Déficit public

Selon Gilles Carrez, spécialistes des finances publiques - il a été rapporteur du budget à l'Assemblée pendant dix ans, de 2002 à 2012 -, le déficit public devrait atteindre à la fin de l'année non pas 61,5 milliards d'euros, comme cela est inscrit dans la loi de finances 2013, mais 80 milliards, en raison de moins-values de recettes fiscales estimées à 15 milliards et d'un dérapage des dépenses de 5 milliards d'euros. In fine, le déficit dépasserait les 4% du PIB.

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Selon Gilles Carrez, spécialistes des finances publiques - il a été rapporteur du budget à l'Assemblée pendant dix ans, de 2002 à 2012 -, le déficit public devrait atteindre à la fin de l'année non pas 61,5 milliards d'euros, comme cela est inscrit dans la loi de finances 2013, mais 80 milliards, en raison de moins-values de recettes fiscales estimées à 15 milliards et d'un dérapage des dépenses de 5 milliards d'euros. In fine, le déficit dépasserait les 4% du PIB.

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"Spécialistes des finances publiques" ah bon !

Alors comment se fait-il que ce "spécialiste" ait couvert et laissé filer l'augmentation du déficit sous chirac et sous sarkozy ?

Sa manœuvre un peu grosse comme ficelle, il voulait uniquement un débat sur un correctif budgétaire pour voter contre,pas de bol il n'y a pas besoin de correctif budgétaire.

Et certains traitent le FN d’incompétent, louant la compétence des ump et des socialos...

Les gens compétents ont encore frappé on dirait...

La commission va avoir matière à remettre notre gouvernement à sa place :smile2:

La France ne prend pas vraiment le chemin des 3% comme promis-juré il y a quelques semaines

"Spécialistes des finances publiques" ah bon !

Alors comment se fait-il que ce "spécialiste" ait couvert et laissé filer l'augmentation du déficit sous chirac et sous sarkozy ?

Sa manœuvre un peu grosse comme ficelle, il voulait uniquement un débat sur un correctif budgétaire pour voter contre,pas de bol il n'y a pas besoin de correctif budgétaire.

Nier la réalité, c'est tellement plus facile, pourquoi une moins value de quinze milliards d'euros de recettes fiscales ? lorsqu'on donne un signal aux classes aisées et supérieures qu'ils sont la cause de la crise et qu'ils vont être surtaxés n'encourage pas les dépenses et les investissements, automatiquement l'économie du pays s'en ressent et la courbe du chômage monte. Trop d'impôts tuent l'impôt, pas la peine d'être grand sage pour comprendre ça, mais toujours l'intelligentsias socialiste embrouille les comptes afin que les français n'y comprennent rien, on la connait, la manœuvre Mitterandiste, pas la peine de nier l'évidence !

La France doit continuer à redresser ses finances. Elle n'a pas le choix. Le taux de prélèvements obligatoires ayant explosé tous les records à 45 % du PIB, il n'y a plus de marge du côté des impôts. Pour revenir à 3 % de déficit en 2015 (au lieu de 2013), il lui faut donc trouver 13 milliards d'économies en 2014 et 15 milliards en 2015.

Tel est l'un des principaux messages délivrés par la Cour des comptes dans son rapport annuel sur la situation et les perspectives des finances publiques (RSPFP). Présenté jeudi 27 juin, il va nourrir le débat d'orientation des finances publiques prévu le 2 juillet à l'Assemblée nationale et le 4 au Sénat.

Le Monde: 27/06/2013

charles francois va certainement nous répondre que les journalistes du Monde sont des imbéciles :)

.../....

charles francois va certainement nous répondre que les journalistes du Monde sont des imbéciles :)

Non mais il est surprenant que vous ne vous soyez pas ému des rappels à l'ordre incessant de cette même cour des comptes quand Mr seguin en était président et que chirac puis sarkozy étaient président .

http://tempsreel.nou...ois-l-etat.html

Car c'est à ces moments là qu'il fallait cesser les gabegies inconsidérées qui aujourd'hui nous plombent gravement.

l'histoire et ses conséquences dans le temps sont plus têtues que vous, mais plus objectives

Non mais il est surprenant que vous ne vous soyez pas ému des rappels à l'ordre incessant de cette même cour des comptes quand Mr seguin en était président et que chirac puis sarkozy étaient président .

http://tempsreel.nou...ois-l-etat.html

Car c'est à ces moments là qu'il fallait cesser les gabegies inconsidérées qui aujourd'hui nous plombent gravement.

