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Cinq intox sur la théorie du genre

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Invité lobotomie_

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Membre, Thermodynamiquement instable, Posté(e)
Yardas Membre 7 068 messages
Thermodynamiquement instable,
Posté(e)

Non, Yardas, le but de la religion n'est pas de réprimer l'homosexualité. J'ai pu constater combien cette question semble centrale chez toi, mais je t'assure que le monde ne tourne pas autour des homosexuels.

Ce n'est certainement pas son but, mais il faut dire qu'elle n'a pas vraiment aidé pendant les derniers siècles.

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Membre, Posté(e)
-SyntaxError- Membre 2 255 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Depuis la nuit des temps ?

Outre son mysticisme , la religion se construit sur des règles qui permettent à tous de vivre en bonne intelligence, de contrôler les passions personnelles et l'anarchie qu'elles suscitent., de définir des règles afin de permettre la vie en société. Règles qui restent valables même dans un monde qui vit sans Dieu(x) ou sans religion(s), et où elles deviennent "la loi".

La peur du châtiment de Dieu est remplacée à terme par la peur du châtiment tout court.

Tu peux ne pas apprécier le sens de la religion et de l'ordre qu'elle implique, mais tu ne peux pas lui nier l'existence de ce sens et de cet ordre qui en découle.

Le mysticisme religieux et la morale religieuse ne sont pas dissociables, c'est justement ça la religion... Tu n'as pas dit croyance, tu as dit religion, nuance.

Ce n'est pas la religion qui permet de définir des règles de vie en société, les règles sont inhérentes à la vie de groupe, et l'homme est un animal social, donc qui vit en groupe..

(et t'es au courant que le mariage entre cousins/cousines germain(es) est autorisé par la loi mais pas par l'Eglise par exemple?)

Bon sens "sentiment de ce qui est raisonnable". Est-ce raisonnable de croire qu'un mec dirige tout de là-haut?

Bref, c'est HS...

Définition de la perversion ?

C'est toi qui en parle, donc à toi l'honneur...

Tu parles de perversion en psychanalyse, j'attends donc ta définition psychanalytique de la perversion, et non celle du Larousse...

Un petit indice... On parle de structures, et on les classifie en trois groupes. Névroses, psychoses, et perversions.

J'attends toujours tes sources...

Mis à part ça, je ne vois toujours pas le rapport que tu vois avec la "théorie du genre"...

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Membre, Esprit de contradiction, 48ans Posté(e)
Savonarol Membre 10 346 messages
48ans‚ Esprit de contradiction,
Posté(e)

Le mysticisme religieux et la morale religieuse ne sont pas dissociables, c'est justement ça la religion... Tu n'as pas dit croyance, tu as dit religion, nuance.

Ce n'est pas la religion qui permet de définir des règles de vie en société, les règles sont inhérentes à la vie de groupe, et l'homme est un animal social, donc qui vit en groupe..

(et t'es au courant que le mariage entre cousins/cousines germain(es) est autorisé par la loi mais pas par l'Eglise par exemple?)

Bon sens "sentiment de ce qui est raisonnable". Est-ce raisonnable de croire qu'un mec dirige tout de là-haut?

Bref, c'est HS...

La croyance n'implique pas forcément la religion et la religion n'implique pas forcément la foi, mais la religion implique des règles.

La religion établie les règles qui expliquent le pourquoi de la croyance et la manière dont elle doit se manifester, elle est morale et établit (par exemple pour le catholicisme) des règles de vie en société basée sur un Dieu unique et universaliste, qui donc reconnaît tout être humain comme sa brebis.

Au contraire par exemple des religions norroises basées sur la loi du sang, et donc du clan, excluant de fait une partie de la population (celle hors du clan) de la vie en société du clan.

"Les règles sont inhérents à la vie de groupe" , et donc ? La religion fonde les règles de la vie en société depuis plusieurs millénaires sur cette partie de la planète, l'homme ne "s'auto-gère" pas sans produire d'effort et de regard sur lui-même, ça ne sort pas tout seul.

