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De la République…

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Invité Henri.

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Membre, 62ans Posté(e)
grandfred Membre 15 741 messages
Baby Forumeur‚ 62ans‚
Posté(e)

Les Lois Divines, et notamment le Décalogue, sont une évidence pour quiconque est encore doté d'un bon sens et d'un minimum de sagesse. Certes, il est vrai que ceux à en êtres dotés se font de plus en plus rares, au profit de fous pensant l'homme comme un être absolu.

Aucune société humaine n'a jamais fait mieux que ces Lois Divines là.

:smile2:

Deuxièmement, le catholicisme n'est pas basé sur la parole d'un gourou mais sur la Vérité Révélée par le Fils de Dieu.

:smile2:

Encore un qui devrait prendre des cours de lecture... Comme c'est navrant.

Vous ne vous attachez qu'aux aspects les plus superficiels du pouvoir et du régime. Leurs fondements respectifs sont très différents et incomparables. La République Française s'est fondée sur l'idée d'un Homme absolu ("sans liens"), conception totalement étrangère à la monarchie française.

Absolument pas, nooon...

Vous nous montrez que vous n'avez absolument rien compris au sujet, ce qui n'est d'ailleurs pas étonnant.

:smile2:

Nouvelle bêtise absolue, mais bon. Avec vous, on ne peut pas attendre grand chose. Votre cadre mental anarcho-marxiste vous empêche de saisir ce que les autres disent et ce que la réalité montre.

Votre simplisme, votre manichéisme, est pitoyable.

:smile2:

L'anarchie, c'est avant tout la destruction. La destruction de tout ce qui ne vient pas d'eux, de tout ce qui est société et qui n'est pas anarchiste. L'anarchie, c'est la volonté de détruire la société.

Quant aux libertaires, ils sont exactement ce que je reproche à la République: ils promeuvent une fausse conception de l'homme absolu, d'un homme libre de tout liens, de tout passé, de toute nature.

:smile2:

et tu oses donnez des leçons ???,

tout ton com ou presque repose sur l'existence de dieu, sur un orde divin nécessaire et autres :censored: pour nier que l'humain est perfectible si il prends le temps de coopéré avec ses voisins, si les rapports humains se fondent sur l'entraide et non la soumission à l'économie ou ses gérants (dieu, roi, leader absolu, président, secrétaire général, etc.....) !

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Membre, 41ans Posté(e)
cheuwing Membre 17 032 messages
Maitre des forums‚ 41ans‚
Posté(e)

@ Serguei

j'ai déjà développé 2 fois dans 2 autres topics ton fantasmes de monarchie complètement dépassé, c'est quand même bizarre ces esquives

c'est à toi de développer ton idée de monarchie : quand tu dis monarchie d'ancien régime tu n'arrives même pas à voir qu'il y a une grande différence entre la monarchie française du 13eme siècle que celle du 18eme

rien que par l'autorité du roi ( Hugues Capet à l'origine créé une nouvelle branche par manipulation politique) , au début simple suzerain en difficulté constante face à ces vassaux pour arriver à un roi administrant un royaume entouré principalement de conseillers

Ces conseillers quelle légitimé auront ils pour prendre des décisions ? Choix du roi

? mais celui ci sera sous l'influence perpétuelle de ceci, les tractations politiques seront tout aussi importante qu'à l'heure actuelle

tu parlais de bon sens pour le bien du peuple : mais un roi en tant que dirigeant devra prendre des décisions difficiles et prendra -t-il les bonnes ? sachant qu'à l'heure actuelle, le peuple est plus éduqué et ne peu se contenter de subir des décisions qu'il semble injuste sans avoir voix au chapitre, sachant qu'il y aura toujours une part contre. Quelle solution alors, problème qu'on connu Louis 15 et surtout Louis 16, plus de répression ou plus de liberté ( sachant que cette dernière joue en sa défaveur), sans parler de ceux qui ont vidé les caisses du royaume pour leur prestige personnel

Pour finir la loi de dieu, je t'ai déjà démontré que même pour les roi de France dès Philippe Auguste, il cherchait à supplanter l'autorité papale, sachant que c'est la seule institution représentant de dieu.

Louis 14 se disait lui même prince représentant de dieu, ce dernier étant son seul supérieur hiérarchique. N'a -t-on pas déjà rien que par ces paradoxes des problèmes d'autorité divine

Finalement il a aussi été prouvé que dieu est vite relegué au dernier plan quand il s'agit de faire de la politique : quid de l'alliance François 1er avec Soliman le magnifique ? Quid de Richelieu, cardinal de son état, s'alliant avec les princes allemands protestants ? Quid des maitresses de Louis 14 ?