Ben voyons, vous n'avez pas peur, vous :)

Ben voyons, vous n'avez pas peur, vous :)

La vérité, la simple vérité nue et déshabillée de ses artifices politicien ne peut pas et ne doit faire peur à personne, sauf à ceux qui voudraient ne pas la voir ni la comprendre..

La vérité, la simple vérité nue et déshabillée de ses artifices politicien ne peut pas et ne doit faire peur à personne, sauf à ceux qui voudraient ne pas la voir ni la comprendre..

La voilà, la vérité :

LE NIVEAU TROP ÉLEVÉ DES PRÉLÈVEMENTS OBLIGATOIRES

Pour tenir ses engagements, le gouvernement doit changer de méthode. L'effort structurel réalisé en 2012 (1,1 point de PIB, contre 1,5 point en moyenne dans la zone euro) a résulté pour l'essentiel de 22 milliards de hausse d'impôts. En 2013, cet effort reposera encore à 80 % sur l'impôt. A partir de 2014, il devra provenir majoritairement d'une action énergique sur les dépenses qui, comme le reconnaît pudiquement la Cour, "reste à concrétiser".

La voilà, la vérité :

LE NIVEAU TROP ÉLEVÉ DES PRÉLÈVEMENTS OBLIGATOIRES

Pour tenir ses engagements, le gouvernement doit changer de méthode. L'effort structurel réalisé en 2012 (1,1 point de PIB, contre 1,5 point en moyenne dans la zone euro) a résulté pour l'essentiel de 22 milliards de hausse d'impôts. En 2013, cet effort reposera encore à 80 % sur l'impôt. A partir de 2014, il devra provenir majoritairement d'une action énergique sur les dépenses qui, comme le reconnaît pudiquement la Cour, "reste à concrétiser".

Au lieu de "bêtement et obstinément" regarder aujourd'hui, revenez donc en arrière pour comprendre les ressorts qui ont été brisés et qu'il faut reconstruire par une nouvelle compétitivité.

Car il y a deux solutions;

Soit on se dit comme les vieux « c'était mieux avant» sans jamais vouloir pourquoi et comment les 15 ans en arrière nous ont amené à cette situation.

Soit on est pragmatique et on regarde les meilleurs adaptations d'urgence à explorer pour aujourd'hui corriger sans idéologies les possibilités offertes.

Or je crains que le président de la cour des comptes soit un peu obtus par idéologie mais ça n'engage que moi.

Bref c'est un débat stérile pour deux raisons, la première; ni vous ni moi et encore moins les théoriciens n'ont les clés en main, la seconde, ni vous ni moi n'avons la vrai et totale solution ni même les compétences pour corriger le tir.

Comme nous ne sommes pas au bar du café du commerce et sauf à se faire plaisir en se gargarisant de supputations et de conjectures un peu simpliste, ni vous ni moi ne changerons rien sauf par une analyse de fait que nous pouvons concrétiser dans nos votes.

Or il est indéniable que jamais nous ne voterons de la même façon

Au lieu de "bêtement et obstinément" regarder aujourd'hui, revenez donc en arrière pour comprendre les ressorts qui ont été brisés et qu'il faut reconstruire par une nouvelle compétitivité.

Car il y a deux solutions;

Soit on se dit comme les vieux « c'était mieux avant» sans jamais vouloir pourquoi et comment les 15 ans en arrière nous ont amené à cette situation.

Soit on est pragmatique et on regarde les meilleurs adaptations d'urgence à explorer pour aujourd'hui corriger sans idéologies les possibilités offertes.

Or je crains que le président de la cour des comptes soit un peu obtus par idéologie mais ça n'engage que moi.

Bref c'est un débat stérile pour deux raisons, la première; ni vous ni moi et encore moins les théoriciens n'ont les clés en main, la seconde, ni vous ni moi n'avons la vrai et totale solution ni même les compétences pour corriger le tir.

