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Cinq intox sur la théorie du genre

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Invité lobotomie_

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Membre, Esprit de contradiction, 48ans Posté(e)
Savonarol Membre 10 346 messages
48ans‚ Esprit de contradiction,
Posté(e)

Le fait que vous soyez privilégié est une certitude, pas une croyance.

Vous êtes un homme, c'est déjà une position privilégié.

Vous êtes hétéro, c'est également une position privilégié.

Il ne reste plus que le fait que vous soyez blanc, et vu vos réponses je peux décemment le considérer.

Dans mon univers (c'est à dire le vrai, celui où VOUS ne vivez pas), le privilège est lié à l'argent, pas à l'orientation sexuelle.

C'est l'unité de calcul politique, c'est comme ça qu'il faut réfléchir si on décide de faire de la politique intelligemment, c'est à dire en terme de pouvoir d'achat selon qu'on est pauvre ou riche, selon qu'on est paysan ou patron de canal +, selon qu'on est millionnaire où bénéficiaire du RSA.

C'est l'argent le marqueur du privilège, pas la manière qu'on a de prendre son pied dans la chambre à coucher. Et ça, si vous l'intégriez, vous vous mettriez à faire de la politique intelligemment.

De fait, comme Louis CK l'a dit "How many privileges can someone have ? That's amazing"

La vérité est là: vous ne voulez pas répondre à ces questions parce qu'elles mettraient en valeur à quel point vous êtes dans une position privilégiée, et à quel point vous mésestimez l'influence raciste/sexiste/homophobe dans la société, ce qui vous avantage largement puisque vous n'avez pas à en subir les dégâts.

Je ne veux pas répondre à votre petit QCM parce-que c'est de l'enculage de mouches, ni plus ni moins, vous avez tellement de difficultés à défendre votre point de vue face à la réalité des chiffres, que vous en arrivez à ce genre de techniques.

En quoi les réponses à votre QCM change les chiffres officiels de l'homophobie en France? Faut accepter de se laisser déboulonner parfois, on est pas obligé d'avoir raison à tous les coups et vous ne perdrez pas "votre honneur" en lâchant prise.

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Membre, Bubon baveux de Belzébuth, 37ans Posté(e)
casdenor Membre 11 203 messages
37ans‚ Bubon baveux de Belzébuth,
Posté(e)

Vous êtes tellement privilégié par le système actuel que vous ne vous rendez même pas compte que vous l'êtes. Pensez-y.

Mon petit "QCM" enculage de mouches, c'est ce qui va permettre de me rendre compte à quel point vous êtes ignorant de la réalité. Les "chiffres officiels de l'homophobie" sont mignons, mais si vous croyez que la discrimination commence quand on tabasse quelqu'un ou si vous croyez que les chiffres donnent une idée de l'homophobie globale de la société, vous vous trompez lourdement.

L'homophobie commence quand un individu homosexuel est dévalorisé ou désavantagé dans sa vie vis-à-vis d'un individu hétérosexuel. Tant que vous n'aurez pas compris ce point, vous ne verrez pas à quel point vous et moi sommes des individus privilégiés.

Ça ne signifie pas que ce soit une honte, simplement un fait.

Et... je suis désolé, il n'est pas question de perdre honneur ici, il est question de refuser de voir quelqu'un nier la violence sociale et les dégâts subis par les homos (notamment) en France. Dire que l'homophobie est dérisoire est une aberration, il est hors de question que je laisse quelqu'un tenir de pareils propos.

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Membre, Esprit de contradiction, 48ans Posté(e)
Savonarol Membre 10 346 messages
48ans‚ Esprit de contradiction,
Posté(e)

Je ne vais pas continuer à me paraphraser, vous n'avez pas envie de comprendre.

Le privilège se fait au niveau de l'argent et du pouvoir d'achat, vous mettez dans le même panier un gay bobo du marais et un agriculteur gay sous la même bannière de "la lutte contre l'homophobie".

La vraie violence est sociale, pas communautaire, les problèmes qui touchent profondément la France sont le chômage, la santé, le logement, la sécurité, pas l'homophobie. Vous avez le droit d'avoir vos marottes, et je n'ai rien à redire d'une personne qui militerait contre l'excision en France, mais ça ne m'empêcherait pas de faire remarquer c'est que ultra marginal comme pratique, et que parler " d'un problème d'excision en France" serait dérisoire.