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Membre, 46ans Posté(e)
jimmy45 Membre 11 008 messages
Maitre des forums‚ 46ans‚
Posté(e)

Quand tu emploies l'expression "s'emmêler les pinceaux", on voit que tu sais exactement de quoi tu parles. Au-delà de la boutade, ta démonstration ne tient pas. La démocratie est par définition autoritaire, puisque tu l'écris toi-même: si l'autorité émane de la volonté du peuple, elle est légitime. Mais l'autorité n'émane jamais de la volonté du peuple, mais toujours d'une partie de celui-ci. L'autorité du peuple sera légitime le jour où le peuple parlera d'une seule voix. Ce n'est jamais le cas en démocratie, où chaque individu est libre d'exprimer son opinion, forcément différente. Donc, en démocratie, on a toujours l'exercice de l'autorité d'un groupe majoritaire par rapport à l'autre, par l'élection. Le peuple exerce sa liberté de parole dans la polyphonie. dès lors, une partie de la population, celle qui obtient la majorité, exerce l'autorité sur l'autre, en lui imposant son programme. L'exemple de l'adoption de la loi sur le mariage pour tous en est emblématique. Quand à l'octroi des privilèges, naïveté me semble un adjectif approprié…

Ma démonstration tient totalement. Le souci vient de toi. Tu ne comprends pas la notion de volonté du peuple. Ce que l'on appelle "volonté du peuple" est évidemment un abus de langage car tous les citoyens n'ont pas la même volonté. On veut parler en fait de la "volonté générale du peuple", mais par commodité, on réduit cela à "volonté du peuple", il s'agit de la "volonté d'un groupe moindre de personnes sanctionnée par l'assentiment de tous les autres".

Et il n'y a que cette volonté générale du peuple qui est source de légitimité. L'autorité qui émane de cette volonté est légitime. C'est sur cette volonté qu'est basée par définition la démocratie.

Que cela te serve de leçon, c'est très bien que tu réfléchisses par toi-même, mais essaie de ne pas avoir l'arrogance de croire que ce que tu penses par toi-même n'a pas déjà été pensé par d'autres. Tu ne peux donc pas débarquer et changer les définitions des mots, pour ensuite te dessiner ta propre réalité. Il n'y a qu'une seule réalité et nous avons besoin de mots avec un sens commun pour nous comprendre et dissocier cette réalité des fantasmes.

La démocratie n'est pas la caricature que tu en fais, ce n'est pas la dictature d'une majorité, c'est au contraire un savant mélange entre partage des pouvoirs, contre pouvoirs et contrôle du peuple sur ceux-ci.

Modifié par jimmy45
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Membre, 76ans Posté(e)
Pales Membre 23 646 messages
Maitre des forums‚ 76ans‚
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Il ne préside plus.

Dans la Constitution, le Président se doit d'être un stratège, pas un type qui bloque son samedi midi pour régler le cas de Shrek (Léonarda).

Ainsi, ces 7 ans (hé oui, 7 ans...) de mandat se devaient d'être utilisés pour réfléchir à long terme.

Le Président ne préside plus.

Oui mais le « Rôle » d’un Président c’est de Présider, et d’un Roy de Reigner..............Tout deux Peuvent malgré la Similitude de leur Fonction Peuvent ne pas Savoir Remplir leur Attribution, cela est une autre Histoire

Modifié par Pales
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Invité Frankygoztovalhalla
Invités, Posté(e)
Invité Frankygoztovalhalla
Invité Frankygoztovalhalla Invités 0 message
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Certains, à la BCE ou ailleurs, sont nommés de 8 ans à "à vie".

Ils ont le temps de dévelloper leur stratégie. Si je parle, dans un premier post, de tonte des principes de la Vème République, puis dans un deuxième du quinquennat, c'est pour essayer de montrer que tout est fait pour afflaiblir la souveraineté de la Nation.

Un Roi en France était entouré, conseillé. Et y'avait des corporations, entre autres forces avec lesquelles le Roi devait composer.

Non, le Roi ne régnait pas de façon absolue, la fin de l'Ancien Régime montre de façon assez claire que le Roi était tenu de la bourse à la braguette. Et oui, de nos jours, un président ne préside plus, il subit.

Personnellement, je suis partisan d'une démocratie réelle, dans l'absolu. Sans juridification des relations sociales. (juridification menant au politiquement correct, voilà aussi une des facettes puantes de notre république. Ca et la captation des médias, dans les mains de quelques-uns, au détriment de ce que dit la constitution sur le sujet, encore une fois).

Il n'y a plus de parti rouge ou blanc aujourd'hui dans l'échiquier politique, il n'y a plus qu'un parti bleu. Avec les clivages qui pouvaient exister dans le vieux "parti du mouvement", à l'intérieur du même parti.

Voilà ce qu'est la République et TOUS ses partis politiques, ils ne forment qu'UN parti, le "parti du mouvement", qu'on pourrait nommer aujourd'hui "parti de la croissance et de la mondialisation".

La gauche est redevenue ce qu'elle était avant l'affaire dreyffus, quand elle était contre "le péril clérical et monarchiste" (les blancs) et "contre le péril collectiviste" (rouges, qui étaient attachés à l'indépendance politique. Trouvez moi un seul texte ou Marx se réclame être de gauche, un !).

C'est suite à un compromis mal ficelé (comme aujourd'hui. Les vrais rouges ont fuit la gauche, il n'y a plus que des "bleus", c'est ainsi que la gauche avant affaire Dreyffus était symbolisée, et c'est ainsi que le PCF est mort) entre bleus et rouges (gauche + mouvements ouvriers).