Comme nous ne sommes pas au bar du café du commerce et sauf à se faire plaisir en se gargarisant de supputations et de conjectures un peu simpliste, ni vous ni moi ne changerons rien sauf par une analyse de fait que nous pouvons concrétiser dans nos votes.

Or il est indéniable que jamais nous ne voterons de la même façon

Si l'on est pragmatique, on regarde l'avenir, pas le passé, les leçons du passé ont été prises en compte depuis longtemps, avancez avec votre temps au lieu de resté scottché. :)

le grand maitre de l'économie et de la diatribe inutile du café du commerce à parlé

Voilà le titre d'un article du Figaro (journal qui n'aime pas les socialistes) de mai 2012 :

France : la dette culmine à 1717,3 milliards d'euros

Voici le lien de l'article :

Article en question

Voici la situation qu'ont trouvé les socialistes en arrivant au pouvoir en 2012.

Savez vous lire objectivement les liens que vous mettez ? j'en doute !

Record pour la dette

La dette, qui est alimentée par l'accumulation des déficits années après années, a continué de grimper en 2011, pour atteindre 1717,3 milliards d'euros, soit 85,8% du PIB. Elle est en hausse de 122,1 milliards d'euros par rapport à l'année précédente (en 2010, elle avait gonflé de 101,7 milliards d'euros).

Alors oui il dérape, personne ne peut effacer les dettes passées sauf à vouloir délirer soit comme Mélanchon soit comme MLP

???

Ben oui je sais lire. C'est pourquoi mon intervention allait dans le sens de votre propos Charles François.

Pour plus d'explication voir ma deuxième signature ci-dessous.

Au lieu de "bêtement et obstinément" regarder aujourd'hui, revenez donc en arrière pour comprendre les ressorts qui ont été brisés et qu'il faut reconstruire par une nouvelle compétitivité.

Car il y a deux solutions;

Soit on se dit comme les vieux « c'était mieux avant» sans jamais vouloir pourquoi et comment les 15 ans en arrière nous ont amené à cette situation.

Soit on est pragmatique et on regarde les meilleurs adaptations d'urgence à explorer pour aujourd'hui corriger sans idéologies les possibilités offertes.

Or je crains que le président de la cour des comptes soit un peu obtus par idéologie mais ça n'engage que moi.

Bref c'est un débat stérile pour deux raisons, la première; ni vous ni moi et encore moins les théoriciens n'ont les clés en main, la seconde, ni vous ni moi n'avons la vrai et totale solution ni même les compétences pour corriger le tir.

Comme nous ne sommes pas au bar du café du commerce et sauf à se faire plaisir en se gargarisant de supputations et de conjectures un peu simpliste, ni vous ni moi ne changerons rien sauf par une analyse de fait que nous pouvons concrétiser dans nos votes.

Or il est indéniable que jamais nous ne voterons de la même façon

Il y a bien longtemps que les pratiques du passé ont été tirées, aujourd'hui c'est notre avenir qui nous intéresse et ce qui est sûr c'est que l'augmentation des prélèvements obligatoires ne sera pas tenable longtemps.

Au lieu de "bêtement et obstinément" regarder aujourd'hui, revenez donc en arrière pour comprendre les ressorts qui ont été brisés et qu'il faut reconstruire par une nouvelle compétitivité.

Car il y a deux solutions;

Soit on se dit comme les vieux « c'était mieux avant» sans jamais vouloir pourquoi et comment les 15 ans en arrière nous ont amené à cette situation.

Soit on est pragmatique et on regarde les meilleurs adaptations d'urgence à explorer pour aujourd'hui corriger sans idéologies les possibilités offertes.

Or je crains que le président de la cour des comptes soit un peu obtus par idéologie mais ça n'engage que moi.

Bref c'est un débat stérile pour deux raisons, la première; ni vous ni moi et encore moins les théoriciens n'ont les clés en main, la seconde, ni vous ni moi n'avons la vrai et totale solution ni même les compétences pour corriger le tir.

Comme nous ne sommes pas au bar du café du commerce et sauf à se faire plaisir en se gargarisant de supputations et de conjectures un peu simpliste, ni vous ni moi ne changerons rien sauf par une analyse de fait que nous pouvons concrétiser dans nos votes.

Or il est indéniable que jamais nous ne voterons de la même façon

Parlez pour vous, c'est bien vous qui, hier niait la réalité, pas moi !

