Le point du mari ou l'infibulation à la française

L'infibulation, vous connaissez ? C'est une mutilation du sexe des femmes qui vise, via une suture, à relier grande et petite lèvres pour ne conserver qu'un tout petit espace par lequel peut s'écouler menstruation et urine. Pratique barbare, souvent associée, dans la joie et la bonne humeur, à l'excision que, dans nos grands pays civilisés, on conspue au maximum.

Le point du mari, c'est quoi ? C'est une pratique qui a lieu après l'accouchement. Lorsqu'il faut recoudre le périnée déchiré, il arrive que l'on ajoute ce qu'on appelle le "point du mari" dont le but est tout simplement de rétrécir l'entrée afin de donner plus de plaisir à l'homme (et plus de douleur à la femme, mais bon, c'est sans importance).

Vous avez vu une liaison entre l'infibulation et le point du mari ? Vous avez raison. Fait avec l'assentiment de la femme ? Beaucoup de témoignages récupérés aujourd'hui indiquent que celle-ci soit ne savait pas de quoi on parlait, soit n'était carrément pas mise au courant. Quand à préciser qu'on propose ça sur le moment, c'est à dire dans un instant d'extrême vulnérabilité de la femme, je pense qu'on voit assez rapidement où ça nous mène.

Est-ce que, de toute manière, une mutilation sexuelle a sa place dans les hôpitaux français ?

Mais à part ça, la France n'a pas du tout une culture sexiste, ne vous inquiétez pas. (oui, ça c'est du transtopic, mais désolé, faut pas abuser là)

Bref, qu'en dire ? Sérieusement ? Entre Éric Raoult et ça, ces derniers jours sont quand même chargés en méthode pour faire perdre toute foi en l'humanité.

Tu sembles sous entendre qu'on fait ça en France. Je suis carrément dubitative là. Source?

Je viens de trouver ça sur le Huffington post... C'est tout bonnement...

Il y a des statistiques sur cette pratique qui circulent ? J'en ai pas trouvé, mais les témoignages sont assez nombreux, et pas en faveur de ce carnage...

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Tu sembles sous entendre qu'on fait ça en France. Je suis carrément dubitative là. Source?

Entre le nom de cette pratique dans Google, tu verras les témoignages... Hallucinants.

Tu sembles sous entendre qu'on fait ça en France. Je suis carrément dubitative là. Source?

On a des témoignages divers et variés de personnes l'ayant subi ou d'infirmières ayant connu ces situations qui pullulent sur l'internet un peu partout.

Ouais, je sais, on a du mal à y croire.

J'ai fouinée sur le net et il faut qu'on m'explique: C'est le médecin qui prend l'initiative ou la patiente? Si la patiente n'est pas ou mal mise au courant, y'a pas eu de plainte de renvoi?

J'en suis baba.

Ca craint. Si les messieurs ont des réclamations, ils ont qu'à se faire élargir le bout.. j'imagine le prix de l'intervention pour les papas de triplés... Sans déconner...la pilule puisse me préserver de ce destin horrible, à la fois maman bonne poire et bête à plaisir...avant on avait le choix entre être une maman ou une putain , maintenant si on peut allaiter, la prendre dans le rectum et se faire refaire un schnek de fillette, on a droit à la quiche d'or de la meilleure bobonnne...avec l'abonnement femme actuelle offert, on signe où, siouplait ?

Selon les témoignages, des fois la patiente n'est pas au courant, parfois on lui propose au moment de l'accouchement (donc à un moment où elle n'est pas du tout en état de consentir, ou même de comprendre de quoi on parle).

Un des propos qui revenait était "ça ne changera rien pour vous mais ça fera plaisir à monsieur".

Y'a eu des plaintes?

Si cette pratique était culturelle, elle serait connue de tous (comme l'excision dans les pays musulmans) ou au moins elle serait entrée dans les moeurs ; aurais-tu les chiffres de la fréquence à laquelle cette intervention est pratiquée?

Faut-il répéter (espérons que ce sera plus ou moins évident aux gens intelligents) que ce ne sont pas les agissements isolés de quelques médecins ou de certaines équipes médicales (possiblement bien intentionné(e)s ou même peut-être d'une autre culture d'origine d'ailleurs, qui pourra le démontrer?) qui permettent de définir la culture (rien que ça) du pays au sein duquel ils exercent leur métier.

