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Membre+, Posté(e)
Doïna Membre+ 17 514 messages
Maitre des forums‚
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il parait que certain enfants développe une "peur" d apprendre ..
La peur d'apprendre, ou la peur d'être changé par l'apprentissage ? J'ai vu des parents et des enfants ne plus se comprendre une fois les enfants parvenus au niveau lycéen ou universitaire, parce que l'apprentissage avait élevé une barrière entre eux : les enfants ne parlaient plus comme les parents, ils les reprenaient sans cesse quand ces derniers faisaient des fautes de syntaxe ou de prononciations, ils n'avaient plus les mêmes pôles d'intérêts, n'avaient plus les mêmes sujets de conversation... Il peut également y avoir du mépris de la part des parents pour ces nouveautés de leur enfant apportés par les apprentissages.
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  • 7 mois après...
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Invité libertade
Invités, Posté(e)
Invité libertade
Invité libertade Invités 0 message
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si l,enseignement est en perte de vitesse en France , et si la France est dans le peloton de queue, il y a une grosse part causée par certaine forme d,immigration qui ne s,intégre pas , a l,écoles les enfants ont du mal a suivre, et a la maison et entre copains ils parlent dans leur langage national,(c,est humain ,ça se comprend, mais ce n,est pas la solution pour suivre une scolarité normale.

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Membre+, Posté(e)
Doïna Membre+ 17 514 messages
Maitre des forums‚
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Il faudrait trouver des méthodes pour que ces enfants n'aient pas l'impression de trahir le milieu d'où ils viennent en devenant de bons élèves. Par exemple, que l'élève issu d'une famille pauvre et peu instruite ne se perçoive pas comme l'enfant qui se détache de son groupe familial parce qu'il franchit avec succès les degrés de l'instruction. Idem pour l'enfant issu d'une famille immigrée : il ne faut pas que l'école soit perçue par lui comme une ennemie lui imposant de choisir entre elle et les siens, mais comme une amie qui l'aidera à compléter son apprentissage de la vie et à devenir plus tard une grande personne indépendante, en plus de ce que lui apporte déjà sa famille.

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Invité libertade
Invités, Posté(e)
Invité libertade
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eh oui souvent ,l;école est perçue comme une forme de rejet de notre culture, ce n,est pas une majorité mais il y en a beaucoup trop,

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saint thomas Membre 17 547 messages
Baby Forumeur‚
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Bonjour,:hi:

Voilà, j'étais en train de me questionner au sujet de l'échec scolaire des enfants issus de certains milieux défavorisés, tant financièrement qu'intellectuellement.

Se peut-il que, dans le cas de ces enfants, de la culpabilité vis-à-vis des parents entre en jeu pour mener leur scolarité à l'échec ?

Je développe : un enfant aime ses parents, c'est tout à fait légitime, et même instinctif, mais il se trouve que ses parents soient très mauvais en orthographe parce qu'ils ont arrêté trop tôt l'école ou autre, et manquent également de culture générale. L'enfant, à l'école, va devoir apprendre pour devenir un citoyen sachant parfaitement lire, écrire et autres, et acquérir en prime un bon niveau de culture générale.

Est-ce que cet enfant, quelque part, ne va pas craindre une certaine rupture entre lui et ses parents par ces apprentissages imposés par la société ? Est-ce que le refus d'apprendre, dans ce cas, pourrait être la manifestation d'un refus de rejeter sa filiation, de couper le dialogue entre lui et ses parents, de les trahir en quelque sorte ?

