Aller au contenu

Noter ce sujet


January

Messages recommandés

Modérateur, ©, 108ans Posté(e)
January Modérateur 62 202 messages
108ans‚ ©,
Posté(e)

Les "vieilles filles" de guerre

Ce fut un phénomène de société nouveau et inévitable compte tenu des évènements et de la démographie générée par la guerre. En 1915, on enregistre un nombre de mariages inférieur de 75% à la moyenne annuelle d'avant-guerre. Ce nombre remontera lentement, jusqu'à atteindre la barre des 200% supérieur en 1920, lorsqu'on "rattrapera le temps perdu". En parallèle le divorce atteindra lui aussi son record historique avec une augmentation de 20% par rapport aux chiffres d'avant-guerre. Une fois sur six le divorce est prononcé pour cause d'adultère de l'épouse.

L'autre aspect de ce déficit des mariages est le nombre de célibataire, qui ont été tués ou sont rentrés invalides. C'est un nombre difficile à évaluer mais on peut comparer le nombre de mobilisés par classe d'âge avec le nombre de tués dans ces mêmes classes. On voit ainsi que pour 292 000 jeunes gens de la classe 1914 (donc nés en 1894), 85 000, soit presque 30% d'entre eux, ont été tués. Sur l'ensemble des classes la guerre a tué 265 000 jeunes gens célibataires et certainement plus que ça si l'on compte les célibataires des classes précédentes.

Et voilà donc 300 000 jeunes filles à marier, même plus puisqu'elles vont se retrouver en concurrence avec de jeunes veuves de guerre. Certes la pension que ces dernières recevaient étaient supprimée en cas de remariage, cela pouvait les dissuader de se marier, mais pas de vivre en concubinage. C'est donc la montée en nombre des "vieilles filles", sachant que les mentalités de l'époque en font des filles souvent peu amènes...

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant
Membre, 65ans Posté(e)
pila Membre 18 571 messages
Baby Forumeur‚ 65ans‚
Posté(e)

Heureusement que Monsieur Landru était là pour proposer relations intimes et plus, si affinités. Il brûlait pour ces dames d'un feu ardent. :snif:

  • Like 1
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

  • 3 semaines après...
Modérateur, ©, 108ans Posté(e)
January Modérateur 62 202 messages
108ans‚ ©,
Posté(e)

En 1915, après plusieurs mois d’attente, les troupes de l’armée française sont équipées d’un nouvel uniforme pour affronter la guerre des tranchées.Jusqu’alors vêtus de l’uniforme hérité de la guerre franco-prussienne, les fantassins souffraient d’un équipement obsolète, mal adapté aux saisons, pourvu d’un pantalon rouge trop voyant et d’un képi peu protecteur. Ainsi, en 1915, l’armée française modernise ses équipements et passe à l’uniforme bleu horizon.

Photos ECPAD http://www.ecpad.fr/anniversaire-100-ans-deja-lapparition-de-luniforme-bleu-horizon-dans-larmee-francaise-durant-la-1ere-guerre-mondiale/

Au lendemain de la victoire de la Marne, l'état-major adopte une nouvelle teinte pour l'uniforme français, le fameux " bleu horizon ".

Des commandes de ce nouveau drap sont passées en urgence, mais le nombre d'homme à équiper est colossal et la fabrication va être longue. Des mesures urgentes sont prises en attendant :

1 - Une nouvelle capote, moins couteuse en tissu, est conçue : la capote Poiret. Ainsi qu'un nouveau képi : le modèle 1915 ;

2 - Des culottes civiles en velours sont distribuées aux troupes ainsi que des brelages en toiles erzatz ;

3 - Des tampons contre les gaz sont conçus en urgence, en raison de la guerre des gaz qui vient de commencer.

Le premier semestre 1915 est synonyme d'anarchie vestimentaire. Dans cette course frénétique vers le " camouflage ", pas un soldat n'est vêtu et équipé comme son voisin. " On équipe à tout, va avec tout ce que l'on peut trouver en stock et sur le marchée". Les anciens effets côtoient les nouveaux.

L'armée française, sur la question vestimentaire tout du moins, fait l'effet d'un groupe désordonné et très hétéroclite.

L'évolution de l'uniforme français durant la première guerre mondiale, ici : http://www.lesfrancaisaverdun-1916.fr/uniforme1024.htm

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

  • 2 semaines après...
Membre, 91ans Posté(e)
Rasibus Membre 4 080 messages
Baby Forumeur‚ 91ans‚
Posté(e)

D'après une lettre de ma mère datée de début mai 1915 que j'ai conservée,, voici les pronostics de mon général de grand-père sur la suite de la guerre:

<<... Intervention de l'Italie le 15 Mai (après la chute de Constantinople), son entrée à Vienne le 30 Juillet; entrée des Russes à Berlin en Novembre; paix en Décembre et trois ans d'occupation en Allemagne par les classes 1916-17-18. Démobilisation lente et successive, en commençant par les territoriaux, >>

J'ignore si l'Etat-Major était aussi oprtimiste. ça expliquerait pourquoi le gouvernement mettait peu d'empressement à rechercher une paix négociée...