Compromis historique et pour le moins ambigü entre socialistes, libéraux et républicains.

C'est d'ailleurs grâce à ce genre de compromis qu'on a pu longtemps entendre des gens crier "goulag et totalitarisme !" à chaque fois qu'on osait remettre en cause le capitalisme.

Voilà ce qu'est devenue progressivement la République. Le compromis entre membres d'un seul parti, le vieux "parti du mouvement". Quand je dis à un FDG qu'il n'est rien d'autre que l'équation capitalisme + marxisme = industrialisme, ce que je veux dire, c'est exactement ce que je dis.

Un seul parti, ça s'appelle comment ?

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Membre, 76ans Posté(e)
Pales Membre 23 646 messages
Maitre des forums‚ 76ans‚
Posté(e)

Je pense que le Régime de la Vème République, peut encore Evolué vers une VIème République et s’étendre aux peuples Européen mais seulement quand tous les pays (28 Actuellement) composant l’UE seront aux même niveaux dans le Domaine Politique Sociale Economique et Financière

http://www.lefigaro....x-principes.php

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Invité Henri.
Invités, Posté(e)
Invité Henri.
Invité Henri. Invités 0 message
Posté(e)

@ JIMMY45

Tu me vois désolé de donner du souci par mon incompréhension, et je te remercie de perdre un peu de temps à essayer de m'instruire. Voyons si j'ai bien compris…

Ce que l'on appelle "volonté du peuple" est évidemment un abus de langage car tous les citoyens n'ont pas la même volonté.

Jusque-là, nous sommes d'accord…

On veut parler en fait de la "volonté générale du peuple", mais par commodité, on réduit cela à "volonté du peuple"

C'est très commode, en effet. Donc, la volonté du peuple, dans l'absolu, n'existe pas. Il s'agit de la "volonté générale du peuple", que l'on réduit à la "volonté du peuple." Nous sommes de nouveau d'accord

il s'agit de la "volonté d'un groupe moindre de personnes sanctionnée par l'assentiment de tous les autres".

Et il n'y a que cette volonté générale du peuple qui est source de légitimité. L'autorité qui émane de cette volonté est légitime. C'est sur cette volonté qu'est basée par définition la démocratie.

Bien monsieur. La "volonté du peuple", qui n'est en définitive que "la volonté générale du peuple", qui n'est elle-même que "la volonté d'un groupe moindre de personnes sanctionnée par l'assentiment de tous les autres", est légitime. pour résumer, la démocratie, c'est l'exercice de l'autorité d'un groupe majoritaire par rapport à l'autre, par l'élection…

Que cela te serve de leçon

Tous mes remerciements…

c'est très bien que tu réfléchisses par toi-même, mais essaie de ne pas avoir l'arrogance de croire que ce que tu penses par toi-même n'a pas déjà été pensé par d'autres.

Je te remercie encore, j'essaye effectivement de penser par moi-même. Par contre, je ne sais que trop que mes pensées n'ont rien d'original. Mon arrogance vient sans doute du fait que je suis moi-même arrivé aux conclusions, en réfléchissant sur la base de ma faible culture, plutôt que de la régurgiter…

Tu ne peux donc pas débarquer et changer les définitions des mots, pour ensuite te dessiner ta propre réalité. Il n'y a qu'une seule réalité et nous avons besoin de mots avec un sens commun pour nous comprendre et dissocier cette réalité des fantasmes.

C'est là que nous ne sommes plus d'accord, pardonne mon arrogance. Non seulement je peux débarquer et changer la définition des mots pour me dessiner ma propre réalité, mais je le dois, pour justement dissocier réalité et fantasme. parce que parfois, le fantasme devient réalité, et la réalité devient fantasme. Quand en 1940, la République donne à la majorité des voix les pleins-pouvoirs au maréchal Pétain, certains se sont autorisés, brisant par là la légitimité de la démocratie, à ne pas donner leur "assentiment", devinant les conséquences de cette décision. Ils ont préféré vivre le fantasme d'un De Gaulle représentant illégitimement la France et de la Résistance plutôt que la réalité proposée par la République, Le maréchal Pétain et la collaboration. Ils ont eu tort, selon la sacro-sainte définition que tu donnes de la légitimité démocratique, si belle sur le papier, mais à la merci dans la réalité des caprices de l'histoire. Dans une moindre mesure et le même ordre d'idée, les gens n'ont pas aujourd'hui à protester contre un président qui a été élu par la "volonté du peuple", qui n'est en définitive que "la volonté générale du peuple", qui n'est elle-même que "la volonté d'un groupe moindre de personnes sanctionnée par l'assentiment de tous les autres." Espérons également ne pas avoir à discuter la notion "d'assentiment de tous les autres" en 2017, si le front national obtient la majorité au second tour de l'élection présidentielle. Napoléon III et Hitler se sont hissés au pouvoir par la volonté du peuple, et ont transformé la réalité Républicaine en fantasme dictatorial, pour ne citer qu'eux

La démocratie n'est pas la caricature que tu en fais, ce n'est pas la dictature d'une majorité, c'est au contraire un savant mélange entre partage des pouvoirs, contre pouvoirs et contrôle du peuple sur ceux-ci.

