Question

non car ma pensée est guidée par ma conscience qui est sous influence.

C'est toujours un paradoxe que de poser une question où la réponse suggérée cherche à nous rapprocher de qui pose la question.

Quelqu'un se propose t'il pour nous aider à penser librement? Rava Bakou? L'auteur du montage? L'auteur du sujet?

Pour répondre véritablement à la question, il faut refuser d'y répondre parce que ce serait donner de l'importance au conflit entre être libre et penser librement. Or notre liberté consiste à nous libérer de tout conditionnement, y compris de ceux qui nous invite à nous libérer. Nous libérer de notre façon de penser, nous libérer de nos mots qui ne sont pas nos mots puisque ceux ci nous ont été imposé dès notre enfance pour communiquer...

Nous libérer surtout de notre égo... et c'est là que le paradoxe est intéressant puisqu'un égo en quête de liberté, comme la plupart des égos, va être tenté d'accepter les idées et les mots venus de l'extérieur en croyant se libérer... Tomber donc de Charybde en Scylla.

je vois pas pourquoi tu pose cette question ........lorsque on vois des femen pisser dans la rue sur la photo de leur président

http://allainjules.com/2013/12/01/combat-de-pacotille-femen-uriner-en-public-pour-protester-et-humilier-les-femmes/

Il faudrait déjà définir ce qu'est la liberté...

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Il faudrait déjà définir ce qu'est la liberté...

de pisser dans la rue comme ces femen ???

de pisser dans la rue comme ces femen ???

C'en est une... Mais être libre de faire les choses n'est pas les faire pour autant. Je suis libre de pisser sur des livres religieux si ça me chante, mais je ne le fais pas: c'est aussi ma liberté de ne pas le faire.

C'en est évidemment pas une...

La liberté ne se défini certainement pas (sauf pour le tâchon moderniste) par un rapport entre le désir et la satisfaction.

Plutôt entre la pensée et l'action. C'est ce que l'homme s'est efforcé de rechercher.

Libre est celui qui détermine sa fin selon sa raison, et aussi les moyens d'y parvenir.

Libre est l'éduqué, au delà du "machinal" (la compréhension du machinal étant un but à poursuivre, qu'on atteindra jamais, mais à poursuivre), libre est celui qui a compris que la résistance à l'oppression ne vient pas en renversant le capitalisme, en détruisant la bourgeoisie et je ne sais quoi encore, mais en la conscience supérieure au "machinal", et comprenant la nécessité de conserver cette supériorité.

Liberté et sortie du désespoir actuel.

Comme pendant les sociétés totalitaires, aujourd'hui, on assiste à un renversement du rapport entre la fin et les moyens. Décalage entre un pseudo-progressisme (présenté comme tel, mais matériel uniquement) et l'éducation. Avance prise du progrès technologique sur la capacité des hommes.

Comment se dire libres dans ces conditions ?

Faudra attendre que la machine soit parvenue au bout de sa course, ayant réduit les ressources de la planète à plus rien, pour que ressurgisse le principe de "conscience" (la conscience possible, conscience des limites, que ne connaissent pas les putains de connards de libéraux).

La liberté est si vaste qu'on la considérer à travers un regard cynico-nihiliste et estimer qu'être libre de se balader tout nu dans un tonneau dans les rues d’Athènes, c'est une liberté. Comme il y en a d'autres...

je crois que on se comprends pas sur tout les ligne

ici dans ce monde il ya deux etre vivant

l'homme et l'animal

l'animal ne pourrai jamais faire ce que l'homme fais et le contraire oui

l'animal ne sais pas le différence entre le bien et le mal

et tout le monde savais que si un tigre saute sur un etre humain

l'etre humain ne peux pas juger cet animal.....on peux le juger si il est commende par un etre humain et dans cde cas on dois juger toujours cet huain qui donne ces ordres a cet animal

alors ca reste que cet animal est toujours libre dans ces actes mais on peux pas dire libre a 100 pour 100 comme si c'est un etre humain

parecque l'animal vis comme il suis un programme .....un cheval ne peux pas faire ce que le chien fais .....un requin ne peux pas etre comme un defuin et et .....

mais l'etre humain est différend que l'animal

l'etre humain est libre dans ces actes et si il fais un faute il dois etre juger salon la faute !! et aussi il sais c’est quoi le bien et le mal ....

alors l'humain dois etre entouré de lois pas comme l'animal .....

