en mangeant.

Une étude tres serieuse a démontré que les gens qui arrêtaient définitivement de boire augmentaient leur intelligence de manière tres significative.

Une étude très sérieuse a aussi démontré que ceux qui buvaient un peu vivaient plus longtemps. ^^

Plus longtemps que les gens qui boivent tout le temps... C'est logique!

Cela signifierait-il que je suis à moitié bourré en permanence?

Au bout de deux verres, mais en combien de temps et en quelles circonstances? Deux verres en 15 minutes à jeun, ce n'est pas deux verres sur plus de 2 heures et en mangeant.

A jeun, et même lorsque tu manges, le débit d'absorption devient moindre, mais tu as quand même quelques cg dans le sang, ce qui fait que tu n'es pas dans ton état normal. Point.