Aller au contenu

Et si on mangeait Bio ?


noureddine2

Messages recommandés

Membre, 58ans Posté(e)
noureddine2 Membre 4 036 messages
Forumeur activiste‚ 58ans‚
Posté(e)

Salut , je pense que l'agriculture Bio est moins rentable que l'agriculture moderne ,

je vais voir le lien wikipédia

http://fr.wikipedia....ture_biologique

je pense qu'on doit retourner à l'agriculture Bio pour protéger notre écosystème ,

ça ressemble au développement durable http://fr.wikipedia....ppement_durable

pour protéger la terre on doit manger Bio même s'il est moins rentable donc sera plus cher , et faire un régime alimentaire , nous sommes des gourmands .

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant
Membre, 38ans Posté(e)
lonkori Membre 1 419 messages
Baby Forumeur‚ 38ans‚
Posté(e)

Ok pour aller vers une agriculteur bio, mais pour pour "retourner" vers une agriculture bio.

Ce que je veux dire, c'est qu'il ne fait pas cultiver comme on le faisait il y a 2 siècles, il faut faire des choix entre les diverses évolutions techniques. (ou alors accepter de sacrifier plusieurs milliards d'êtres humains)

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 58ans Posté(e)
noureddine2 Membre 4 036 messages
Forumeur activiste‚ 58ans‚
Posté(e)

J'aime pas le bio

tu as tord

la plante Bio contient tous les sels minéraux naturels , son fruit est plus nutritif et même plus délicieux

la plante moderne est pleine de phosphates et d’insecticides , est moins riche en sels minéraux , elle est même moins délicieuse .

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité sfc
Invités, Posté(e)
Invité sfc
Invité sfc Invités 0 message
Posté(e)

« On peut nourrir 10 milliards d’humains en bio sans défricher un hectare »

Interview - Résoudre la question alimentaire à l’échelle planétaire, en se passant de l’agriculture conventionnelle ? Ça ressemble à une utopie, mais c’est la réalité de demain, selon certains. Parmi eux, l’agronome Jacques Caplat. Entretien.

Jacques Caplat est agronome et géographe.

L’idée que les rendements en bio sont plus faibles qu’en conventionnel est récurrente…

Si l’on considère que l’agriculture bio, c’est faire la même chose qu’en conventionnel moins la chimie, alors oui, c’est certain. Mais ça n’est pas ça du tout !

Que faut-il comparer, alors ?

Le système conventionnel s’est construit sur l’idée qu’on peut augmenter les rendements en sélectionnant les semences. On les isole et on regarde comment on peut les faire produire au maximum dans un contexte artificiel. On obtient alors de très hauts rendements, mais ils n’ont plus aucune relation avec la réalité biologique. Et dans le réel, ces variétés doivent être soutenues en permanence par des pesticides et engrais chimiques. Elles deviennent très fragiles. Les parasites se précipitent dessus. Il faut multiplier les intrants. C’est un cercle vicieux. L’agriculture bio est un autre concept. C’est la mise en relation des trois grandes composantes de l’agriculture : un écosystème (le sol, les points d’eau, des haies), un agrosystème (plusieurs espèces végétales, des animaux) et des humains autonomes, en situation de prendre des décisions et non de se les voir imposer par des semenciers ou des politiques.Ce concept fonctionne de façon optimale avec un mélange de cultures sur une même parcelle. Des légumineuses, parce qu’elles sont capables de capter l’azote de l’air. Des arbres, parce qu’ils vont chercher le potassium en profondeur et le restituent en surface. Il n’y a plus de concurrence entre les plantes, mais une complémentarité. Cela permet de bien meilleurs rendements. En Europe, un hectare de blé conventionnel produit 10 tonnes par an. Sur une même surface consacrée au maraîchage diversifié, avec 20 à 30 espèces différentes, on atteint entre 20 et 70 tonnes. Les légumes contenant plus d’eau que le blé, on peut ramener ces chiffres entre 15 et 25 tonnes de matière sèche. Le rendement est deux fois plus grand !

suite > http://www.terraeco....ds-d,47024.html

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 58ans Posté(e)
noureddine2 Membre 4 036 messages
Forumeur activiste‚ 58ans‚
Posté(e)

(ou alors accepter de sacrifier plusieurs milliards d'êtres humains)

l'homme n'est pas le centre de l'univers , il doit utiliser le judo , pour utiliser la nature contre la nature , par exemple utiliser les oiseaux contre les insectes , il doit agir avec précision et délicatesse . et ne pas faire comme un éléphant qui marche sur des œufs .