Comme tu n'es pas le seul à me donner des leçons, je te récite celle que j'ai apprise d'Hannah Arendt, en lisant son livre souvent cité sur le forum, "Eichmann à Jérusalem": Ce qui fait justement la banalité du mal, c'est justement le fait de ne pas avoir de pensée propre: d'obéir à une loi uniquement parce que c'est une loi, sans y réfléchir, sans faire participer sa conscience, sans y confronter les notions de bien ou de mal. Alors oui, la démocratie n'est peut-être pas la caricature que j'en fais, mais elle peut très bien devenir pire encore, parce que l'histoire, dont j'essaye également de tirer les leçons, m'enseigne que les mots, les définitions que nous portons au pinacle ne sont rien, je le répète, devant ses caprices . Que ton "savant mélange entre partage des pouvoirs, contre pouvoirs et contrôle du peuple sur ceux-ci" n'est rien non plus quand c'est l'opinion qui dirige, et que l'exécutif, otage de celle-ci, n'est plus à même d'exercer son autorité par simple peur des représailles électorales.

Alors la leçon que j'en tire, c'est que l'histoire n'est pas seulement l'étude du passé, mais l'utilisation de cette étude du passé pour construire l'histoire à venir. La démocratie d'aujourd'hui, ne nous en déplaise, ne sera qu'un objet d'étude pour les historiens de demain, comme sont objets d'études pour nous l'Empire romain, La monarchie, le premier et le second empire. Penser l'histoire, figé dans notre époque, persuadé que demain sera comme aujourd'hui, que la démocratie en est l'aboutissement, quand elle n'en est qu'un évènement parmi d'autres et disparaitra quand elle sera, comme les autres devenue obsolète c'est manquer singulièrement de perspective historique. c'est pour tout dire faire preuve de suffisance, en se croyant, comme chaque génération avant nous, arrivé au sommet de l'évolution politique, quand nous n'avons pas même commencé à grimper. À cette suffisance, je préfère mon arrogance, qui m'incite à voir dans la démocratie ce qu'elle a de meilleur comme de pire, afin de pouvoir au besoin la défendre, et réfléchir à ce qui pourrait la remplacer, quand elle sera devenue inapte.

Il me reste, je te l'accorde, énormément à apprendre. Ajoute à cela que je n'ai pas eu la chance d'aller à l'école, et que j'ai l'arrogance, comme tu le soulignes, de vouloir penser quand même, en autodidacte. Tu comprendras dès lors aisément que nous n'avons pas la même lecture des choses, mais j'ai aussi l'arrogance de croire que c'est une source d'enrichissement.

Merci encore, en tout cas, pour la leçon…

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Invité Henri.
Invités, Posté(e)
Invité Henri.
Invité Henri. Invités 0 message
Posté(e)

quoi ? lui parlée de système autogestionnaire où chacun aurait son mot à dire ??? où les pouvoirs seraient remplacée par des mandats impératifs, des assemblées générales souveraines ???

:snif:

Ce serait intéressant que tu développes. C'est une alternative comme une autre…

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Invité Henri.
Invités, Posté(e)
Invité Henri.
Invité Henri. Invités 0 message
Posté(e)

Je ne sais pas trop. Un régime d'union nationale, peut-être. Pas forcément une démocratie. En réalité, c'est là mon plus gros problème: je ne sais pas trop quoi proposer comme régime intermédiaire. Si vous avez des idées, je suis preneur.

On peut envisager une démocratie mais dont les fondements seraient tirés des Lois Divines et ne seraient pas modifiables (ce qui se rapproche de la démocratie classique). Avec un homme politique élu (ou pas) pour plus que 5 ans.

On pourrait même envisager un hybride de démocratie et de monarchie: un "président" en place à vie (ou au moins jusqu'à ce qu'il ne puisse plus assurer ses fonctions). Et qui devrait choisir et former son successeur. Successeur qui devra néanmoins recevoir l'aval de la population. Sans que cet aval ne soit un veto.

Il faudrait t'inspirer de ce qui a court au Vatican, le système a fait ses preuves, en matière de longévité efficace…

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Membre, 46ans Posté(e)
jimmy45 Membre 11 008 messages
Maitre des forums‚ 46ans‚
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Mon cher Henri, je sens que la mise en évidence de ton inculture crasse t'a touché, et le fait que je te le fasse remarquer t'énerves au plus haut point. Tu as sans doute une haute estime de toi-même, et le fait que je te rabaisse à ce que tu es en réalité te blesse.

J'entends bien ta rhétorique. Pour te défendre tu essaies de laisser entendre que je serais un mouton qui répéterait ce qu'on lui a appris et que toi tu serais une personne libre d'esprit qui à la différence de moi et de mes dogmes chercherais à discerner la vérité dans tous les mensonges qui ont été jusqu'ici propagés.

Seulement, il me faut interrompre une nouvelle fois ton impressionnant récit romancé pour te ramener à la triste vérité.