"Sa manœuvre un peu grosse comme ficelle, il voulait uniquement un débat sur un correctif budgétaire pour voter contre,pas de bol il n'y a pas besoin de correctif budgétaire"

c'est de vous et avec ça on se prend pour un théoricien averti :)

Il y a bien longtemps que les pratiques du passé ont été tirées, aujourd'hui c'est notre avenir qui nous intéresse et ce qui est sûr c'est que l'augmentation des prélèvements obligatoires ne sera pas tenable longtemps.

Parlez pour vous, c'est bien vous qui hier niait la réalité, pas moi !

Mais vous délirez, nous sommes plombés et pour longtemps par les dettes passées, avez vous remarqué les différence de déficit même avec un dérapage, nous sommes passé de plus de 5% à + de 4%.

Le présent est ce qu'il est, il est surtout la conséquence du passé ! Et la volonté de s'en sortir sans bouclier fiscal est là enfin ce n'est pas trop tôt.

Bref continuez à tenir le bar du café du commerce, à croire que c'était mieux avant et qu'avec des recettes argentine ou brésilienne on pourra s'en sortir.

Moi je n'ai rien à y faire surtout quand on est face à des esprits sclérosés politiquement et qui nie la dure réalité de l'héritage.

Mais vous délirez, nous sommes plombés et pour longtemps par les dettes passées, avez vous remarqué les différence de déficit même avec un dérapage, nous sommes passé de plus de 5% à + de 4%.

Le présent est ce qu'il est, il est surtout la conséquence du passé ! Et la volonté de s'en sortir sans bouclier fiscal est là enfin ce n'est pas trop tôt.

Bref continuez à tenir le bar du café du commerce, à croire que c'était mieux avant et qu'avec des recettes argentine ou brésilienne on pourra s'en sortir.

Moi je n'ai rien à y faire surtout quand on est face à des esprits sclérosés politiquement et qui nie la dure réalité de l'héritage.

Ca ne vous dérangerait pas trop de respecter vos interlocuteurs ... pour qui vous prenez-vous ?

Mais vous délirez, nous sommes plombés et pour longtemps par les dettes passées, avez vous remarqué les différence de déficit même avec un dérapage, nous sommes passé de plus de 5% à + de 4%.

Le présent est ce qu'il est, il est surtout la conséquence du passé ! Et la volonté de s'en sortir sans bouclier fiscal est là enfin ce n'est pas trop tôt.

Bref continuez à tenir le bar du café du commerce, à croire que c'était mieux avant et qu'avec des recettes argentine ou brésilienne on pourra s'en sortir.

Moi je n'ai rien à y faire surtout quand on est face à des esprits sclérosés politiquement et qui nie la dure réalité de l'héritage.

Mais une dette c'est quelque chose d'artificiel.

Vous savez, depuis que l'homme a inventé la monnaie et le crédit, l'endettement est une affaire récurrente.

Etudier le passé vous aurait enseigné qu'il s'agit d'un outil très efficace de domination et d'enrichissement. Et ce n'est donc pas sans raison que les principales religions ont interdit ou condamné cette pratique ou encore que la démocratie est commencée par l'interdiction de l'usure à Athènes.

Vous pouvez décider arbitrairement que telle personne vous doit x argent, du moment que vous avez la force pour contraindre la personne à vous rembourser, vous pouvez transformer cette personne en votre esclave et la faire travailler et récupérer pour vous les fruits de son travail.

C'est évidemment le cas le plus simple.

Mais on peut imaginer des systèmes très complexes qui reproduisent les mêmes mécanismes d'usure et qui auront exactement les mêmes effets.

Je vous laisse faire le lien avec ce qu'il se passe aujourd'hui à l'échelle de nos pays.

Il y a bien longtemps que les pratiques du passé ont été tirées, aujourd'hui c'est notre avenir qui nous intéresse et ce qui est sûr c'est que l'augmentation des prélèvements obligatoires ne sera pas tenable longtemps.

Pouvez vous m'expliquer la différence entre l'augmentation des prélèvements et la diminution des prestations sociales ( comme demandé par la cour des comptes)?

A mon avis les 2 choses vont dans le même sens, c'est a' dire vers une diminution du pouvoir d'achat.