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Petite leçon de Sexisme Ordinaire

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PASDEPARANOIA

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Membre, Ne se refuse rien, 37ans Posté(e)
cricket Membre 3 815 messages
37ans‚ Ne se refuse rien,
Posté(e)

Oui j'avais cru comprendre que c’était récupéré, m'enfin ça ne change rien, au final. Qu'ils en soient les créateurs, ou qu'ils l'utilisent uniquement. ^^

Et là tout y est, les paroles, les tenues, les expressions suggestives, et les positions de dominations, et le manque flagrant de rapport entre le produit vendu et la pub associée. Ça me semble bien illustrer le topic, helas.

Pas mal sinon la video décryptage.

Modifié par cricket
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Membre, "Emmerdeuse immigrée" , 34ans Posté(e)
Surimuchan Membre 3 824 messages
34ans‚ "Emmerdeuse immigrée" ,
Posté(e)

C'est juste pour apporter un peu de culture je suis d'accord que ça ne change pas grand chose. ^^

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Membre, En désaccord, 47ans Posté(e)
Zeds_Dead Membre 4 003 messages
47ans‚ En désaccord,
Posté(e)

J'en conclus donc que vu que tu es biologiquement un homme avec un "sexe mécanique" (:D) et des hormones de mâles, tu violes des femmes à tous les coins de rue. C'est inhérent à ta nature et non en partie culturel ou acquis. De ce fait, par mesure de précaution mieux vaut castrer chimiquement tous les hommes.

Voilà voilà niveau extrapolation, chacun peut partir dans le sens qu'il lui convient.

Le problème des gens qui ont cessé d'utiliser la généralisation parce que "c'est pas bien" c'est qu'ils sont devenus complètement hermétiques à toute pensée logique faute de pouvoir décrire la réalité. Il ne reste plus dans leur tête que les concepts d'ensembles parfaits, et de cas individuels, ces outils sont impropre à décrire la plupart des réalités qu iles entourent.

Privés de la généralité et de l'exception qui est son concept complémentaire, ils croient faire de la logique en racontant des idioties.

Donc, si tu regarde plus attentivement, la généralité parmi les hommes, c'est qu'ils ne sont pas des violeurs, et l'exception qu'ils en sont.

Et la généralité parmi les violeurs, c'est que ce sont des hommes, l'exception que ce sont des femmes. Voila.

Fort de ces constats simples, nous pouvons chercher les causes de ce comportement. Nous pouvons bien sur les chercher dans les pensées qui sont formées par la société dans laquelle vit l'individu, mais aussi garder à l'esprit que c'est plus facile de gagner une lutte quand on est plus fort et que c'est plus facile de violer une femme quand on est un homme pour des raisons techniques que l'inverse. Ou nous pouvons faire de la socio de comptoir qui nie tout simplement la physique et la biologie.

Enfin plus je vois de sociologues auto-proclamés débattre et plus j'ai l'impression qu'il n'en existe pas d'autre.

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Membre, Budweiser addict, 34ans Posté(e)
US_eyes Membre 2 785 messages
34ans‚ Budweiser addict,
Posté(e)

Et ça marche parce que et bah, les filles sont quasi nues

"quasi"... whistling1.gif

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Membre, 52ans Posté(e)
Crabe_fantome Membre 47 126 messages
Maitre des forums‚ 52ans‚
Posté(e)

Le problème des gens qui ont cessé d'utiliser la généralisation parce que "c'est pas bien" c'est qu'ils sont devenus complètement hermétiques à toute pensée logique faute de pouvoir décrire la réalité. Il ne reste plus dans leur tête que les concepts d'ensembles parfaits, et de cas individuels, ces outils sont impropre à décrire la plupart des réalités qu iles entourent.

Privés de la généralité et de l'exception qui est son concept complémentaire, ils croient faire de la logique en racontant des idioties.

Donc, si tu regarde plus attentivement, la généralité parmi les hommes, c'est qu'ils ne sont pas des violeurs, et l'exception qu'ils en sont.