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité Magus
Invités, Posté(e)
Invité Magus
Invité Magus Invités 0 message
Posté(e)

Je ne sais si cela a été évoqué dans le topic, mais le il y a quelques semaines est sorti le film de et avec Russel Crowe : La Promesse d'une Vie

Résumé : En 1916, peu après la bataille des Dardanelles, un Australien arrive à Istanbul à la recherche de ses trois fils soldats portés disparus. Il tente d obtenir des autorisations pour se rendre à Gallipoli...

Une très belle fresque sur un front peu connu dans la mémoire collective, dans la "Turquie" encore pour quelques années Empire Ottoman.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

  • 3 semaines après...
Modérateur, ©, 108ans Posté(e)
January Modérateur 62 202 messages
108ans‚ ©,
Posté(e)

Quand ils ne se battaient pas, les poilus dévoraient des romans. Lesquels ?

6443440.jpg

L'automne 1914 fut moins littéraire que mortifère. Avec une moyenne de 800 morts par jour pendant quatre ans et demi, il y aurait presque de l'indécence à se demander ce que lisaient les poilus. Un jeune historien s'y est risqué. Et son travail est passionnant. D'abord parce qu'il nous incite à voir cette guerre autrement. A travers les lectures des soldats français, on saisit l'évolution du conflit dans les mentalités. L'attente, la peur et l'assaut se manifestent aussi entre les lignes lues.

On lit d'abord les journaux, et puis il y a les romans. On continue de lire "la Débâcle" de Zola comme pour se persuader que ce qui était dit de la guerre de 1870 et de la défaite de Sedan ne se reproduira pas. Le taux d'illettrisme de la population était deux fois moins élevé qu'aujourd'hui ! On lisait donc beaucoup, parfois aussi pour se moquer de ce monde militaire qui n'en finissait pas, d'où le succès des "Sous-Offs" de Lucien Descaves.

"Mais si la guerre, en créant un besoin de compréhension et d'explication inédit, a eu un effet moteur dans la propagation de l'imprimé, écrit Benjamin Gilles, elle n'a cependant fait qu'amplifier un processus existant. La lecture n'aurait en effet jamais eu un caractère aussi central dans les pratiques des soldats dans les tranchées si elle n'avait pas été profondément implantée dans la France de la Belle Epoque."

Les tirages les plus importants de l'été 1914 en disent long sur les goûts: "les Souffrances du jeune Werther", de Goethe (42.000 exemplaires), "la Conquête du pôle Nord", de Charles Guyon (30.000), et "le Prix du silence", de Jean de Belcayre (150.000), le Marc Levy d'alors, de son vrai nom Geneviève de Cézac... Mais, dès les premiers combats, les auteurs allemands disparaissent au profit des "alliés" Mark Twain, H.G. Wells ou Edgar Poe.

Suite http://bibliobs.nouvelobs.com/documents/20130927.OBS8895/1914-18-ce-qu-on-lisait-dans-les-tranchees.html

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 91ans Posté(e)
Rasibus Membre 4 080 messages
Baby Forumeur‚ 91ans‚
Posté(e)

Pour illustrer le propos de January, je vous livre un extrait de la lettre que mon père a écrite à ma mère le 15 octobre 1915:

<< ... Je viens de passer trois heures de veille cette nuit à l'observatoire où j'ai occupé mon temps à lire. Ce matin, j'ai paressé sur la paille. Je veux cependant t'écrire avant la soupe de onze heures car nous devons encore déménager. Ce n'est pas pour aller loin, quatre ou cinq kilomètres peut-être, .

la lecture me manque et cette nuit j'ai été content de trouver les livres qui trainaient à l'observatoire. J'y ai d'ailleurs jeté un coup d'oeil plutôt distrait pour rester éveillé, car cela n'avait rien de passionnant. Je crois même que je ne les aurais pas lus si j'avais eu autre chose sous la main. J'ai parcouru d'abord "Lettres de femmes" de Marcel Prévost. C'est plutôt monotone...Toujours des histoires la plupart du temps assez raides sur les femmes, les maris, amants, maitresses. Mais c'est toujours la même chose, et quoique traitées avec esprit, tous ces dessous du demi-monde (et quelquefois du monde tout court) laissent une impression de tristesse, parfois de dégôut. Au fond, c'est assez moral tout de même, car il ressort clairement de tout cela que la joie vraie et le bonheur réel n'existent absolument que dans l'intimité du foyer où l'un et l'autre s'aiment tendrement et gardent leur fidélité dans les mauvais comme dans les bons jours et conservent précieusement le trésor de leur amour.

