Joyeuse - Merrie -

Je marchais seule dans une rue mal éclairée

J’essayais de continuer mon long chemin

Je n'avais aucune envie, j'étais désespérée

Mais je me forçais quand même à croire au lendemain

J'évitais chaque passant

Ils me regardaient tous, un par un

J'avais peur, je voyais droit devant

Peur que je sois un Alien

Il y avait des gens qui me regardaient en souriant

Par un regard triste, je les ai répondus

Car "Je ne les connaissais pas, et c'était suffisant,

Pour ne pas rendre un sourire par un autre’’ j’ai cru.

Il y avait des gens que j’ai bien appréciés,

Mais ils ne se souciaient guerre de ma présence

Je voulais leur adresser la parole, mais j’ai renoncé

Car ils avaient l’esprit perdu dans l’inconscience

Il y avait des gens qui m’ont aimé de tous leur être

Et dont j’ignorais vraiment le nom

Car j’avais un mal à l’aise, de paraître

Et j’ai oublié de leur donner un peu de mon précieux temps

Il y avait des gens que je souhaitais aider

Mais ils n’ont pas tenu compte de ma demande

J’avais beau essayer, mais ils n’aimaient pas être guidés

Ils croyaient bien connaitre eux-mêmes, et le monde

Parmi ces gens, il y avait un ange

Qui m’a tenu la main

M’a guidé vers un univers qui m’est étrange

Afin de me montrer le bon chemin

Je n’attendais guerre qu'il m’accompagna

Juste le fait de me changer d’orientation

De m’enlever de l’autre monde, comme ça

Était pour moi largement suffisant

Il n’y avait pas des va-et-vient de toutes les directions

Juste quelques-uns, très lointain

Que je croyais même que ce n’est qu'une illusion

Mais mon ange m’a montré qu'ils sont vraiment des humains

Ils étaient ravis de faire ma connaissance

Du même pour moi, c’était un honneur

Pour la première fois de ma vie, je ne sens pas l’absence de ressemblance

Avec des êtres humains. C’était cela mon bonheur

J’ai raconté à eux toute mon histoire

Ils m’ont apprécié, pour ce que je suis

Ils m’ont dit que je n’ai plus besoin de vivre dans le noir

Car il faut que je fais face au monde, pas que je fuis

Ils souffraient quand-même

Mais ils n’étaient concernés que peu

Car cela n’était, pour eux, pas un grand problème

Ça les rendait encore plus heureux

Ils m’ont apprit l’art d’évoquer les temps d’hiver ainsi que d’été

Car mon prénom indique cela

Et me pousse à vivre une vie de joie et de bonheur

Alors que je n’avais jamais pensé à ça

Je marche dans une rue bien éclairée

Je continue mon long chemin de vie

Je n’ai plus peur, non plus désespérée

Cet ange m’a montré qui je suis

Le monde arrêta de me faire peur

Maintenant,je ne pense qu'aux bons moments de ma vie

Car, il ne faut jamais ignorer les heures

Et c’est ce qu’il m’a dit : ‘’ Be Happy Joyeuse-Merrie- ‘’

Tu devrais changer la police car tel quel c'est illisible.

l'essence du texte est très intéressante. il y à beaucoup d'émotion voire du vécu mais je ne te cache pas que ce n'est pas très bien écrit. une poésie se travail et se réécrit plusieurs fois je pense alors ne le prend pas mal.

moi même qui suis un cancre , j'ai mis des années pour faire quelque médiocre progrès.

courage , continue, reprend le texte, corrige les fautes, change quelque tournure qui font trop franc parler, sinon ce n'est pas si mal.

Le franc parler n'est pas un défaut en soi. On peut faire, à mon avis, un bon poème avec.

Le souci, c'est que tu passes de ça à "guère", par exemple (ce mot m'a marqué, faut pas chercher), qui donne tout de même l'effet inverse.

Mais, l'exercice, hein. C'est comme les math's, il paraît.

Joyeuse - Merrie -

Je marchais seule dans une rue mal éclairée

J’essayais de continuer mon long chemin

Je n'avais aucune envie, j'étais désespérée

Mais je me forçais quand même à croire au lendemain

J'évitais chaque passant

Ils me regardaient tous, un par un

J'avais peur, je voyais droit devant

Peur que je sois un Alien ici la rime me gène, qui sonne comme alien

Il y avait des gens qui me regardaient en souriant

Par un regard triste, je les leur ai répondus

Car "Je ne les connaissais pas, et c'était suffisant,

Pour ne pas rendre un sourire par un autre’’ j’ai cru.

Il y avait des gens que j’ai bien appréciés, les changement de temps embrouille aussi entre passé présent et futur

Mais ils ne se souciaient guerre de ma présence

Je voulais leur adresser la parole, mais j’ai renoncé

Car ils avaient l’esprit perdu dans l’inconscience

Il y avait des gens qui m’ont aimé de tous leur être

Et dont j’ignorais vraiment le nom

Car j’avais un mal à l’aise, de paraître cette phrase est bizarre même si c'est pour la rime. car j'avais un mal être.

Et j’ai oublié de leur donner un peu de mon précieux temps

Il y avait des gens que je souhaitais aider

Mais ils n’ont pas tenu compte de ma demande

J’avais beau essayer, mais ils n’aimaient pas être guidés

Ils croyaient bien connaitre eux-mêmes, et le monde

Parmi ces gens, il y avait un ange

Qui m’a tenu la main

M’a guidé vers un univers qui m’est étrange

Afin de me montrer le bon chemin

Je n’attendais guerre qu'il m’accompagna

Juste le fait de me changer d’orientation ici, c'est compliquer à l'oreille.

De m’enlever de l’autre monde, comme ça

Était pour moi largement suffisant

Il n’y avait pas des va-et-vient de toutes les directions

Juste quelques-uns, très lointain

Que je croyais même que ce n’est qu'une illusion ici trois fois "que" dans la même phrase, ail mes oreilles.

Mais mon ange m’a montré qu'ils sont vraiment des humains

Ils étaient ravis de faire ma connaissance

Du même pour moi, c’était un honneur

Pour la première fois de ma vie, je ne sens pas l’absence de ressemblance

Avec des êtres humains. C’était cela mon bonheur

J’ai raconté à eux toute mon histoire

Ils m’ont apprécié, pour ce que je suis

Ils m’ont dit que je n’ai plus besoin de vivre dans le noir

Car il faut que je fais face au monde, pas que je fuis idem pour cette phrase, tu peux trouver mieux.

Ils souffraient quand-même

Mais ils n’étaient concernés que peu

Car cela n’était, pour eux, pas un grand problème

Ça les rendait encore plus heureux

Ils m’ont apprit l’art d’évoquer les temps d’hiver ainsi que d’été

Car mon prénom indique cela

Et me pousse à vivre une vie de joie et de bonheur

Alors que je n’avais jamais pensé à ça

Je marche dans une rue bien éclairée

Je continue mon long chemin de vie

Je n’ai plus peur, non plus désespérée

Cet ange m’a montré qui je suis

Le monde arrêta de me faire peur

Maintenant,je ne pense qu'aux bons moments de ma vie

Car, il ne faut jamais ignorer les heures

Et c’est ce qu’il m’a dit : ‘’ Be Happy Joyeuse-Merrie- ‘’

sans vouloir changer ta poésie, il y à des phrases qui tue le plaisir du sens de l’ouïe.