Et la généralité parmi les violeurs, c'est que ce sont des hommes, l'exception que ce sont des femmes. Voila.

Fort de ces constats simples, nous pouvons chercher les causes de ce comportement. Nous pouvons bien sur les chercher dans les pensées qui sont formées par la société dans laquelle vit l'individu, mais aussi garder à l'esprit que c'est plus facile de gagner une lutte quand on est plus fort et que c'est plus facile de violer une femme quand on est un homme pour des raisons techniques que l'inverse. Ou nous pouvons faire de la socio de comptoir qui nie tout simplement la physique et la biologie.

Enfin plus je vois de sociologues auto-proclamés débattre et plus j'ai l'impression qu'il n'en existe pas d'autre.

IL n'y a pas à chercher bien loin, la femme n'est pas équipé d'un pénis en érection pour obtenir ce qu'elle veut, le viol ne peut donc pas être direct. En revanche une autre forme de viol, féminin celui là, consiste à "anesthésier" sa victime pour en tirer profit. Avec un couteau sous la gorge, peu de chance de garder ma proverbiale érection... En revanche même si je suis en couple et heureux de l'être, quelques mots, quelques caresses et quelques gestes me feront céder. Je viens donc de faire l'amour contre mon grès. Même si mon corps a aimé ça, mon moi a été violé.

Généralement toutes les femmes peuvent avoir ses arguments pour nous mettre dans leur lit, et exceptionnellement certaines le font. Ce qui fait un nouveau point commun entre l'homme et la femme... leur désir de sexe peut leur faire faire n'importe quoi... la différence sera dans le "comment".

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Membre, Thermodynamiquement instable, Posté(e)
Yardas Membre 7 068 messages
Thermodynamiquement instable,
Posté(e)
En revanche même si je suis en couple et heureux de l'être, quelques mots, quelques caresses et quelques gestes me feront céder. Je viens donc de faire l'amour contre mon grès. Même si mon corps a aimé ça, mon moi a été violé.

Alors là, pour une fois, je ne suis pas DU TOUT d'accord avec toi. Une femme qui use de ses charmes pour te faire craquer, c'est pas du viol. Pas plus que si un homme use des siens pour coucher avec une femme. Se dédouaner parce que "elle était sexy !" c'est... plutôt très pitoyable en fait.

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Invité olya
Invités, Posté(e)
Invité olya
Invité olya Invités 0 message
Posté(e)

Alors là, pour une fois, je ne suis pas DU TOUT d'accord avec toi. Une femme qui use de ses charmes pour te faire craquer, c'est pas du viol. Pas plus que si un homme use des siens pour coucher avec une femme.

Je suis d'accord avec Yardas. Crabe_fantome tu dis que tu as fait l'amour contre ton gré car elle t'a séduit...elle ne t'a pas forcé dans le sens où tu aurais pu dire non, que tu n'en as pas envie et elle aurait sûrement arrêté... Elle t'a suggéré quelque chose et tu l'as suivi, ce n'est pas comme si tu étais sous la contrainte.

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Membre, 52ans Posté(e)
Crabe_fantome Membre 47 126 messages
Maitre des forums‚ 52ans‚
Posté(e)

Alors là, pour une fois, je ne suis pas DU TOUT d'accord avec toi. Une femme qui use de ses charmes pour te faire craquer, c'est pas du viol. Pas plus que si un homme use des siens pour coucher avec une femme. Se dédouaner parce que "elle était sexy !" c'est... plutôt très pitoyable en fait.

Justement, elle n'est pas forcément sexy...

Je suis d'accord avec Yardas. Crabe_fantome tu dis que tu as fait l'amour contre ton gré car elle t'a séduit...elle ne t'a pas forcé dans le sens où tu aurais pu dire non, que tu n'en as pas envie et elle aurait sûrement arrêté... Elle t'a suggéré quelque chose et tu l'as suivi, ce n'est pas comme si tu étais sous la contrainte.

ça va au delà de la séduction...