As-tu d'ailleurs un seul exemple de vie en société qui ne trouve pas son héritage dans la religion ? Je veux dire par là, basé autour d'un genre d'athéisme qui ne prend que l'homme comme mesure de l'humanité?

Le débat sur l'existence de Dieu est un autre débat, là tu écris :" Depuis quand les religions sont dotées de bon sens???? "

La religion pense en terme de communauté et d'intérêt général, pas de lutte individuelle et de revendication communautaire, et c'est là tout son bon sens.

C'est toi qui en parle, donc à toi l'honneur...

Tu parles de perversion en psychanalyse, j'attends donc ta définition psychanalytique de la perversion, et non celle du Larousse...

Un petit indice... On parle de structures, et on les classifie en trois groupes. Névroses, psychoses, et perversions.

J'attends toujours tes sources...

Mis à part ça, je ne vois toujours pas le rapport que tu vois avec la "théorie du genre"...

Non, c'est toi qui en parle dans ce même post (dernier paragraphe) et je t'ai posé une simple question dans un topic où les mots ont du mal à trouver leur sens (cf déviance, ou cf perversion)

J'ai un peu la flemme de recommencer ce débat d'ailleurs, puisqu'il sera calqué sur le débat sémantique autour de "déviance" qui a eu lieu la semaine dernière.

J'attends toujours tes sources...

Mis à part ça, je ne vois toujours pas le rapport que tu vois avec la "théorie du genre"...

C'est normal, il va être compliqué de parler de déviances ou de perversion si on explique déjà que ça n'existe pas. :sleep:

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Membre, Posté(e)
-SyntaxError- Membre 2 255 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

La croyance n'implique pas forcément la religion et la religion n'implique pas forcément la foi, mais la religion implique des règles.

La religion établie les règles qui expliquent le pourquoi de la croyance et la manière dont elle doit se manifester, elle est morale et établit (par exemple pour le catholicisme) des règles de vie en société basée sur un Dieu unique et universaliste, qui donc reconnaît tout être humain comme sa brebis.

Au contraire par exemple des religions norroises basées sur la loi du sang, et donc du clan, excluant de fait une partie de la population (celle hors du clan) de la vie en société du clan.

"Les règles sont inhérents à la vie de groupe" , et donc ? La religion fonde les règles de la vie en société depuis plusieurs millénaires sur cette partie de la planète, l'homme ne "s'auto-gère" pas sans produire d'effort et de regard sur lui-même, ça ne sort pas tout seul.

As-tu d'ailleurs un seul exemple de vie en société qui ne trouve pas son héritage dans la religion ? Je veux dire par là, basé autour d'un genre d'athéisme qui ne prend que l'homme comme mesure de l'humanité?

Le débat sur l'existence de Dieu est un autre débat, là tu écris :" Depuis quand les religions sont dotées de bon sens???? "

La religion pense en terme de communauté et d'intérêt général, pas de lutte individuelle et de revendication communautaire, et c'est là tout son bon sens.

Homo Sapiens n'a pas toujours été ce qu'il est aujourd'hui, et il n'a d'ailleurs pas toujours été...tout court...

Je veux dire par là que les règles de vie en groupe ont évolué en même temps que ce qu'on appelle communément "l'homme". Elle ne sont pas arrivées comme ça, d'un coup, avec un mec sur fond de lumière blanche... Elles ont évolué.

M'enfin il y a déjà un tel sujet dans la section religion. Tu connais maintenant ma position à ce sujet, je connais la tienne. On peut toujours aller y discuter, mais je préfère parler de la fameuse "théorie du genre".

Je ne vois pas les rapports des réponses de Mimosa avec ce sujet.

