Notre pays, c'est la France ou c'est l'Europe ?

Je me suis senti vraiment européen, pas seulement une idée mais un sentiment lorsque je suis allé aux USA. C'était soudain d'une évidence..... et pourtant les USA ont hérité de pas mal de caractéristiques européennes. Quand on va en Afrique ou en Asie, le sentiment d'être européen avant tout est encore plus fort.

Par contre, me définir seulement comme Français, reviendrait à me limiter considérablement. Oui je soutiens tout ce qui peut apporter un certain dynamisme à l'idée européenne. Plus il y a d'Europe, mieux je me sens. Le fait que les institutions européennes ne sont pas toujours très démocratiques, ne change rien à la chose. C'est à nous citoyens de l’Europe de définir les règles et de ne pas faire comme nos politiciens qui pour masquer leur médiocrité, nous suggèrent avec plus ou moins de perversité que tous nos malheurs viennent de Bruxelles

Mais au niveau du pays duquel on vient .... à un américain je dois dire : "I am French" ou "I am european" ?

Ton pays c'est d'ou tu viens, un lieu précis avec ses particularismes, ses expressions et ses coutumes. C'est un lieu auquel est rattaché une façon de penser et de concevoir le rapport à l'autre. Un climat et un paysage. Tu peux lire Papillon dans cette optique, le pays de Corse y est très présent par exemple. La Bretagne serait un bon exemple de pays, la Savoie aussi.

La France c'est déjà un assemblage de pays quant à l'UE ... A la limite un empire comme la Russie ou la Chine peuvent au fil du temps acquérir pour partie ce statut autour de la langue au même titre que la France, mais l'UE ? Se sentir européen c'est se sentir apatride.

Se sentir européen c'est se sentir apatride.

Soupir. Comment peut-on écrire de telles...euh.... bizarreries?

Soupir. Comment peut-on écrire de telles...euh.... bizarreries?

J'ai donné une explication, il suffisait de la lire.

Cite moi le particularisme européen qui te distingue des non européens et j'envisagerai la question différemment.

Je me sens français et pas tellement européen , tout comme un chilien se sent chilien plus qu'américain je suppose (même si c'est son continent)

Notre Pays c'est la France ,je partage certes une culture avec les autres européens,cependant ,nous avons notre propre branche culturelle qu'eux ne partage pas ,et vice versa ..

L’Europe est un continent de plusieurs vieille nation,c'est le berceau de l'occident et il s'est formé ainsi ,"la nation européenne " ne peut pas exister et surtout,ne le doit pas ,ceci inclurais une destruction partielle de nos cultures et ce qui fait nos spécificité c'est précisément ça !!

Une Europe des nations me semble être le meilleurs compromis ,chacun gère ses affaires et quant ont doit prendre une décision d'ampleur mondiale,alors un "conseil de l'europe "peut etre utile ,le reste,ça ne fonctionne pas,la preuve !!

Eh, bien moi, je suis Français!

Ouais, je vais cherché ma baguette que je tartinerais de camembert le dimanche matin au sortir de la messe!

CQFD : c'est cliché et je vous zut avec votre Europe!

Une Europe des nations me semble être le meilleurs compromis ,chacun gère ses affaires et quant ont doit prendre une décision d'ampleur mondiale,alors un "conseil de l'europe "peut etre utile ,le reste,ça ne fonctionne pas,la preuve !!

l’Europe des nations c'est comme c'étais avant a la différence que chaque nations frappais sa propre monnaie , maintenant c'est la FED , en partant de la si ils estime ne pas récupérer leur souveraineté monétaire et de la laissé a la FED , l’Europe doit être fédéralisé pour qu'elle fonctionne dans ce principe monétaire comme il est imposé , mais une fédéralisassions , n'empêche pas que tu te sente personnellement français ou européen , ou demande a un breton pure souche si il ce sent breton avant d'être français avant d'être européen , avant d'être terrien .

faut dissocier le sentiment d’appartenance au terme qu'emploie les institutions d'états , ce n'est pas en fédéralisant que tu vas perdre ta culture , ta culture tu te la garde .

Une mattina mi son alzelto

O bella ciao bella ciao bella ciao ciao ciao

Une mattina mi son alzelto

E ho trovato l'invasor (europeo)

Le terme nation, c’est une idéologie, sa na rien de légitime.

Certes la "nation" a quelque chose de très subjectif de l'ordre de l'idéologie. Pour autant il y a des idées qui donnent de la légitimité : les bonnes idées, disons les meilleures. En gros, plus une idée sert l'intérêt commun, plus elle est bonne. Par définition du "bien".

Ton pays c'est d'ou tu viens, un lieu précis avec ses particularismes, ses expressions et ses coutumes. C'est un lieu auquel est rattaché une façon de penser et de concevoir le rapport à l'autre.

Ma conception essentielle du rapport à l'autre, elle est philosophique, autrement dit le produit de mon expérience humaine. Comme je m'efforce d'avoir les idées larges, ma façon de pensée s'efforce de dépasser les idées générales du (des) milieu(x) dans lequel je vis.

Ainsi, d'où je viens, essentiellement, c'est deux choses : mon histoire intime (mon tempérament, ma famille et mes amis les plus proches), et mes expériences humaines.