Imaginons que je sois pas forcément bien dans ma peau, que je sois un peu alcoolisé et qu'une femme plutôt ni jolie, ni sexy commence à se frotter contre moi lors d'une danse pour faire monter mon taux d'hormone. Elle va alors affaiblir ma volonté de dire non en m'excitant. Un peu de la même manière que je vais filer du GHB à une nénette qui ne me dira pas non plus non.

Après bien sur la violence n'est pas la même et le traumatisme d'un homme "violé" n'est en rien comparable avec celui d'une femme violée.

L'idée c'est que l'homme et la femme sont tout les deux soumis aux désirs et que chacun va utiliser sa méthode pour arriver à ses fins. L'homme et la femme en général useront de charmes... certains hommes et certaines femmes, exceptionnellement, utiliseront des méthodes immorales (drogues, alcool, armes) pour obtenir des faveurs sexuelles.

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Membre, Thermodynamiquement instable, Posté(e)
Yardas Membre 7 068 messages
Thermodynamiquement instable,
Posté(e)

Justement, elle n'est pas forcément sexy...

Ton histoire a encore moins de sens et de portée argumentative...

Imaginons que je sois pas forcément bien dans ma peau, que je sois un peu alcoolisé et qu'une femme plutôt ni jolie, ni sexy commence à se frotter contre moi lors d'une danse pour faire monter mon taux d'hormone.

Déjà tu n'avais pas parlé d'alcool dans ton précédent message. C'est sensiblement différent.

Elle va alors affaiblir ma volonté de dire non en m'excitant.

Si tu as de l'alcool dans le sang encore ça se discute. La question est : Est-ce qu'elle le sait et en profite pour coucher avec toi ?

Un peu de la même manière que je vais filer du GHB à une nénette qui ne me dira pas non plus non.

Tes analogies sont quand même un peu douteuses hein. Le sens des mesures...

Après bien sur la violence n'est pas la même et le traumatisme d'un homme "violé" n'est en rien comparable avec celui d'une femme violée.

L'idée c'est que l'homme et la femme sont tout les deux soumis aux désirs et que chacun va utiliser sa méthode pour arriver à ses fins. L'homme et la femme en général useront de charmes... certains hommes et certaines femmes, exceptionnellement, utiliseront des méthodes immorales (drogues, alcool, armes) pour obtenir des faveurs sexuelles.

User de ses charmes pour coucher avec quelqu'un n'est pas violer. Ça commence à se discuter si le charmeur sait que l'autre est bourré et en profite.

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Membre+, I. C. Wiener, 33ans Posté(e)
konvicted Membre+ 26 925 messages
33ans‚ I. C. Wiener,
Posté(e)

User de ses charmes pour coucher avec quelqu'un n'est pas violer. Ça commence à se discuter si le charmeur sait que l'autre est bourré et en profite.

C'est incontestablement malhonnête, éventuellement immoral si on veut employer des grands mots, mais à mon sens c'est sans commune mesure avec la violence d'un viol. Et puis, c'est bien connu, Dieu a inventé l'alcool pour que les moches baisent aussi. Là, le pire que le mec risque quand il aura dessoûlé, c'est un sentiment de honte qui l'incitera peut-être dorénavant à choisir entre se mettre la tête en dedans et copuler avec une inconnue.

Modifié par konvicted
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Membre, 52ans Posté(e)
Crabe_fantome Membre 47 126 messages
Maitre des forums‚ 52ans‚
Posté(e)

Ton histoire a encore moins de sens et de portée argumentative...

Déjà tu n'avais pas parlé d'alcool dans ton précédent message. C'est sensiblement différent.

Si tu as de l'alcool dans le sang encore ça se discute. La question est : Est-ce qu'elle le sait et en profite pour coucher avec toi ?

Tes analogies sont quand même un peu douteuses hein. Le sens des mesures...

User de ses charmes pour coucher avec quelqu'un n'est pas violer. Ça commence à se discuter si le charmeur sait que l'autre est bourré et en profite.

