Libération de Paris : pourquoi il n'y a (presque) pas de Noirs sur les photos

Parce qu'à l'époque les noirs, les juifs ou les arabes n'étaient pas spécialement aimé. Mon grand père dirigeait un peloton de soldats marocains qui se battaient pour la France, des hommes de grandes valeurs selon lui. Mais ils étaient grandement déconsidéré par les autres soldats. C'est la vie...

. Mais ils étaient grandement déconsidéré par les autres soldats. C'est la vie...

C'est faux,fais un tour au musée de l'armée ou chez les bouquinistes et tu trouvera foultitude de documents et bouquins à la gloire des goums et tabors marocains,des tirailleurs sénégalais et autres troupes de l'ex empire colonial français.

C'est faux,fais un tour au musée de l'armée ou chez les bouquinistes et tu trouvera foultitude de documents et bouquins à la gloire des goums et tabors marocains,des tirailleurs sénégalais et autres troupes de l'ex empire colonial français.

Les bouquins ne sont pas écrit par les soldats blancs qui ont fait la guerre de leur coté... il a fallu attendre le film Indigènes pour que ça passe un peu plus dans nos consciences. Ceux qui ont combattus avec eux connaissent leur bravoure, leur fierté et leur loyauté, ceux là écrivent ces bouquins... les autres les déconsidèrent ou ignorent carrément que c'était eux qu'on envoyait souvent en première ligne, souvent pour des raisons peu honorable.

Ma réponse est presque aussi idiote que la question ?

Le cinéma en noir et blanc, qui était l’image médiatique de l’époque, avait de moins bon rendu que celle d ‘aujourd’hui, et ne mettait pas en valeur la couleur noire ou foncée.

Par exemple dans les films de Tarzan en noir et blanc, il y avait bien des noirs qui naviguaient à l’écran, mais impossible de distinguer nettement leur visage, donc très difficile pour les spectateurs, de les différencier.

De nos jours, c’est le contraire, le cinéma et la télévision couleur favorise la couleur noire au détriment du blanc, le caméraman à tendance à rechercher des couleurs contrastées et nous mettent pour cette raison, des noirs à toutes les sauces.

Je vous avais prévenu, c’est un peu neuneu comme argument, quoique ?

Les bouquins ne sont pas écrit par les soldats blancs qui ont fait la guerre de leur coté... il a fallu attendre le film Indigènes pour que ça passe un peu plus dans nos consciences.

Encore faux,dans les années 50et rien que pour un seul auteur et ex combattant Joseph Peyre je connais 4 livres à la gloire des soldats noirs ou arabes:

La légende du goumier Saïd

Croix du Sud

L'escadron d'argent

Le chef à l'étoile d'or

C'est vrai que dans les années 80/90 on en parlait plus mais c'est une erreur de dire qu'il a fallu "indigènes" pour leur rendre hommage.

La couleur existait déjà dans les années 40. Ce n'est plus l’expressionnisme allemand des années 20. En revanche les noirs n'étaient pas représentatifs dans la société comme aujourd'hui.

Encore faux,dans les années 50et rien que pour un seul auteur et ex combattant Joseph Peyre je connais 4 livres à la gloire des soldats noirs ou arabes:

La légende du goumier Saïd

Croix du Sud

L'escadron d'argent

Le chef à l'étoile d'or

C'est vrai que dans les années 80/90 on en parlait plus mais c'est une erreur de dire qu'il a fallu "indigènes" pour leur rendre hommage.

C'est bien t'es cultivé et tu connais Joseph Peyre... Maintenant descend en bas de chez toi et demande à la première personne que tu croises "qui connaissez vous? Jamel ou Joseph Peyre?"

Je sais que c'est triste à dire mais tu ne peux pas projeter tes connaissances personnelles sur le reste de la société.

Ce n'est pas de ma faute à moi si votre culture commence et finit avec indigènes et le Jamel comédy club et si votre paresse intelectuelle vous interdit d'aller plus loin que la bouillie prédigérée que vous servent les médias.

Sans compter Félix Eboué gouverneur noir du Tchad d'où sont partis les hommes de Leclerc et qui repose au Panthéon parmi les grands hommes auquels la patrie est reconnaissante!!

PS: Le musée de l'armée c'est aux invalides et il y de belles salles dédiées dès la fin de la guerre aux troupes coloniales allez y prendre un peu de cette culture dont vous me gratifiez exagérément ,on est généreux on la partage avec les indigents de l'instruction!!

Et ce n'est pas ma faute si tu te sens obligé de balancer ta culture lorsqu'il n'y a pas lieu d'être... pour vérifier si t'as pas deux fils qui se touchent demande toi qui est le plus populaire: Volbeat ou les Beatles? Après je vais pas te cracher à la gueule parce que tu connais pas Volbeat, mais concentre toi avant de te sentir obligé de briller sur un sujet que tu sembles maitriser mais sans faire attention à ce que disent les autres.

PS: je suis allé pour tenter de trouver le régiment marocain de mon grand père lors de la pacification du Maroc dans les années 30. Mais merci du tuyau pour les autres.

Tout ce dont je peux témoigner, c'est qu'il y a 70 ans, on voyait très peu de noirs dans les rues.

Moi j'dis ça, j'dis rien, mais la ségrégation aux USA ? Non ?

Vitrine N° 75 : LES TIRAILLEURS MAROCAINS.

Armée d’Afrique : Troupes indigènes: "Les Tirailleurs".

A la demande du commandement militaire en Algérie, le roi Louis-Philippe « autorise les généraux en chef, commandant sur les théâtres extérieurs, à former des unités militaires recrutées parmi les autochtones ou les étrangers à ce territoire » (loi du 9 mars 1831). Ainsi, sont organisés à partir de décembre 1841, trois bataillons de Tirailleurs indigènes d’Algérie appelés communément Turcos, le 1^er bataillon à Alger, le 2^ème à Oran et le 3^ème à Constantine.