Il me semble qu'avant de décider qu'une définition ou qu'une idée sont fausses et qu'il faut les remplacer par celles que tu as inventé, le minimum serait qu'au moins tu connaisses ces définitions et ces idées ( que tu présumes fausses).

Là tout ce que tu as montré, et c'est pourquoi je suis intervenu, c'est que tu n'as pas le début d'un départ de connaissance à ces sujets ( et que visiblement tu ne manifestes pas la moindre envie de les connaître ) et que tout sur quoi tu te bases sont des idées grossières stupides et caricaturales de ce qui a été pensé jusqu'ici par les autres.

Ne t'en déplaise, il y a des gens, bien plus illustres que nous, qui ont déjà pensé à tous ces concepts. Ces gens n'étaient pas d'accord entre eux. Aussi ce qu'ils ont écrit ne peut effectivement pas être pris comme une vérité absolue. Mais je pense qu'avant d'avoir la prétention d'amener soi-même la vérité, là où tous les autres par déduction auraient échoué, il peut être intéressant de prendre quelques moments pour découvrir ce qu'ils ont pu raconter. Il me semble que c'est sans doute une meilleur base de réflexion que celles que tu peux avoir sur le sujet.

En l'occurrence, le concepts de volonté générale du peuple ou de légitimité ont été largement traités par des philosophes comme JJ Rousseau Montesquieu ou B Constant.

C'est d'ailleur de Constant que je tire cette phrase "La volonté générale du peuple c'est la volonté d'un groupe moindre de personnes sanctionnée par l'assentiment de tous les autres".

Tu fais là encore preuve de grandes limites intellectuelles quand tu résumes cela à "l'élection" là où ces philosophes en ont déduit divers principes politiques dont celui des droits de l'homme, de la séparation des pouvoirs et tant d'autres.

PS : Il n'y a rien d'absurde à parler de volonté du peuple quand on parle de volonté générale du peuple lorsque l'on part du principe que les gens ne sont pas idiots et qu'il est évident qu'il n'existe pas une volonté commune à toute une population. L'idiot ici c'est celui qui croit que les autres sont assez idiots pour croire cela. Bref ce n'est pas absurde car cela fait gagner un mot, plusieurs lettres, donc du temps et de la place.

Modifié par jimmy45
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Invité Henri.
Invités, Posté(e)
Invité Henri.
Invité Henri. Invités 0 message
Posté(e)

Mon cher Henri, je sens que la mise en évidence de ton inculture crasse t'a touché, et le fait que je te le fasse remarquer t'énerves au plus haut point.

Mon cher Jimmy45,

La mise en évidence de mon inculture crasse ne me touche pas outre-mesure, puisque je l'admets volontiers…

Tu as sans doute une haute estime de toi-même, et le fait que je te rabaisse à ce que tu es en réalité te blesse.

J'ai trop d'amour pour l'humanité pour estimer ma trop petite personne…

J'entends bien ta rhétorique. Pour te défendre tu essaies de laisser entendre que je serais un mouton qui répéterait ce qu'on lui a appris et que toi tu serais une personne libre d'esprit qui à la différence de moi et de mes dogmes chercherais à discerner la vérité dans tous les mensonges qui ont été jusqu'ici propagés.

Tu n'entends rien à ma rhétorique. Je ne me défends de rien, je discute du sujet. Je réponds à tes arguments, en faisant valoir les miens. Je ne prétends pas à la vérité, et je me garderai bien de penser à ta place, ayant déjà du mal à penser par moi-même…

Seulement, il me faut interrompre une nouvelle fois ton impressionnant récit romancé pour te ramener à la triste vérité.

Il me semble qu'avant de décider qu'une définition ou qu'une idée sont fausses et qu'il faut les remplacer par celles que tu as inventé, le minimum serait qu'au moins tu connaisses ces définitions et ces idées ( que tu présumes fausses).

Je n'ai jamais écrit que ces idées étaient fausses. J'ai simplement écrit qu'elles étaient vraies dans un contexte historique précis, qu'elles ne furent et ne seraient pas toujours applicables, en prenant des exemples concrets tirés de notre histoire. Je n'ai pas remplacé ces idées, j'ai appuyé sur elles ma réflexion. Que mes raisonnements soient faux, je te le concède volontiers, puisque je ne prétends pas à la vérité, mais à la réflexion…

Là tout ce que tu as montré, et c'est pourquoi je suis intervenu, c'est que tu n'as pas le début d'un départ de connaissance à ces sujets ( et que visiblement tu ne manifestes pas la moindre envie de les connaître ) et que tout sur quoi tu te bases sont des idées grossières stupides et caricaturales de ce qui a été pensé jusqu'ici par les autres.

Je ne demande qu'à apprendre, merci de ton intervention

Ne t'en déplaise, il y a des gens, bien plus illustres que nous, qui ont déjà pensé à tous ces concepts. Ces gens n'étaient pas d'accord entre eux. Aussi ce qu'ils ont écrit ne peut effectivement pas être pris comme une vérité absolue. Mais je pense qu'avant d'avoir la prétention d'amener soi-même la vérité, là où tous les autres par déduction auraient échoué, il peut être intéressant de prendre quelques moments pour découvrir ce qu'ils ont pu raconter. Il me semble que c'est sans doute une meilleur base de réflexion que celles que tu peux avoir sur le sujet.

