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Catalogue des nouveaux ringards : les hipsters


PASDEPARANOIA

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Membre, In girum imus nocte et consumimur igni , 52ans Posté(e)
PASDEPARANOIA Membre 27 326 messages
52ans‚ In girum imus nocte et consumimur igni ,
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Premier épisode de notre série exclusive, « les nouveaux ringards ».

Quintessences de la boboitude urbaine et du jeunisme le plus imbécile, les hipsters sont très aisément reconnaissables à leur accoutrement supra-mainstream et à leur surabondance dans les centres-villes rénovés et dans les anciennes banlieues ouvrières de première couronne gentrifiées par l’action de spéculation immobilière de la fin des années 1990. Partout où ils se déportent, ils installent (ou sont installés, « transplantés » comme disent les américains) dans un quelconque quartier populaire transformé en sous-Brooklyn ou en faux Shoredich et font le bonheur des promoteurs immobiliers des centres-villes. Apparu aux Etats-Unis (évidemment) à la fin des années 1990, le hipster était déjà ce faux geek, ce figurant de « Buffy » ou de « Friends », habitant un loft au décor néo-rétro, roulant sur un scooter vintage avec un casque orange à damiers et écoutant le dernier groupe d’indie rock à la mode. C’était ce qu’on appelle le « early-hipster ». Désormais muni d’un smartphone, d’un appétit débordant pour les réseaux sociaux, pour les cupcakes et affublé d’un look éclectique agrégeant toutes les tendances de mode comprises entre 1973 (The Strookes) et 1995 (1995), mêlant le chapeau jazz du wannabee

1980 au blouson de jeans à badges heavy

metal du rocker NWOBHM, les wayfarer du easy yuppie ante-1989 et le slim du garage rocker, il aborde occasionnellement un dégradé George Michael, un short rose ou jaune fluo, des tennis de skateboard (il n’en fait pas lui-même, il se refuse à tout sport pour conserver la maigreur de ses 20 ans) ou plus récemment des grotesques sneakers américaines, une barbe de faux philosophe pour ceux qui le peuvent et surtout cette insupportable moustache, sur son t-shirt, sur son bling-bling, en piercing ou pire encore, sur son infâme trogne, attablé qu’il est avec son groupe de faux amis sur le teck népalais d’un quelconque restaurant bio et gay-friendly.

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A ses côtés, son iMac charge quelque musique sur son iPhone, via iStore et Itunes. Il jette un coup d’œil par la fenêtre (faussement) empoussiérée du bar hype, pour admirer le vélo « torpédo » (fixie bike) qu’il vient d’acquérir à prix d’or, bien qu’il soit en retard de deux loyers dans sa coloc en hyper-centre. Quand il n’est pas en train de rater son année universitaire, il se traîne d’after en after, dans l’espoir de rester au cœur du hype. Croyant entamer une carrière de créateur ou de jeune PDG de start-up, il finit promptement par financer le loyer de son appartement au cœur du quartier étudiant, en faisant barman en extra, vendeur chez The Kooples pendant les soldes ou revendeur de mauvaise cocaïne à la petite semaine pour les plus sombres d’entre eux. Tout dépend en vérité de son statut social d’origine, mais le hipster est généralement issu d’une petite bourgeoisie provinciale, voire urbaine, qui quoiqu’il en soit, est une déception complète pour ses parents. Névrosé et égocentrique, il se fond à merveille dans le monde du tertiaire, de la vente, du marketing à deux balles, où il ne fait jamais long feu. Le hipster se croit souvent être un geek, ce qui est une insulte à ce sociotype originel. Le hipster se croit beaucoup de choses, principalement un génie. Croyant en sa concupiscence, il agrège d’un jour à l’autre, attitude rock et rebelle, post-punk, indus, easy caillera, plan « Guido Jersey Shore» à la française (c’est-à-dire plan « Ch’ti/Marseillais à Miami »), plan faux punk à chien de souche, plan coupe mulet, plan « barrista », plan faux BCBG, etc. Bien plus qu’un bobo, le hipster est l’héritier fidèle du baba des années 1970. Mais ayant dépassé le simple flip, il cherche le trip constant, ce qui fait de lui un consommateur encore plus docile. Mais avant toute chose, qu’il vienne du fin fond des Alpes ou du cœur de la ville, le Hipster, par sa présence, contribue à assassiner toute bohème, tout détaché qu’il est de la culture profonde. S’il ne méprise pas tout simplement la politique (« c’est pour les cons, t’façons… »), il n’a évidemment qu’une conscience réduite du cours des choses, il est inutile d’aborder tout sujet sérieux avec lui. Il est la représentation de la bouillie qui nous sert de société culturelle et populaire en ce moment.

