La sexualitation des rapports humain au XXIe siècle

Euh... Que je sache, si, justement; Le fait de considérer le plaisir féminin comme important est très récent. Après, je ne suis pas certain, mais j'aimerais bien des sources concernant le fait que ça soit vieux.

Je me demande si c'est si récent que ca, car en tant que gosse, j'ai surpris des conversation entre femmes et entre filles où elles ne se gênaient pas pour dire qu'avec un tel on comptait les mouches au plafond, qu'avec un autre il valait mieux faire du tricot. Les femmes n'étaient pas non plus des godiches à qui on faisait prendre des vessies pour des lanternes. Il est possible que j'aie vécu dans un milieu très libéral et émancipé mais quand même. Non je n'habitais pas La Creuse ou le plateau des Mille Vaches mais...bon....

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Je suis un gros bobo Parisien ( Ca c'est juste pour en faire ch.. certains ) pour qui le plaisir féminin est essentiel non pas à mon plaisir, mais à la satisfaction générale que je retire d'un rapport sexuel.Un bien être partagé. c'est tout con.....

" Alors ? Heureuse ?" dit-il en lui soufflant la fumée de sa Gauloise Bleue dans la tronche

Les professionnelles c'est pas mon truc justement à cause de la simulation..

Je suis le genre calculateur patient qui essaye de réaliser un orgasme simultané et parfois double ( la je veux bien admettre pour le deuxième terme que ça à un relans de machiste latin.) Enfin, bientôt l'excuse de l'âge......

J'assume.

@Luscdf je confirme qu'à mes 15-16 ans fallait pas jouer au con.....ou plutot jouer avec..

Et mes premieres partenaires ( et les suivantes...Halelluyah !!) attachaient une grande importance à leur plaisir. Faut comprendre, se finir à la main c'est pas jouissif...

Je me souviens d'une vague Emmanuelle

9 millions d'entrés

http://fr.wikipedia.org/wiki/Emmanuelle_%28film%29

Pour les amateurs de porno du XXIeme siècle, l'envers du décor :

Je ne sais pas trop si c'est le lieu pour mon coup de gueule ou si ça va relancer le sujet, mais aujourd'hui je suis tombée sur ça :

billet de blog

Ça m'a ramenée une fois encore 20 ans en arrière quand j'ai subi un attouchement identique, sauf que le RER était tellement bondé que je n'ai pu ni me défendre, ni insulter, serrée comme une sardine dans une boîte et impuissante.

20 ans que j'y repense régulièrement, 20 ans que je me sens souillée et humiliée même si je n'ai pas été violée.

On n'en parle pas. Est-ce que c'est normal ?

Je suis d'accord, et je pense que ce genre de nuisibles dans les transports existent hélas toujours.

Malgré la happy-end du gars qui fini sur le quai en cherchant ses dents.

Malgré les bras sympathiques qui ont aidé la narratrice à expulser cette vermine.

Ben oui, je l'ai vécu aussi, sauf que je n'ai pas eu le temps de réagir, c'était juste au moment de sortir de la rame. Je ne sais même pas vraiment d'où ça venait.

Quand on prend les transports en commun, on a tous été témoins de ce genre de comportement ; à part réagir quand on s'en aperçoit, je ne vois pas trop comment éradiquer le problème des gros malades.

J'ai même vu un mec reluquer les fesses d'une nana en jean, jeter un oeil alentour et lui caresser le cul du bout des doigts en plein couloir de métro. La nana n'a rien senti, moi j'ai vu la scène qui n'a duré que quelques secondes.

Le malheur ce sont ces jeunes filles qui sont tellement mal à l'aise qu'elles se laissent écrabouiller contre la porte avec l'énergumène bien plaqué derrière elles. On les voit rougir écarlate et ne pas broncher, ça donne des envies de meurtre. Donc on le dit bien fort pour que le gars ne sache plus où se mettre mais surtout pour libérer la fille, ce qui n'empêchera pas l'individu de recommencer.

Malheureusement c'est comme ça partout où la foule est trop dense, les prédateurs se sentent dans la possibilité d'agir en toute impunité.

Perso ça ne me traumatise pas plus que ça, par contre je peux devenir violente, même s'il ne s'agit pas de moi.

Alors dénoncer, ne pas rester passif, ça vaut aussi pour les vols et autres agressions en tout genre.

Ce qui fait le plus de mal, c'est l'indifférence générale.