Non, c'est toi qui en parle dans ce même post (dernier paragraphe) et je t'ai posé une simple question dans un topic où les mots ont du mal à trouver leur sens (cf déviance, ou cf perversion)

J'ai un peu la flemme de recommencer ce débat d'ailleurs, puisqu'il sera calqué sur le débat sémantique autour de "déviance" qui a eu lieu la semaine dernière.

C'est normal, il va être compliqué de parler de déviances ou de perversion si on explique déjà que ça n'existe pas. :sleep:

Ah effectivement, c'est normal vu que tu fais référence à une réponse qui était destinée à "Mimosa", et non pas à toi...

Donc j'attends toujours la réponse de Mimosa et ses sources.... concernant ceci:

Les stéréotypes homme dominants/femmes soumises sont issu de vision perverse du sado- masochisme et proviennent d'une méconnaissance de la différence des sexes .La psychanalyse a montré que dans leur inconscient les personnes à tendance sado masochistes niaient la différence des sexes , de même que les homosexuels (pas consciemment mais inconsciemment ce qui explique cet écharnement à rendre égaux les sexes auquel on assiste actuellement ) :c'est une donnée scientifique .

Les sado masochistes ne sont pas hétéro (ils sont pervers) , ils peuvent se marier mais brimeront leur femme , de même que les homosexuels refoulés qui s'ignorent .Il faut bien évidemment lutter contre ces stéréotypes dominant/dominé , qui sont le fait de personnes à structure perverses.

Et après ce sera plus clair..

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Membre, 60ans Posté(e)
alcina Membre 5 752 messages
Baby Forumeur‚ 60ans‚
Posté(e)

Il faudra alors aussi penser à changer les règles de grammaire Française. Quand on explique aux petites filles qu'elles ne sont en rien inférieur aux garçons dans les métiers, salaires etc...., par ce que je vois pas alors au nom de quoi le masculin le remporterait toujours sur le féminin, même si il n'y à qu'un masculin pour 1 milliard de féminins.

Merci.

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Membre, Esprit de contradiction, 48ans Posté(e)
Savonarol Membre 10 346 messages
48ans‚ Esprit de contradiction,
Posté(e)

Homo Sapiens n'a pas toujours été ce qu'il est aujourd'hui, et il n'a d'ailleurs pas toujours été...tout court...

Je veux dire par là que les règles de vie en groupe ont évolué en même temps que ce qu'on appelle communément "l'homme". Elle ne sont pas arrivées comme ça, d'un coup, avec un mec sur fond de lumière blanche... Elles ont évolué.

Ca n'empêche que la religion est le plus gros modèle de société jamais construit par l'homme, et je te rappelle ce à quoi je répondais : tu m'expliques que les religions n'ont pas de bon sens, ce à quoi je répond qu'elles se construisent autour du bon sens.

Elles pensent à l'intérêt général (celui du croyant dans le cas de la religion) au lieu de penser à l'intérêt individuel, parce que "l'individu" n'est rien politiquement, il n'existe pas. Une société composée juste "d'individus" a cessé d'exister, c'est pourquoi il est nécessaire pour un groupe humain de se regrouper sous une bannière pour faire force politiquement. Ca peut être une religion, ça peut être une nation, ça peut être une race pour peu qu'on y croit, mais ça ne peut jamais être "un individu" tout seul, l'individu a déjà perdu à partir du moment où l'individualisme a gagné.

Et après ce sera plus clair..

C'est quoi une perversion pour toi ? Qu'est ce que tu appelles perversion par exemple ?

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Membre, Posté(e)
-SyntaxError- Membre 2 255 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Ca n'empêche que la religion est le plus gros modèle de société jamais construit par l'homme, et je te rappelle ce à quoi je répondais : tu m'expliques que les religions n'ont pas de bon sens, ce à quoi je répond qu'elles se construisent autour du bon sens.