De plus il reste comme toujours en cas de conséquences médicales douloureuses la possibilité de porter une plainte, ce qui prouve une fois de plus et si il le fallait, que ce n'est pas une question de culture, et encore moins de culture spécifiquement française.

Bref : Pratique odieuse mais étrangère à la culture française. C'est vraiment maladif chez certains cette façon de pas en manquer une pour cracher sur la France ou sa culture.

C'est vraiment maladif chez certains cette incapacité à remarquer que notre culture n'est pas que belle et à considérer qu'il ne faut en aucun cas dénoncer un fait, à savoir qu'on fait passer très couramment le plaisir de l'homme devant la souffrance de la femme.

À en entendre, la France a une culture parfaite, et tout ce qui est mal, ce sont des cas isolés, rares et tout le tintouin.

@Fafaluna: Apparemment, aucune plainte n'a encore donné lieu à de jurisprudence, mais ça ne devrait pas tarder.

C'est vraiment maladif chez certains cette incapacité à remarquer que notre culture n'est pas que belle et à considérer qu'il ne faut en aucun cas dénoncer un fait, à savoir qu'on fait passer très couramment le plaisir de l'homme devant la souffrance de la femme.

À en entendre, la France a une culture parfaite, et tout ce qui est mal, ce sont des cas isolés, rares et tout le tintouin

Je ne serai pas fier si j'étais ton professeur de français dites donc. T'étais pas très fort en étude de texte je pense non? Parce que j'ai écris trois lignes et que ta réponse n'a rien à voir avec ce que j'ai écris. Allons-y comme dans un vieil exercice :

Si cette pratique était culturelle, elle serait connue de tous (comme l'excision dans les pays musulmans) ou au moins elle serait entrée dans les moeurs ; aurais-tu les chiffres de la fréquence à laquelle cette intervention est pratiquée?

Faut-il répéter (espérons que ce sera plus ou moins évident aux gens intelligents) que ce ne sont pas les agissements isolés de quelques médecins ou de certaines équipes médicales (possiblement bien intentionné(e)s ou même peut-être d'une autre culture d'origine d'ailleurs, qui pourra le démontrer?) qui permettent de définir la culture (rien que ça) du pays au sein duquel ils exercent leur métier.

De plus il reste comme toujours en cas de conséquences médicales douloureuses la possibilité de porter une plainte, ce qui prouve une fois de plus et si il le fallait, que ce n'est pas une question de culture, et encore moins de culture spécifiquement française.

Bref : Pratique odieuse mais étrangère à la culture française. C'est vraiment maladif chez certains cette façon de pas en manquer une pour cracher sur la France ou sa culture.

1°) Montrer que l'auteur de ce texte pense que la culture française est uniquement belle. Quel(s) sont les argument(s) utilisés? Quel(s) éléments du texte permettent de le déduire?

2°) Montrer que l'auteur de ce texte pense que le plaisir masculin doit toujours passer avant la souffrance féminine. Quel(s) sont les argument(s) utilisés? Quel(s) éléments du texte permettent de le déduire?

1°) L'auteur du texte, déjà remarquablement connu pour ses interventions nauséabondes ça et là (contextualisation) utilise un sous-entendu dans la dernière phrase où il laisse à penser que l'auteur du sujet cherche constamment un moyen de cracher sur la France ou sa culture.

L'auteur du texte s'insurge mais refuse littéralement qu'on attribue le défaut à la culture française. Avec le point 1, et la contextualisation dues aux autres interventions de l'auteur, ainsi que sa méconnaissance crasse de l'auteur du sujet, sous-entendant qu'il est de ceux qui crachent sur la France et sa culture, alors qu'il en est un grand amoureux, on a confirmation qu'il ne veut absolument pas qu'on attribue le moindre défaut à la culture française.

2°) L'auteur de la question n'a manifestement pas su lire la réponse, puisqu'il semble incapable de l'analyser, et demande à l'auteur du sujet de répondre à une question hors-sujet. En effet, jamais l'auteur du texte n'a indiqué que le plaisir masculin doit toujours passer avant la souffrance féminine. En revanche, ce n'est en aucun cas ce qui était indiqué dans la réponse, puisque la réponse parlait du fait que selon l'auteur il ne fallait pas dénoncer un fait comme étant culturel, et que la donnée selon laquelle le plaisir masculin passait avant la souffrance féminine était l'exemple donné, exemple tout à fait à propos puisque c'était ce dont il était question dans le présent sujet.