070713_2140_cataloguede12.jpg?w=620HISTOIRE VRAIE : Jeremy était un trentenaire plus ou moins SDF, ivre et urinant dans la rue en récitant du Beigbeder, quand il fut repéré par le producteur du Grand Journal de Canal+ en personne. Ce dernier, prenant le hobo soulard pour un hipster du dernier chic, lui propose immédiatement de tenir une chronique dans l’émission afin de remplacer Vincent Glad, le hipster british de service, de moins en moins crédible à l’antenne. Présenté au président de la chaine, il est finalement démasqué à cause de sa réticence à lâcher sa bouteille de gros rouge et en raison de l’état de sa dentition, après examen immédiat. Edifiant et digne d’un épisode des Pieds Nickelés..

Pour finir avec cette triste introduction, c’est encore à l’avis expert d’un New Yorkais ayant souffert et vécu de ses yeux l’arrivée de cette sous-culture dans son quartier, qu’il nous faut nous en remettre. Résident de Brooklyn, le rédacteur du blog DIEHIPSTER.COM a passé plus de 7 ans à alerter le monde contre cette menace anti-bohème. La virulence de ses propos à l’encontre des hipsters témoigne assurément de l’ampleur du phénomène : « Ces espèces de parvenus, égocentriques, affamés de la moindre attention, dépourvus de talent et prétendument créatifs ont stérilisé, homogénéisé et éradiqué toute culture originale à Brooklyn dans des proportions inimaginables et je ne vois aucune possibilité d’amélioration de ce point de vue. Ce blog est un endroit où se foutre de la gueule de ces petites merdes ennuyeuses, cyniques et transplantées, pseudo-créatives et pseudo-intellectuelles que sont les hipsters. Il est impossible pour vous, raclures de parvenus ahuris, de vous payer la bobine des vrais new-yorkais. Vous n’avez rien foutu de tout cette dernière décennie, si ce n’est déplacer en masse des familles d’ouvriers, des résidents de longue date et même des immigrés récents qui ne recherchent aucune attention, contrairement à vous, vulgaires larves. A cause de votre désir d’être une sorte de « pionnier urbain », les loyers ont doublés ou triplés. Les hipsters ne créent rien du tout de neuf. Ils recyclent les modes et les tendances des trois ou quatre décennies passées. J’ai l’espoir que chacun d’entre vous, jusqu’au dernier, lise ce blog, puis se regarde dans un miroir et se dise : « Putain, ce mec à totalement raison. Je suis vraiment une petite merde d’imposteur». La vérité, c’est qu’il aura fallu attendre la pub 118218 pour rendre mainstream le phénomène Hipster en France. Et l’esprit Canal, bien entendu, qui recycle à l’envi tout le caca ultralibértaire de ce système capitaliste, filmant de squat trendy en colloc’ crasseuse, et jusqu’au fond d’un trou à rats, la dernière trouvaille du nouveau faux génie, synthétique et surfait, pseudo-créatif des hipsters. Etudiants aux beaux-arts ou dans une quelconque école de « création » qu’ils ont tôt fait de rater, ils sont à la culture anticonformiste, ce que l’étudiant de sciences-po est à la norme. Aucun hasard, donc, si ce concept du vide, cette culture de la conscience molle et de l’anti-identité se retrouve aujourd’hui propulsée en tête d’affiche du grand journal de Canal+…quoique c’est au final, faire preuve d’une ringardise extrême de la part de l’esprit Canal, que de recruter un Baptiste Lorber alors qu’aux Etats-Unis, on est passé à autre chose et que chacun se rit déjà des moustaches grungey du Hipster du coin, que l’on croise partout dans la moindre soirée bath et dans le moindre restaurant à burgers bios.

Les Hipsters en France, c’est par exemple : Slimy (hipster chiant et ringard), Ben l’Oncle Saoule (hipster groovy et ringard), Kavinsky (hipster electro tolérable), Baptiste Lorber (hipster provincial grotesque ayant fait le buzz auprès des boboeufs parisiens), Salut c’est cool (hipsters provinciaux affidés au précédent, mais qu’on aime bien parce qu’ils ont tout à fait conscience d’être les caricatures d’eux-mêmes), à peu près n’importe quel personnage dans Denver le dernier dinosaure.

070713_2140_cataloguede13.jpg?w=620Les hipsters aiment s’habiller comme dans Denver le dernier dinosaure : Longboard, sneakers, tennis de toile, short rose, pantalon jaune flash, casquette de bucheron à rabats, grosses montures « wayfarer », coupes mulet, etc.