Les instits changent tous les ans, les parents non

Je pense que le pilier fondamental d'un gosse ce sont ses parents

Le gosse va travailler à l'école pour faire plaisir d'abord

Si les parents, colonne vertébrale du gosse, s'en foutent , le gosse va être moins motivé

Il peut alors travailler pour faire plaisir à l''instit mais comme il change chaque année, il n'est pas certain qu'il ait la même envie avec tous

Je pense que c'est ce qui fonde ce que l'on appelle les inégalités

Un gosse travaille touujours pour faire plaisir , si les parents sont indifférents à son travail scolaire , c''est mal barré

Des gosses en difficulté y'en a dans tous les milieux sociaux , on n'est pas égaux au niveau de l'intelligence et ceci quelque soit son niveau social, faut dire la vérité telle qu'elle est

Le niveau d'intelligence est inné , aprés ce qu'on met dans les tiroirs du cerveau comme infos, souvenirs etc... c'est de l'acquis mais y'a pas les idiots tous pauvres et les intelligents tous de milieux aisés , ça c'est certain

Faut donc chercher ailleurs le fait que les gosses de milieu défavorisés réussissent moins bien , en général

La culpabilité vis à vis du bas niveau scolaire de ses parents n'est pas innée non plus , il faut , pour qu'elle naisse dans la tête d'un gosse, la lui inculquer et c'est pas à l'école qu'elle s'apprend

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Membre+, Posté(e)
Doïna Membre+ 17 514 messages
Maitre des forums‚
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La culpabilité vis à vis du bas niveau scolaire de ses parents n'est pas innée non plus , il faut , pour qu'elle naisse dans la tête d'un gosse, la lui inculquer et c'est pas à l'école qu'elle s'apprend

Je ne pense pas qu'elle ne soit pas innée. Pour ma part, je dirais innée mais inconsciente. Par exemple, souvent j'ai vu des petits durs issus de milieux défavorisés, rigoler d'entendre une leçon, alors que les autres élèves, issus de la classe bourgeoise, prenaient cela très au sérieux. Pourquoi une leçon déclenche spécialement le rire des enfants de familles d'ouvriers ou de chômeurs et pas les autres ? Parce qu'inconsciemment, ils y voient des trucs de bourgeois, comme ils diraient, ou si vous préférez, des trucs qui n'intéresseraient pas leurs parents, qui ne concerne pas leur milieu à leur sens. C'est comme l'opéra : quand on pense à l'opéra, comme par automatisme, on pense à un loisir de nantis, déjà rien que par le fait qu'une tenue de soirée soit exigée pour assister à un concert. A l'école, il se passe un peu la même chose, mais avec les apprentissages : un enfant dont le père est tourneur ou fraiseur, inconsciemment, va à l'école parce que c'est obligatoire, mais son modèle, ça reste son père, pas les écrivains, ni les poètes, ni les académiciens, ni même Pythagore ou Thalès. Et d'ailleurs, si un homme des classes les moins aisées : un ouvrier par exemple, peut se montrer très fier de la réussite scolaire de son enfant, le clivage s'installe malgré tout entre eux deux, l'un restant un pauvre ouvrier, l'autre étant passé dans un autre monde, considéré comme supérieur dans notre société. C'est un clivage qui peut même aboutir à des oppositions, le père ouvrier sentant le fils lui échapper, se désintéresser de ce qui l'intéresse lui, et le fils pouvant en arriver à trouver son père pas suffisamment cultivé pour le comprendre. Donc, bien sûr, les parents sont les premiers à devoir encourager leurs enfants à la réussite scolaire, mais pour que cela fonctionne, encore faudrait-il que des deux côtés : celui des géniteurs et celui de la progéniture, qu'on prenne conscience que l'école n'est pas leur ennemie, que la réussite scolaire ne doit pas les éloigner, qu'elle ne doit pas être à la source d'un quelconque sentiment de trahison.
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Membre, Posté(e)
saint thomas Membre 17 547 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Je ne pense pas qu'elle ne soit pas innée. Pour ma part, je dirais innée mais inconsciente. Par exemple, souvent j'ai vu des petits durs issus de milieux défavorisés, rigoler d'entendre une leçon, alors que les autres élèves, issus de la classe bourgeoise, prenaient cela très au sérieux. Pourquoi une leçon déclenche spécialement le rire des enfants de familles d'ouvriers ou de chômeurs et pas les autres ? Parce qu'inconsciemment, ils y voient des trucs de bourgeois, comme ils diraient, ou si vous préférez, des trucs qui n'intéresseraient pas leurs parents, qui ne concerne pas leur milieu à leur sens.