Va falloir aller réviser coco, et vite, parce que le pédantisme allié à l'ignorance avec un soupçon d'illettrisme, ça fait beaucoup pour un seul homme.

(au passage, la concordance en français, vous ne connaissez pas ou vous avez délibérément décidé de l'oublier pour pondre vos phrases ?)

1°) L'auteur du texte, déjà remarquablement connu pour ses interventions nauséabondes ça et là (contextualisation) utilise un sous-entendu dans la dernière phrase où il laisse à penser que l'auteur du sujet cherche constamment un moyen de cracher sur la France ou sa culture.

L'auteur du texte s'insurge mais refuse littéralement qu'on attribue le défaut à la culture française. Avec le point 1, et la contextualisation dues aux autres interventions de l'auteur, ainsi que sa méconnaissance crasse de l'auteur du sujet, sous-entendant qu'il est de ceux qui crachent sur la France et sa culture, alors qu'il en est un grand amoureux, on a confirmation qu'il ne veut absolument pas qu'on attribue le moindre défaut à la culture française.

Non mais tu t'écoutes quand tu écris sur ton clavier parfois? J'irai bien argumenter à mon tour mais ce serait aussi productif que de remplir un tonneau percé. Je peux donc te le dire maintenant et simplement : la culture française n'est pas que belle, elle a des défauts (par exemple en l'occurrence l'égalité homme femme est formelle mais pas toujours respectée dans le cadre de l'accès à l'emploi). Maintenant ce qui va être con pour toi c'est d'expliquer comment je peux affirmer cela.

2°) L'auteur de la question n'a manifestement pas su lire la réponse, puisqu'il semble incapable de l'analyser, et demande à l'auteur du sujet de répondre à une question hors-sujet. En effet, jamais l'auteur du texte n'a indiqué que le plaisir masculin doit toujours passer avant la souffrance féminine. En revanche, ce n'est en aucun cas ce qui était indiqué dans la réponse, puisque la réponse parlait du fait que selon l'auteur il ne fallait pas dénoncer un fait comme étant culturel, et que la donnée selon laquelle le plaisir masculin passait avant la souffrance féminine était l'exemple donné, exemple tout à fait à propos puisque c'était ce dont il était question dans le présent sujet.

J'ai affirmé que c'était une pratique odieuse. Comment serai-je donc opposé à ce qu'elle soit dénoncée? Tu veux que je cite le message de nouveau ou là aussi tu es bouché à l'émeri?

Comment cette pratique serait-elle culturelle en France puisque la loi française peut manifestement la condamner?

Va falloir aller réviser coco, et vite, parce que le pédantisme allié à l'ignorance avec un soupçon d'illettrisme, ça fait beaucoup pour un seul homme.

(au passage, la concordance en français, vous ne connaissez pas ou vous avez délibérément décidé de l'oublier pour pondre vos phrases ?)

MDR... Il est l'heure que tu ailles te coucher maintenant. A plus, bonne soirée.

J'ai affirmé que c'était une pratique odieuse. Comment serai-je donc opposé à ce qu'elle soit dénoncée? Tu veux que je cite le message de nouveau ou là aussi tu es bouché à l'émeri?

Comment cette pratique serait-elle culturelle en France puisque la loi française peut manifestement la condamner?

Vous savez, le sexisme est culturel en France, et pourtant, il est condamnable.

Et au passage je n'ai pas dit que vous étiez opposé à ce qu'elle soit dénoncée, j'ai dit que vous étiez opposé à ce qu'elle soit dénoncé en tant que part de la culture.

Ah, et je vous signale que pour la concordance (parce qu'apparemment vous n'avez pas compris) je parlais de ça:

Je ne serai pas fier si j'étais ton professeur de français dites donc. T'étais pas très fort en étude de texte je pense non?

Dans la première phrase, vous vous adressez à moi tout d'abord via le tutoiement (ton professeur de français) puis avec le vouvoiement (dites donc) ce qui est une faute de français.

Dans la seconde, vous utilisez une phrase négative que vous ponctuez par un mot interrogatif, lequel devrait être "si" et non "non".

Bref, le français, c'est utile, mais quand on veut se la jouer pédant, faut s'assurer d'en avoir les moyens.

Vous savez, le sexisme est culturel en France, et pourtant, il est condamnable.

Et au passage je n'ai pas dit que vous étiez opposé à ce qu'elle soit dénoncée, j'ai dit que vous étiez opposé à ce qu'elle soit dénoncé en tant que part de la culture.