Les Hipsters en France, ça devient : Vendeur chez Kooples ou chez Zadig & Voltaire (chez H&M pour les plus nazes et souvent les plus arrogants), caissier chez Cora ou chez Leclerc après un cuisant échec universitaire ou artistique, serveur (larbin) dans un bar branché, infographiste à faux CV, pointeur au RSA mais « responsable dans les médias » pour les filles en soirée, markéteux gonzo à faux CV, candidat aux sélections locales d’une émission de TV réalité, coloc’ à trente ans, fêtard à trente ans, souillon notoire, concepteur de vidéos d’humour cynique en espérant « faire le buzz ». Mais quoi qu’il fasse, quelque barbe faussement philosophique ou toute moustache qu’il se laisse pousser, rien de cela, encore moins son tricot Fred Perry (copié sur le bourgeois de gauche Macé-Scaron) ou son t-shirt délavé « Empire » payé 25 euros dans une friperie de Berlin, ne suffiront à combler son manque criant de virilité morale.

Dialogue avec un hipster : « Et avec ta copine, Baptiste, c’est plutôt quoi comme ciné ? –Euh, films d’actions américains, (ricanements)…non je rigole, des films d’auteur bien sûr, que des films d’auteur…on adore ça ! – Ahah ! »

(Arrivant dans la coloc’) : « Les gens, dites bonjour ! – Ouais… ! ». (Plus loin) – On n’a pas d’eau potable en fait, ici…du coup, on fait appel à Grolsch (bière néerlandaise hype) qui nous livre son eau potable, vu que l’eau du robinet à Paris n’est pas très bonne… ».

Ne pas confondre le Hipster avec : un jeune chalala (qui cherche juste à rester "cool"), un teckos clochardisé (rave hipster), un punk à chien (hobo hipster), un rider (fixie hipster), etc.

En défense du Hipster : Le plus drôle, c’est que ce phénomène hipster en vient même à être critiqué par quelques journalistes de mode parisiens un peu plus à la page que les autres, mais pas du tout pour les bonnes raisons. On a pu le vérifier dans quelques articles dans Glamour. Seul problème, les journaleux parisiens étant eux-mêmes des ringards en puissance (boboeufs), ils vilipendent le hipster, non par pour les raisons que nous venons d’exposer, mais parce que celui-ci serait…fasciste ! En effet, l’appétit du hipster pour les mises années 1940, pour les chaussures de ville Doc Martens et pour les tempes bien dégagées, a fini par horrifier le bobo parisien, qui n’est jamais qu’un baba ultraflippé et giga-conformiste (de peur d’être viré). M’enfin, la stupidité et le pavlovisme furieux de ces jeunes scribouillards atteint des sommets lorsqu’une joute insignifiante se livre entre Glamour et Rue 89. Tous aussi ringards, coincés du cul et super conformistes les uns que les autres, ces journaleux bourgeois-libertaires… il apparait donc que les hipsters, qui ces derniers mois sont effectivement plutôt portés sur des mises strictes, martiales, romantiques et viriles des années 1930-40, sont officiellement à livrés à la vindicte flippée de la critique de mode officielle. La classe et l’allure finement BCGB des centaines de milliers de jeunes JMJ du Printemps Français auront donc eu des effets plus que vertueux sur une jeunesse hipster en perte de repères. Et alors qu’enfin, en une décennie de hipsterisme insupportable, ces jeunes-là commencent finalement à s’habiller correctement, c’est assurément le papier-glacé de Glamour qui se ridiculise doublement. Pour s’opposer criminellement au bon gout depuis toujours. Et pour avoir créé le concept le plus craignos de la prétendue presse de mode : le taux de « branchiloose »…

070713_2140_cataloguede14.jpg?w=620Le grand poète et écrivain américain fasciste Ezra Pound, était-il un hipster préhistorique ? La Casa Pound italienne, est-elle un repère de hipsters ?

En somme, on regrette déjà le hipster, qui en fin de course, rencontre de force la nécessité du survivalisme économique et du retour au réel et entame une formation de réparateur de vélos, ce qui en fait finalement un personnage pas tout à fait détestable. Mais si l’on en croit l’analyse flippée de Glamour, le hipster se bonifierait donc avec l’âge et l’expérience, deviendrait plus dangereux, voire hostile à la société libérale-libertaire qu’il croyait pouvoir intégrer. Avec un peu de chance et de courage, il ralliera peut être même un cercle de réflexions nationalistes.