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Membre+, 52ans Posté(e)
Ocytocine Membre+ 17 770 messages
Forumeur Débutant‚ 52ans‚
Posté(e)

Sympa pour les excisées. Leur nombre est dérisoire, donc ce n'est pas un problème, on s'en fout ?shrunkface.gif

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Invité s
Invités, Posté(e)
Invité s
Invité s Invités 0 message
Posté(e)

je lis dérisoire comme faible par rapport aux problèmes qui se passent en France non du fait, que cela n'a pas d'importance enfin c'est ce que j'en ai compris.

Après par exemple, si on s'occupait d'un problème important en France, la sécurité, il y a aurait peut être moins d'agressions.

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Membre+, 52ans Posté(e)
Ocytocine Membre+ 17 770 messages
Forumeur Débutant‚ 52ans‚
Posté(e)

Je vais dire à mon pote homosexuel qui s'est fait tabasser (avant 2012 whistling1.gif) que ce qui lui est arrivé est dérisoire puisqu'il y a la crise, le chômage, etc., ça va le faire rire (jaune).

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Invité s
Invités, Posté(e)
Invité s
Invité s Invités 0 message
Posté(e)

Tout dépend du contexte, comment cela est dit et à quel moment, il est clair qu’une personne qui vient me dire qu’elle s’est fait agresser, je ne vais pas lui répondre « il y a le chômage… »

Mais si dans un topic ou d’ailleurs ce n’est pas le sujet, une personne aborde le problème de l’homosexualité de façon générale puisque ça parle du domaine de l’éducation dans les écoles. Je pourrais très bien soulever que pour combattre cela, il faut d’abord s’en prendre à la source, le chômage, l’insécurité. Enfin, je n’ai pas tout suivi les posts pour savoir ce qu’il en est exactement mais je réagis surtout au dernier post de Savonarol où je comprends qu’il veut dire qu’il faut combattre le chômage…pour qu’il y ait moins d’agressions.

Modifié par samira123
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Membre, Bubon baveux de Belzébuth, 37ans Posté(e)
casdenor Membre 11 203 messages
37ans‚ Bubon baveux de Belzébuth,
Posté(e)

Je ne vais pas continuer à me paraphraser, vous n'avez pas envie de comprendre.

Le privilège se fait au niveau de l'argent et du pouvoir d'achat, vous mettez dans le même panier un gay bobo du marais et un agriculteur gay sous la même bannière de "la lutte contre l'homophobie".

La vraie violence est sociale, pas communautaire, les problèmes qui touchent profondément la France sont le chômage, la santé, le logement, la sécurité, pas l'homophobie. Vous avez le droit d'avoir vos marottes, et je n'ai rien à redire d'une personne qui militerait contre l'excision en France, mais ça ne m'empêcherait pas de faire remarquer c'est que ultra marginal comme pratique, et que parler " d'un problème d'excision en France" serait dérisoire.

C'est tellement plus facile de croire ça.

"non, non, je ne suis pas privilégié".

Le fait que les femmes gagnent moins que les hommes à travail équivalent ? Meuh non, aucun privilège.

Le fait que les hommes de pouvoir soient ultra majoritairement homme et blancs ? Meuh non, aucun privilège.

Le fait que l'on fasse plus confiance à un blanc qu'à un noir à travail équivalent ? Meun non, aucun privilège.

Le fait qu'on ne va jamais considérer la parole d'un homme comme découlant de ses hormones ? meuh non aucun privilège.

Le fait qu'on soit dix fois moins sujets à des contrôle de police ? Meuh non aucun privilège.

Le fait qu'on ne risque pas, pour un geste ou une déclaration, de se faire tabasser parce qu'un type n'aime pas notre sexualité ? Meuh non, aucun privilège.

Non, vous dis-je, aucun privilège. Un homme blanc et hétéro a les mêmes chances dans la vie qu'une femme noire homosexuelle.

Tant de refus de voir la réalité en face...

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Membre, Esprit de contradiction, 48ans Posté(e)
Savonarol Membre 10 346 messages
48ans‚ Esprit de contradiction,
Posté(e)

Sympa pour les excisées. Leur nombre est dérisoire, donc ce n'est pas un problème, on s'en fout ?shrunkface.gif

J'arrive pas à comprendre ta logique. :/

je lis dérisoire comme faible par rapport aux problèmes qui se passent en France non du fait, que cela n'a pas d'importance enfin c'est ce que j'en ai compris.