.....

L'autre livre que j' ai parcouru encore plus vite, et je crois même à l'envers est "Thomas l'agnelet" de Claude Farrère, l'auteur de l'homme qui assassina. C'est l'histoire d'un pirate malouin, téméraire et débauché de la plus belle eau. L'ensemble, et beaucoup de descriptions, réalistes, est plutôt déplaisant. Enfin la morale est sauve, à la fin, car le héros est pendu à la vergue de sa frégate. Dailleurs, autant que j'ai pu en juger par certains passages, Claude Farrère n'est pas tendre pour la sévérité des gens de St-Malo pour les malheureuses qui sont tombées. Il est un peu satirique d'ailleurs.

Comme impression de lecture c'est aussi je trouve un peu de tristesse.

Je n'apprécie pas ces romans...Il faut vraiment que je n'aie rien trouvé de mieux pour les ouvrir. >>

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 91ans Posté(e)
Rasibus Membre 4 080 messages
Baby Forumeur‚ 91ans‚
Posté(e)

Et aussi cette lettre du 4 octobre 1915:

<< ...Le courrier n'est pas encore arrivé, j'attends avec impatience...Je n'ai rien eu de toi hier, quelle longue journée cela fait. Ecris moi de longues lettres, ma bien aimée, autrement c'est trop triste... Vivre ainsi tout seul, sans toi qui est toute ma vie...Il faut du courage, je t'assure et si ce n'était pas pour la France, pour te retrouver ensuite dans un foyer de tendresse, avec une vie de bonheur et d'intimité sans plus craindre l'affreux cauchemar..si ce n'était pas cette idée du devoir pour Dieu, pour toi, pour la France, attendre ainsi ce serait trop dur.

C'est pourquoi ma bien aimée, il faut que tu m'écrives. La seule douceur est dans me rêveries, les pensées qui sont ton amour, ta vie, tes occupations journalières, le seul soutien et le seul réconfort est de sentir que nous nous aimons tant, que nos coeurs ne sont plus qu'un, que j'ai ton amour, mon adorée, que tu pries pour moi...

... Ce matin, pour passer le temps j'ai lu un livre qui traine dans notre gourbi: Du Michel Zévaco grand (!) romancier, fécond pourvoyeur des feuilletons du Matin. Oh c'est de la littérature à 13 sous la livre en caractères serrés. Ce n'est pas fort, mais pas méchant non plus. C'est de l'invraisemblable, peintures vives (crues plutôt) mais pas malpropres, qu'on oublie aussi facilement qu'on les a lues. Cela pour te montrer à quel point notre début d'hivernage nous a réduits...Je t'en prie envoie moi de la lecture intéressante. Fais moi abonner tout de même, si le secteur change cela n'a pas d'importance, le journal suivra car le service est bien fait. Il faut absolument que je m'occupe et comme nous ne tirons pas tous les jours... Si je pouvais me faire une chambre noire je ferais de la photo et ferais venir un Kodak... Je vendrais sûrement des photos aux camarades.

Ou encore je vais faire venir de l'aluminium et m'exercer à faire de la gravure...Mais il faut que je fasse quelque chose !!

C'est idiot de ne pas mettre son temps à profit...mais que faire à quelques centaines de mètres des boches quand on ne tire pas dessus ?

Vraiment quelle vie ! Toi écrasée d'ouvrage, fatiguée, malade jamais un moment de répit et moi ici les bras croisés...

Donne moi des idées...>>

Modifié par Rasibus
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Modérateur, ©, 108ans Posté(e)
January Modérateur 62 202 messages
108ans‚ ©,
Posté(e)

Je me demande si aujourd'hui il y a encore des correspondances de ce niveau.

C'est très émouvant.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

  • 2 mois après...
Membre, 91ans Posté(e)
Rasibus Membre 4 080 messages
Baby Forumeur‚ 91ans‚
Posté(e)

On l'a oublié, mais en septembre 1915, l'armée française s'est lancée dans une offensive qu'elle espérait décisive.

Voici comment mon père, qui était artilleur, décrit dans une lettre écrite à ma mère le 23 septembre la préparation d'artillerie :

<<....Ma première veille dans le boyau de l'observatoire s'est très bien passée et je suis revenu ensuite me coucher dans notre abri.

J'ai assisté hier à des tirs comme téléphoniste à l'observatoire et c'est plein d'intérêt parce qu'on assiste à l'élaboration des ordres, on est auprès du cerveau et du coeur de l'attaque, on comprend le sens de la lutte. On suit la joute avec passion et tout le monde se réjouit lorsqu'un beau coup est réussi. L'autre jour une batterie voisine de nous en a démoli une boche, et cela arrive de temps en temps. Tu verras du nouveau un de ces jours, et peut-être pourrons-nous bientôt envisager le retour.