Ben, le désinterêt de certains parents pour le travail de leur gosse commence dés la maternelle parfois

Je ne connais pas beaucoup de gosses se ruant sur les devoirs pour en faire leurs loisirs , y'a qu'à voir combien de cahier de vacances sont finis durant les grandes vacances

Des parents qui ne lisent jamais c'est un gosse qui déjà aura plus de risques d'être en difficulté et s'il sent que son travail les laisse indifférents , t'as le bon cocktail pour multiplier les risques d'échec scolaire

Ensuite quand l'estime de soi est atteinte suite à des mauvaises notes répétées , c'est le gosse qui rejette l'école et se marre lors des cours

C'est là que les plus riches foutent leur môme dans des pensions huppés et font jouer leurs relations

C'est comme l'opéra : quand on pense à l'opéra, comme par automatisme, on pense à un loisir de nantis, déjà rien que par le fait qu'une tenue de soirée soit exigée pour assister à un concert.

Vu la moyenne d'âge de ceux qui vont à l'opéra .....

Sont pas de première jeunesse

Y'en a qui aiment vraiiment l'opéra mais y'en a d'autres qui y vont pour s'y emmerder et pouvoir dire "j'y étais"

Les histoires dans les opéras sont rase moquette au possible , on comprend rien à ce que les cantatrices et cantateurs chantent

La voix OK mais pendant 2 heures c'est quand même rasoir

Les jeunes des milieux aisés ont tendance à déserter au grand dam des directeurs d'opéras obligés de se diversifier

Et d'ailleurs, si un homme des classes les moins aisées : un ouvrier par exemple, peut se montrer très fier de la réussite scolaire de son enfant, le clivage s'installe malgré tout entre eux deux, l'un restant un pauvre ouvrier, l'autre étant passé dans un autre monde, considéré comme supérieur dans notre société.

J'en sais rien , je crois que tu généralises trop

C'est un clivage qui peut même aboutir à des oppositions, le père ouvrier sentant le fils lui échapper, se désintéresser de ce qui l'intéresse lui, et le fils pouvant en arriver à trouver son père pas suffisamment cultivé pour le comprendre. Donc, bien sûr, les parents sont les premiers à devoir encourager leurs enfants à la réussite scolaire, mais pour que cela fonctionne, encore faudrait-il que des deux côtés : celui des géniteurs et celui de la progéniture, qu'on prenne conscience que l'école n'est pas leur ennemie, que la réussite scolaire ne doit pas les éloigner, qu'elle ne doit pas être à la source d'un quelconque sentiment de trahison.

Je crois qu' un gosse ne se construit pas à l'école , il se construit dans sa famille et ceci quelque soit son milieu social , c'est mon avis

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Membre, 38ans Posté(e)
Scorpion du web Membre 113 messages
Baby Forumeur‚ 38ans‚
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L'échec scolaire peut être dû à plusieurs raisons.

J'ai eu de nombreuses difficultés à l'école, mais c'est parce que je n'ai jamais été intéressé.

D'après moi, la manière dont on instruit les élèves à son importance.

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Invité Out of Paprika
Invités, Posté(e)
Invité Out of Paprika
Invité Out of Paprika Invités 0 message
Posté(e)

Je trouve beaucoup de généralités dans ce topic ; si je prends mon exemple personnel, mes parents étaient plutôt d'un milieu modeste, ce qui n'a pas empêché leurs 4 enfants de réussir.

Le plus difficile, à mon sens, est de pourvoir aux besoins et d'assumer les longues études d'un enfant, bien plus difficile à réaliser pour une famille avec peu de moyens. L'étudiant aura le gîte et le couvert mais devra se débrouiller pour ses dépenses personnelles.