Elles pensent à l'intérêt général (celui du croyant dans le cas de la religion) au lieu de penser à l'intérêt individuel, parce que "l'individu" n'est rien politiquement, il n'existe pas. Une société composée juste "d'individus" a cessé d'exister, c'est pourquoi il est nécessaire pour un groupe humain de se regrouper sous une bannière pour faire force politiquement. Ca peut être une religion, ça peut être une nation, ça peut être une race pour peu qu'on y croit, mais ça ne peut jamais être "un individu" tout seul, l'individu a déjà perdu à partir du moment où l'individualisme a gagné.

Je crois que ma réponse au post de Mimosa, au vu de la manière dont elle a présenté les choses:

C'est pourquoi les religions , les psychanalystes et bien d'autres personnes de bon sens , trouvent dangereuse la théorie du genre .(cette théorie existe depuis plus de 20 ans avec Judith Butler comme chef de file , qui a servi de modèle au mouvelmenbt queer , renseignez vous ) .

En mettant la religion au même rang que les sciences humaines et sociales, ma réponse était tout à fait adaptée, je trouve.

D'ailleurs, la théorie du genre n'existe pas depuis 20 ans grâce à cette Judith Butler, elle existe depuis la moitié du siècle dernier, lorsqu'un psychosociologue a été le premier a utiliser la notion de genre.

C'est quoi une perversion pour toi ? Qu'est ce que tu appelles perversion par exemple ?

La perversion est un champ d'étude en psychanalyse. Les personnalités se classent en trois groupes. Les névrosés, les psychotiques, et les pervers.

Elle n'est donc pas à mettre dans le même champ que l'orientation sexuelle, qui n'est pas une structure de personnalité.

Dans la perversion il y a la notion de souffrance. Tout acte causé de manière répétitive et ayant pour but la jouissance par la souffrance (envers autrui ou envers soi-même) est une conduite perverse. La perversion est une pathologie, au sens psy du terme.

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Membre, Esprit de contradiction, 48ans Posté(e)
Savonarol Membre 10 346 messages
48ans‚ Esprit de contradiction,
Posté(e)

La perversion est un champ d'étude en psychanalyse. Les personnalités se classent en trois groupes. Les névrosés, les psychotiques, et les pervers.

Elle n'est donc pas à mettre dans le même champ que l'orientation sexuelle, qui n'est pas une structure de personnalité.

Dans la perversion il y a la notion de souffrance. Tout acte causé de manière répétitive et ayant pour but la jouissance par la souffrance (envers autrui ou envers soi-même) est une conduite perverse. La perversion est une pathologie, au sens psy du terme.

Ne peut-on donc pas dire qu'il y a des sexualités intrinsèquement perverses puisqu'elles se basent sur la prise de plaisir via la douleur ? Les concepts se touchent je trouve.

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Membre, Posté(e)
-SyntaxError- Membre 2 255 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Ne peut-on donc pas dire qu'il y a des sexualités intrinsèquement perverses puisqu'elles se basent sur la prise de plaisir via la douleur ? Les concepts se touchent je trouve.

Tout dépend. Si tous les protagonistes sont consentants, et prennent du plaisir à souffir, je dirais que non... Puisque dans ce cas de figure, aucun ne souffre réellement, et n'agit sous la contrainte. Je dirais que ce sont plutôt des pratiques déviantes, mais pas pathologiques.

La perversion c'est justement lorsque l'autre ne prend pas plaisir à souffrir.

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Membre, Marxiste tendance Groucho, 64ans Posté(e)
Alain75 Membre 27 401 messages
64ans‚ Marxiste tendance Groucho,
Posté(e)

Dialogue entre maso et sadique:

-Fait moi mal !bave.png

-Non dev.gif

humour......parce-que làlazy.gif.......

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Membre, Esprit de contradiction, 48ans Posté(e)
Savonarol Membre 10 346 messages
48ans‚ Esprit de contradiction,
Posté(e)

Tout dépend. Si tous les protagonistes sont consentants, et prennent du plaisir à souffir, je dirais que non... Puisque dans ce cas de figure, aucun ne souffre réellement, et n'agit sous la contrainte. Je dirais que ce sont plutôt des pratiques déviantes, mais pas pathologiques.