l'etre humain vis tojuors avec ces lois et ces lois

sois des lois humaine ou religions

et la plus pars des lois que on vois dans ce monde

se partage entre démocratie et religion

et la democratie donne tout droits

ca veux dire tu as le droits de faire tout a toi meme sens touché a a des choses qui sont interdite

et tu as le droits de choisir la religion que tu veux et meme de resté athé et tout

et la religion a ces propre lois et tout dépend de religion

la question qu'on dois posé

la démocratie donne le droit a l'etre humain de faire tout ...........

et ce que on vois dans ces pays démocrate que

les gens fais de n'importe quoi sur ler plan sex et et et et

on peux dire vis animal !!!!!!!!!!!!!!!

alors la question il arivra un jour ou cet humain vivra comme un animal pourqu'il sois pas juger ???

libre de faire de sex avec n'importe qui

libre d'aller a ces plages nudiste

libre de suicider comme on vois dans ces centre de suiside en suisse

libre de faire un avotement

libre de faire des relation sm .....

libre

libre

la question est c'est ca le libre pensé ??

Voilà la définition le plus parfaite, pour ma part, de l'idée de liberté qui revient à l'Homme:

« Me voilà tuberculeux par exemple. Ici apparaît la malédiction. Cette maladie qui m’infecte, m’affaiblit, me change, limite brusquement mes possibilités et mes horizons. J’étais acteur ou sportif, je ne puis plus l’être. Ainsi, négativement, je suis déchargé de toute responsabilité touchant ces possibilités que le cours du monde vient de m’ôter . C’est ce que le langage populaire nomme être diminué […] J’étais un bouquet de possibilité, on ôte quelques fleurs, le bouquet reste dans le vase, diminué, réduit à quelques éléments. Mais en réalité il n’en est rien. Cette image est mécanique. La situation nouvelle quoique venue du dehors doit être vécue c’est-à-dire assumée dans un dépassement. Il est vrai de dire qu’on m’ôte des possibilités mais il est vrai aussi que j’y renonce ou que je m’y cramponne ou que je ne veux pas voir qu’elles me sont ôtées ou que je me soumets à un régime systématique pour les reconquérir. En un mot ces possibilités ne sont donc pas supprimées mais remplacées par un choix d’attitudes possibles envers la disparition de ces possibilités. Et d’autre part, surgissent avec mon état nouveau des possibilités nouvelles possibilités à l’égard de ma maladie (être bon ou mauvais malade). […] Autrement dit la maladie est une condition à l’intérieur de laquelle l’homme est à nouveau libre et sans excuses. Il a à prendre la responsabilité de sa maladie. Reste qu’il n’a pas voulu cette maladie et qu’il doit à présent la vouloir. Ce qui n’est pas de lui, c’est la brusque suppression des possibilités. Ce qui est de lui, c’est l’invention immédiate d’un projet nouveau à travers cette suppression […] Ainsi ma liberté est condamnation parce que je ne suis pas libre d’être ou de n’être pas malade et la maladie me vient de dehors, elle n’est pas de moi, elle n’est pas ma faute. Mais comme je suis libre, je suis contraint par ma liberté, de la faire mienne, de la faire mon horizon, ma perspective, ma moralité… Je suis perpétuellement condamné à vouloir ce que je n’ai pas voulu, à ne plus vouloir ce que j’ai voulu, à me reconstruire dans l’unité d’une vie en présence de destructions que m’inflige l’extérieur. Ainsi suis-je sans repos : toujours transformé, miné, laminé, ruiné du dehors et toujours libre, toujours obligé de reprendre à mon compte ce dont je ne suis pas responsable. Totalement déterminé et totalement libre. Obligé d’assumer ce déterminisme pour poser au-delà les buts de ma liberté, de faire de ce déterminisme un engagement de plus ».

Jean-Paul Sartre, Cahiers pour une morale (1947-1948).

J'avais oublié à quel point Sartre était déprimant... Mais ça reste un point de vu intéressant... au moins égal à celui de Rousseau qui nous dit que la liberté est ce qui nous distingue de l'animal puisque nous avons la liberté de manger ce que nous voulons alors qu'un pigeon mourra de faim sur un steak et qu'un chat mourra de faim devant des graines. Après que ce soit Sartre, Kant, Platon, Rousseau ou Aristote, tous se sont penché sur la question de la liberté... Du coup Diogène de Cinope n'a pas forcément tord devant Sartre... A moins qu'on relance la coupe du monde de philosophie :

Certes mais je trouve ce texte de Sartre absolument magnifique, j'ai beau avoir lu Kant, Ortéga, Aristote et bien d'autres, celui-ci reste un tel capolavoro que je ne puis que m'incliner.