Pour répondre à la question initiale, je ne pense pas que la réussite d'un enfant coupe le lien affectif et familial. Au contraire, les parents se sentent souvent très fiers et aimants, ce qui renforce la confiance en soi pour un enfant dès tout petit. Les meilleures réussites se voient bien plus dans les milieux épanouis affectivement parlant, le fric est loin d'être à l'origine de tout ; il suffit parfois de le vouloir.

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Invité Frankygoztovalhalla
Invités, Posté(e)
Invité Frankygoztovalhalla
Invité Frankygoztovalhalla Invités 0 message
Posté(e)

Ben déjà énormément d'énergie dépensée à faire des rapports sur la "discrimination LGBT phobique" à l'école.

Une priorité, pour sûr (rapport Teychené, ce monsieur qui était président de HES, homosexualité et socialisme). Absolument décisif comme question !

L'école laïque a coupé les enfants de l'Eglise, coupé les enfants du "Ciel", on décroche des mûrs des écoles les crucifix... bien.

Et pour pas laisser la place vide, le buste de Marianne. Bien...

Aujourd'hui représenté par la femen qu'on connait :)

Violente, hystérique et déséquilibrée.

1 siècle plus tard, 1989, Jospin qu'on connait bien lui aussi pour la dérouillée qu'il a pris par Le Pen, modifie encore le fonctionnement éducatif français. Après avoir coupé les gamins du "Ciel", on va les couper de leur maître (d'école, hein...).

La relation maître/élève c'est ringard (le progrès... :) ) on va passer dans une espèce de relation triangulaire maître/élève/connaissance et le gamin va devoir aller chercher tout seul le savoir dont il aura besoin. Le maître n'est plus qu'un animateur.

La transmission du maître à l'élève disparait.

Ce constructivisme explique les échecs scolaires, l'illétrisme et pas mal de choses (propagande LGBT dès la maternelle...). Et plus seulement dans les quartiers populaires.

Bravo à tous ceux qui ont scié les transmissions.

Et puis, et puis... il faut coupé les transmissions entre parents et enfants.

A l'école pas de maître, à la maison plus de parents puisque incapables de les aider.

Les méthodes constructivistes toutes reprises par les enseignants (surveillés par l'IN).

Y'a plus de cours en classe, j'en discutais avec ma nièce de 12 ans de temps en temps, c'est effarant, jamais je ne mettrais mon gamin dans une école laïque.

Et nouveau projet à venir, M'sieur Peillon, nouveau projet sur la LGBTphobie à l'école à financer... ben quoi, urgent.

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Membre, Posté(e)
fanfreluche Membre 821 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Bravo pour ce fourre tout délirant amalgamant différents problèmes qui n'ont rien à voir ! vous mélanger le constructivismes (que vous semblez méconnaitre), avec la théorie du genre (les 2 n'ont aucun lien et avec votre propagande de petit frontiste qui comprend pas tout ce qu'il raconte.

Pour votre gouverne, sachez que le costructivisme (que vos copains présentent comme une vilaine propagande gauchiste post soixante huitarde) trouve ses origines dans la formation professionnelles, et plus particulièrement compagnons du tour de france....et memes, si on va plus loin, les batisseur de cathédrale !

L'immense majorité des formation professionnelles française sont basées sur le courant consttructiviste (formation para médicales, le batiment, etc....)et n'ont rien à voir avec ce que vous décrivez. De plus, j'ajoute que le constructivisme n'a JAMAIS été appliqué dans l'éducation nationales ; seule des "idées", ont été applisqées (comme le collège unique), et souvent plutot mal, il faut bien le reconnaitre.

Sachez enfin que la majorité des pays en tete du classement pisa utilisent ces méthodes, et que le classement pisa lui meme se fonde sur des bases constructivistes

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Membre, La racaille du forum, Posté(e)
RocketLuncher Membre 1 639 messages
La racaille du forum,
Posté(e)

Oui un enfant en échec scolaire ne peut s'en prendre qu'à lui même.... Il a raison de se culpabliser. Il a déjà de la chance de pouvoir aller à l'école gratuitement....

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