A quel degré méprisez-vous les clochards?

tu sais ce que tu sera dans 1, 5 ,ou 10ans?

Non.

On s'était dit rendez-vous dans 10 ans même jour, même heure, même pommes, on verra quand on aura 30 ans, sur les marches de la place des grands hommes..

Qu'est-ce que c'est mal posé comme question.

Mépriser quelqu'un dans la merde, ça ne me vient pas à l'idée.....quelque soient les raisons qu'il l'ont amené là.

J'en ai croisé de tous les types.....de l'exhibitionniste à la sortie de l'école, jusqu'à un Polonais qui faisait la manche devant un Lidl, à qui j'avais dit, " pas de sous. A manger ou à boire ?" Et le gars m'a fait signe " à manger " je lui ai acheté des plats froids emballés pendant un temps puis il à bougé.

Population très diverse dans leur historique personnel.

Le chien, c'est pour dormir sans se faire emmerder, m'a dit un d'entre eux.

" Dans ma famille, les animaux domestiques n'étaient ni des chiens, ni des chats, ni des oiseaux; dans ma famille, les animaux domestiques, c'étaient les pauvres. Chacune de mes tantes avait le sien, personnel et intransmissible, qui venait chez mes grands-parents, une fois par semaine, chercher, avec un sourire reconnaissant, sa ration de vêtements et de nourriture.Outre qu'ils étaient incontestablement pauvres (si possible pieds nus, pour pouvoir être chaussés par leurs maîtres; si possible en haillons, pour pouvoir porter de vieilles chemises qui échappaient ainsi à leur destin naturel de chiffons; si possibles malades, afin de recevoir un tube d'aspirine), les pauvres devaient avoir d'autres caractéristiques indispensables : aller à la messe, faire baptiser leurs enfants, ne pas boire, et, surtout, demeurer orgueilleusement fidèles à celle de mes tantes à qui ils appartenaient. Je crois revoir un homme couvert de somptueuses guenilles, ressemblant à Tolstoï y compris dans la barbe, répondre, outré et superbe, à une de mes cousines distraites qui nsistait pour lui offrir un pull dont aucun de nous ne voulait : — Je ne suis pas votre pauvre; je suis le pauvre de Mademoiselle Teresinha.Le pluriel de "pauvre" n'était pas "pauvres". Le pluriel de "pauvre", c'était "ces gens-là". (…) "

Antonio Lobo Antunes, extrait de Nos pauvres,

Qu'est-ce que c'est mal posé comme question.

Mépriser quelqu'un dans la merde, ça ne me vient pas à l'idée.....quelque soient les raisons qu'il l'ont amené là.

J'en ai croisé de tous les types.....de l'exhibitionniste à la sortie de l'école, jusqu'à un polonais qui faisait la manche devant un Lidl, à qui j'avais dit, " pas de sous. A manger ou à boire ?" Et le gars m'a fait signe " à manger " je lui ai acheté des plats froids emballés pendant un temps puis il à bougé.

Population très diverse dans leur historique personnel.

Le chien, c'est pour dormir sans se faire emmerder, m'a dit un d'entre eux.

Les chiens sont ce qu'ils appellent "le dernier recours"

Ils le mangent quand ils n'ont plus rien d'autre à manger.

Je ne méprise ni les clochards, ni les pauvres.

Ce sont des êtres humains, tout simplement.

Les chiens sont ce qu'ils appellent "le dernier recours"

Ils le mangent quand ils n'ont plus rien d'autre à manger.

Eh, si tu te sens pas bien, va t'allonger 5 mn.......

Des êtres humains, qui à ce titre doivent avoir le droit d'être traités , considérés, comme les autres.

Considérés et traités comme nous-mêmes, comme soi-même.

Les chiens sont ce qu'ils appellent "le dernier recours"

Ils le mangent quand ils n'ont plus rien d'autre à manger.

Ha ha!

Je déteste la façon dont tu poses tes questions. Il ne te vient pas à l'idée qu'on peut avoir autre chose que du mépris à l'égard des clochards? D'autant qu'aujourd'hui, personne n'est à l'abri de devenir SDF.