En 1884, un 4^ème Tirailleurs est formé en Tunisie, il prendra l’appellation de Tunisien en 1921. Le 11 juillet 1903, les indigènes algériens sont autorisés à s’engager dans les corps français. De 9 régiments de Tirailleurs en 1914, on passe à 28 en 1922.

Les années 1963, 1964 et 1965 voient les dernières dissolutions des unités de Tirailleurs. Il faut attendre l’année 1994 pour retrouver l’emploi de l’expression « tirailleur » avec la création du 1^er Tirailleurs stationné à Épinal et dont les compagnies perpétuent le souvenir d’anciens régiments de Tirailleurs en reprenant leur devise.

Cette salle concerne essentiellement les Tirailleurs algériens, tunisiens et marocains nés de la conquête de l’Afrique du Nord. Les autres Tirailleurs somalis, malgaches, sénégalais, indochinois, sont représentés par un Tirailleur sénégalais en salle 3 et un Tirailleur muong en salle 6. À l’extérieur du Musée, les Tirailleurs sont aussi représentés par le monument à la gloire du 2^èmeRTA ramené de Mostaganem.

Vitrine N° 75 : LES TIRAILLEURS MAROCAINS.

Cette vitrine est consacrée aux Tirailleurs Marocains. Elle est meublée avec des souvenirs de la Salle d' Honneur du 1^er Régiment de Tirailleurs Marocains dont l'essentiel fut dissout à BOURG en BRESSE le 1^er mai 1960. Elle est ornée de Fanions et d'objets divers évoquant l'histoire des RTM.

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Le corps des tirailleurs marocains, l’un des plus redoutables de l’armée coloniale française, trouve son origine dans les formations de circonstances mise sur pied en juin 1912 par le général Moinier, commandant les troupes françaises au Maroc, et appelées troupes auxiliaires marocaines.

Quatre compagnies sont initialement constituées, puis six autres, leur nombre passant à 16 en juillet 1913.

En 1914, ces unités sont regroupées en cinq bataillons (Quatre à 4 compagnies et un à deux compagnies) et participent aux opérations de pacification. Un sixième bataillon est constitué quelques mois après la déclaration de guerre.

Les cinq premiers bataillons sont expédiés en France en août 1914. Le sultan n’étant pas officiellement en guerre avec l’Allemagne, ils reçoivent l’appellation de « chasseurs indigènes » et sont rassemblés en une brigade à deux régiments.

Chaque compagnie comporte généralement un effectif de 210 hommes incluant officiers, sous-officiers, caporaux et 180 chasseurs marocains.

En décembre 1914, le régiment formé des rescapés de la brigade prend officiellement le nom de « 1^er Régiment de Marche de Tirailleurs Marocains ». Il ne quittera pas le front occidental jusqu’en 1918.

En 1918, le 2^ème RMTM est constitué. Les deux régiments à trois bataillons, participent aux dernières batailles de 1918.

A l’issue de la Grande Guerre et pour répondre aux besoins militaires de la France, trois nouveaux régiments viennent s’ajouter aux deux premiers. En octobre 1920, ils changent d’appellation et deviennent 61^ème, 62^ème, 63^ème, 64^ème et 65^ème « régiments de tirailleurs nord-africains », rejoints un an plus tard par le 66^ème RTNA.

En 1926, le titre de « tirailleurs marocains » est à nouveau utilisé et en 1927, les 67^ème et 68^ème sont formés.

En 1929, les régiments reprennent leur ancien numéro.

Les 9^ème et 10^ème RTM sont mis sur pied au début du deuxième conflit mondial.

En 1941, le bataillon du 1^er RTM détaché en Syrie depuis 1939, s’oppose aux Britanniques.

En 1943 les RTM s'illustrent lors de la Campagne d'Italie au sein du CEF du général Juin. En 1944, dans les rangs de la 1^er Armée française de De Lattre ils débarquent en Provence avec la 2^èmedivision d'infanterie marocaine, la 4^ème division marocaine de montagne, et les tabors marocains du général Guillaume.

Les tirailleurs marocains et goumiers seront plusieurs milliers à combattre en Indochine de 1946 à 1954.

En 1956, l’indépendance du Maroc entraîne la dissolution de trois RTM (3^èmeen 1955, 8^èmeen 1956, 7^ème en 1957) pour former les cadres de la nouvelle armée royale marocaine.

Les RTM transférés du Maroc en France sont dissous progressivement. Avec la dissolution, en 1965, du 5^ème RTM qui devient 27^ème Régiment d’infanterie, les tirailleurs marocains disparaissent de l’ordre de bataille de l’armée française.

Voila pour les tirailleurs marocains et ion leur rend hommage régulièrement dans mon quartier parce qu'il y a le monument au maréchal Juin et à la campagne d'Italie!!

PS le général Guillaume en son temps leur a consacré un ouvrage aussi dans les années 50,je l'ai dans ma bibliothèque à la cambrousse!!

ù

Par contre, tout ce dont je peux témoigner, c'est qu'il y a 40 ans, on voyait beaucoup plus de personnes sujettes au nanisme dans les rues.(comme quoi).

Ils étaient pourtant tous noirs (et blanc)

Les noirs ne combattaient pas, ils s'occupaient de l'intendance, d'autre part ils ont commis beaucoup de viols donc on les a un peu ignorés.

http://www.lexpress.fr/culture/livre/gi-americains-un-tsunami-de-libido-a-deferle-sur-la-france-a-la-liberation_1261206.html#YXXRkIlx0iHi1gWb.99