Sans doute... Mais Sartre n'a pas la même emprise sur moi. Un mélange lyrico philosophique, comme le sucré salé, on aime ou on aime pas... Quand je lis cet extrait je dois extraire les parties lyriques du tuberculeux et du bouquet de possibilité perdant ses fleurs, des parties philosophiques ainsi ma liberté est condamnation. Je ne pourrais pas l'expliquer... ça ne se mélange pas dans ma tête, comme l'huile et l'eau...

tant qu'il s'agit de penser, c'est toujours possible, on est libre, maintenant mettre et faire coincider ses pensées avec les actes dans la réalité de la vie, là cela devient moins évident

pourquoi?

parce que nous ne sommes pas libres d'être comme on voudrait être,

la faute à? la société et ses règles

exemple: je pense que je serais super bien avec mon bikini et mes bottes en fourrure ainsi que ma toque en fourrure pour aller me balader dans la rue demain matin acheter ma baguette de pain, je pense être libre d e le faire, oui je pense librement, mais non je ne pourrais pas le faire car ça ne rentre pas dans le comportement adequat que je dois avoir dans la société dans laquelle je vis

je pense être libre, je pense librement mais ça s'arrête là.:(

on est libre de pensé a point de voir de tout ce mal est normal !!!!!!!

je crois que les femen ont bien raison de faire leur manifestation

lorsque je vois des fille saute sur les acteur et les chanteur je dis toujours que la liberté leur fermé les yeux

mais lorsque je vois des fille neu dans a rue urine dans la rue ..je dirai c'st bien parceque il arivra en avenir avec cette libetré de pensé de voir pire .....

Voilà la définition le plus parfaite, pour ma part, de l'idée de liberté qui revient à l'Homme:

« Me voilà tuberculeux par exemple. Ici apparaît la malédiction. Cette maladie qui m’infecte, m’affaiblit, me change, limite brusquement mes possibilités et mes horizons. J’étais acteur ou sportif, je ne puis plus l’être. Ainsi, négativement, je suis déchargé de toute responsabilité touchant ces possibilités que le cours du monde vient de m’ôter . C’est ce que le langage populaire nomme être diminué […] J’étais un bouquet de possibilité, on ôte quelques fleurs, le bouquet reste dans le vase, diminué, réduit à quelques éléments. Mais en réalité il n’en est rien. Cette image est mécanique. La situation nouvelle quoique venue du dehors doit être vécue c’est-à-dire assumée dans un dépassement. Il est vrai de dire qu’on m’ôte des possibilités mais il est vrai aussi que j’y renonce ou que je m’y cramponne ou que je ne veux pas voir qu’elles me sont ôtées ou que je me soumets à un régime systématique pour les reconquérir. En un mot ces possibilités ne sont donc pas supprimées mais remplacées par un choix d’attitudes possibles envers la disparition de ces possibilités. Et d’autre part, surgissent avec mon état nouveau des possibilités nouvelles possibilités à l’égard de ma maladie (être bon ou mauvais malade). […] Autrement dit la maladie est une condition à l’intérieur de laquelle l’homme est à nouveau libre et sans excuses. Il a à prendre la responsabilité de sa maladie. Reste qu’il n’a pas voulu cette maladie et qu’il doit à présent la vouloir. Ce qui n’est pas de lui, c’est la brusque suppression des possibilités. Ce qui est de lui, c’est l’invention immédiate d’un projet nouveau à travers cette suppression […] Ainsi ma liberté est condamnation parce que je ne suis pas libre d’être ou de n’être pas malade et la maladie me vient de dehors, elle n’est pas de moi, elle n’est pas ma faute. Mais comme je suis libre, je suis contraint par ma liberté, de la faire mienne, de la faire mon horizon, ma perspective, ma moralité… Je suis perpétuellement condamné à vouloir ce que je n’ai pas voulu, à ne plus vouloir ce que j’ai voulu, à me reconstruire dans l’unité d’une vie en présence de destructions que m’inflige l’extérieur. Ainsi suis-je sans repos : toujours transformé, miné, laminé, ruiné du dehors et toujours libre, toujours obligé de reprendre à mon compte ce dont je ne suis pas responsable. Totalement déterminé et totalement libre. Obligé d’assumer ce déterminisme pour poser au-delà les buts de ma liberté, de faire de ce déterminisme un engagement de plus ».