A venir cette semaine dans notre série « Les nouveaux ringards » : l’Esprit Canal, les Européistes et les Anti-fas !

http://lettresdestrasbourg.wordpress.com/2013/07/07/catalogue-des-nouveaux-ringards-les-hipsters/

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Membre, 56ans Posté(e)
LaurentEssonne Membre 1 334 messages
Baby Forumeur‚ 56ans‚
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Je rêve où tu te lance dans le dénigrement des stéréotypes sociétaux?

Très dangereux...

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Membre, In girum imus nocte et consumimur igni , 52ans Posté(e)
PASDEPARANOIA Membre 27 326 messages
52ans‚ In girum imus nocte et consumimur igni ,
Posté(e)

J'adore le style de l'article.

C'est à prendre au second degré évidement. L'auteur formulant une sorte d'archétype social, pas une réalité physique. Je précise quand même.

Tout le monde à le droit de vivre, et tout le monde peut se moquer gentiment des manies sociales.

Je dis se moquer, pas insulter, comme certains le fonts avec les homos. C'est aussi une bonne claque sur certaines de nos habitudes, qui permet une remise en question.

J'avoue avoir reconnu deux ou trois trucs qui pourraient s'appliquer à mon cas. Ca fait pas de moi un hipster, quoi que mon ex m'ait traiter de ça par pur dépit amoureux. Je suis un vieux cool, sans style particulier ;).

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Invité Bruit
Invités, Posté(e)
Invité Bruit
Invité Bruit Invités 0 message
Posté(e)

Comme c'est pas une minorité ethnique, on a le droit.

Mais j'aurai pas mis Kavinsky dans la liste en tout cas. Il a certes un look et un gout pour le retro mais c'est tout sauf un poseur.

Le hispster, dans un style années 30: http://hipsterhitler.com/

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Membre, In girum imus nocte et consumimur igni , 52ans Posté(e)
PASDEPARANOIA Membre 27 326 messages
52ans‚ In girum imus nocte et consumimur igni ,
Posté(e)

tu peux te foutre des nègres aussi. Sauf qu'ils n'ont pas choisi d'être noir, contrairement aux hipster qui choisissent la médiocrité moche.

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Invité Bruit
Invités, Posté(e)
Invité Bruit
Invité Bruit Invités 0 message
Posté(e)

Donc si des noirs ont choisi de parler fort, de vivre avec seulement un cache sexe et faire les feignasses, je peux me foutre de leur gueule?

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Membre, Marxiste tendance Groucho, 64ans Posté(e)
Alain75 Membre 27 401 messages
64ans‚ Marxiste tendance Groucho,
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il y à des traits communs à moi, a mes gosses (- de 25 ans) certains de mes amis.

J'aime bien le coté corrosif de l'article. Se remettre un peu en question ça ne fait pas de mal.thumbsup.gif

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Invité Bruit
Invités, Posté(e)
Invité Bruit
Invité Bruit Invités 0 message
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Dans un genre similaire, il y a eu le dico du look qui est sorti il y déjà quelques années.

De mémoire, ol y en a un flash d'au moins 60 pages sur le webstore de la Fnac.

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Invité Casey Miller
Invités, Posté(e)
Invité Casey Miller
Invité Casey Miller Invités 0 message
Posté(e)

Il n'y a aucune référence au sens premier du mot hipster; les faux hipsters se sont appropriés un mot qui n'a aucun rapport avec eux...

070713_2140_cataloguede14.jpg?w=620Le grand poète et écrivain américain fasciste Ezra Pound, était-il un hipster préhistorique ? La Casa Pound italienne, est-elle un repère de hipsters ?

Cela n'a vraiment pas de sens. L'exemple de Kerouac aurait été beaucoup plus logique.

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Membre, 56ans Posté(e)
LaurentEssonne Membre 1 334 messages
Baby Forumeur‚ 56ans‚
Posté(e)

J'adore le style de l'article.

C'est à prendre au second degré évidement. L'auteur formulant une sorte d'archétype social, pas une réalité physique. Je précise quand même.

Tout le monde à le droit de vivre, et tout le monde peut se moquer gentiment des manies sociales.

Je dis se moquer, pas insulter, comme certains le fonts avec les homos. C'est aussi une bonne claque sur certaines de nos habitudes, qui permet une remise en question.

J'avoue avoir reconnu deux ou trois trucs qui pourraient s'appliquer à mon cas. Ca fait pas de moi un hipster, quoi que mon ex m'ait traiter de ça par pur dépit amoureux. Je suis un vieux cool, sans style particulier ;).