Le sens de mon argumentation est de dire que la violence conjugal ou le viol ne sont pas l'apanage des hommes, qu'exceptionnelement il y a des femmes qui deviennent des meurtrières ou des violeuses. Le sujet n'étant pas le viol, il est inutile de débattre des détails, si j'ai été moins convainquant dans ma première démonstration qu'à mon habitude :) j'en suis désolé.

Je pense qu'il est sage de considérer la femme comme un être humain qui a aussi envie de sexe et qui est prêt à beaucoup pour en avoir. La société a passé des millénaires à rabaisser ce sexe qui cache un orgasme et une libido au moins aussi puissante que celle des hommes. La société d'aujourd'hui a encore du mal à accepter la sexualité des femmes, dès le début de l'age adulte le jeune homme qui sort en boite se verra confier une boite de capotes et des conseils pour pécho... alors que sa soeur jumelle, sortant dans la même boite se verra confier uniquement des conseils, mais pour lui apprendre à dire non aux garçons. Culturellement c'est injuste.

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Membre, Thermodynamiquement instable, Posté(e)
Yardas Membre 7 068 messages
Thermodynamiquement instable,
Posté(e)

C'est incontestablement malhonnête, éventuellement immoral si on veut employer des grands mots, mais à mon sens c'est sans commune mesure avec la violence d'un viol.

Si la fille/le mec a dit non avant, et qu'elle dit oui complètement bourrée, ça peut être un viol. Si elle dit rien, ça veut pas dire qu'elle a dit oui : C'est un viol.

http://www.madmoizelle.com/blame-alcool-violences-sexuelles-166550

"Et puis, c'est bien connu, Dieu a inventé l'alcool pour que les moches baisent aussi."

Très classe.

Le sens de mon argumentation est de dire que la violence conjugal ou le viol ne sont pas l'apanage des hommes, qu'exceptionnelement il y a des femmes qui deviennent des meurtrières ou des violeuses.

Personne ne dit le contraire. Mais tu confonds débat sur un système (culture du viol, sexisme, ...) avec des cas individuels. Même si les hommes en sont victimes aussi, ce sont les femmes qui sont visées et discriminées par la culture du viol.

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Membre, 52ans Posté(e)
Crabe_fantome Membre 47 126 messages
Maitre des forums‚ 52ans‚
Posté(e)

Personne ne dit le contraire. Mais tu confonds débat sur un système (culture du viol, sexisme, ...) avec des cas individuels. Même si les hommes en sont victimes aussi, ce sont les femmes qui sont visées et discriminées par la culture du viol.

Ben c'était surtout pour répondre à Zed pour qui le pénis et les hormones permettaient de violer les filles, et que le viol était l'apanage des hommes. Sauf que le viol est exceptionnel dans la vie des gens, tout les hommes ne sont pas des violeurs... et donc je voulais soutenir qu'à sa manière, une femme aussi peu abuser d'un homme.

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Membre+, I. C. Wiener, 33ans Posté(e)
konvicted Membre+ 26 925 messages
33ans‚ I. C. Wiener,
Posté(e)

Si la fille/le mec a dit non avant, et qu'elle dit oui complètement bourrée, ça peut être un viol. Si elle dit rien, ça veut pas dire qu'elle a dit oui : C'est un viol.

http://www.madmoizel...exuelles-166550

On est d'accord là-dessus. J'aurais dû le préciser mais je réagissais par rapport à l'exemple de Crabe, où, si je ne m'abuse, l'homme victime de l'acte malhonnête fait l'amour activement et sans contrainte, ce qui est indiscutablement une sorte de consentement, pas forcément éclairé mais un consentement tout de même.

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Membre, 52ans Posté(e)
Crabe_fantome Membre 47 126 messages
Maitre des forums‚ 52ans‚
Posté(e)

On est d'accord là-dessus. J'aurais dû le préciser mais je réagissais par rapport à l'exemple de Crabe, où, si je ne m'abuse, l'homme victime de l'acte malhonnête fait l'amour activement et sans contrainte, ce qui est indiscutablement une sorte de consentement, pas forcément éclairé mais un consentement tout de même.

