Contrairement aux hommes, l'homosexualité féminine s'expliquerait davantage par des facteurs sociaux que génétiques

Les résultats d'une étude scientifique font l'objet de vérifications et de contrôles extérieurs à l'équipe qui a mené l'étude.

Et ces vérifications sont aussi suspectes que l'étude elle-même.

Alors que les motivations d'une étude, elles, ne peuvent faire l'objet d'aucun contrôle.

D'où l'utilité de l'objectivité, et sa difficulté aussi. Quelle est la valeur de l'étude d'un point de vue non partisan ?

C'est de cette façon qu'on devrait progresser dans la science, et c'est ce qu'on ne fait jamais. D'ou le discrédit dont est victime la science devenue "scientisme".

Et ces vérifications sont aussi suspectes que l'étude elle-même.

Non, pas vraiment, les protocoles sont très rigoureux. S'il y a non respect d'un protocole, incohérences ou libertés d'interprétation, la communauté scientifique réagit.

D'où l'utilité de l'objectivité, et sa difficulté aussi. Quelle est la valeur de l'étude d'un point de vue non partisan ?

C'est de cette façon qu'on devrait progresser dans la science, et c'est ce qu'on ne fait jamais. D'ou le discrédit dont est victime la science devenue "scientisme".

Je ne comprends pas ce que tu dis et où tu veux en venir. Il y a toujours un objectif derrière une recherche, elle n'est jamais motivée par une simple curiosité gratuite.

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Oui. Si j'étais homosexuelle je me sentirais vraiment insultée par toutes ces recherches. Qu'est ce qui les motive ?

Faire des causes de l'homosexualité un objet de recherche, revient de toutes façons à considérer les homosexuels comme des malades.

L'absence d'un "gène de l'homosexualité", et donc la confirmation d'une homosexualité acquise, servirait la thèse de la déviance mentale ;

Quant à la présence d'un tel gène, elle ne ferait que servir celle de la pathologie génétique. Parce qu'il faut pas se leurrer, la "malformation" est sous-jacente à l'idée même d'hérédité. Et à notre époque où le séquençage et l'analyse du génome humain sont possibles dès les premières semaines de la grossesse, je trouve toutes ces recherches génétiques extrêmement malsaines.

En plus ce que ne savent pas les hétéros, c'est que super cool d'être homo, le seul truc chiant ce sont les homophobes.c'est ça qu'il faut héradiquer, pas les homos,.