Je te dis ça parce que le second degré ne vaut que pour ceux qui savent ce que veut dire ce terme.

Or, depuis un an, il y a un stéréotype sociétal qu'il ne faut pas critiquer sous peine d'être le pire de pires.

C'est pourquoi cet article vient mettre de l'huile sur un feu couvant et c'est très dangereux, d'après moi.

Encore une occasion pour l'auteur, pas toi, de se mêler des tendances et ainsi créer un pour et un contre de plus, l'heure est à la cohésion dans ce pays, si on veut en faire une tribu où il fait bon vivre, sans politiciens ou sociologues pour nous dire comment penser et dépenser notre labeur, ce n'est pas en créant des cases, des diktats ou des mouvements marginaux voire dissidents.

Tu vas voir que les réponses à ce topic vont très vite partir en live.

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Membre, 52ans Posté(e)
Crabe_fantome Membre 47 126 messages
Maitre des forums‚ 52ans‚
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Quand j'ai lu névrosé et égocentrique j'ai cru qu'on parlait de moi... mais en fait non.

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Membre, "Emmerdeuse immigrée" , 34ans Posté(e)
Surimuchan Membre 3 824 messages
34ans‚ "Emmerdeuse immigrée" ,
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En fait ce qui me fait peur c'est que je remarque que je connais aucuns de ces gens : " Les Hipsters en France, c’est par exemple : Slimy (hipster chiant et ringard), Ben l’Oncle Saoule (hipster groovy et ringard), Kavinsky (hipster electro tolérable), Baptiste Lorber (hipster provincial grotesque ayant fait le buzz auprès des boboeufs parisiens), Salut c’est cool (hipsters provinciaux affidés au précédent, mais qu’on aime bien parce qu’ils ont tout à fait conscience d’être les caricatures d’eux-mêmes), à peu près n’importe quel personnage dans Denver le dernier dinosaure."

Ça me fait peur je me sens vieille xD

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Membre, 52ans Posté(e)
Crabe_fantome Membre 47 126 messages
Maitre des forums‚ 52ans‚
Posté(e)

Bah rassures toi, mes amis disent aussi de moi que je suis périmé parce que je n'ai pas trouvé de bon truc à écouté depuis la fin des années 90.

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Membre, 47ans Posté(e)
g_pu_rien Membre 5 344 messages
Baby Forumeur‚ 47ans‚
Posté(e)

Ben en fait, ce n'est que le point de vue de l'auteur de l'article.

Le look que décrit l'auteur je le trouve pas du tout ringard. Bizarre que les bobos-bienpensants du forum ne cris pas à l'homophobie d'ailleurs.

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Membre, 56ans Posté(e)
LaurentEssonne Membre 1 334 messages
Baby Forumeur‚ 56ans‚
Posté(e)

Ça ma étonné aussi...

Ben l'oncle soul ringard, qu'est-ce qu'il ne faut pas entendre...

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Invité Frankygoztovalhalla
Invités, Posté(e)
Invité Frankygoztovalhalla
Invité Frankygoztovalhalla Invités 0 message
Posté(e)

Etant membre d'une orga' plus ou moins affiliée à Casapound, j'avoue m'être bien marré. :smile2:

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Membre, Marxiste tendance Groucho, 64ans Posté(e)
Alain75 Membre 27 401 messages
64ans‚ Marxiste tendance Groucho,
Posté(e)

Ben en fait, ce n'est que le point de vue de l'auteur de l'article.

Le look que décrit l'auteur je le trouve pas du tout ringard. Bizarre que les bobos-bienpensants du forum ne cris pas à l'homophobie d'ailleurs.

La caricature d'homo, c'est un classique du comique. Et quand c'est bien fait tout le monde rigole. Sans aller se draper dans un étendard quelquonque.

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Membre, In girum imus nocte et consumimur igni , 52ans Posté(e)
PASDEPARANOIA Membre 27 326 messages
52ans‚ In girum imus nocte et consumimur igni ,
Posté(e)

L'oncle Ben est ringard, oui. Genre look coton club suranné qui rencontre l'oncle Benz dans une friperie de Saint Ouen.

Le hisper envahi tout lentement. Vous aller les remarquer bientôt. Méfiez vous d'eux, ce sont des dangereux parasite qui ne font rien de bon.

G plus rien à dire, je comprends pas cette manie de parler d'homophobie. On parle d'un look, d'une façon de vivre, pas d'orientation sexuelle. A moins que tu ne crois dans ta tête malade que tous les homos sont des fofolle hystériques habillés en fluo ?

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