La perversion c'est justement lorsque l'autre ne prend pas plaisir à souffrir.

Donc la perversion n'existe plus à partir du moment où elle est souhaitée ?

Lorsqu'un type prend du plaisir à se faire fouetter par une fille habillée en cuir qui lui enfonce un gode dans l'anus en l'appelant "Médor", il n y a pas perversion parce-que le pervers est demandeur de sa perversion ?

Je m'attendais à une réponse plus nuancée, mais on est pile dans tout ce que ce cinéma autour du genre signifie de dénaturement des mots et de leur sens à coup de "tout dépend", démarche éminemment politique qui consiste à changer le sens des mots pour en faire accepter le sens qu'on leur donne.

Tout dépend. Si tous les protagonistes sont consentants, et prennent du plaisir à souffir, je dirais que non... Puisque dans ce cas de figure, aucun ne souffre réellement, et n'agit sous la contrainte. Je dirais que ce sont plutôt des pratiques déviantes, mais pas pathologiques.

La perversion c'est justement lorsque l'autre ne prend pas plaisir à souffrir.

La perversion désigne, dans un sens général, l'inclination à des conduites considérées comme « déviantes » par rapport aux règles et croyances morales d'une société

http://fr.wikipedia....wiki/Perversion

" Tout dépend"

Lorsque la frontière entre malade et bien portant sera franchie et que tout le monde ne sera plus que "égal", la perversion n'existera donc tout simplement plus.

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Membre, Posté(e)
-SyntaxError- Membre 2 255 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Donc la perversion n'existe plus à partir du moment où elle est souhaitée ?

Lorsqu'un type prend du plaisir à se faire fouetter par une fille habillée en cuir qui lui enfonce un gode dans l'anus en l'appelant "Médor", il n y a pas perversion parce-que le pervers est demandeur de sa perversion ?

Je m'attendais à une réponse plus nuancée, mais on est pile dans tout ce que ce cinéma autour du genre signifie de dénaturement des mots et de leur sens à coup de "tout dépend", démarche éminemment politique qui consiste à changer le sens des mots pour en faire accepter le sens qu'on leur donne.

La perversion au sens pathologique du terme sous-entend un acte immoral, non consenti. Un pédophile est un pervers. Un violeur, un tueur en série aussi.

Ton type qui se fait fouetter et sa nana habillée en cuir ont une relation sado-masochiste consentie non?

Justement, les mots ont un sens, ne qualifie pas de malades ceux qui ne le sont pas.

Déviants c'est plus approprié.

La perversion désigne, dans un sens général, l'inclination à des conduites considérées comme « déviantes » par rapport aux règles et croyances morales d'une société

http://fr.wikipedia....wiki/Perversion

" Tout dépend"

Lorsque la frontière entre malade et bien portant sera franchie et que tout le monde ne sera plus que "égal", la perversion n'existera donc tout simplement plus.

"Dans un sens général" bravo, tu viens de donner la définition du dico? Et donne moi la définition en psychiatrie maintenant. Tu n'as donc pas rien compris de ce que je t'ai dit...

De quelle frontière entre malades et bien-portants parles-tu???

Bon et tout cela à jouer à la baballe alors qu'à la base j'attends la réponse concernant le rapport entre ce que disait Mimosa et la "théorie du genre"? Bonne nuit ça me fatigue lazy.gif

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Membre, 62ans Posté(e)
grandfred Membre 15 741 messages
Baby Forumeur‚ 62ans‚
Posté(e)

Donc la perversion n'existe plus à partir du moment où elle est souhaitée ?