Après par exemple, si on s'occupait d'un problème important en France, la sécurité, il y a aurait peut être moins d'agressions.

Ben comme je l'ai écrit une dizaine de fois, oui.

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Membre, Marchombre, 33ans Posté(e)
Serguei Zoubatov Membre 4 440 messages
33ans‚ Marchombre,
Posté(e)

La théorie du genre n'est qu'une hypothèse idéologique

PAR FRANÇOIS- XAVIER BELLAMY. Pour le philosophe, l'altérité naturelle fait partie de nous, de notre origine, de notre identité, de nos relations.

Normalien, agrégé de philosophie, François- Xavier Bellamy enseigne en classe préparatoire. Il est maire adjoint (sans étiquette) de Versailles.

La théorie du genre existe-t-elle? A partir de cette question si vivement discutée aujourd'hui, il me semble utile de tenter une réponse - et de formuler une remarque.

Partons de ce qui est certain: le concept de genre existe bel et bien. Apparu dans la littérature universitaire il y a une quarantaine d'années, il s'est déployé dans des directions variées, au point qu'il est aujourd'hui utilisé dans des champs aussi éloignés que la sociologie, la littérature, l'économie ou les politiques publiques.

Quel est le sens de ce concept? Il sert à ceux qui l'emploient de critère d'interprétation pour décrypter la vie sociale et les relations humaines, à partir d'une idée essentielle: les différences entre hommes et femmes ne sont pas liées à une altérité naturelle, mais produites par une construction culturelle, tout entière organisée pour consolider la domination d'un sexe par l'autre.

Ainsi explicité, le concept de genre recouvre bien une certaine vision du monde - c'est-à-dire, au sens étymologique du terme, une théorie. Le concept même est indissociable de l'hypothèse qui le sous-tend, qui affirme le caractère culturel et construit de la différence entre l'homme et la femme. C'est pour exprimer cette conception particulière qu'il a été forgé par concurrence avec le terme de sexe, supposé décrire une différence biologique que personne ne nie, mais que le concept de genre relègue à un détail insignifiant.

Pardonnez-moi ces précisions quelque peu abstraites ; elles sont nécessaires pour mettre en évidence le contenu réel du concept de genre, et donc du postulat de départ des fameuses «études de genre.»

Les défenseurs de ce concept, qui l'emploient massivement aujourd'hui (on ne compte pas les séminaires, colloques, cours, publications dédiées à des études liées au genre dans tous les domaines de la recherche) nient avec véhémence qu'une quelconque «théorie» soit cachée derrière ce concept. Mais cette dénégation n'a tout simplement aucun sens.

Prenons une analogie récente pour le montrer: il y a peu de temps encore, des milliers de chercheurs en histoire, en sociologie, en arts, dans tous les champs de la description du monde, tentaient d'interpréter les phénomènes qu'ils étudiaient du point de vue de la lutte des classes. La vie des sociétés humaines était analysée, à la suite des travaux de Marx notamment, comme un conflit latent entre les classes sociales, opposant ceux qui possèdent les moyens de production et ceux qui les mettent en œuvre.

Le concept de lutte des classes était fondé sur cette vision politique particulière et engagée. Mais pendant des décennies, des universitaires ont prétendu produire, à partir de ce concept, une littérature, une économie, une histoire rigoureusement scientifiques. C'est exactement la même supercherie que reproduisent aujourd'hui les promoteurs du concept de genre. Interpréter l'histoire, la littérature, la vie sociale, comme les lieux de la domination masculine par la construction des stéréotypes sexués, peut être une hypothèse de travail ; mais il s'agit bien d'une théorie particulière, et à ce titre elle n'a rien d'une évidence incontestable.

Pour ma part, je la crois même parfaitement inexacte - aussi fausse que le marxisme, et tout aussi dévastatrice. Et j'entends bien continuer de la critiquer, sans que cela donne à qui que ce soit le droit de me traiter d'obscurantiste…

Nous touchons là à une remarque qui me semble essentielle.