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

VIP, Gonade Absolutrice, Posté(e)
yop! VIP 20 446 messages
Gonade Absolutrice,
Posté(e)

tu as tord

la plante Bio contient tous les sels minéraux naturels , son fruit est plus nutritif et même plus délicieux

la plante moderne est pleine de phosphates et d’insecticides , est moins riche en sels minéraux , elle est même moins délicieuse .

Ce n'est pas si évident et ça ne tient pas au label bio. C'est la diversité de l'alimentation de la plante (ou de l'animal) qui va garantir des produits équilibrés. Dans l'idée, on peut aussi faire ce genre d'aliments en non-bio, même si la filière bio s'accompagne souvent de méthodes plus diversifiées que la monoculture, mono-alimentation.

Il s'agit d'un peu plus que du simple non-usage de pesticides mais carrément d'un mode d'agriculture plus plus proche du meilleur de la nature. Comme le label bio et ses critères commencent à être attaqué (en vue d'en faire de la bouillie), il va donc falloir être encore plus radicaux sur l'éthique agricole qu'on veut défendre.

Il y a pas mal de réflexion sur les maladies humaines actuelles, qui seraient dus à de graves déséquilibres alimentaires à cause de la piètre qualité nutritionnelle des produits de l'agroalimentaire et pire, les produits préparés-usinés-coupés. Cela provoquerait des inflammations au long cours et donc un terreau ou un déclencheur pour des maladies de longues durée.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 58ans Posté(e)
noureddine2 Membre 4 036 messages
Forumeur activiste‚ 58ans‚
Posté(e)

En Europe, un hectare de blé conventionnel produit 10 tonnes par an. Sur une même surface consacrée au maraîchage diversifié, avec 20 à 30 espèces différentes, ...................on peut ramener ces chiffres entre 15 et 25 tonnes de matière sèche. Le rendement est deux fois plus grand !

http://www.terraeco....ds-d,47024.html

dans le lien il y a :

L’agriculture bio réclame plus de main-d’œuvre. Or, aujourd’hui, il est plus avantageux d’acheter une machine que d’embaucher.

on voit que le bio consomme de la main d'oeuvre , ce qui va coûter cher et qui va faire chuter la rentabilité financière ,

l'état doit aider l'agriculteur qui fait du bio .

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 114ans Posté(e)
stvi Membre 20 709 messages
Mentor‚ 114ans‚
Posté(e)

Il existe bien sûr des aides pour l'agriculteur qui voudrait se convertir au bio ...Cependant on arrive loin derrière l'Italie,l'Autriche l'Allemagne, la Belgique'la Suisse...qui ne sont pourtant pas de grands pays agricoles excepté l'Allemagne ...

il suffit de voir les différentes provenances des légumes sur les étalages bio pour se rendre compte qu'ils sont pour la plupart importés ...dommage quand même pour le premier pays agricole européen ....Sans doute que la culture intensive réclame moins de temps et de soins...

j'achète le plus souvent des légumes de saison et bio de préférence

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)

Bonjour,

Le bio porte tellement de masques. Pour les uns, c'est un retour aux sources, pour les autres: le cheval de bataille des grosses firmes industrielles qui, perpétuellement, tentent de garder l'influence qu'ils ont sur le consommateur. Il y a bien une chose qui terrorise l'industriel, c'est le changement, l'évolution des mentalités.

Il est un fait certain que l'homme devient de plus en plus assisté dans ses tâches du quotidien, et au moment ou je vous écris ces lignes, je pense et surtout, j'ai l'impression, que nous sommes dans les prémices d'une prise de conscience collective.

Oui, toute action, aussi simple quelle peut l'être, nécessite du temps. Or, ce temps, depuis que le consommateur existe n'a cessé d'être malmené. Tout doit aller très vite, ce qui nous donne l'impression d'une horloge qui, tout à coup, semble tourner bien plus vite qu'auparavant. Stop, on respire un grand coup et on se pose.

Ce qu'il est intéressant d'analyser, ce sont les temps de cuisson de certain produit. Il ne font que diminuer. La fast-food n'est plus propre au simple hamburger, frite que nous connaissons. Non ! Le riz qui se cuisait en 20 minutes un temps, est devenu celui qui s'obtient en 10 minutes. Je ne parle même pas des milliers de produits qui, sous la bienveillance du micro onde, sont consommables très rapidement. Je m'écarte, mais je pense ne pas être complètement hors-course. La notion du temps est importante car elle a selon moi, une relation très intime avec ce que l'on appelle aujourd'hui le bio.