Lorsqu'un type prend du plaisir à se faire fouetter par une fille habillée en cuir qui lui enfonce un gode dans l'anus en l'appelant "Médor", il n y a pas perversion parce-que le pervers est demandeur de sa perversion ?

ce qui se passe en deux adultes consentant ET dans la sphère privée ne te regarde pas !!!

et ce jugement de valeur = perversion !!! !!! j'ai l'impression de lire un frustré, un de ces mecs de l'inquisition à l'esprit sadique qui se fait un malin plaisir à torturer celles et ceux qui assouvissent entre eux ce que lui est incapable (prbl de matos ?) de faire mais en ayant tellement envie ! tout ça sous le couvert de la morale chrétienne !!!

hypocrite !!

frustré ou quoi ???

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Membre, Esprit de contradiction, 48ans Posté(e)
Savonarol Membre 10 346 messages
48ans‚ Esprit de contradiction,
Posté(e)

"Dans un sens général" bravo, tu viens de donner la définition du dico? Et donne moi la définition en psychiatrie maintenant. Tu n'as donc pas rien compris de ce que je t'ai dit...

C'est possible, mais vous ne donnez qu'une définition et vous basez vous entière analyse sur cette définition. C'est bien de rappeler la vie en société n'est pas régie par la psychiatrie et ses barèmes, mais par des codes propres à la vie en société (dont les termes déviance, perversion, etc)

De quelle frontière entre malades et bien-portants parles-tu???

De celle qui dit qu'il y a des malades et des bien portants au lieu de nier leur existence respectives.

Donc la perversion n'existe plus à partir du moment où elle est souhaitée ?

Lorsqu'un type prend du plaisir à se faire fouetter par une fille habillée en cuir qui lui enfonce un gode dans l'anus en l'appelant "Médor", il n y a pas perversion parce-que le pervers est demandeur de sa perversion ?

ce qui se passe en deux adultes consentant ET dans la sphère privée ne te regarde pas !!!

et ce jugement de valeur = perversion !!! !!! j'ai l'impression de lire un frustré, un de ces mecs de l'inquisition à l'esprit sadique qui se fait un malin plaisir à torturer celles et ceux qui assouvissent entre eux ce que lui est incapable (prbl de matos ?) de faire mais en ayant tellement envie ! tout ça sous le couvert de la morale chrétienne !!!

hypocrite !!

frustré ou quoi ???

Si, à partir du moment où ce que font deux adultes consentant est montré au grand public comme absent de sa dimension perverse ou déviante, et où donc cela entre dans la dimension sociétale, et donc peut potentiellement toucher des individus autre que ces deux personnes (genre mes enfants) , ça me concerne directement et ça concerne tout le monde.

On ne change pas le sens des mots ou leur définition pour faire plaisir à "deux adultes consentants dans la sphère privée", ou alors on ne s'étonne pas que je considère que ça me regarde.

et ce jugement de valeur = perversion !!! !!! j'ai l'impression de lire un frustré, un de ces mecs de l'inquisition à l'esprit sadique qui se fait un malin plaisir à torturer celles et ceux qui assouvissent entre eux ce que lui est incapable (prbl de matos ?) de faire mais en ayant tellement envie ! tout ça sous le couvert de la morale chrétienne !!!

hypocrite !!

frustré ou quoi ???

Je fais le contraire d'un jugement de valeur, en revanche vous devriez vous relire, vous ne répondez rien là et vous faites dans la voyance de pilier de comptoir.

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Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)
Donc la perversion n'existe plus à partir du moment où elle est souhaitée ?

Lorsqu'un type prend du plaisir à se faire fouetter par une fille habillée en cuir qui lui enfonce un gode dans l'anus en l'appelant "Médor", il n y a pas perversion parce-que le pervers est demandeur de sa perversion ?

C'est un peu plus compliqué que ça en a l'air. D'un point de vue général, la perversion désigne une conduite transgressive par rapport à une morale ambiante.

Seront donc qualifiée de "perverses" différentes conduites en fonction de la morale de référence.

Par exemple, d'un point de vue de la morale religieuse, la sodomie est une perversion. Les règles morales religieuses n'évoluant pas (ou très peu), la sodomie est toujours une perversion.