Tout ce qui vient de la Vilaine est méprisant sur ForumFr.

Lorsque vous croisez un troll sur un forum, est-ce que vous contentez de l'ignorer? Ou bien est-ce que vous lui répondez, hisoire de lui donner du grain à moudre ? Avez-vous déjà eu plus de compassion pour son chien - remarque, il doit pas en avoir, pauv' troll, tout enfermé dans sa solitude ? Avez-vous déjà eu envie de leur jeter des cailloux virtuels ?

C'est probablement ça en effet.

Enfin une réponse intéressante.

Tu pourrais leur dire qu'ils pourraient se faire du fric en refourgant leur caca. (Qui pourrait servir de médicaments) et que donc, ce sont de gros fainéants.

En parlant de refourguer, ils pourraient donner leurs sangs, contre un casse- croute, ils se rendraient utile et les gens auraient de la considération pour eux

Un sang de clodo par les temps qui courent, faut pas le négliger :p

Sinon pour faire plaisir à Vilaine :

Quand je croise un clochard :

1) Si c'est un arabe je lui jette des pierres

2) Si c'est un homosexuel je lui offre une belle maison

3) Si il n'est ni l'un ni l'autre, je l'embauche avec un gros salaire.

Note bien : Si c'est un arabe je lui jette des pierres avec mépris !!!

Voilà B)

Et si il est homosexuel en plus là je le brule.......

Faut pas déconner non plus.......

Ca sent presque pareil que les fameux barbec' de clébards.....

Tout le monde n'y vois que du feu.

S'ils sont trop nombreux au même endroit genre plus de trois ou quatre je continu sans regarder , parce que j'ai pas forcément les moyens de filer a tous voyez vous ? Mais de la a parler de mépris me fous limite la gerbe ....

Ce qui est méprisable selon moi , c'est notre gouvernement qui va balancer des millions pour sauver le monde mais qui a les poches vides pour nos sans abris , oui ça c'est dégueulasse .

Maintenant pour le chien , un m'a dit un jour que c'était pour pas se faire embarquer par la bleusaille .

Et pour finir , tout clochard peut être bien moins méprisable que nombre de pauvres gens qui peuvent avoir parfois des propos bien misérables ...

Aucun des trois, je me contente de déféquer devant eux, ainsi alors que je me trouve accroupi occupé à faire mon affaire face à eux les yeux dans les yeux, je prend un petit air de satisfaction dans lequel on peut y déceler ce message : " Voilà ce qu'il se passe après avoir mangé à sa faim ! "

:smile2:

Je préfère offrir mon aide que mon fric (même si j'en ai beaucoup, sans prétention).

Je préfère offrir mon temps qu'une pièce de monnaie.

Tu sais que dans le judaisme, "dire le bien" est en première position des bonnes actions devant "faire le bien" (aider) et "donner de l'argent" ?

Je déteste la façon dont tu poses tes questions. Il ne te vient pas à l'idée qu'on peut avoir autre chose que du mépris à l'égard des clochards? D'autant qu'aujourd'hui, personne n'est à l'abri de devenir SDF.

On peut détester la question, mais elle est posée de façon intéressante. Tout comme l'est ta réponse. Vilaine pose la question en utilisant le terme de clochard. Tu réponds en utilisant le terme SDF. Terme que tu utilises de façon mécanique, sans doute, parce que chacun l'utilise. Hors, c'est une appellation sournoisement méprisante. Définir une personne par ce qu'elle n'a pas, c'est la mépriser, involontairement ou non. Chacun de nous se définit par ce qu'il a, ce qu'il est. Une personne vivant dans la rue ne peut se définir par ce qu'elle n'a pas, un domicile. C'est une personne. Elle vit. Quelque part. Dans la rue, dans le métro, dans un squat, quelque part. Il nous manque tous quelque chose. Nous ne nous définissons pas par nos manques. Eux non plus...