Il est tout à fait permis de penser qu'il n'y a entre l'homme et la femme aucune différence de nature, de défendre cette conception par la recherche, et même, pourquoi pas, de la promouvoir par l'action politique. C'est ce que fait par exemple Caroline de Haas, ancienne conseillère de Najat Vallaud-Belkacem, à qui j'ai pu répondre dans une tribune parue dans Le Monde. Le débat démocratique suppose des visions et des projets assumés loyalement.

Il est en revanche proprement scandaleux d'empêcher le dialogue, d'interdire la critique, en cachant la réalité des intentions que l'on poursuit.

Toute la politique du gouvernement est animée par la conception anthropologique que recouvre le concept de genre - je l'écrivais déjà il y a plus d'un an. Parmi d'autres textes, la loi sur l'égalité entre les hommes et les femmes, qui a été votée dernièrement à l'Assemblée nationale, en porte tout entière la marque. Prenons un seul exemple: pénaliser les couples dans lesquels l'homme ne prend pas comme la femme un congé parental, c'est affirmer que le père et la mère ont exactement la même place à tenir auprès de l'enfant qui vient de naître - et que cette conception pluri-millénaire qui donne au père une responsabilité singulière pour subvenir aux besoins du foyer est un pur stéréotype qu'il s'agit de déconstruire au nom de l'égalité.

Affirmer, comme le fait la loi Taubira, qu'un enfant peut avoir deux pères ou deux mères, c'est dire qu'aucun des deux sexes n'a de fonction particulière dans la procréation, et que la faculté extraordinaire du corps maternel, qui donne chair à un nouvel être, n'est rien qu'une fonction biologique anodine qu'il faut dépasser lorsqu'elle devient une limite pénible à notre désir d'enfant.

Tout cela repose sur une certaine conception du monde. Pourquoi ne pas l'assumer comme telle? Le politique a le droit de défendre ses idées ; mais il est contraire à l'exigence démocratique de promouvoir une stratégie en la dissimulant à l'opinion. Prétendre que la théorie du genre est une «folle rumeur», qu'elle «n'existe pas», que le discours du gouvernement sur l'égalité est parfaitement neutre et dépourvu de postulats, c'est à l'évidence mépriser la vérité, et du même coup les citoyens.

Puisque le gouvernement s'inspire du concept de genre pour construire sa politique, il a le devoir de l'assumer. Il a le droit de promouvoir une vision de l'égalité fondée sur l'indifférence ; mais il est absolument scandaleux qu'il le fasse dans le silence, en détournant notamment de son but l'Éducation nationale pour que les élèves apprennent comme une évidence scientifique ce qui n'est qu'une hypothèse idéologique. Nous ne manquons pas d'exemples concrets pour montrer que, malgré tous les démentis, c'est ce qui est en train de se produire dans les salles de classe…

Si le gouvernement se refuse aujourd'hui à assumer cette politique, c'est qu'il sait qu'elle serait très largement rejetée. Nous savons combien l'altérité structure en profondeur ce que nous sommes. Oui, notre expérience humaine est habitée par la magnifique fécondité de la différence, et en particulier de la différence des sexes ; oui, cette altérité naturelle fait partie de nous, de notre origine, de notre identité, de nos relations. Pour le redire encore et toujours, nous marcherons demain avec tout ce que d'autres voudraient nier: la liberté de nos consciences, la lucidité de nos esprits, la paix que nous espérons pour la société, nos cœurs qui veulent encore s'émerveiller de l'autre, et puis nos corps d'hommes et de femmes.

François-Xavier Bellamy

http://www.lefigaro.fr/vox/societe/2014/02/03/31003-20140203ARTFIG00324-la-theorie-du-genre-n-est-qu-une-hypothese-ideologique.php

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Membre, Esprit de contradiction, 48ans Posté(e)
Savonarol Membre 10 346 messages
48ans‚ Esprit de contradiction,
Posté(e)

Non, vous dis-je, aucun privilège. Un homme blanc et hétéro a les mêmes chances dans la vie qu'une femme noire homosexuelle.

Tant de refus de voir la réalité en face...

Si l'homme blanc et la femme noire sont de la même classe sociale, alors l'égalité au sein la bourgeoisie, je vous garantie que c'est beaucoup plus facile à établir.