En l'occurrence, le concepts de volonté générale du peuple ou de légitimité ont été largement traités par des philosophes comme JJ Rousseau Montesquieu ou B Constant.

Il ne m'en déplais pas. Ces gens ont pensé avant nous, bien mieux que nous, et nous ont légué leur pensée en héritage. Je ne prétends pas amener la vérité, mais la réflexion. Je me réserve le droit de réfléchir à partir de ce que ces gens ont pensé, pour pouvoir enrichir ma consternante indigence intellectuelle…

C'est d'ailleur de Constant que je tire cette phrase "La volonté générale du peuple c'est la volonté d'un groupe moindre de personnes sanctionnée par l'assentiment de tous les autres".

Félicitations. Tu as lu Benjamin Constant. Tu le cites avec brio. Et tu en penses quoi, quelles réflexions t'inspirent cette citation..?

Tu fais là encore preuve de grandes limites intellectuelles quand tu résumes cela à "l'élection" là où ces philosophes en ont déduit divers principes politiques dont celui des droits de l'homme, de la séparation des pouvoirs et tant d'autres.

Ma grande limite intellectuelle résume cela à l'élection, quand la République, au 21ème siècle se base sur le suffrage universel direct…

Maintenant, pour te répondre plus directement, je préfère de loin mon inculture crasse et la piètre position où tu me places qui m'incitent à réfléchir à ce que d'autres ont écrit, à la modestie qui t'incite à étaler le profond savoir des autres en les citant sans y apporter la moindre réflexion personnelle. Pour être clair, je préfère ma petitesse avérée à ta prétendue grandeur…

Quand tu répondras sur le fond plutôt que sur la forme, avec des arguments qui te sont propres, et pas avec ceux de ces gens illustres qui ont pensé avant toi et visiblement à ta place, Je me ferais un plaisir d'apprécier à mon tour ton intelligence. Je ne doute pas qu'elle soit supérieure à la mienne, et n'en serai pas blessé le moins du monde. C'est toujours un plaisir d'apprendre de gens qui nous sont supérieurs…

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Membre, 41ans Posté(e)
cheuwing Membre 17 032 messages
Maitre des forums‚ 41ans‚
Posté(e)

Espérons également ne pas avoir à discuter la notion "d'assentiment de tous les autres" en 2017, si le front national obtient la majorité au second tour de l'élection présidentielle. Napoléon III et Hitler se sont hissés au pouvoir par la volonté du peuple, et ont transformé la réalité Républicaine en fantasme dictatorial, pour ne citer qu'eux

je trouve ces exemples intéressants pour un changement de pouvoir démocratique à un régime autoritaire ou personnel

Napoléon III n'a fait que suivre les travaux de la restauration, suivi ou plutôt propulsé par une élite parisienne cherchant à industrialiser et investir en France le pays le plus efficacement et avec le moins d'opposition,

Il est fort possible que les grands travaux d'Hausmann n'auraient pas été possibles sans cette autorité, travaux qui permirent enfin que Paris rayonne culturellement pendant 1 siècle

Hitler aussi, relançant l'industrie allemande d'une manière plutôt innovante pour l'époque

Les 2 ont eu la réussite économique et la défaite militaire finale,ils étaient approuvés par le peuple mais de manière différente : l'un par référendum, l'autre en évinçant l'opposition

Les 2 avaient aussi pour eux des institutions faibles, jeunes et en pleine restructuration du régime qui leur permirent ces coups

je trouve que le cas de la prise de pouvoir d'Auguste César est plus intéressante, tout en utilisant les institutions et les lois de la république il réussit à établir un pouvoir personnel sur une république forte

P.S. : bravo pour l'ironie précédente, j'ai bien rigolé

Modifié par cheuwing
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Membre, Marchombre, 33ans Posté(e)
Serguei Zoubatov Membre 4 440 messages
33ans‚ Marchombre,
Posté(e)

le petit bout de la lorgnette, c'est avoir peu voyager que de croire que le décalogue "s'impose à tous comme une évidence"

Si le Décalogue ne s'impose pas lui-même comme une évidence, son contenu est en revanche reconnu par la quasi-totalité de la planète. Ne pas voler. Ne pas tuer. Ne pas convoiter les biens du voisins. Respecter ses parents. Etc...

Ces lois sont reconnues par la quasi totalité de la population mondiale comme une évidence. Il n'y a qu'en Occident qu'on les conteste comme étant quelque chose d'opprimant.

L'ensemble de la population mondiale ne reconnaît pas consciemment le Décalogue. Mais en pratique plus ou oins consciemment le contenu.

Nous y voilà «le catholicisme n'est pas basé sur la parole d'un gourou mais sur la Vérité Révélée par le Fils de Dieu».,

c'est oublier que deux tiers de la population mondiale n'est ni catholique, ni de culture chrétienne beaucoup s'en faut.

La Vérité n'a absolument rien à voir avec le nombre. 8 milliards de fous contre un sage, c'est le sage qui a raison.