Jean-Paul Sartre, Cahiers pour une morale (1947-1948).

Voilà.

Sartre était un très grand philosophe.

Rafa 47, l'homme est un animal. Darwin vous l'expliquera. Non , l'animal (la bête, pour différencier de l'homme) n'est pas libre, il réagit selon son programme qu'on nomme instincts. L'homme a des valeurs non-naturelles qu'il essaie de respecter. Il croit qu'il a un libre-arbitre, alors qu'il ne fait que répondre à ses instincts, compliqués par sa culture. Mais pas de libre-arbitre, notion inventée par la religion pour responsabiliser et punir l'humain. Le soumettre, en fait. C'est paradoxal que d'attribuer un pouvoir de décision pour mieux le contrôler. Les stoïciens savaient que l'homme a des besoins naturels qui ont une fin (faim, soif, sexe) et des besoins non-naturels qui n'ont pas de fin (honneurs, puissance, richesse, gloire, etc..). La culture est donc aussi une contrainte.

je crois que on se comprends pas sur tout les ligne

ici dans ce monde il ya deux etre vivant

l'homme et l'animal

l'animal ne pourrai jamais faire ce que l'homme fais et le contraire oui

l'animal ne sais pas le différence entre le bien et le mal

et tout le monde savais que si un tigre saute sur un etre humain

l'etre humain ne peux pas juger cet animal.....on peux le juger si il est commende par un etre humain et dans cde cas on dois juger toujours cet huain qui donne ces ordres a cet animal

alors ca reste que cet animal est toujours libre dans ces actes mais on peux pas dire libre a 100 pour 100 comme si c'est un etre humain

parecque l'animal vis comme il suis un programme .....un cheval ne peux pas faire ce que le chien fais .....un requin ne peux pas etre comme un defuin et et .....

mais l'etre humain est différend que l'animal

l'etre humain est libre dans ces actes et si il fais un faute il dois etre juger salon la faute !! et aussi il sais c’est quoi le bien et le mal ....

alors l'humain dois etre entouré de lois pas comme l'animal .....

l'etre humain vis tojuors avec ces lois et ces lois

sois des lois humaine ou religions

et la plus pars des lois que on vois dans ce monde

se partage entre démocratie et religion

et la democratie donne tout droits

ca veux dire tu as le droits de faire tout a toi meme sens touché a a des choses qui sont interdite

et tu as le droits de choisir la religion que tu veux et meme de resté athé et tout

et la religion a ces propre lois et tout dépend de religion

la question qu'on dois posé

la démocratie donne le droit a l'etre humain de faire tout ...........

et ce que on vois dans ces pays démocrate que

les gens fais de n'importe quoi sur ler plan sex et et et et

on peux dire vis animal !!!!!!!!!!!!!!!

alors la question il arivra un jour ou cet humain vivra comme un animal pourqu'il sois pas juger ???

libre de faire de sex avec n'importe qui

libre d'aller a ces plages nudiste

libre de suicider comme on vois dans ces centre de suiside en suisse

libre de faire un avotement

libre de faire des relation sm .....

libre

libre

la question est c'est ca le libre pensé ??

Libertés individuelles... libéralisme, pas liberté.Tu sais, en Algérie, t'es libre, y'a pas vraiment de règles, aussi paradoxal que ça puisse te paraitre. Les relations sociales n'ont pas été juridifiées au maximum, comme dans un état libéral.

Leurs règles reposent sur la décence commune, de ce qui se fait, et de ce qui ne se fait pas. C'est une sorte de consentement mutuel, certes avec plein de facteurs indépendants de leur volonté entrant en jeu, mais en allant au bout d'une réflexion honnête (on s'en fout de qui se roule dans un tonneau, une fois qu'il a fait ça... et après ? De qui va se foutre à poil sur la plage, quand il a fait ça... et après ? etc...) on peut dire qu'ils sont plus libres que nous le sommes. Ils sont au delà du machinal, le spirituel l'emporte sur la machine.

Tu peux pisser sur une photo, te foutre à poil, te rouler dans un tonneau, rouler à contre-sens sur l'autoroute, faire le babart simpson, ou autres... ouais, et après ?