Pour le CSA, l'audiovisuel englobe Internet et les « ordiphones »

"Audiovisuel" il me semble que le mot ne prête pas à confusion, ça concerne le son et l'image. Une part du trafic internet c'est des vidéos et ça rentre dans ce cadre. Mais une autre grande partie c'est du texte et ça n'est donc pas audiovisuel.

On pourrait dire aussi dans l'autre sens que la télé c'est de l'informatique.

Tentative de prise de pouvoir d'un organisme gouvernemental sur l'espace public ? ^^

Pour ma part, je n'ai rien contre le contrôle des "mass-media".

Mais je suis contre le contrôle des échanges entre particuliers.

Pour les "mass-media", c'est une immense responsabilité pédagogique et une immense influence, elle doit donc être contrôlé et cadré par un contre pouvoir efficace.

Le contrôle des chaînes de télévision : ok

Le contrôle des échanges téléphoniques (ou visiophonique) : pas ok.

Pourtant c'est de l'audio-visuel.

Le net remet un peu en cause ces frontières entre mass-média et échanges particuliers.

Pour ma part, le pouvoir du CSA ne devrait entrer en ligne de compte qu'après un certain nombres de visualisations. Le nombre de personnes (réelle) qui ont été touché par une communication.

Reste à décider d'une marge au delà de laquelle on pourra considérer qu'il s'agit d'une diffusion "publique" et plus d'échanges privés.

La difficulté technique sera de comptabiliser ce nombre de visualisation. C'est difficile, mais pas "infaisable" en informatique.

ça le sera peut être un jour, mais dans l'état actuel de la technique, ça n'est pas applicable.

Il ne faut donc pas péter plus haut que son cul. L'impuissance des services publique à assurer une protection ne doit pas justifier le viols de principes élémentaires, comme la liberté d'échanges entre les individus.

La notion même de "publication" devrait être revu.

Et les outils de publication sur le net révisés.

J'y penserai sur nos nouveaux outils. ( à une mesure de la "diffusion" d'un objet multimédia )

Les éléments dépassant un certain nombres de vu seront traité différemment des autres.

Organisme public ou privé...

Le mandat du président et des conseillers du CSA est de six ans. Les conseillers sont soumis à un devoir de réserve et ne peuvent cumuler leur fonction avec un emploi public, privé et / ou avoir des intérêts dans le secteur des médias. Le président du CSA gagne 100 500 € par an4 et chacun des huit autres conseillers gagne 8 000 €par mois5 versé pendant sept ans car ils ne peuvent travailler dans les médias qu'au-delà d'une année après leur mandat.

Et après avoir toucher 8000€ pas an à ne rien faire ils vont travailler pour les grands groupe qui défendent bec et ongle les "droits d'auteurs" chercher l'erreur.

Titsta, d'accord avec vous, le CSA ne sert à rien, vous imaginez l'organisme sanctionnant les posts des internautes ?

Si seulement il demandait un respect des téléspectateurs avec des programmes de qualité ! On paie une redevance.

On se croirait en Russie.

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Alors que le Conseil Supérieur de l'Audiovisuel compte bien voir ses pouvoirs étendus au Net le plus rapidement possible, notre confrère BFM Business croit savoir qu'il faudra attendre au plus tôt l'automne 2014 pour que les discussions débutent au sujet du projet de loi.Lire la suite

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Source: PcInpact