Que ces deux tiers nous ont apporté plus en culture et connaissance, que le tiers qui se voulu dominateur, et n'a été que réducteur culturellement pour l'ensemble de l'humanité.

Assertion mensongère basée sur une vision repentante de l'Histoire. La civilisation chrétienne fut le plus haut degré de civilisation que l'on ai jamais atteint.

là où il y a de l'homme, il y a de "l'hommerie" c'est à dire de la stupidité mensongère et orgueilleuse.

L'Homme, depuis le péché originel, comporte une part d'ombre et de chaos. Et cela, je ne l'ai jamais nié. Et c'est justement parce que je le prend en compte que je m'attache à promouvoir un régime dont le fonctionnement permettrait de modérer la mauvaise influence de cette part d'ombre sur l'administration de la société et donc sur la vie des gens.

Je vous laisse à vos rêves hégémoniques, mensongers et faux.

Navré, mais je ne rêve pas. Je vous laisse cette activité.

Mais n'oubliez pas qu'avant de rêver de votre monarchie, vous devriez savoir vivre du message du Christ.

Ce message est un enseignement d'amour du prochain, d'humilité pour soi même - ce dont vous ne donnez ni l'exemple, ni le modèle.

Or si vous désirez que le règne de D.ieu vienne sur terre, vous devriez commencez par vous souvenir que « ce royaume n'est pas de ce monde».

J'ai exprimé quelque part la volonté de rétablir le royaume du Christ dans ce monde? Je ne m'en souviens pas. J'ai exprimé le désir d'instaurer un régime favorable à la vie spirituelle et qui aiderait les gens à avancer vers le Christ. C'est très différent. Je ne me fais aucune illusion: ce régime ne sera pas -et ne sera jamais- parfait.

Et je ne vois pas où mon projet politique est en contradiction avec l'amour du prochain.

Mon comportement l'est probablement plus. Mais, comme le reste du monde, je ne suis pas parfait. De plus, ce n'est pas aimer le prochain que d'accepter ses erreurs et ses folies. Les dénoncer pour lui montrer la voie du Bien, voilà qui est l'aimer.

Cours de philosophie positive de Auguste Comte.

L'ordre et le progrès, que l'antiquité regardait comme essentiellement inconciliables, constituent de plus en plus, par la nature de la civilisation moderne, deux conditions également impérieuses, dont l'intime et indissoluble combinaison caractérise désormais (et ?) la difficulté fondamentale et la principale ressource de tout véritable système politique.

Aucun ordre réel ne peut plus s'établir, ni surtout durer, s'il n'est pleinement compatible avec le progrès; aucun grand progrès ne saurait effectivement s'accomplir s'il ne tend finalement à l'évidente consolidation de l'ordre (sécurité).

Mais l'état présent du monde politique est encore très éloigné de cette inévitable conciliation finale. Car, le vice principal de notre situation sociale consiste, au contraire, en ce que les idées d'ordre et les idées de progrès se trouvent aujourd'hui profondément séparées, et semblent même nécessairement antipathiques.

Les plus grandes civilisations ne sont pas celles qui changent sans cessent. Et qui ne sont, finalement, que des phénomènes attachés au temps et voués à disparaître. Ce sont les civilisations qui se détachent du temps. Dont les principes ne changent pas, ne se modifient pas. Celles qui privilégient la constance au mouvement, au changement.

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Membre, Marchombre, 33ans Posté(e)
Serguei Zoubatov Membre 4 440 messages
33ans‚ Marchombre,
Posté(e)

Il est somme toute vrai que la question du pouvoir est centrale.

Hors que ce soit l'oligarchie, la noblesse, l'aristocratie, ou quelqu'autre élite indéboulonnable aux pleins pouvoirs ne garanti nullement la liberté absolue et le bien-être d'un peuple, tous les modèles de démocratie peut être pas non plus.

La questions des libertés est inséparables de celles des garanties. Dans un régime où il n'existe aucune Loi Supérieure, aucun dieu, il est évident que le détenteur du pouvoir est suspect. Et que la meilleure des garanties est d'instaurer un régime où aucun détenteur du pouvoir ne peut s'en emparer durablement.

En revanche, dans un régime qui reconnaît l'existence d'un dieu, le détenteur du pouvoir est responsable devant ce dernier et devra rendre des comptes à sa mort. Puissante motivation pour ne pas trop faire le con.

Cela vaut pour la démocratie. La démocratie n'est pas en soi un mauvais régime (même si ce n'est pas le meilleur). Je m’accommoderais fort bien d'une démocratie qui reconnaîtrait les Lois Divines. C'est la démocratie moderne (selon la classification de Jean Madiran) qui est irrémédiablement mauvaise.

La république, elle c'est la chose publique, la Res Publica, le bien commun. Et en cette qualité, elle transcende les croyances, et peut être les fondements de beaucoup de modèles politiques.

Ceci est inexact à notre époque. Les gens confondent démocratie et République.

et tu oses donnez des leçons ???

Je ne donne pas de leçons, j'expose ma position. Si vous considérez cela comme des leçons, profitez-en: c'est gratuit.