D'un point de vue de notre morale ambiante, celle de notre société, la sodomie n'est plus une perversion. Parce que la morale des hommes évolue avec le temps. Ne sont plus considérées aujourd'hui comme perverses des conduites qui l'étaient avant.

Alors, pour se dépêtrer de cet imbroglio ("la morale" n'étant pas strictement la même d'un individu à l'autre), on désigne comme "pervers" l'individu pour lequel seule compte sa jouissance. Le pervers se moque de la morale, de la norme, de l'autre.

Ce ne sont donc pas les conduites en soi qui sont qualifiées de perverses, mais c'est le contexte et la motivation de l'individu qui les tient qui font la perversion.

Par exemple: La sodomie n'est plus considérée comme une "perversion" selon notre morale ambiante (celle de notre société), pourtant un couple qui se sodomise en plein public a bel et bien une conduite perverse (seule compte leur jouissance, ils font fi de la morale des autres)

Lorsque la frontière entre malade et bien portant sera franchie et que tout le monde ne sera plus que "égal", la perversion n'existera donc tout simplement plus.

Pas si tu penses "perversion" dans le sens où je te l'explique plus haut.

Mais il est vrai que, la morale n'étant ni figée ni universelle, la notion de "perversion" est parfois floue parce que toujours contextuelle. ;)

Quoiqu'il en soit, et pour en revenir à votre exemple, le "consentement" du partenaire ne suffit pas pour qualifier une conduite de "perverse" ou non. Puisqu'il suffirait que le couple consentant pratique en public pour que leur conduite soit perverse.

Modifié par Théia
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Membre, Bubon baveux de Belzébuth, 37ans Posté(e)
casdenor Membre 11 203 messages
37ans‚ Bubon baveux de Belzébuth,
Posté(e)

Qui a fait le con avec la machine à remonter dans le temps ? Trois siècles de retard, ça commence à faire beaucoup.

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Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)

En même temps ça ne semblait pas clair pour Syntax et Grandfred non plus. Ils réagissaient selon leur propre référentiel moral. Or on ne peut hiérarchiser les morales et considérer que seule la sienne compte.

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Membre, 62ans Posté(e)
grandfred Membre 15 741 messages
Baby Forumeur‚ 62ans‚
Posté(e)

ce qui se passe en deux adultes consentant ET dans la sphère privée ne te regarde pas !!!

cela me sembnlait clair et ton com est dans mon sens ? non ?

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Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)

oops oui, mille excuses, tu as raison. :p Ce qui m'a trompée, c'est le fait que tu n'aies mis en rouge et gras que les termes "adultes consentant".

Modifié par Théia
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Invité lobotomie_
Invités, Posté(e)
Invité lobotomie_
Invité lobotomie_ Invités 0 message
Posté(e)
forum

J'ai participé à une formation aux ABCD de l'égalité


Samedi 08 Février - 09:49

Notre reporter s'est glissée dans un atelier qui forme les enseignants aux ABCD de l'égalité. Pas de quoi fouetter un chat. Mais est-ce vraiment utile ?



    "Non, nous ne parlons pas de masturbation à l'école, non, nous ne les rendons pas homosexuels", entame la sémillante inspectrice de l'Éducation nationale de l'académie de Seine-Saint-Denis. Il est 18 heures, vingt enseignants ont rejoint après leur journée de classe le premier étage de cette école primaire pour participer à leur troisième et dernière séquence de formation aux ABCD de l'égalité (...)
    
    Nicole Abar, chargée de mission nationale des ABCD de l'égalité, prend alors doucement, de son accent chantant - elle est toulousaine -, la parole : "On ne pointe pas ce qui est bien ou mal. Il s'agit de créer du dialogue et de travailler sur les stéréotypes lorsqu'ils induisent des comportements discriminants." Les enseignants sourient, soulagés. Vingt participants. Dix-huit femmes. Deux hommes.


Emilie Lanez
Suite de l'article...
forum Source: lepoint.fr
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