Mon exemple n'était pas parlant en tout cas, mais si on estime qu'une femme peut faire boire un homme ou le droguer pour abuser de lui alors ma démonstration est faite: l'homme et la femme se comportent de la même manière avec les mêmes méthodes aussi bien généralement (séduction) qu’exceptionnellement (alcool ou drogue).

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Membre, "Emmerdeuse immigrée" , 34ans Posté(e)
Surimuchan Membre 3 824 messages
34ans‚ "Emmerdeuse immigrée" ,
Posté(e)

Le viol est un « rapport sexuel imposé à quelqu'un par la violence, obtenu par la contrainte, qui constitue pénalement un crime »1.

Dans le droit français, c'est une agression sexuelle impliquant, selon l'article 222-23 du Code pénal, « tout acte de pénétration sexuelle, de quelque nature qu'il soit, commis sur la personne d'autrui par violence, contrainte, menace ou surprise »4.

Voilà.

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Invité olya
Invités, Posté(e)
Invité olya
Invité olya Invités 0 message
Posté(e)

ça va au delà de la séduction...

Imaginons que je sois pas forcément bien dans ma peau, que je sois un peu alcoolisé et qu'une femme plutôt ni jolie, ni sexy commence à se frotter contre moi lors d'une danse pour faire monter mon taux d'hormone. Elle va alors affaiblir ma volonté de dire non en m'excitant. Un peu de la même manière que je vais filer du GHB à une nénette qui ne me dira pas non plus non.

J'aime pas le mot "nénette". shrunkface.gif Mais bon, ça on s'en fout.

La limite entre séduction et viol c'est qu'on te force à faire quelque chose que tu ne veux pas, en sachant que tu ne le veux pas. En te séduisant la fille va essayer de te faire changer d'avis pour que tu le veuilles et que tu las suives. Mais rien ne t'empêche de la planter là et d'aller voir ailleurs. Donc ce n'est pas du viol. Si tu es déjà bourré et qu'elle te fait l'amour alors que tu es quasi-inconscient, c'en est. Enfin je crois que tu le sais déjà. ;)

Après bien sur la violence n'est pas la même et le traumatisme d'un homme "violé" n'est en rien comparable avec celui d'une femme violée.

Ah bon ? Qu'en sais-tu ? Je n'ai pas de sources là-dessus mais je ne vois pas en quoi moralement ça soit différent. Quant on a abusé de ton corps, ça doit être aussi traumatisant pour un homme comme pour une femme, j'imagine.

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Membre, 52ans Posté(e)
Crabe_fantome Membre 47 126 messages
Maitre des forums‚ 52ans‚
Posté(e)

J'aime pas le mot "nénette". shrunkface.gif Mais bon, ça on s'en fout.

La limite entre séduction et viol c'est qu'on te force à faire quelque chose que tu ne veux pas, en sachant que tu ne le veux pas. En te séduisant la fille va essayer de te faire changer d'avis pour que tu le veuilles et que tu las suives. Mais rien ne t'empêche de la planter là et d'aller voir ailleurs. Donc ce n'est pas du viol. Si tu es déjà bourré et qu'elle te fait l'amour alors que tu es quasi-inconscient, c'en est. Enfin je crois que tu le sais déjà. ;)

Ah bon ? Qu'en sais-tu ? Je n'ai pas de sources là-dessus mais je ne vois pas en quoi moralement ça soit différent. Quant on a abusé de ton corps, ça doit être aussi traumatisant pour un homme comme pour une femme, j'imagine.

Nénette est pour moi le féminin de mec mais là aussi on s'en fout.

Je distingue la séduction de techniques de chauffes... Si on mets la main au paquet pour tenter de me donner envie, on dépasse la séduction.

Quand au traumatisme il me parait plus difficile lorsque la fille a eu un couteau sous la gorge, des coups de poings et des coups de pieds, qu'elle s'est vu mourir au point de se soumettre et parfois pire: "donner du sien" pour tenter d'amadouer le violeur.

Après on est sur des impressions, il n'y a pas de règle.

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