Et peut-être que cela pointe vers l'idée que, inconsciemment, vous pensez avoir besoin de leçons.

tout ton com ou presque repose sur l'existence de dieu, sur un orde divin nécessaire

Totalement. Ma vision du monde est inséparable de ma croyance en le Christ.

et autres :censored: pour nier que l'humain est perfectible si il prends le temps de coopéré avec ses voisins, si les rapports humains se fondent sur l'entraide et non la soumission à l'économie ou ses gérants (dieu, roi, leader absolu, président, secrétaire général, etc.....) !

De toute évidence, vous ne connaissez rien au catholicisme. Qui déclare, justement, que l'homme est taché par le péché originel et qu'il doit oeuvrer à s'améliorer s'il veut accéder à la vie éternelle.

Et il n'y a que cette volonté générale du peuple qui est source de légitimité. L'autorité qui émane de cette volonté est légitime. C'est sur cette volonté qu'est basée par définition la démocratie.

La totalité de votre raisonnement est basé sur cette unique assertion: seule la "volonté générale du peuple" (et donc la démocratie) est légitime.

Vous ne développez, n'expliquez, cette assertion nulle part, n'envisagez pas qu'elle soit fausse.

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Invité Frankygoztovalhalla
Invités, Posté(e)
Invité Frankygoztovalhalla
Invité Frankygoztovalhalla Invités 0 message
Posté(e)

Avec Constant (libéral) comme référence...

Tractacus juridico-économicus libéral, soit le contraire de la volonté du peuple, puisque finalement, le but est d'aller vers la juridification des relations sociales, quand le peuple a été tout à fait capable de distinguer ce qui se fait de ce qui ne se fait pas par lui-même. (et il ose me citer Orwell dans un autre post !! Un anarchiste-conservateur qui traite essentiellement de cette question !!).

Toute la fumisterie rose foncée concentrée.

Modifié par Frankygoztovalhalla
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Membre, 76ans Posté(e)
Pales Membre 23 646 messages
Maitre des forums‚ 76ans‚
Posté(e)

Toute Vérité n’est pas Absolue, tout Absolue est Vérité..........Chacun la Sienne et Dieu pour Tous

De l’Homme il n’y a qu’une « Vérité » c’est le Mensonge...........A Méditer

Modifié par Pales
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Invité Frankygoztovalhalla
Invités, Posté(e)
Invité Frankygoztovalhalla
Invité Frankygoztovalhalla Invités 0 message
Posté(e)

C'est au peuple de définir la "common decency" (décence commune ainsi traduit, mais sens bien plus profond) pas à des blaireaux libéraux, ni par juridification libérale des relations sociales.

Plus un type du FDG s'exprime, plus ce parti me debecte.

Leur couleur, c'est le bleu, ils ne méritent pas le rouge.

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Membre, 76ans Posté(e)
Pales Membre 23 646 messages
Maitre des forums‚ 76ans‚
Posté(e)

Pour Moi ces deux « Couleurs » là (Politique) me débecte

Modifié par Pales
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Membre, Posté(e)
amissa somnium Membre 3 982 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Aucun modèle ne peut être viable si ceux et celles qui sont sensé l'appliquer ne sont pas vertueux ,ce n'est donc pas le régime le soucis mais les hommes .

En fait,le pouvoir corrompt quant on le désire ,pourquoi le désire t'ont ? tout simplement pour avoir un sentiment de puissance ,ceux et celles qui ne le désire pas ,ont par essence pas ce problème ,si nous donnons le pouvoir à des gens qui ne le désire pas,pour eux,ce serais une corvée ..

La république de nos jours et au sens de ses créateurs ,n'existe plus et la démocratie telle qu'elle est représenté de nos jours,n'est qu'une madame putain qui favorise les forts et détruit les faibles ,non pas en leurs prenant tout comme dans d'autre régime qui eux,avaient le bénéfice d'etre cash ,non,mais en donnant tout ce que l'esclave à besoin : le sentiment d’être libre ,ça passe par la bouffe pas cher ,par les loisirs pas cher ect.. c'est instituez donc des grades en tout afin que le riche soit toujours plus riche et que le pauvre n'est pas à se plaindre,donc,à se révolté ,pourquoi irais je me révolté après tout,la profusion de nourriture est là et les loisirs dispose d'un large panel ?

Qu'est ce que la liberté ? faire ce que l'ont veut ? exactement mais fait t'ont ce que nous voulons ? : à cette question je répond que non ,que l'ont nous as enlever le réel ..

Donc,je pisse au cul de cette république et de cette fausse démocratie qui n'est qu'en fait que le plus totalitaire des régimes

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Membre, 41ans Posté(e)
cheuwing Membre 17 032 messages
Maitre des forums‚ 41ans‚
Posté(e)

En revanche, dans un régime qui reconnaît l'existence d'un dieu, le détenteur du pouvoir est responsable devant ce dernier et devra rendre des comptes à sa mort. Puissante motivation pour ne pas trop faire le con.

bizarrement j'ai démontré que cette assertion est totalement fausse par les exemples passés de nos rois mais tu insistes .

Modifié par cheuwing
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