Nous sommes complètement équipés avec tout le matériel de masques respirateurs, qui nous a été donné comme à tout le monde. Je ne sais vraiment pas à quoi cela nous servirait à nous à la distance que nous sommes des boches...Enfin c'est sans doute une bonne précaution.

Il fait toujours un temps magnifique, c'est une cure idéale à la campagne et on finit par ne plus faire attention aux coups de canon...Il est vrai que nous entendons surtout les canons français ! Si tu étais là, (et que ce ne soit pas la guerre !) que de bonnes journées nous passerions ensemble...Mais il ne faut pas penser à cela ! Attendons, mon amour, avec patience, avec confiance, le prochain retour des bons jours. >>

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

  • 1 mois après...
Modérateur, ©, 108ans Posté(e)
January Modérateur 62 202 messages
108ans‚ ©,
Posté(e)

Novembre 1915

Le premier saut en parachute de l'histoire militaire Française

Constant Duclos n'a que 12 ans lorsque orphelin il s'engage comme mousse.

Cap-Hornier à 14 ans, il ne cessera de vivre des aventures hors du commun qui sont l'étoffe des héros. Il survivra à une épidémie de peste qui décima l'équipage auquel il appartenait. Quand la première guerre mondiale éclate il est affecté au premier bataillon des fusiliers marins. Il survivra à la bataille de l'Yser. Sa connaissance des cordages lui permet d'intégrer l'aéronautique en 1915.

Le jeune Constant participe à un projet de parachute destiné à sauver la vie des aérostiers.

En effet, lors de l'offensive d'automne en Champagne du général Joffre, l'aérostation perd plusieurs ballons. Le commandement demande alors au centre de Chalais-Meudon de trouver une parade. On pense tout de suite à armer la nacelle mais deux officiers de l'aérostation, le lieutenant Jumesch, et le capitaine Letourneur, proposent d’utiliser le parachute.

Jumesch, ancien pilote de dirigeable confectionne alors rapidement un parachute qu'il teste à l'aide de sac de sable de 80 kg. Puis son prototype est essayé par Constant Duclos.

Constant Duclos effectue à Courtellemont (ville disparue sous les bombardements) le 17 novembre 1915 à 16 heures à 300 m d'altitude le premier saut en parachute de l'histoire militaire française. Il lui faudra 4 longues minutes pour atteindre le sol.

https://fr.wikipedia...Constant_Duclos

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Modérateur, ©, 108ans Posté(e)
January Modérateur 62 202 messages
108ans‚ ©,
Posté(e)

Edith Cavell : l'exécution révoltante de l'infirmière héroïque

XVMa6203284-fba6-11e3-8160-ea0eaddf96a8.jpg

Cent ans après sa mort, la Grande-Bretagne se souvient encore d'Edith Cavell, l'infirmière, héroïne de la première guerre mondiale.

Fille de pasteur anglican, Edith Cavell (1865-1915) grandit dans le Norfolk. Son diplôme d'institutrice en poche, elle quitte l'Angleterre et travaille pendant cinq ans comme gouvernante en Belgique. De retour dans son pays natal pour soigner son père malade, elle apprend le métier d'infirmière qu'elle exerce quelques années à Londres. En 1906, le docteur Antoine Depage l'appelle à Bruxelles pour prendre le poste d'infirmière en chef de l'Institut Berkendael puis celui de directrice générale de l'école d'infirmières.

Quand la Belgique est envahie, son destin change: l'Institut dans lequel elle travaille est transformé en hôpital de la Croix-Rouge de Belgique où les soldats allemands son soignés. Placée à un poste stratégique, Edith Cavell est rapidement sollicitée par des soldats anglais, français et belges pour faciliter leur passage vers la Hollande neutre. Elle participe alors activement au réseau d'évasion mis en place avec la princesse Marie de Croÿ. Entre l'automne 1914 et juillet 1915, date de son démantèlement, le réseau de 66 membres aurait permis l'évasion de quelques 200 soldats. Dénoncés, les premiers membres de l'organisation sont arrêtés le 31 juillet 1915, Edith le 5 août. Elle livre des aveux complets pendant les interrogatoires et ne cherche pas à se défendre...

http://www.lefigaro....roique-1915.php

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité brendan12
Invités, Posté(e)
Invité brendan12
Invité brendan12 Invités 0 message
Posté(e)

Je renvoie à mon sujet sur Winnie l'ourson, puisque l'oursE Winnie qui a inspiré l'auteur était l'animal de compagnie d'un soldat canadien pendant la Grande Guerre... http://www.forumfr.com/sujet689843-winnie-l-ourson-etait-en-fait-une-oursonne.html#entry9912526 ;)

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant

Rejoindre la conversation

Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Coller en tant que texte brut à la place

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.

Chargement

×