Absurde puisque dénoncer une pratique c'est la dénoncer quelque culture à laquelle elle appartienne. C'est quoi pour toi d'ailleurs la culture française (dont tu es amoureux, rappelons-le) et ne la confonds-tu pas avec la confiture les habitudes de certains?

Le sexisme se manifeste par des pratiques ou des idées sexistes, et le sexisme culturel signifierait par extension que nous avons affaire à une culture qui porte à bout de bras des idées ou des pratique sexistes. Cependant, la loi française actuelle - qui manifestement appartient à la culture française - condamne les idées et les pratiques sexistes.

Ah, et je vous signale que pour la concordance (parce qu'apparemment vous n'avez pas compris) je parlais de ça:

Dans la première phrase, vous vous adressez à moi tout d'abord via le tutoiement (ton professeur de français) puis avec le vouvoiement (dites donc) ce qui est une faute de français.

Dans la seconde, vous utilisez une phrase négative que vous ponctuez par un mot interrogatif, lequel devrait être "si" et non "non".

Bref, le français, c'est utile, mais quand on veut se la jouer pédant, faut s'assurer d'en avoir les moyens.

Fallait le dire tout de suite que tu étais le petit-fils de Bernard Pivot et que c'était un concours d'orthographe, on aurait perdu moins de temps!

Fallait le dire tout de suite que tu étais le petit-fils de Bernard Pivot et que c'était un concours d'orthographe, on aurait perdu moins de temps!

Dixit le gars qui se présente comme le préposé à l'épreuve de commentaire de texte.

J'adore ça !

Cette pratique doit maximum être réalisé quelque centaines de fois en France et en Europe,parler de culture sexiste avec cette pratique c'est pas très pertinent.

Cette pratique est illégale, donc punissable ce post laisse l'impression que cette pratique est réalisé après chaque grossesse.

L'infibulation, vous connaissez ? C'est une mutilation du sexe des femmes qui vise, via une suture, à relier grande et petite lèvres pour ne conserver qu'un tout petit espace par lequel peut s'écouler menstruation et urine. Pratique barbare, souvent associée, dans la joie et la bonne humeur, à l'excision que, dans nos grands pays civilisés, on conspue au maximum.

Le point du mari, c'est quoi ? C'est une pratique qui a lieu après l'accouchement. Lorsqu'il faut recoudre le périnée déchiré, il arrive que l'on ajoute ce qu'on appelle le "point du mari" dont le but est tout simplement de rétrécir l'entrée afin de donner plus de plaisir à l'homme (et plus de douleur à la femme, mais bon, c'est sans importance).

Vous avez vu une liaison entre l'infibulation et le point du mari ? Vous avez raison. Fait avec l'assentiment de la femme ? Beaucoup de témoignages récupérés aujourd'hui indiquent que celle-ci soit ne savait pas de quoi on parlait, soit n'était carrément pas mise au courant. Quand à préciser qu'on propose ça sur le moment, c'est à dire dans un instant d'extrême vulnérabilité de la femme, je pense qu'on voit assez rapidement où ça nous mène.

Est-ce que, de toute manière, une mutilation sexuelle a sa place dans les hôpitaux français ?

Mais à part ça, la France n'a pas du tout une culture sexiste, ne vous inquiétez pas. (oui, ça c'est du transtopic, mais désolé, faut pas abuser là)

Bref, qu'en dire ? Sérieusement ? Entre Éric Raoult et ça, ces derniers jours sont quand même chargés en méthode pour faire perdre toute foi en l'humanité.

Je n'ai pas bien compris. On recoud les déchirures ou les episiotomies, mais pas en présence du mari (on l'envoie avec le bébé) et dans les cultures de l'infibulation, c'est une affaire de femmes, le mari ne se mêle pas d'accouchement.

D'où tiens-tu que c'est une pratique médicale française courante ?

Ca fait longtemps toussa, c'est une vieille qui vous le dis.Jeune je l'ai entendu mais pas compris: c'est plus tard, quand on m'a expliqué. Hé bé, si il a des plaintes.....

Dixit le gars qui se présente comme le préposé à l'épreuve de commentaire de texte.

J'adore ça !

Il fallait bien donner l'impression que tu as quelque chose à dire n'est-ce pas? C'est culturel en France, cette façon de prélever les allusions ironiques de certains et de faire comme si ils exprimaient leurs pensées ou leurs convictions profondes?