En résumé et pour ne pas m'éparpiller. Le bio découle des meilleures intentions, celle de rendre la place qu'occupaient autrefois les aliments, de retrouver le goût des fruits et légumes de nos parents. Mais aussi, selon moi, une nouvelle mode, une fourberie de plus de la part des industrielles pour vendre. Oui, après le "light" à toutes les sauces qui envahissaient nos produits du quotidien, après les "omega" qui, par magie se retrouvaient même dans une barre chocolatée. Voilà que tout à coup, miracle, ces merveilleuses fraises qui se trouvent dans mon dessert se voient estampillées du logo "Bio", alors qu'elles proviennent d'Espagne, comme la majorité de nos fruits et légumes et qu'elles baignent dans les pesticides, cultivées hors-saison, je me tais, là n'est pas le sujet.

Pour conclure, oui au bio. Pas le bio industriel, pas le bio avec toutes ces jolies phrases édulcorées pour tromper la vigilance du consommateur. Favorisons l'agriculture, favorisons nos cultures, notre savoir-faire. Il n'est pas contre productif d'être un peu fier de ce que nous pouvons accomplir. Au final, il ne tient qu'à nous, consommateurs, de faire évoluer les mentalités. Nous sommes de grosses bourses bien dodues pour les industriels, les dindons de la farce, mais au final, c'est nous qui avons le pouvoir d'ouvrir ou non cette dernière et de consommer.

Ce qui m'inquiète, c'est que j'ai lu dans un site informatif que l'Europe allait autoriser de plus en plus les "ogm". C'est un autre débat, mais serons-nous encore sous l'égide du bio, face à ce nouvel ovni.

Adenar.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité sfc
Invités, Posté(e)
Invité sfc
Invité sfc Invités 0 message
Posté(e)

dans le lien il y a :

on voit que le bio consomme de la main d'oeuvre , ce qui va coûter cher et qui va faire chuter la rentabilité financière ,

l'état doit aider l'agriculteur qui fait du bio .

l'état doit aidé , non pas en donnant de l'argent , mais en réduisant ces charges , et les marge des intermédiaire , privilégier le commerce local , en redonnant du travail , l'état est gagnant , sa fait moins de chômeur .

faut comprendre que c'est tout le système lui même qui nous a menez, vers une certaine idéologie qui en fait ne fonctionne pas , c'est les "états" eux même qui on mené le monde a l’industrialisassions et le commerce international qui a favorisé les import exports , le français lui , il vas manger des tomates qui vienne d'Espagne , alors quel aurais trait bien pu pousser dans sa région ou ces alentour , c'est juste un exemple parmi temps d'autre , c'est juste débile d'en venir a acheter des truque qui vienne de l'autre bout de la planète de plus le transport consomme beaucoup d'énergie .

favoriser l’autonomie des "nations" et même au plus possible des "régions" la nourriture doit être produit par ces consommateurs

vous vous rendez compte , c'est tout le système capitaliste a outrance qui faut remettre en cause , certaine limite , n’aurais jamais du être dépassé , comme celle de la privatisassions des semences , c'est un crime contre l'humanité d'avoir privatiser la nourriture , c'est comme si je disais , la planète m'appartiens , payé ..

une société , comme une civilisation , n’échappe pas au loi de la nature et que si on considère l'homme comme faisant partie de tout ce qui constitue l’univers et donc la terre , il y a une naissance , une croissance et logiquement la suite c'est la pérennité , l'état ce conduit comme un adolescent qui voudrais toujours grandir alors que sa croissance elle est fini , on est dans un monde fini , et c'est bien la pérennité qui doit être mis en place et non cette course débile a la croissance , ils on que ce mot a la bouche !!! .

a force de courir tu te fatigue , ralentie , arrête les amphétamines et les anabolisant , on dirais que tu vas éclater , tu vas faire un arrêt cardiaque ...

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Greuh, 44ans Posté(e)
The_Dalek Membre 21 012 messages
44ans‚ Greuh,
Posté(e)

ça fait 60 ans au bas mot qu'on asperge le monde de pesticides et autres joyeusetés du même acabit, franchement, le bio c'est juste une étiquette pour faire plus de fric, rien d'autre

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant

Archivé

Ce sujet est désormais archivé et ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.

×