Le problème n'est pas racial ou sexuel en France, il est SOCIAL = ARGENT = POUVOIR D'ACHAT

C'est aussi absurde que si vous disiez que Barack Obama et l'esclave noir dans Amistad, c'est la même chose.

Vous réduisez les gens à leur condition raciale ou sexuelle en prétendant ensuite "lutter contre l'inégalité mais vous faites le contraire, vous les faites exister en empruntant ce paradigme communautaire.

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Membre, Bubon baveux de Belzébuth, 37ans Posté(e)
casdenor Membre 11 203 messages
37ans‚ Bubon baveux de Belzébuth,
Posté(e)

Si l'homme blanc et la femme noire sont de la même classe sociale, alors l'égalité au sein la bourgeoisie, je vous garantie que c'est beaucoup plus facile à établir.

Un homme blanc hétéro et une femme noire homosexuelle n'ont donc aucune différence dans leur vie s'ils sont de la même classe sociale ? C'est ce que vous dites ?

Sérieusement ? O______________________o

Le problème n'est pas racial ou sexuel en France, il est SOCIAL = ARGENT = POUVOIR D'ACHAT

Pour vous, forcément, c'est le seul problème auquel vous êtes confronté, vu que vous n'avez pas les autres....

Modifié par casdenor
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Membre, In girum imus nocte et consumimur igni , 52ans Posté(e)
PASDEPARANOIA Membre 27 326 messages
52ans‚ In girum imus nocte et consumimur igni ,
Posté(e)

Non, il est multiple.

Il est bien évident qu'il est plus facile d’asseoir son homosexualité dans le Marais que dans un village, d'autant plus si on est black.

Mais oui, avec du fric, les gens la ferme, même s'ils n'es pensent pas moins, dans l'espoir de pouvoir grappiller un peu. Ou par peur de représailles aussi.

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Membre, Esprit de contradiction, 48ans Posté(e)
Savonarol Membre 10 346 messages
48ans‚ Esprit de contradiction,
Posté(e)

Un homme blanc hétéro et une femme noire homosexuelle n'ont donc aucune différence dans leur vie s'ils sont de la même classe sociale ? C'est ce que vous dites ?

Sérieusement ? O______________________o

Pour vous, forcément, c'est le seul problème auquel vous êtes confronté, vu que vous n'avez pas les autres....

...

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Membre, Esprit de contradiction, 48ans Posté(e)
Savonarol Membre 10 346 messages
48ans‚ Esprit de contradiction,
Posté(e)

Non, il est multiple.

Il est bien évident qu'il est plus facile d’asseoir son homosexualité dans le Marais que dans un village, d'autant plus si on est black.

Mais oui, avec du fric, les gens la ferme, même s'ils n'es pensent pas moins, dans l'espoir de pouvoir grappiller un peu. Ou par peur de représailles aussi.

MERCI

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Membre, Thermodynamiquement instable, Posté(e)
Yardas Membre 7 068 messages
Thermodynamiquement instable,
Posté(e)

Un homme blanc hétero reste mieux parti dans la vie qu'une femme noire homosexuelle, à niveau social égal. Ou qu'un noir. Ou qu'une femme.

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Membre, Posté(e)
Constantinople Membre 18 329 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

Je ne sais pas si c'est vrai ça.Par exemple quand je lis sur ce forum, j'ai souvent l'impression qu'il vaut bien mieux etre une homosexuelle d'origine maghrébine meurtrière, dealeuse, ou braqueuse, plutôt qu'un homme de 40 ans hétérosexuel, bien sous tout rapport, mais votant front national, contre le mariage gay, et allant à la manif pour tous, pour espérer être accepté par la communauté bien pensante des temps bénis à venir du socialisme triomphant. Mais c'est peut être qu'une impression :)

Modifié par Constantinople
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Membre, Esprit de contradiction, 48ans Posté(e)
Savonarol Membre 10 346 messages
48ans‚ Esprit de contradiction,
Posté(e)

C'est pour ça qu'au delà des luttes personnelles, le marqueur dans une démocratie de marché, c'est l'argent et celui qui en possède ou non.

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Membre, Bubon baveux de Belzébuth, 37ans Posté(e)
casdenor Membre 11 203 messages
37ans‚ Bubon baveux de Belzébuth,
Posté(e)

Facile de dire ça quand on est du bon côté de la barrière.

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