On peut détester la question, mais elle est posée de façon intéressante. Tout comme l'est ta réponse. Vilaine pose la question en utilisant le terme de clochard. Tu réponds en utilisant le terme SDF. Terme que tu utilises de façon mécanique, sans doute, parce que chacun l'utilise. Hors, c'est une appellation sournoisement méprisante. Définir une personne par ce qu'elle n'a pas, c'est la mépriser, involontairement ou non. Chacun de nous se définit par ce qu'il a, ce qu'il est. Une personne vivant dans la rue ne peut se définir par ce qu'elle n'a pas, un domicile. C'est une personne. Elle vit. Quelque part. Dans la rue, dans le métro, dans un squat, quelque part. Il nous manque tous quelque chose. Nous ne nous définissons pas par nos manques. Eux non plus...

On peut détester la question, mais elle est posée de façon intéressante. Tout comme l'est ta réponse. Vilaine pose la question en utilisant le terme de clochard. Tu réponds en utilisant le terme SDF. Terme que tu utilises de façon mécanique, sans doute, parce que chacun l'utilise. Hors, c'est une appellation sournoisement méprisante. Définir une personne par ce qu'elle n'a pas, c'est la mépriser, involontairement ou non. Chacun de nous se définit par ce qu'il a, ce qu'il est. Une personne vivant dans la rue ne peut se définir par ce qu'elle n'a pas, un domicile. C'est une personne. Elle vit. Quelque part. Dans la rue, dans le métro, dans un squat, quelque part. Il nous manque tous quelque chose. Nous ne nous définissons pas par nos manques. Eux non plus...

Je n'ai pas de mari, on me dit célibataire... Je suis donc méprisée ??

" Dans ma famille, les animaux domestiques n'étaient ni des chiens, ni des chats, ni des oiseaux; dans ma famille, les animaux domestiques, c'étaient les pauvres. Chacune de mes tantes avait le sien, personnel et intransmissible, qui venait chez mes grands-parents, une fois par semaine, chercher, avec un sourire reconnaissant, sa ration de vêtements et de nourriture.Outre qu'ils étaient incontestablement pauvres (si possible pieds nus, pour pouvoir être chaussés par leurs maîtres; si possible en haillons, pour pouvoir porter de vieilles chemises qui échappaient ainsi à leur destin naturel de chiffons; si possibles malades, afin de recevoir un tube d'aspirine), les pauvres devaient avoir d'autres caractéristiques indispensables : aller à la messe, faire baptiser leurs enfants, ne pas boire, et, surtout, demeurer orgueilleusement fidèles à celle de mes tantes à qui ils appartenaient. Je crois revoir un homme couvert de somptueuses guenilles, ressemblant à Tolstoï y compris dans la barbe, répondre, outré et superbe, à une de mes cousines distraites qui nsistait pour lui offrir un pull dont aucun de nous ne voulait : — Je ne suis pas votre pauvre; je suis le pauvre de Mademoiselle Teresinha.Le pluriel de "pauvre" n'était pas "pauvres". Le pluriel de "pauvre", c'était "ces gens-là". (…) "

Antonio Lobo Antunes, extrait de Nos pauvres,

On peut détester la question, mais elle est posée de façon intéressante. Tout comme l'est ta réponse. Vilaine pose la question en utilisant le terme de clochard. Tu réponds en utilisant le terme SDF. Terme que tu utilises de façon mécanique, sans doute, parce que chacun l'utilise. Hors, c'est une appellation sournoisement méprisante. Définir une personne par ce qu'elle n'a pas, c'est la mépriser, involontairement ou non. Chacun de nous se définit par ce qu'il a, ce qu'il est. Une personne vivant dans la rue ne peut se définir par ce qu'elle n'a pas, un domicile. C'est une personne. Elle vit. Quelque part. Dans la rue, dans le métro, dans un squat, quelque part. Il nous manque tous quelque chose. Nous ne nous définissons pas par nos manques. Eux non plus...

Quels sentiments vous inspirent les clochards aurait été une question intéressante.

Plus ouverte ( mépris, peine, révolte, haine, peur.....etc )

Le mépris, je n'en ai pas, donc on va dire : degré 0 .

On va pas aller bien loin.....

Autant mettre une echelle chiffrée de 0 à 10.