J'ai parlé avec une vraie femme

J'avais envie de l'emmener sur ma moto, de rouler sur les plages de Normandie sous la pluie avec elle, et de lui composer un poème et de la prendre furieusement contre le tronc d'un gros chêne.

Mais j'ai préféré lui écrire un poème.

Sous les galets il y a ton mégot mal dissimulé

Près du mégot , il y a tes clefs, tu les as paumé.

Sous mon regard, il y a des intentions.

Dans ma main, il y a l'absolution.

Cours vite, je t'attendrais chez toi

Avec les jouets qu'on m'a confisqué à Cayenne

Tringle, menottes, poignard

Ou juste l'espoir

Rends moi tout ça , qu'on passe à autre chose

Car tu es mon seul jouet , tu deviens ma psychose.

Yeats

Salut, tu as raison le chêne est moins poétique !

prends la sinon ...:smile2:

Ca y est ! Yeats va encore se lasser

Après avoir fait le max pour poèter

pas plus haut que son cul

Puisqu'il ne l'a pas encore eue

Mais cela ne saurait tarder

la belle risque d'être flattée

Et tous les deux virtuellement pourront s'envoyer

en l'air .. par petits mps !

De psychose enjouée.. de jouet à psychose

On "freud on" .. on fredonne ! Allez Yeats OSE !!!!

Freud.

Mais où donc est passé Freud ?

Freud vient là mon chien.

Référence d'ailleurs au chien de Madame Onfray c'était comme elle le dit l'année du F. :smile2:

Evidemment, ça n'était là qu'un prétexte pour poster mon superbe pouème.

C'était mieux que les transexuelles?

Rien n'est mieux que les transexuels voyons !

Chéri...

Je vais te freudonné un Tchiki boum

Je serais ta sirène de Niagara

Maîtresse du pantoum

Chéri...

Je vais te freudonné un Tchiki boum

Je serais ta sirène de Niagara

Maîtresse du pantoum

Les femmes sont décidément faites pour écouter la poésie des hommes.

Oh toi, viens là !

Après le topic sur les "vrais" hommes, nous voilà avec les "vraies" femmes.....

Vais allez faire un topic sur la vraie connerie....

Mais ...

Mais ...

:smile2: je déconne (promis, il est mignon ton topic)

Tu me déçois, Herman... il ne faut jamais reconnaître que l'on fait de l'humour, c'est mal.

Je ...

Tu me déçois, Herman... il ne faut jamais reconnaître que l'on fait de l'humour, c'est mal.

il m'a trop fait de la peine avec son petit air....ma bonté me perdra ^^

Max et les ferrailleurs, avec la superbe et suicidée Romy Schneider et Michel Piccoli

ça finit très mal

Je ne connais toujours pas la vérité ni ce qu'est la vraie pureté.

(dormez bien tout le monde. Sommeil et repos sont indispensables)

Ce poème est très charnel. Il dégage un érotisme passionnel qui est renforcé par la psychose au point qu'il en devient inquiétant et tout autant troublant parce que l'auteur est lui-même troublé ??? Le titre accompagne cette notion de l'homme qui surgit en lui et dont il ignorait l'existence comme si une vraie femme avait fait naître un vrai homme ???

J'aime beaucoup cette violence.

Je suis touché par ta critique

Si l'époque s'y prêtait plus, j'aurais bien tenté d'écrire des poèmes pour de vrai.

L'époque s'y prête plus que jamais.

Ecrire pour ne pas être lu me rend triste.