Mon véritable pays, il est collectif, il est une terre, mais il préfère vivre sans frontières... comme au temps où les frontières n'existaient pas sur Terre, bien avant la définition même de "peuple". Nous peuplons la Terre. NOUS, les humains.

comme au temps où les frontières n'existaient pas sur Terre, bien avant la définition même de "peuple". Nous peuplons la Terre. NOUS, les humains.

Au temps ou les frontières n'existaient pas, il n'y avait pas de civilisation... Car la frontière est le corollaire d'une société.

Au temps ou les frontières n'existaient pas, il n'y avait pas de civilisation... Car la frontière est le corollaire d'une société.

Certes une société a nécessairement une localisation et des terres qui lui appartiennent, administrativement ou dans l'âme .

L'idée de l'humanisme pourrait alors se résumer ainsi : une seule Terre.

... c'est la naissance du monoterrisme :)

Certes une société a nécessairement une localisation et des terres qui lui appartiennent, administrativement ou dans l'âme .

L'idée de l'humanisme pourrait alors se résumer ainsi : une seule Terre.

... c'est la naissance du monoterrisme :)

Je préfère le concept de frontière qui abrite des individus ayants la volonté de vivre ensemble plutôt que celui de "l'humanisme" qui suppose cette volonté par idéologie.

Je préfère le concept de frontière qui abrite des individus ayants la volonté de vivre ensemble plutôt que celui de "l'humanisme" qui suppose cette volonté par idéologie.

Pourtant la meilleure des idéologies .

... Ce qui n'empêche pas, ensuite, que notre Terre (c'est bien un fait, l'humanité vit sur une planète) se décline en territoires découpés en autres territoires de plus en plus petits, tous significatifs et porteurs d'identité, jusqu'au quartier et même jusqu'à la famille ou même à la chambre à coucher.

Le plus important dans tout ça, c'est de sentir frère même avec celui qui est différent, et qui à priori n'a rien en commun avec toi : certes la voie de l'humanisme n'est pas la plus facile.

Certes la "nation" a quelque chose de très subjectif de l'ordre de l'idéologie. Pour autant il y a des idées qui donnent de la légitimité : les bonnes idées, disons les meilleures. En gros, plus une idée sert l'intérêt commun, plus elle est bonne. Par définition du "bien".

faut pas sortir un bout de phrase de sont contexte pour lui faire dire autre chose !

en parlant de culture, c'est que je faisais un lien culture nation , une nations englobe plusieurs culture , une nation , n'a pas une culture unique a elle même, je croie pas que manger une fondu a Paris sa fait partie de sa culture.

ou alors vous avez déclaré au près des instances , une culture conventionnel, une culture d'état, unique pour tous ?

mon pays n,est plus un pays.l,europe n,est que virtuel, ou abstrait, on n,est même pas foutu d,y parler la même langue, et pourtant, il aurait fallut commencer par ça!!mais ça ne sert pas le capital et la finance.

Ma conception essentielle du rapport à l'autre, elle est philosophique, autrement dit le produit de mon expérience humaine. Comme je m'efforce d'avoir les idées larges, ma façon de pensée s'efforce de dépasser les idées générales du (des) milieu(x) dans lequel je vis.

Ainsi, d'où je viens, essentiellement, c'est deux choses : mon histoire intime (mon tempérament, ma famille et mes amis les plus proches), et mes expériences humaines.

Mon véritable pays, il est collectif, il est une terre, mais il préfère vivre sans frontières... comme au temps où les frontières n'existaient pas sur Terre, bien avant la définition même de "peuple". Nous peuplons la Terre. NOUS, les humains.

Ce post est une confession, celle que tu viens bien de quelque part comme tous ceux qui perdent leur vie à le nier.

Ton idée de la philosophie t'a été insufflée par d'autres. Et oui c'est comme ça tout le mérite de ta vie ne te revient pas. Ton histoire, ta famille, tes amis, ton expérience tous issus d'une même terre et d'une identité collective.

Quant à la tolérance universelle c'est un leurre pour les naïfs, elle n'existe pas. L'ONU décide quelles coutumes sont légales dans les pays dont c'est la tradition. Ce qui va évidemment tourner en guerre et est l'incarnation de l'intolérance. Les intolérants sans frontières décident partout à travers le monde ce que tu dois manger et quelle activité physique tu dois faire, parce qu'eux ils ne te tolèrent pas avec tes spécificités. Tu peux te soumettre "sans frontière" ou défendre qui tu es.

Je préfère le concept de frontière qui abrite des individus ayants la volonté de vivre ensemble plutôt que celui de "l'humanisme" qui suppose cette volonté par idéologie.

Mouai,... il y a pas mal de Francais avec qui je n'ai pas envie de vivre. A la limite je me sens plus proche des Sioux, des Mongols ou des Pygmées que de ces Français.

mon pays n,est plus un pays.l,europe n,est que virtuel, ou abstrait, on n,est même pas foutu d,y parler la même langue, et pourtant, il aurait fallut commencer par ça!!mais ça ne sert pas le capital et la finance.

je ne peux pas croire que tu dis ça sérieusement